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Guerre civile en Syrie


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il y a 12 minutes, g4lly a dit :

Visiblement ils auraient aussi repris Miniyan.

Selon AlMasdar, la partie residentielle a été repris et une portion de la partie industrielle du quartier. il y'aurait en ce moment un mouvement envellopant sur Dahiwat-Al-Assad, soit pour encercler les rebelles ou bien les forcer a se retirer du quartier.

Les gains des SAA depuis la contre-offensive du 6 Octobre dans Alep Est :

►Tall Mutah
►Tall Rakhm
►1070 Apartment Project
►Al-Hikmah School
►Minyan suburb
►Parts of Dahiyat al-Assad district
►Parts of Minyan Industrial Zone 

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http://lavoiedelepee.blogspot.fr/2016/11/objectif-raqqa.html

 

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Objectif Raqqa ?

 

Croyant qu'il n'y trouverait aucun intérêt stratégique et qu'il ne disposerait pas des moyens nécessaires, je pensais que le Parti de l'union démocratique (PYD) serait réticent à lancer une grande offensive sur Raqqa. Apparemment, je me trompais. Les Américains ont su se montrer convaincants.

 

La capitale de l’Etat islamique, première ville importante tombée sous sa coupe, est évidemment un objectif important, voire décisif, dans la guerre contre l'organisation. Sa prise, en parallèle de celle de Mossoul, mettrait fin à Daesh comme territoire, les autres zones encore sous son contrôle pouvant difficilement subsister sans ces deux villes. Cela ne signifierait sans doute pas pour autant la destruction de l’organisation, prête à un retour à la clandestinité. Cela déboucherait aussi sur la mise en place d’un nouveau paysage politique régional très incertain mais marquerait aussi incontestablement la fin d’une période stratégique. C’est probablement la recherche de la coïncidence de cette fin avec celle de la présidence Obama qui explique cette hâte et par voie de conséquence la pression exercée faite sur le PYD, hégémonique dans le Kurdistan syrien (Rojava) et dans l'alliance des Forces démocratiques syriennes (FDS), pour organiser une telle attaque. 

 

D’un point de vue opérationnel, l’attaque presque simultanée ou, légèrement décalée (normalement avec attaque de fixation sur le front secondaire suivie de l'attaque principale) des deux principaux bastions ennemis. Daesh ne peut tout défendre en même temps et, sachant que les bascules de troupes d'un front à l'autre sont désormais très difficiles, on peut espérer que s'il a fait un effort particulier pour défendre une de ses deux capitales, il se soit affaibli pour l'autre. Le risque de cette posture est cependant, à l’inverse, la dispersion des forces de l’attaquant. Au contraire de l’Etat islamique qui peut agir en Syrie comme en Irak, il existe un cloisonnement politique dans l’emploi des forces anti-Deash. On n’imagine pas, pour l’instant du moins, l’armée irakienne poursuivre l’ennemi sur l’Euphrate syrien. On n’imagine pas non plus, quoiqu’il y ait parfois coopération entre les différentes (et opposées) mouvances kurdes, les FDS pénétrer en Irak. La seule force militaire pouvant basculer d’un théâtre à l’autre est celle de la coalition menée par les Etats-Unis. Or, celle-ci n’est pas extensible non plus et elle est pour l’instant concentrée sur la bataille difficile de Mossoul. Peut-être considère-t-on qu'il est possible de faire basculer une partie de la capacité de frappes, moins utile dans un combat urbain imbriqué, vers l'appui à la progression des FDS en terrain plus ouvert.
 

Au point de vue tactique enfin, la prise de Raqqa représente un défi presque aussi difficile que celui de Mossoul. La ville, peuplée de 240 000 habitants avant-guerre mais beaucoup plus depuis l’arrivée de réfugiés, ressemble dans sa géographie à Falloujah. A titre de comparaison, pour s’emparer de Falloujah au printemps 2016, les Irakiens ont déployé 40 000 hommes et bénéficié pleinement de l’aide de la coalition. Il leur a fallu néanmoins plus d’un mois de combat pour conquérir la ville face à, au maximum, 4 000 combattants de l’Etat islamique. Falloujah n’était pas un enjeu vital pour Daesh, au contraire de Raqqa qui a certainement l’intention d’y résister fermement avec, peut-être le double ou le triple de combattants. Les FDS, création des Etats-Unis il y a un an, constituent une force assez hétéroclite qui associe les Unités (kurdes) de protection du peuple, très majoritaires, à des groupes turkmènes et arabes sunnites ou chrétiens. L’ensemble représente peut-être une force totale de 40 000 hommes et femmes armés, mais avec beaucoup de combattants temporaires attachés à un secteur. La force permanente mobile et offensive, aidée et conseillée par les forces spéciales américaines, est plus réduite. Il n’y avait ainsi qu’environ 4 000 hommes pour s’emparer de Manbij en août dernier. 

 

Sans l’appui plein de la coalition, la prise de Raqqa semble pour l’instant, un objectif hors de portée des FDS. On notera qu’après les déclarations initiales sur la « grande offensive », les discours des FDS se sont orientés plutôt sur l’idée d’ « isoler » la ville plutôt que de la prendre. A moins d'un effondrement inattendu (ou disparition volontaire) de l'Etat islamique, on peut donc s’attendre, au mieux, à une pression exercée sur le nord de Raqqa et un effort sur l’axe venant de Hassaqué en direction de l’Euphrate. Le contrôle de la zone entre Raqqa et Deir ez Zor, dans la région de la petite ville de Madan, serait déjà un résultat remarquable. Dans un deuxième temps, avec l'appui total de la coalition après de la chute de Mossoul, on pourra alors envisager véritablement la prise de Raqqa.

 

 

L’opération offensive des FDS est d’autant plus difficile que, contrairement aux forces irakiennes concentrées sur Mossoul, elles doivent prendre en compte aussi la région d’Al-Bab, cette zone stratégique tenue par l’EI coincée, à l’ouest et à l’est, entre les deux zones kurdes syriennes, et au nord et au sud, entre la Turquie et ses alliés rebelles arabes dont les forces poussent vers le sud et l’armée d’Assad assiégeant Alep. C’est cette région qui constitue l’enjeu stratégique premier pour les Kurdes syriens, bien plus que la ville arabe de Raqqa. On peut certes imaginer que la chute de Raqqa et l’éventuel effondrement de l’Etat islamique, sous sa forme actuelle, facilitera la prise d’Al-Bab (mais aussi la progression antagoniste des Turcs et de leurs alliés rebelles arabes). On peut imaginer surtout que le PYD, branche syrienne du PKK, ennemi déclaré d’Ankara, aura, à long terme, besoin de l’aide américaine, diplomatique et militaire, pour atteindre son objectif ultime d'unification et d’autonomie. La prise de Raqqa, ou du moins l’offensive dans cette direction (qui n’est pas la première annoncée non plus), est peut-être le préalable obligé de cette protection.

Le problème est que les Kurdes syriens, s’ils parviennent à s’emparer de la ville, en seront ensuite embarrassés. Leur présence dans la région suscite la colère de la Turquie, qui a déjà mis en garde contre la « transformation démographique » de la ville (la « kurdisation » du peuplement, déjà mis en œuvre dans d’autres endroits de la région). Il est possible aussi qu’elle suscite également un rejet local. L’hypothèse la plus probable est donc le transfert d’autorité sur la ville conquise à la branche arabe des FDS sans que l'on sache si ces groupes armés et milices tribales seront capables alors de tenir les positions. Cela constituera avec le Front sud, près de Deraa à la frontière jordanienne, une deuxième zone sous contrôle de groupes rebelles, alliés des Etats-Unis. 

Il est possible aussi que régime d’Assad, allié de fait pour l’instant avec le PYD et occupé loin de l'Euphrate, sauf en partie en Deir ez-Zor, s’y intéresse à nouveau une fois la prise d’Alep assurée. Sous la pression, peut-être commune, de la Turquie et du régime syrien, les Kurdes syriens et les rebelles arabes des FDS verront alors s’ils peuvent toujours compter sur les Américains, dès lors que ceux-ci auront atteint leur objectif d’effacer Daesh de la carte, sinon de le détruire. 


En savoir plus sur http://lavoiedelepee.blogspot.com/2016/11/objectif-raqqa.html#OIxZVV5Ljx0uHOcE.99

 

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Je peux me tromper mais ... la dernière vidéo du chef de l'EI n'est elle pas une victoire occidentale totale? Il demande à ce que ses forces attaquent les soudiens, ce qui veut dire une méga guerre civile et religieuse entre eux (ce qui vaut sire qu'ils se massacrent entre eux en nous fichant la paix et en achetant des armes).

Est ce que c'est cynique ou crédible?

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il y a 16 minutes, cracou a dit :

Je peux me tromper mais ... la dernière vidéo du chef de l'EI n'est elle pas une victoire occidentale totale? Il demande à ce que ses forces attaquent les soudiens, ce qui veut dire une méga guerre civile et religieuse entre eux (ce qui vaut sire qu'ils se massacrent entre eux en nous fichant la paix et en achetant des armes).

Est ce que c'est cynique ou crédible?

Ce n'est pas réaliste, car pour que l'exploitation de pétrole saoudien puissent se faire dans de bonne condition, le pays doit rester le plus stable possible, quitte à forcer cette stabilité. l'AS c'est très policier comme société. Les occidentaux et même d'autres puissances - l'essentiel du pétrole moyen-oriental est consommé en Asie - ont un interet objectif à ce que la dynastie régnante reste bien en place, aussi antipathique qu'elle puissent être. .

De l'autre coté, l'EI islamique n'a pas les moyens de ses ambitions. D’ailleurs, ils payent le ridicule de leur stratégie qui consiste à s'en prendre à tout le monde en même temps au lieu de hiérarchiser leurs priorités/cibles. Et le coût en est la rétractation de leur zone d’influence et leur affaiblissement continu jusqu’à leur probable effondrement. Sans parler du coté repoussoir, même pour les barbus hardcores. Difficile de mobiliser dans ces conditions pour porter le fer chez les voisins. 

Bref, ce n'est pas encore le moment pour une guerre civile qui déchirerait le Royaume. 

Modifié par Shorr kan
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Les Russes prêts à lancer la bataille d’Alep, selon des sources du Hezbollah

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Alors que le Liban politique est occupé par les tractations pour la formation d'un nouveau gouvernement, la guerre se poursuit en Syrie et connaît d'importants développements.

Selon des sources proches du Hezbollah, les Russes auraient informé leurs alliés de leur intention de lancer la bataille d'Alep, pour la reprise des quartiers est de la ville encore sous le contrôle des rebelles. Moscou avait mis un bémol à cette bataille, afin de donner une chance aux négociations politiques qui auraient dû permettre aux rebelles de quitter les quartiers sous leur contrôle dans le cadre d'un accord. Mais toutes les tentatives menées en ce sens ont échoué. Et au contraire, chaque fois que les Russes décidaient d'une trêve en signe de bonne volonté, les rebelles menaient des assauts violents où toutes les armes étaient utilisées.

C'est ainsi que pendant la dernière trêve de dix jours décrétée par les militaires russes à Alep et après l'arrêt des raids aériens de leurs avions sur les positions des rebelles entourant la ville, les forces du régime et leurs alliés ont essuyé deux assauts d'une rare violence. Le dernier en date a eu lieu la semaine dernière et 4 000 combattants ont été mobilisés pour le mener. Ils avaient à leur disposition 30 voitures piégées bourrées au total de 10 tonnes d'explosifs, selon les sources proches du parti chiite. L'assaut s'est déroulé selon un scénario devenu la spécialité des rebelles : les voitures piégées explosent, semant la panique dans les rangs ennemis.

Dans la confusion qui règne alors, des kamikazes « infiltrés » (qu'on appelle en arabe les inghimassiyine) se fondent avec les combattants ennemis et se font exploser parmi eux, provoquant ainsi un maximum de victimes dans les rangs adverses et semant la panique chez les survivants. Selon des sources militaires, il est difficile de trouver une parade à ce genre d'attaques, d'autant que les assaillants ne comptent pas leurs morts, ayant visiblement un réservoir humain inépuisable. Les survivants racontent d'ailleurs que les explosions étaient si puissantes qu'elles avaient un impact sur un rayon de 200 mètres. Ce type d'action a fait des blessés dans les rangs de l'armée syrienne et de ses alliés.

Mais les attaques les plus violentes ont eu lieu contre les positions tenues par le Hezbollah dans le périmètre d'Alep. Selon des sources militaires proches de ce parti, 80 combattants enrôlés sous sa bannière ont résisté dans des circonstances très dures et ont réussi à repousser les vagues des assaillants, conservant leurs positions et parvenant même à avancer dans ce qu'on appelle le projet des 1 070 habitations, qui constitue un lieu stratégique puisqu'il coupe la route reliant Alep à Idlib. De la sorte, les combattants du Hezbollah ont empêché les assaillants de faire la jonction entre leurs combattants encore installés dans les quartiers d'Alep-Est et leurs renforts en provenance d'Idlib. Les hommes du Hezbollah ont fait preuve d'un tel héroïsme, précisent les mêmes sources, que le général iranien Kassem Soulaymani, considéré comme l'un des chefs militaires clés dans la direction des opérations militaires en Syrie, a envoyé un message de félicitations au secrétaire général du parti chiite. Dans ce message au ton empreint d'émotion, le général Soulaymani rend hommage aux combattants du Hezbollah « qui ont tenu bon dans des circonstances insupportables, écrivant la victoire avec leur sang ». La lettre a été rendue publique dans les cercles réservés aux miliciens du Hezbollah pour leur montrer autant que faire se peut combien leur bravoure et leur savoir-faire militaire sont appréciés, précisent les sources proches de ce parti.

 

Avec leurs alliés, les soldats syriens ont ainsi réussi à retourner la donne dans la région d'Alep, neutralisant les deux assauts des dernières semaines qui ont fait des centaines de victimes chez les assaillants. La réunion des trois ministres des Affaires étrangères russe, iranien et syrien est venue donner un message clair de coordination totale entre ces trois parties au sujet d'Alep. Selon les sources proches du Hezbollah, le ministre russe aurait ainsi informé ses interlocuteurs de l'étendue des pressions internationales actuellement exercées sur Moscou pour le pousser à ne pas prendre Alep et ses alentours. Mais, toujours selon les mêmes sources, les Russes auraient affirmé que leur décision est prise et qu'il n'est pas question de mener des négociations politiques avant la prise de la ville. De même, ils auraient informé les autorités turques qu'ils n'accepteront pas que leur armée et les groupes qui sont sous son influence prennent le contrôle de la ville d'al-Bab, à la frontière, qui constitue en quelque sorte un des verrous d'Alep. Dans ce contexte, la prise par l'armée syrienne et ses alliés du projet des 1 070 habitations est un message direct aux autorités turques, en raison de la proximité de ces constructions de la ville d'al-Bab.

Les sources proches du Hezbollah affirment aussi que la réunion des trois ministres des Affaires étrangères sera suivie bientôt d'une rencontre des ministres de la Défense des trois pays. Cette seconde rencontre aurait pour objectif d'adresser un message fort aux rebelles et à ceux qui les protègent, les arment et les encouragent, sur la détermination des trois parties à aller jusqu'au bout de la confrontation au sujet d'Alep. Mais la coordination militaire véritable sur le terrain se fait au niveau des états-majors.

 

 

http://www.lorientlejour.com/article/1017894/les-russes-prets-a-lancer-la-bataille-dalep-selon-des-sources-du-hezbollah.html

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Le 10/11/2016 à 23:24, alexWF a dit :

1 F15 et 1 A10 au dessus de la région d'Idlib

 

Modifié par alexWF
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Char et BMP détruit au canon de char ?

 

Le 11/11/2016 à 21:18, Shorr kan a dit :

Il n'y a que moi qui trouve hautement  dérangeant cette habitude qu'ont les protagonistes du conflit à se prendre tout le temps en photo et faire des selfies ?

C'est une question de génération. Les jeunes font tout le temps cela. C'est juste que tu ne regardes pas leur compte twitter d'habitude.

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44 minutes ago, Deres said:
C'est une question de génération. Les jeunes font tout le temps cela. C'est juste que tu ne regardes pas leur compte twitter d'habitude.

Ca me dérange tout autant quand c'est le quidam qui le fait devant n'importe quel connerie. C'est comme la mode qui consistait a photographier sa bouffe ...

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Avant la révolution et le conflit, internet et les réseaux sociaux étaient assez verrouillés et très surveillés en Syrie, doit y avoir une forme d'exutoire dans tout cela et de pouvoir enfin faire comme les autres, au début c'était l’apanage des opposants au régime, mais au fur et à mesure c'est également devenu très fort chez les loyalistes qui eux aussi ont été longtemps bridés a ce niveau, rien que le fait d'avoir un smartphone pour les soldats du rang était assez suspect pendant longtemps au début du conflit et pouvait amener des ennuis, semble qu'aujourd'hui c'est devenu quasiment banal.

 

 

Tir de TOW hier sur un gros attroupement de miliciens et/ou soldats loyalistes dans le quartier récemment repris d'al-Assad à Alep, pour le coup c'est pas impossible qu'ils essayaient aussi de se prendre en photo ou autre... :

 

 

 

Plusieurs groupes rebelles dans le nord d'Alep ont reçus quelques ACV-15 de la part de la Turquie, ici un de Sultan Murad; impliqués dans les dernières avancées contre l'EI :

 

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il y a une heure, Barristan-Selmy a dit :

Avant la révolution et le conflit, internet et les réseaux sociaux étaient assez verrouillés et très surveillés en Syrie, doit y avoir une forme d'exutoire dans tout cela et de pouvoir enfin faire comme les autres, au début c'était l’apanage des opposants au régime, mais au fur et à mesure c'est également devenu très fort chez les loyalistes qui eux aussi ont été longtemps bridés a ce niveau, rien que le fait d'avoir un smartphone pour les soldats du rang était assez suspect pendant longtemps au début du conflit et pouvait amener des ennuis, semble qu'aujourd'hui c'est devenu quasiment banal.

C'est surtout qu'en 5 ans, le prix des smartphone a beaucoup baissé.

Je pense qu'il y a 5 ans, c'était très cher pour un syrien de base alors qu'un smartphone d'entrée de gamme est maintenant accessible à tous.

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Les rebelles appuyés par la Turquie sont plus qu'a 2 kilomètres du nord d'al-Bab après des avancées ce matin, l'aviation turque a fait son retour, l'EI a déjà envoyé plusieurs véhicules suicides et utilisés plusieurs ATGM en réaction : 
CxJUduPXcAAdEBC.jpg

 

 

 

Fait peu habituel, Afrin sous contrôle des SDF a été frappé par une explosion près d'un checkpoint, d'abord pensé être une frappe aérienne turque, mais qui au final était un missile Tochka utilisé par le régime, soit une grave erreur/malfonction ou un avertissement :

Le missile a tué 12 personnes et fait une cinquantaine de blessés en grande majorité des civils : http://rudaw.net/english/middleeast/syria/131120162

 

Un attentat à la voiture piégé a également eu lieu à Azaz, tenu par les rebelles, pas loin, probablement un acte de l'EI.

Modifié par Barristan-Selmy
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il y a 50 minutes, Ciders a dit :

Hep hep hep. D'où viennent ces M-113 ? Les Irakiens en avaient en 2010 ? Véhicules ex-libanais ?

probablement ex-ASL, le hezbollah avait recupere pas mal de matériel après sa dissolution

Il y a 4 heures, alexWF a dit :

Corps blindé de Hezbollah en Syrie (Qusayr)

CxKc_eKUkAAZoQ_.jpg

c'est quoi cette bête?

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il y a une heure, metkow a dit :

probablement ex-ASL, le hezbollah avait recupere pas mal de matériel après sa dissolution

c'est quoi cette bête?

Type 52k tchèque il me semble.pour les M113 ils doivent dater de l occupation du sud Liban par Israël.

Modifié par alexWF
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il y a 35 minutes, floflo7886 a dit :

Des voix bien françaises non loin de Raqqah avec le PYD dans cette séquence Milan et Javelin (à 1ère vue) contre un VBIED. pour connaître l'origine de ces Français, cela sera plus coton par contre...

Des femmes kurdes et aussi au moins un américain je crois.

On entend deux tirs de missiles mais ce qui provoque l'explosion du véhicule n'est pas clair.

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Des voix bien françaises non loin de Raqqah avec le PYD dans cette séquence Milan et Javelin (à 1ère vue) contre un VBIED. pour connaître l'origine de ces Français, cela sera plus coton par contre...

Ce serait pas un équipage de Caesar, quand ils dissent vite vite, ils envois des obus de 155mm ,mais le temps qu'ils retombes ils ont des sueurs froides, ou alors au début de la video ils tirent sur un autre objectifs ? Au tout début de la vidéo la première détonation c'est quoi ?

Modifié par Divos
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