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Guerre civile en Syrie


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La Russie commence a laisser planer un possible lachage de Bachar ... et envisage meme une possible opération militaire si les choses ne s'arrangent pas. Reste a voir de quelle manoeuvre il s'agit, remplacer Bachar par un autre Bachar, ou quelques chose de plus ambitieux. Ou juste que la Russie sent le vent tourner est n'a pas envie de s'accrocher plus longtemps a une planche pourrie qui va bientôt céder.

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C'est plutot le contraire qui se degage des declarations russes , il y a même comme une froide determination à contrer les pays qui cherchent à vider Bachar . Ainsi la Russie semble avoir depassé le plan one de Kofi et veut  integrer  l'Iran au plan deux de Kofi , ce qui ne plait pas aux US.La situation se dirige vers un blocage .

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La Russie semble vouloir gagner du temps avec des informations contradictoires de ses affaires étrangères et de la présidence et en proposant une conférence avec des participants aux intentions totalement opposées, une conférence qui forcément n'aboutira à rien.... c'est le but : montrer à l'ONU qu'il n'y a pas un consensus international. 

Les russes ont compris que la cristallisation de leur discours sur "il faut sauver Bachar" était perçue négativement dans le reste du monde. Ils acceptent donc de discuter d'un éventuel futur gouvernement syrien sans Bachar mais en fixant des conditions dans les faits impossibles à réunir.

Les chinois continueront à soutenir le régime Syrien tant que la Russie le fera.

   

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BEYROUTH (Reuters) - Sept citoyens libanais et syriens ont été enlevés dans le nord du Liban frontalier de la Syrie, sur fond de tensions communautaires entre partisans et opposants du président syrien Bachar al Assad.

Les enlèvements ont débuté samedi par la capture d'un Libanais, fervent partisan des insurgés syriens, par des Libanais alaouites fidèles au président syrien, ont déclaré lundi des habitants. Plusieurs enlèvements ont alors suivi en représailles réciproques tout au long du week-end.

Les enlèvements et les affrontements font craindre une contagion des violences au Liban, où la Syrie est restée très influente depuis le retrait sous la pression internationale de ses soldats en 2005, via notamment ses alliés du Hezbollah chiite, seul parti libanais à disposer d'un arsenal militaire.

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Rapport accablant de l'ONU pour le régime Syrien.

Les Nations unies dénoncent le gouvernement syrien comme l'un des pires sur sa liste annuelle "de la honte".

Des soldats syriens ont torturé et exécuté sommairement des enfants, et se sont servi de certains d'entre eux âgés d'à peine huit ans comme de "boucliers humains" au cours de leurs opérations contre les rebelles, a accusé un rapport de l'ONU publié mardi. Les Nations unies y dénoncent le gouvernement syrien comme l'un des pires sur sa liste annuelle "de la honte" où figurent les protagonistes des pays en conflit où les enfants sont tués, torturés et forcés à combattre.

"J'ai rarement vu autant de brutalités contre les enfants qu'en Syrie, où les filles et les garçons sont emprisonnés, torturés, exécutés et utilisés comme boucliers humains", a déclaré à l'AFP Radhika Coomaraswamy, représentante spéciale de l'ONU pour les enfants dans les conflits armés, avant la sortie du rapport.

Le rapport sur "les enfants dans les conflits armés" publié mardi cite à l'appui les circonstances d'une opération de quatre jours déclenchée le 9 mars par les forces loyalistes - armée, services de renseignement et milice Shabiha - contre le village d'Ayn l'Arouz (province d'Idlib). Les troupes gouvernementales ont raflé des dizaines de garçons âgés de huit à treize ans avant d'attaquer le village, selon le rapport.

Ces enfants ont été ensuite "utilisés par des soldats et des miliciens comme boucliers humains, placés devant les vitres des autocars transportant les militaires pour pénétrer dans le village lors de l'assaut". Parmi les 11 morts du premier jour de combats ont figuré trois garçons de 15 à 17 ans. Trente-quatre autres personnes, dont deux garçons de 14 et 16 ans et une fillette de neuf ans, ont été capturés. "Le village fut finalement incendié et quatre des 34 prisonniers ont été abattus par balles et brûlés, notamment les deux garçons", précise le document de l'ONU.

http://www.lepoint.fr/monde/l-armee-syrienne-utilise-des-enfants-comme-boucliers-humains-selon-l-onu-12-06-2012-1472267_24.php

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BEYROUTH (Reuters) - Sept citoyens libanais et syriens ont été enlevés dans le nord du Liban frontalier de la Syrie, sur fond de tensions communautaires entre partisans et opposants du président syrien Bachar al Assad.

Les enlèvements ont débuté samedi par la capture d'un Libanais, fervent partisan des insurgés syriens, par des Libanais alaouites fidèles au président syrien, ont déclaré lundi des habitants. Plusieurs enlèvements ont alors suivi en représailles réciproques tout au long du week-end.

Les enlèvements et les affrontements font craindre une contagion des violences au Liban, où la Syrie est restée très influente depuis le retrait sous la pression internationale de ses soldats en 2005, via notamment ses alliés du Hezbollah chiite, seul parti libanais à disposer d'un arsenal militaire.

Archi-faux.

La vague de kidnappings a été lancée par les milices associées aux rebelles syriens il y a plusieurs semaines. Une douzaine de pélerins shiites avaient été enlevés par les extremistes sunnites (Al Qaida Liban).

http://www.montrealgazette.com/news/Syrian+rebels+kidnap+Lebanese+Shiite+pilgrims+amid+heightened+tension/6665587/story.html

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Les pélerins libanais avaient été kidnappés en Syrie. L'article est juste dans le sens où il parle des premiers kidnapping au Liban... ce qui montre une contamination du conflit syrien chez son voisin.

Par ailleurs, les pélerins kidnappés en Syrie ont été vite libérés... et on n'est même pas sûr qu'il ne s'agissait pas d'une manipulation syrienne :

http://www.lexpress.fr/actualite/monde/proche-orient/les-pelerins-chiites-libanais-enleves-en-syrie-ont-ete-liberes_1118823.html

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Les pélerins libanais avaient été kidnappés en Syrie. L'article est juste dans le sens où il parle des premiers kidnapping au Liban... ce qui montre une contamination du conflit syrien chez son voisin.

Par ailleurs, les pélerins kidnappés en Syrie ont été vite libérés... et on n'est même pas sûr qu'il ne s'agissait pas d'une manipulation syrienne :

http://www.lexpress.fr/actualite/monde/proche-orient/les-pelerins-chiites-libanais-enleves-en-syrie-ont-ete-liberes_1118823.html

Non complètement faux, cette info a été très vite démentie, les 11 pélerins sont toujours détenus en Syrie (3 semaines déjà). Les rebelles syriens exigent du Hezbollah de dénoncer publiquement Assad. A noter que ce sont de simples pélerins sans la moindre affiliation politique connue qui ont été ciblés uniquement à cause de leur religion. La presse arabe anti-syrienne financée par les pétro-monarchies ne s'embarrasse pas du tout et trouve légitime d'attiser les tensions inter-religieuses. Et les media occidentaux continuent à nous présenter cette guerre civile comme une lutte pour la démocratie. Je trouve la situation des plus malsaines.

http://latimesblogs.latimes.com/world_now/2012/06/lebanon-shiite-pilgrims-syria-rebels.html

NB : aucun info corrective sur le site de l'Express... La presse française est malheureusement inepte pour tout ce qui touche à l'international. Je leur ai envoyé un petit message, espérons qu'ils se mettent à jour.

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La situation des pèlerins chiites libanais n'est pas claire. On n'en connait pas exactement le nombre et les autorités libanaises (ainsi que les journaux) se contredisent tous !  Il n'y a pas deux journaux qui disent la même chose !

Selon le quotidien l'Orient le jour 11 personnes sont en attente de leur transfert en Turquie qui est difficile pour des questions de sécurité : la Syrie est en plein chaos.

http://www.lorientlejour.com/category/%C3%80+La+Une/article/763103/Les_pelerins_libanais_enleves_en_Syrie_pourraient_etre_liberes_%22d'un_jour_a_l'autre%22.html

Le chef des opérations de maintien de la paix de l'ONU, Hervé Ladsous, a fait état mardi d'une situation de guerre civile en Syrie, où les combats entre forces gouvernementales et insurgés, et les bombardements sur les fiefs rebelles redoublent d'intensité.

Pour le huitième jour consécutif, les forces du régime ont pilonné la ville de Haffé (nord-ouest), où les observateurs de l'ONU ont été empêchés de se rendre et ont essuyé des tirs en repartant.

Interrogé par des journalistes pour savoir s'il pensait que la situation en Syrie avait atteint le stade de guerre civile, M. Ladsous a répondu: "Oui, je pense que nous pouvons le dire".

"Le niveau de violence augmente fortement, tellement fortement en fait que cela indique un changement de nature" du conflit, a-t-il ajouté.

http://fr.news.yahoo.com/syrie-36-personnes-tu%C3%A9es-localit%C3%A9-haff%C3%A9-nouveau-bombard%C3%A9e-154550564.html

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Avec cette guerre civile, aucune intervention n'est possible : c'est trop tard ---> devenue comme l'Algérie, l'Afghanistan, les Balkans, Liban, ...

En revanche pour Israël, c'est une bonne nouvelle car c'est un ennemi qui sera out pour un certain temps !

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En revanche pour Israël, c'est une bonne nouvelle car c'est un ennemi qui sera out pour un certain temps !

Pas vraiment ça crée une instabilité majeure à sa frontière la plus calme ( ou presque ) et les risques de diffusions d'armes voire d'armes chimiques sont importants en cas d'éffondrement du régime dans une ambiance chaotique 

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En revanche pour Israël, c'est une bonne nouvelle car c'est un ennemi qui sera out pour un certain temps !

Ce n'est jamais une bonne nouvelle d'avoir un état instable ou en guerre civile à ses frontieres. Le seul point positif, c'est que ça taira les revendiquation sur le Golan vu qu'en ce moment, c'est la seule "province syrienne" ou il n'y a pas de massacre.
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Le seul point positif, c'est que ça taira les revendiquation sur le Golan vu qu'en ce moment, c'est la seule "province syrienne" ou il n'y a pas de massacre.

Même pas : un régime en quête de légitimité nationale risque au contraire d'avoir un discours encore plus dur que l'actuel régime et si ce régime est une théocratie démocratie soutenue par l'occident (  :lol:  ), ça sera plus dur de ne pas négocier........

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Même pas : un régime en quête de légitimité nationale risque au contraire d'avoir un discours encore plus dur que l'actuel régime et si ce régime est une théocratie démocratie soutenue par l'occident (   cheesy   ), ça sera plus dur de ne pas négocier........

Pas sure, regarde le Hamas, il ne veut pas reconnaitre Israel, on ne le reconnait pas et on ne négocie pas avec et tout le monde est content ou presque.

Et je ne pensais pas au prochain régime (s'il y en a un) mais à l'état de chaos et de guerre civile. Pas évident de revendiquer une province quand on s'entre tue, et puis les salafistes finiront pas faire peur aux druzes du Golan (les seuls habitants non juifs) qui ne souhaiteront peut etre plus redevenir syriens.

D'ailleurs aujourd'hui meme, si on organisait un referundum d'autodetermination pour tous les habitants du Golan, je pense qu'une majorité choisirait Israel.

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Le régime Syrien obligé de bombarder un de ses sites de SAM tombé aux mains des rebelles.

Syrian Government Forced to Bomb its Own SAM Sites

So the Syrian rebels recently took over a battery of what appear to be Soviet-made Vietnam war-era SA-2 Guideline surface to air missile. The rebels got their hands on the SAM site after members of the Syrian army’s 743d air defense battalion defected to their cause. However,  government forces soon bombed their own air defense site to prevent any missile systems from falling into rebel hands. Yes, the Syrian government is being forced to conduct air strikes against its own air defense  facilities.

Vidéos :

http://defensetech.org/2012/06/13/syrian-government-forced-to-bomb-its-own-sam-sites/#more-17543

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Ya une tonne de videos sur le web d'actions de l'ASL contre les réguliers d'assad chaque jour des nouvelles, on y voit des FAL, des G3, des M4, des cal.50, des mag, on imagine que ces armes ne viennent pas des stocks de l'armée régulière.

C'est la guerre civile là-bas, et ca fait un moment que ca dure.

Les islamistes sont à la pointe avec ces videos, et ca ne présage rien de bon.

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La France a pris contact avec ses partenaires occidentaux pour durcir les sanctions contre le régime syrien et rendre obligatoire le plan de paix de l'émissaire de l'ONU Kofi Annan afin de mettre fin à la «guerre civile» dans le pays, a annoncé ce mercredi le ministre français des Affaires étrangères, Laruent Fabius, lors d'un point presse à Paris.

Le ministre a accusé Bachar al-Assad de dizaines de meurtres quotidiens et a dénoncé l'usage d'enfants comme boucliers humains par un régime qu'il a qualifié de «sanguinaire». «Dans ces conditions, la France a décidé de renforcer encore plus son dispositif et ses positions pour contrer ce régime de mort et de sang», a déclaré Laurent Fabius. «Je prends contact immédiatement avec mes collègues européens et américains pour proposer que nous adoptions dès la prochaine réunion des ministres des Affaires étrangères (de l'Union européenne) un nouveau train de sanctions qui soient encore plus dures», a-t-il ajouté.

Une équipe d'observateurs de l'ONU qui tentait de pénétrer mardi dans la ville bombardée de Haffé en a été empêchée par des habitants d'un village voisin partisans du président Bachar el-Assad, rapporte l'AFP. Trois des véhicules de l'ONU ont essuyé des tirs, ont indiqué les Nations unies.

(vidéo : http://www.lepoint.fr/monde/regardez-syrie-les-observateurs-de-l-onu-essuient-des-tirs-13-06-2012-1473066_24.php)

Alors que l'ONU estime que 40% du territoire habité échappent à son contrôle, Damas craint un revirement russe.

Après quinze mois de violences qui ont fait plus de 14.000 morts, le conflit en Syrie change dramatiquement de nature. La guerre civile a commencé. Massacres et enlèvements sont désormais monnaie courante dans les zones mixtes, entre opposants sunnites et alaouites partisans du régime. Le niveau des violences augmente encore.

Pour la seule journée de mardi, 80 personnes ont été tuées, et 18 autres mercredi, tandis que les forces gouvernementales entraient à Deir ez-Zor et pilonnaient certains quartiers de Homs, alors qu'à quelques dizaines de kilomètres à l'ouest, 200 rebelles préféraient se retirer de Haffé , une ville sunnite entourée de villages alaouites, soumise à des bombardements répétés.

Cette intensification de la répression s'expliquerait par «la panique du régime à l'idée de voir ses alliés russes modifier leur position », affirme un diplomate membre de la mission de Kofi Annan , le médiateur mandaté par l'ONU et la Ligue arabe pour trouver une issue négociée à la crise. Sans annoncer le moins du monde une rupture avec Bachar el-Assad , Moscou a toutefois affirmé son intention de convoquer une conférence internationale avec tous les acteurs du conflit en vue d'amorcer une transition politique.

«Assad tient à arriver en position de force à cette conférence internationale», analyse un homme d'affaires alaouite en contact avec la hiérarchie sécuritaire syrienne. Mais la nomenklatura serait divisée sur la tactique pour y parvenir. Les plus impliqués dans la répression - ceux qui n'échapperont pas à la justice internationale - militent pour une éradication de l'insurrection par tous les moyens. Conscients que l'option militaire est vouée à l'échec, d'autres souhaitent au contraire faire émerger une direction issue de la révolte, avec laquelle ils pourraient négocier dans le cadre du forum préconisé par leurs alliés russes.

Sans véritable alternative, le régime semble s'engager dans une «stratégie à l'algérienne», c'est-à-dire un combat de longue haleine contre ses ennemis de l'intérieur. Un rapport initial des observateurs de l'ONU déployés en Syrie indique que 40 % du territoire habité échappent au pouvoir central, soit environ un tiers environ de la superficie totale du pays.

«Le problème pour l'opposition, ajoute une source proche des observateurs, c'est que ce gros tiers de la Syrie ne constitue encore qu'un réseau d'îlots de résistance que les insurgés ne parviennent pas à relier entre eux». Impossible d'en faire une zone libérée à partir de laquelle l'opposition rassemblerait ses forces. Les insurgés manquent cruellement de moyens de communication sécurisés. «Le régime garde le contrôle des points stratégiques, comme les routes et les autoroutes», souligne un responsable de l'opposition.

Face à la persistance de la guérilla, Assad aurait opté pour une stratégie de défense de la «Syrie utile», c'est-à-dire des trois plus importants bassins de population: autour de Damas, d'Alep et de Homs (là où sont rassemblés la majorité des 70 % de Syriens encore passifs). Ce repli tactique ne concerne pas, en revanche, la région Nord, au-delà d'Idlib, limitrophe de la Turquie, où se sont repliés de nombreux opposants armés.

D'où la pression exercée ces derniers jours sur Haffé, pour couper les liaisons des rebelles avec la Turquie. Pour ceux-ci, le temps presse. Ce qui explique les récents approvisionnements en armes antitank plus sophistiquées, des RPG 9 notamment. «Il nous faut rééquilibrer le rapport de forces, si jamais on devait prochainement négocier face au régime», prévient un cadre de cette opposition impliqué dans son armement.

La suite : http://www.lefigaro.fr/international/2012/06/13/01003-20120613ARTFIG00732-syrie-pourquoi-le-regime-durcit-la-repression.php

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moscou-a-installe-une-station-radar-au-nord-de-la-syrie

Cette station d'observation déployée au printemps par Moscou à Kessab, près de la frontière avec la Turquie, permet au régime de surveiller les rebelles syriens dans cette zone stratégique.

Pour la Russie, ce déploiement auprès de son allié syrien répond à un double objectif, affirme une source occidentale: d'une part surveiller les installations de l'Otan de l'autre côté de la frontière, en Turquie, notamment la base américaine d'Adana, juste en face ; d'autre part, offrir au régime de Bachar el-Assad les moyens de mieux observer ce qui se passe côté turc de cette frontière, où sont repliés sous la bannière de l'Armée syrienne libre (ASL) des centaines d'opposants armés au pouvoir de Damas.

http://www.lefigaro.fr/international/2012/06/14/01003-20120614ARTFIG00548-moscou-a-installe-une-station-radar-au-nord-de-la-syrie.php

:oops:

, la France a décidé de renforcer encore plus son dispositif et ses positions pour contrer ce régime de mort et de sang», a déclaré Laurent Fabius. «Je prends contact immédiatement avec mes collègues européens et américains pour proposer que nous adoptions dès la prochaine réunion des ministres des Affaires étrangères (de l'Union européenne) un nouveau train de sanctions qui soient encore plus dures», a-t-il ajouté.

Tremble Bachar, Tremble...

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http://fr.news.yahoo.com/syrie-laurent-fabius-%C3%A9voque-conf%C3%A9rence-%C3%A0-gen%C3%A8ve-065409734.html

AFP - Paris envisage de fournir des moyens de communication aux rebelles syriens

La France envisage de fournir aux rebelles syriens des moyens de communication qui les aideraient à prendre le dessus sur les forces du régime de Bachar al-Assad, a déclaré vendredi le ministre des Affaires étrangères, Laurent Fabius.

Outre les démarches diplomatiques, une autre issue au conflit serait "une victoire claire et nette de l'opposition", a-t-il dit sur France Inter. "Il est envisagé, les Américains l'ont fait, peut-être nous le ferons, de donner non pas des armes mais des moyens de communications supplémentaires" aux rebelles, a-t-il ajouté.

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Si la France dépasse la ligne rouge dans son implication avec les opposants au régime d'Assad, nos troupes au Liban sud vont avoir droit à quelques attentats ciblés. Mais qu'est-ce qu'on fout au Liban sud bord... =|

D'accord avec toi mais tu sais avec un gouvernement socialiste ça ne m'étonne pas ! Voire Jospin ci-dessous :

http://t2.gstatic.com/images?q=tbn:ANd9GcRJU2cBTh6_tlFOclmuziUmyiHQaqwGnhBN4LoJLoxL_F28pk_q

L'attentat du Drakkar en 1983 au temps du feu François Mitterand (55 parachutistes tués) :

Image IPB

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Si la France dépasse la ligne rouge dans son implication avec les opposants au régime d'Assad, nos troupes au Liban sud vont avoir droit à quelques attentats ciblés. Mais qu'est-ce qu'on fout au Liban sud bord... =|

C'est clair qu'au delà d'un certain degré d'engagement, le retrait de nos troupes se pose

Mais on "fout" au Liban une mission essentielle à nos intérêts à savoir essayer de rendre plus difficile un conflit entre Israel et le Hezbollah ce qui est dans l'intérêts de nos trés nombreux ressortissants au Liban

Est-ce que l'armée russe pourrait s'impliquer en faveur de Bachar Al-Assad de façon plus active ?

Si tu veux dire aller au delà du soutien politique, diplomatique, livraisons d'armes et rensignement au profit d'un engagement direct de troupes au sol et aviation, la réponse est non.   

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