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Forces de l'ordre


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Ras le képi. Considérés comme la troisième force de sécurité du pays, les policiers municipaux ont la fâcheuse impression d'être exposés en première ligne à une délinquance toujours plus violente sans avoir les moyens de se défendre. Nombre de voix s'élèvent dans leurs rangs pour revendiquer le port d'arme au ceinturon.

D'abord, parce que la profession endeuillée vient de commémorer à Villiers-sur-Marne (Val-de-Marne) l'anniversaire de la mort d'Aurélie Fouquet, collègue de 26 ans fauchée d'une rafale de kalachnikov lors d'une fusillade déclenchée le 20 mai 2010 par des braqueurs endurcis sur l'A4. Ensuite, parce que le sujet refait surface dans le débat public à l'approche des échéances municipales.

Longtemps rétives à cette idée jugée taboue, certaines mairies de gauche font leur révolution. Ainsi à Grenoble, Michel Destot (PS) a finalement décidé d'armer sa police à la nuit tombée. Mais pas avant une dizaine de mois, c'est-à-dire peu avant que les électeurs aillent aux urnes. «Cette municipalité se rend compte juste aujourd'hui qu'elle mettait en danger nos collègues depuis des années, observe Frédéric Foncel, président du Syndicat national de la police municipale (SNPM). Mais cela reste une mesurette, car ces agents sont menacés autant de jour que de nuit. Comme toujours à la veille de chaque élection, nous voyons fleurir des “polices électoralistes” et entendons des élus de tous bords se passionner soudain pour la modernisation de leur poste de police, pour le renforcement des effectifs ou encore de son armement…»

Suite :

http://www.lefigaro.fr/actualite-france/2013/05/31/01016-20130531ARTFIG00628-en-premiere-ligne-les-policiers-municipaux-reclament-des-armes.php

La vidéoprotection a de l'avenir en France. Avec déjà plus de 700.000 caméras déclarées, dont plus de 40.000 réellement installées sur la voie publique et 60.000 à brève échéance. Une évidence? Loin de là. On se souvient des sarcasmes qui ont accueilli à gauche les plans de vidéosurveillance de villes pionnières comme le fief des Balkany à Levallois-Perret (Hauts-de-Seine) dans les années 1980. À l'époque, caméra de rue signifiait Big Brother.

Les bouffées de délinquance ont fini par saper les résistances les plus vives. Comme aujourd'hui le marasme sécuritaire qui, de cambriolages en agressions à la chaîne, incite les élus de tous bords à hâter les projets d'installations vidéo dans leurs communes. Surtout à la veille des élections municipales…

Certains voient dans ces caméras un instrument providentiel. Christian Estrosi, le député maire UMP de Nice, s'enthousiasme: «Les 800 caméras niçoises permettent 25 % des interpellations de la police municipale, soit 600 arrestations par an, sans parler de l'aide fournie à la police nationale. Quant aux 600 réquisitions d'images par la PJ chaque année, elles sont probantes dans 40 % des cas!»

Suite :

http://www.lefigaro.fr/actualite-france/2013/05/31/01016-20130531ARTFIG00608-la-videoprotection-s-impose-en-2013.php

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Amaury de Hauteclocque quitte la police

L'ancien patron du Raid, Amaury de Hauteclocque, qui avait notamment mené le siège et l'assaut de l'appartement de Mohamed Merah en mars 2012, quittera la police en juillet, indique aujourd'hui une source policière.

Il avait quitté le Raid le 12 avril après plus de cinq ans passés à la tête de l'unité d'élite de la police. Il avait été nommé le 12 mai sous-directeur des affaires internationales, transfrontalières et de la sûreté à la police aux frontières (PAF).

Selon son entourage, Amaury de Hauteclocque rejoindra en septembre le groupe mutualiste d'assurances Covéa. "La raison qui explique ce choix de quitter la police, c'est la manière dont il a été traité".

Quand Amaury de Hauteclocque avait quitté le Raid, l'entourage de l'ancien ministre de l'Intérieur Claude Guéant avait évoqué un limogeage et s'était ému du caractère jugé expéditif de ce départ. Le député UMP Eric Ciotti avait évoqué une "éviction irresponsable, brutale et autoritaire". Place Beauvau, on avait répondu que, nommé le 1er novembre 2007, ce géant au physique de cinéma, 46 ans, restera le chef du Raid à avoir bénéficié du plus long bail, loin devant ses emblématiques prédécesseurs Christian Lambert (2002-2004) et Jean-Louis Fiamenghi (2004-2007).

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C'est la crise... les gendarmes ont des problèmes de logements. =(

(...) ce qui préoccupe le plus le général Galtier est d’un autre ordre : « Notre budget est équivalent à celui de 2012. » Si l’activité opérationnelle ne souffre pas de cette stagnation, il n’en est pas ainsi du volet infrastructure : « Les loyers augmentent mais le budget reste le même. » Le problème se pose lorsque les locaux sont de la propriété du Conseil général ou des communes. « L’entretien des casernes, les loyers, tout cela plombe mon budget de fonctionnement », ajoute le général.

Quatre étoiles aux manches, l’homme a son franc-parler : « Des loyers plus chers, c’est moins d’essence dans les bagnoles, tout simplement. » Il devient difficile de loger des gendarmes tels que leur statut l’exige. Il faut alors négocier, « soit sur l’amélioration des prestations des logements pour justifier le loyer demandé, soit pour ne pas augmenter les loyers » explique-t-il.

Le projet émis par la municipalité de Sisteron quant à la construction d’une nouvelle gendarmerie a été bien accueilli. « Mais pour aboutir, les loyers devront être a minima », prévient le général David Galtier avec ce message : « Moins c’est cher et plus vous aurez de chance de porter le projet. » Du coup, les normes en vigueur pour les logements ont été assouplies : moins contraignantes pour des logements moins chers.

http://www.ledauphine.com/defense/2013/06/08/les-gendarmes-sont-confrontes-a-la-crise-du-logement

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La vidéoprotection a de l'avenir en France. Avec déjà plus de 700.000 caméras déclarées, dont plus de 40.000 réellement installées sur la voie publique et 60.000 à brève échéance. Une évidence? Loin de là. On se souvient des sarcasmes qui ont accueilli à gauche les plans de vidéosurveillance de villes pionnières comme le fief des Balkany à Levallois-Perret (Hauts-de-Seine) dans les années 1980. À l'époque, caméra de rue signifiait Big Brother.

Les bouffées de délinquance ont fini par saper les résistances les plus vives. Comme aujourd'hui le marasme sécuritaire qui, de cambriolages en agressions à la chaîne, incite les élus de tous bords à hâter les projets d'installations vidéo dans leurs communes. Surtout à la veille des élections municipales…

Certains voient dans ces caméras un instrument providentiel. Christian Estrosi, le député maire UMP de Nice, s'enthousiasme: «Les 800 caméras niçoises permettent 25 % des interpellations de la police municipale, soit 600 arrestations par an, sans parler de l'aide fournie à la police nationale. Quant aux 600 réquisitions d'images par la PJ chaque année, elles sont probantes dans 40 % des cas!»

Suite :

http://www.lefigaro.fr/actualite-france/2013/05/31/01016-20130531ARTFIG00608-la-videoprotection-s-impose-en-2013.php

Une évidence pour certains journalistes du Figaro. Mais l'évocation des chiffres donnés par les promoteurs de ce genre de projet ne suffit pas à clore la discussion.

Installé des caméras signifient ils en installer partout?

L'argent investi ds ces systèmes de surveillance est il de l'argent retiré à d'autres budgets, comme le recrutement de policiers?

Cela cache t il une baisse de des dépenses de sécurité, comme un écran de fumée?

Que se passe t il si des délinquants s'en prennent aux cameras? Des policiers pour surveiller les caméras? Ex:Qd installe t on des caméras dans des banlieues criminogènes?

Ma sécurité est elle garantie au prix mon intimité?

Juste qqes questions que je me pose à ce sujet. Sujet souvent réduit à "plus de caméras=moins de crimes", à l'exclusion de toute considération forcément "preuve de faiblesse".

Un bel outil, mais qui mérite réflexion.

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De toute façon les caméras publiques ne représentent qu'une fraction des caméras installées. Il faut rajouter les installations privées : celles des commerces, des banques, etc... celles dans les résidences, celles servant à la lutte contre les délits routiers... sans compter que presque tout le monde dispose d'une caméra dans son smartphone. Les gens filment le moindre incident de nos jours. Avec la possibilité de paramétrer sur les tablettes et ordinateurs portables des publications photos on peut même avoir la photo du voleur de votre appareil. De plus en plus de gens installent aussi des caméras chez eux avec alerte et diffusion sur votre smartphone en cas de détection de mouvement.

Bon courage aux criminels pour détruire toutes les caméras ! 

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Pas besoin de detruire, juste besoin de se masquer... apres ca permet aussi l'identification d'un suspect (pour peu que la definition des images soit suffisante, ce qui n'est pas toujours le cas) pour les actes non premedites par exemple, ou bien cela permet de reconstituer un deroulement a des fins d'analyse, mais cela ne dissuade ni n'empeche en rien qu'un forfait soit commis, donc on ne peut pas dire que la video-surveillance participe de facon active a la surete de l'espace public, sans parler des secteurs difficiles ou la police ne patrouille plus depuis longtemps et ou on n'installera aucune camera. Bref c'est un pis aller qui coute cher et n'ameliore pas les conditions de confiance ni de surete du citoyen.

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Par définition, la vidéo-surveillance participe bien de façon active à la sûreté dans l'espace public. Le détail est que ce moyen est complémentaire des autres, il ne peut prétendre à se substituer.

"Par définition" ?! "Participe" ?! La question est de savoir si la video surveillance permanente de l'espace public fait baisser la criminalité ... et la réponse c'est non.

D'ailleurs le fond de commerce de la vidéo surveillance va bien au delà de la baisse de la délinquance, puisque que c'est un argument bidon qui n'est plus vendeur. L'objectif c'est de créer un "sentiment d'omniscience invisible" de la part de l'état envers le peuple.

Il y a plusieurs problèmes. Non seulement personne ne regarde derrière les cameras, sauf s'il y a une intention particulière d'espionner  des personnes en particulier, la seule vague épée de Damoclès c'est le stockage - si demain on veut regarder ce qu'il s'est passé hier on pourra si on veut -.

Les délinquants on conscience de tout ça ... et savent travailler avec donc ils s'en foutent au contraire meme il en joue. Chez les autres cette omniscience invisible et censé développer un petit policier dans leur tete qui les empeche de faire des betises. Objectif final, le policier créée dans leur tête, se substitut au policier tout court, et en fin de compte cette "omniscience invisible" remplace le policier.

L'objectif c'est donc bien de réduire la présence policière sur la voie publique, de de contrebalancer le sentiment d'insécurité de l'absence de policier par la présence de cette "omniscience invisible" - video-surveillance, géolocalisation, fichage biométrique automatisé etc. -. Problème ce sentiment de sécurité maintenu, fait baisser la garde, et rend la vie belle a la délinquance.

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Elle sert dans le cadre d'une enquête,bien que ne pouvant agir à l'instant, elle aide car elle garde une image passé.

C'est la seule utilité qu'elle peut avoir, à moins de rajouter un logiciel de reconnaissance facial pour retrouver les criminels ou personnes disparus.

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Une note d'instruction, dont «20 Minutes» a pris connaissance, redéfinit l'organisation et les missions des brigades anti-criminalité...

C’est une réponse aux nombreuses critiques essuyées par les brigades anti-criminalité après le scandale de la BAC Nord de Marseille (Bouches-du-Rhône). Le directeur général de la police nationale (DGPN), Claude Baland, a adressé la semaine dernière au directeur central de la sécurité publique (DCSP) une note d’instruction qui recadre «l’organisation et les missions des BAC».

L'article : http://www.20minutes.fr/article/1173115/ynews1173115?xtor=RSS-176

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Ou comment l'illégalité des condition de garde a vue, volontairement non réglé en temps et en heure rejailli aujourd'hui sur de nombreux procès http://moreas.blog.lemonde.fr/2013/05/13/meurtre-de-lea-le-droit-jusqua-labsurde/

Un billet plus technique qui fait suite http://www.maitre-eolas.fr/post/2013/05/13/De-labsurde-jusquau-droit

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D'un autre côté, si il se fait égorger avant, ce problème ci sera réglé et devrait satisfaire la famille de la victime...!

...A force de faire des lois pour protéger les erreurs tant policières que judiciaires, on fini par surprotéger ceux qui sont réellement coupable!

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...A force de faire des lois pour protéger les erreurs tant policières que judiciaires, on fini par surprotéger ceux qui sont réellement coupable!

Le probleme ici c'est que la posture politicienne vient pourrir le boulot déjà difficile de la police et de la justice, une posture purement politicienne, puisque tout les texte qui fondent la CEDH et les sanctions sont issu des mêmes politiques francais qui les ont voté, probablement en pensant a c'est bachibouzoukl de turcs - mais visiblement pas assumé pour nous même.

Deux chose l'une, soit on fait des beau discours sur le droits, ont les impose a l'UE, et on les applique aussi a soit meme ... soit on passe pour des abrutis, et a ce titre avoir de moins en moins de poids dans les décisions Européenne qui nous gouvernent.

Si le suspect venait a mourir avant la fin du procès il mourrait innocent ... je doute que ça satisfasse les proche de la victime ou même le parquet.

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Les textes de lois sont un tel fouillis aussi qu'il devient impossible de s'y retrouver je pense. Il y aura toujours un texte pour contredire un autre. Maintenant si la preuve manifeste de sa culpabilité est établie, je trouve qu'une erreur de procédure ne devrait pas entrer en ligne de compte, surtout pour des faits si graves. Or ici ça semble le cas.

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<j'avais pas vu à quel point ce fil avait dérapé. il y'a eu pourtant 2 avertissements (un gentil de Pascal, un plus appuyé de Mat). Maintenant s'il faut passer au troisième avertissement je vais le faire. J'ai pris le temps de nettoyer la bauge que ce fil est devenu

DE PLUS  Si jamais je reprend l'un d'entre vous à déblatérer sur l'extreme gauche, l'extreme droite et la qualité comparée de nos médias sur ce fil (chacun se reconnaitra) ancienneté ou pas ancienneté, ca risque de punir à la hache>

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L'Observatoire national de la délinquance et des réponses pénales (ONDRP) s'attaque à un sujet délicat: la part des étrangers dans les «multimises en cause pour crimes et délits». En clair: ce qu'ils pèsent dans le «noyau dur» de la délinquance constatée par les forces de police.

Cette étude scientifique, qui puise dans le fichier des antécédents judiciaires (STIC) du ministère de l'Intérieur, passe au crible un large échantillon d'environ 1500 personnes mises en cause pour cinq infractions ou plus ayant eu lieu en 2009 et 2010 à Paris ou dans sa proche couronne (Hauts-de-Seine, Seine-Saint-Denis, Val-de-Marne). Elle a déjà révélé, d'une manière générale la part prépondérante des mineurs (53,4%) dans les infractions commises par les délinquants suractifs,.

Mais, concernant plus spécifiquement les étrangers, les résultats sont tout aussi instructifs. On y découvre qu'ils pèsent un tiers des multimis en cause dans l'agglomération parisienne. Et encore ces chiffres ne sont-ils pas rapportés à ce que représente dans la population globale du Grand Paris chaque communauté, Français, d'un côté, forcément les plus nombreux, et étrangers, de l'autre. Ce qui aurait abouti à des écarts encore plus importants. Bien entendu, l'étude ne concerne pas les Français d'origine étrangère...

Suite : http://www.lefigaro.fr/actualite-france/2013/06/27/01016-20130627ARTFIG00609-delinquance-une-etude-revele-la-part-des-etrangers.php

http://www.lefigaro.fr/actualite-france/2013/06/27/01016-20130627ARTFIG00570-christophe-soullez-il-n-y-a-pas-de-sujet-tabou.php

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L'Observatoire national de la délinquance et des réponses pénales (ONDRP) s'attaque à un sujet délicat: la part des étrangers dans les «multimises en cause pour crimes et délits». En clair: ce qu'ils pèsent dans le «noyau dur» de la délinquance constatée par les forces de police.

L'étude complete

LE PROFIL DES PERSONNES MULTI MISES EN CAUSE POUR CRIMES ET DÉLITS NON ROUTIERS EN 2009 ET 2010 SUR LE TERRITOIRE DE LA PRÉFECTURE DE POLICE DE PARIS

Exploitations statistiques de données extraites d’une base opérationnelle permettant de repérer et d’étudier les caractéristiques de personnes ayant été mises en cause pour 5 infractions distinctes ou plus sur 2 ans à Paris et dans les trois départements de la petite couronne

http://www.inhesj.fr/fr/ondrp/les-publications/grand-angle

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Je lis que 100% sont des hommes.  :rolleyes:

Je lis que 100% sont des hommes.  :rolleyes:

Les statistiques présenté ici sont très particulière. Il s'agit de multiréitérant dans un délai court seulement deux ans. Il s'agit des personne condamné définitivement avec inscription STIC il me semble.

Je ne suis pas sur que la délinquance féminine rentre beaucoup dans ce profil. De toute facon les fille sont souvent hors profil dans la délinquance résultat elle sont peut inquiété par les FdO, et quand elle le sont elle s'en sorte bien mieux que les garçons.

En gros si t'es une fille blanche pas bete et qui présente bien tu peux être Jacques Mesrine et ne pas risquer grand chose sauf en cas de GROOOOOS flag. C'est d'ailleurs un des problèmes de ces profilage d'apparence sur les délinquant condamné, et dans le fait qu'il pourraient orienter les FdO.

Au USA la qualité de la défense des blanc par rapport au noir par exemple faussait largement les statistiques des condamnations. Mais comme il est pas évident de faire des stats sur la délinquance elle même - vu qu'elle est clandestine on a pas de donnée sauf sur le peu qui se fait attraper -, on se contente de faire faire des stats sur ses stigmates - dépôts de plainte, condamnation ... - .

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Ouhais bon, tout ça pour dire ce que l'on sait déjà, à savoir que nos prisons sont remplies en grande majorité de jeunes étrangers ou de jeunes Français issus de l'immigration. Après, si l'on s'attaque aux causes de cet état de fait cela devient plus compliqué. Mais en gros on sait bien qu'elles sont sociales et économiques. Familles en état d'échec arrivant chez nous, autorité parentale inexistante, chômage, désœuvrement, échec scolaire, difficulté d'intégration pour des musulmans en recherche d'identité dans en France laïque, rejet des Français de souche qui font des amalgames -rarement justifiés mais c'est ainsi- avec "les barbus", travail de sape de certaines mosquées etc.

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Trois gendarmes meurent dans le massif du Mont-Blanc

source : http://tempsreel.nouvelobs.com/faits-divers/20130703.OBS6245/trois-gendarmes-meurent-dans-le-massif-du-mont-blanc.html

Trois gendarmes qui s'entraînaient dans le massif du Mont-Blanc ont trouvé la mort mardi 2 juillet lorsque leur cordée a dévissé, faisant une chute d'environ mille mètres, a annoncé dans la soirée le ministère de l'Intérieur.

Ces trois sous-officiers de gendarmerie, âgés de 29, 33 et 44 ans, étaient partis mardi faire une course en montagne dans le cadre d'un entraînement à Chamonix. Sans nouvelle de leur part vers 20 heures, des recherches ont été lancées, a précisé le porte-parole du ministère, Pierre-Henry Brandet.

A 21h30, la cordée a été découverte au pied de la face Nord de l'Aiguille du Midi. Selon les premiers éléments de l'enquête, les trois gendarmes, qui appartiennent au groupe montagne du groupement de l'Ardèche, auraient dévissé et fait une chute d'un millier de mètres.

Les trois hommes, qui avaient prévu une traversée de l'Aiguille du Midi à l'Aiguille du Plan, s'entraînaient en préparation d'un stage qu'ils prévoyaient de suivre au mois d'août au Centre national d'instruction au ski et à l'alpinisme de la gendarmerie (Cnisag) à Chamonix.

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