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Il n'y a pas de sommation avec le SGR-A1.

It appears that the SGR-A1 may not be exactly impossible to sneak up on, however – at least from some directions – as Samsung is careful to specify that the weapons mount is equipped with an anti-theft alarm. There is no indication from the company of any option to deliver a warning before opening fire, suggesting that intruders tangling with an SGR-A1 may not get the traditional 30 seconds to comply.

http://www.theregister.co.uk/2007/03/14/south_korean_gun_bots/

Concernant le missile, je suppose que Carl envisage que "l'ennemi" détecté est armé... et capable de neutraliser cette tourelle fixe avec un lance-roquette en restant dissimulé. 

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Je sait pas trop je suis pas ingénieur pour Samsung ,je sait que l'IA arrive a détecté si le gars se rend ,si il est armé ou pas ,et qu'il peu t'allongé trés rapidement et définitivement.

On sait faire des automatismes, on sait faire de la reconnaissance de forme basique, on sait programmer des règles logiques pour déclencher une action sous certaines conditions simples et prévisibles. Mais les IA actuelles ne comprennent pas ce qu'elles "voient", et sont incapables d'avoir un comportement un minimum intelligent.

Une tourelle automatique qui tire sur tout ce qui bouge, on sait faire sans problème, mais elle tirera sur une pierre qui roule, une branche qui tombe, un oiseau qui passe, un sac plastique...

Une tourelle automatique qui tire uniquement sur un truc qui ressemble a une forme dans sa mémoire, on sait faire, mais elle tirera sur un panneau en bois avec un profil humain, un mannequin en paille ou un ours qui se met sur ses 2 pattes. Elle ne tirera pas sur un soldat camouflé en arbuste, voir même un soldat qui rampe ou qui se présente de profil. Elle tirera sur un civil ou un prisonnier sud coréen forcé d'avancer à découvert mais pas sur un soldat avec un uniforme pixelisé ou un soldat portant un homme armé sur ses épaules ou x hommes avançant côte à côte (l'ensemble n'a pas une forme d'homme).

Une tourelle automatique qui tire sur un homme s'il est armé, qui ne tire pas s'il se rend,... c'est des conneries, personne ne sait le faire en 2013. Ce sera hélas possible un jour, mais pas à court terme.

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La détection de mouvement ou de changement de milieu on sait parfaitement faire.

L'identification reste effectivement impossible à 100 %, ce qui nécessite une intervention humaine même à distance. Pour cela une simple caméra avec zoom et infrarouge ajoutée à la tourelle suffit. D'où le besoin d'un opérateur capable de prendre la main et la commande de tir en cas d'alerte émis par la tourelle.   

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C'est justement ça la deuxième étape, une machine qui apprend et capable de prendre ses décisions en fonction de valeurs imprécises.

La recherche sur les réseaux neuronaux et sur les systèmes de conscience artificiels, c'est cela l'avenir de la machine, un peu comme skynet.

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Justement on en veut pas de skynet !  =)

Alors autant rester au téléguidé pour ce qui est de la guerre. On pourrait toujours automatiser les machines qui laveront nos toilettes  ;)

Pour ce qui est créer une machine pensante (créer la vie) on a un sérieu débat éthique à faire avant cela ...

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Justement on en veut pas de skynet !  smiley

Alors autant rester au téléguidé pour ce qui est de la guerre. On pourrait toujours automatiser les machines qui laveront nos toilettes  Wink

Pour ce qui est créer une machine pensante (créer la vie) on a un sérieu débat éthique à faire avant cela ...

je me dit que les machine pourrait pas faire plus de mal que les homme...

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  • 4 months later...
First Flight of the Orion Mega MALE Drone

20130924-200642.jpg

 

Aurora Flight Sciences Orion UAS has made its first flight last month, on August 24, 2013 the Orion took off from an unnamed airfield in the western test range, on a flight that lasted three hours and thirty-one minutes. The drone reached an altitude of 8,000 feet above mean sea level on that flight.

This mission was the first step towards demonstrating a 120-hr. flight at 20,000 ft. carrying a 1,000-lb. multi-sensor payload. Such extended endurance would allow the new drone to provide continuous surveillance carrying a Predator-class payload with fewer takeoffs and landings than current medium-altitude, long-endurance UAS flying 24-hr. missions, significantly reducing the manpower burden and operating cost.

Powered by a pair of fuel-efficient Austro Engine AE300 turbo-diesels, the aircraft flew for 3.5 hr., reaching an altitude of 8,000 ft. and airspeed of around 60 kt., says Tom Clancy, vice president of Aurora’s UAS business sector. Within the Defense Department, ownership of the Orion program has changed hands several times.

Aurora declined to identify its current customer, but Aviation Week understands it is the U.S. Air Force’s Big Safari program office, which manages the acquisition and modification of special-mission platforms. Using the composite wing and tail of the original HALL design, the Orion was rolled out at Aurora’s Golden Triangle, Miss., plant in November 2010, when it was expected to fly in August 2011.

In spite of program delays the basic objectives set at the beginning remain: a 120 hr. autonomous UAS carrying 1,000 lb. to 20,000 ft. There was no mission system on board for the Orion’s first flight, but there will be a payload on the aircraft for the 120 hr. demonstration flight, expected to be conducted by mid-2014. A number of different multi-intelligence payloads are potentially part of the program.

http://defense-update.com/20130925_orion_mega_male_fligh.html?utm_source=feedblitz&utm_medium=FeedBlitzRss&utm_campaign=feedburner/defenseupdate

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  • 5 months later...
  • 10 months later...

 


UAV development oversight and control
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Les industries de la défense d'Israël sont opposés à la proposition d'un organe central chargé de la détermination de la politique d'Israël concernant les systèmes sans pilote, tels que les systèmes aériens sans pilote (UAS). Selon des sources de l'industrie de la défense, "vous ne pouvez pas établir un corps pour déterminer la politique de développement de la SAMU, et qui plus est, vous ne avez pas besoin d'un tel organisme."

Une idée en ce sens récemment flottait dans une publication de l'INSS, l'Institut d'études de sécurité nationale.

La publication récente note qu'Israël possède beaucoup de connaissances dans le domaine du déploiement de systèmes sans pilote pour des missions de sécurité. Ainsi, la publication recommande la création d'un corps, sous les auspices du ministère israélien de la Défense (MoD), qui formuler une politique et à se efforcer d'intégrer les systèmes sans pilote autant que possible dans tous les domaines de la sécurité, avec un accent sur la collecte de renseignements.
http://i-hls.com/2015/01/uav-development-oversight-control/
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UAV-Sorties22012015.jpeg

IAF: UAV Sorties on the rise
http://i-hls.com/2015/01/iaf-uav-sorties-rise/

Une hausse marquée du nombre de sorties de reconnaissance effectuées par (IAF) de la Force aérienne israélienne systèmes sans pilote (UAS) et des véhicules sans pilote (UAV), ainsi que des avions pilotés, comme chasseur de combat et d'autres systèmes.

Au cours de 2014, il y avait une progression à deux chiffres du nombre de sorties effectuées par l'IAF. Environ 40% de toutes les sorties ont été réalisées par différents modèles de drones. Environ la moitié de toutes les sorties ont été effectuées par des avions de chasse israéliens.

La base aérienne de Palmahim, qui est la base de SAMU primaire d'Israël, a été l'hôte à un rassemblement unique assisté par les escadrons de reconnaissance de l'IAF. Celles-ci comprennent des F-16, F-15A, Hermes 450, Heron et Beachcraft B-200. Les participants ont présenté les capacités de leurs unités respectives et vidéo aérienne et vidéos, les protocoles et les tendances de développement.

Lors de la réunion, il a été révélé que le nombre de sorties de reconnaissance augmenter plusieurs fois l'année dernière par rapport à 2014. La principale raison était bien sûr «Opération protection Edge", au cours de laquelle des milliers de sorties ont été effectuées.

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LE DRONE A PRESQUE 100 ANS !

 

Parue sur la revue SCIENCE-magazine N° 45 de Février/Avril 2015

LA REVOLUTION DES DRONES

 

Citation =

 

La conception des drones remonteraient a la fin de la Première Guerre Mondiale.

Aux Etats-Unis développe le projet Hewitt-Sperry automate airplane, en France, Georges Clémenceau, Président de la Commission sénatoriale de l’Armée, lance un projet « d’avions sans pilote » : Le Capitaine Max Boucher met au point un système de pilotage automatique qui fait voler sur un parcourt de 100 km, un avion Voisin BN3. Ainsi, ainsi, dans les années 1920, des avions sans pilote radiocommandées voient le jour, avec des tentatives de torpilles aériennes télécommandées par des ondes de télégraphie sans fil.

 

La dénomination de « Drone » (terme désignant en Anglais un « faux bourdon », mâle de l’abeille) a été octroyée dans les années 30 au Royaume-Unis par comparaison ironique à des Queens Bee : leur vol bruyant, lent et paresseux, ressemble plus à celui du bourdon à la vie éphémère qu’à  celui d’une reine abeille. Cette dénomination à perduré et s’est institutionnalisée.

 

Le premier drone Français à été conçu, réalisé, et expérimenté des 1923 à Etampes par l’ingénieur Maurice Percheron et le Capitaine Max Boucher. Toutefois, l’armée Française n’y voyait pas d’intérêt militaire.

 

Le grand essor des drones date de la « Guerre froide ». Le drone à été développé de façon confidentielle par les Etats-Unis comme moyen de supériorité stratégique et de rupture de capacité  devant permettre la surveillance et  l’intervention militaire chez l’ennemi sans encourir les risques humains que l’opinion ne supportait plus. En outre, il est utilisé pour larguer des tracts dans le cadre de la cadre de la guerre psychologique.

 

Les drones sont engagés pour la première fois pendant la guerre du Vietnam, puis lors de la guerre du Kippour. Ils sont désormais partie des moyens tactiques et stratégiques du champ de bataille. L’absence de pilote permet d’opérer à l’intérieur des lignes  ennemies pour des missions à risque, sans crainte de pertes humaines.

 

Le secteur de la défense constitue un vivier pour le développement de technologies de rupture qui ont été développées et utilisées dans le civil Tel fut le schéma de développement du drone. Depuis plus de vingt ans maintenant, les drones ont été développés et utilisés en France dans le cadre militaire, pour des missions de surveillance et de renseignements. Suivant l’exemple de nombreuses innovations majeures initialement militaires (le satellite, le moteur à réaction, le GPS, Internet), la technologie des drones à été adapté depuis quelques années au secteur civil.

 

Source =

Fédération Professionnelle des Drones Civils

 

 

Un ouvrage conseillé =

Drones, l'Aviation de demain ?

Par Michel Polacco

(Spécialiste aéronautique)

Éditions Privat

 

 

Petit complément à vos fils fort intéressants.

Janmary

Modifié par Janmary
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  • 5 months later...

Une PME française, Air Concept, vient de commencer les essais du premier drone aéro-largable ; le proto qui fait 8kg et 1m80 d'envergure peut être largué depuis un avion ou un hélico, depuis une altitude atteignant 4000m ; son encombrement est très réduit grâce à son système d'alignement de l'aile dans l'axe du fuselage à l'arrêt.

Concrètement c'est comme si l'opérateur jetait un surf en l'air, puis une fois que l'engin est largué et à distance de sécurité l'aile pivote, se déploie et le moteur électrique se met en route : 

 

Il y a une petite vidéo en bas de cet article > http://rpdefense.over-blog.com/2015/07/drop-n-drone-le-premier-drone-aerolargable-debarque.html?utm_source=_ob_share&utm_medium=_ob_facebook&utm_campaign=_ob_header_bar

 

ob_40df8d_drop-n-drone-photo-airborne-co

 

Potentiellement, les applications me paraissent davantage militaires que civiles : en l'agrandissant légèrement et en le dotant d'une ch'tite boule optronique on obtiendrait un super petit drone de reconnaissance hyper discret, que nos commandos largeraient depuis un EC-725 Caracal, un TTH90 ou un A400M avant d'atterrir  =)

Modifié par Bruno
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Potentiellement, les applications me paraissent davantage militaires que civiles : en l'agrandissant légèrement et en le dotant d'une ch'tite boule optronique on obtiendrait un super petit drone de reconnaissance hyper discret, que nos commandos largeraient depuis un EC-725 Caracal, un TTH90 ou un A400M avant d'atterrir  =)

 

N'y aurait-il pas des concepts de drones, de gabarits bien plus conséquents* et avec ailes rétractables, qui pourraient être utilisés dans un contexte aéronaval ? Cela permettrait d'avoir des drones à longue autonomie que l'on pourrait lancer depuis des submersibles, frégates ou autres navires de moindres gabarits et qui pourraient servir dans le cadre d'opérations de surveillance au-dessus de territoires ennemis distants ou d'opérations de police en mer sur de larges zones.

 

* Pierre Fulla Inside.

Modifié par Skw
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N'y aurait-il pas des concepts de drones, de gabarits bien plus conséquents* et avec ailes rétractables, qui pourraient être utilisés dans un contexte aéronaval ? Cela permettrait d'avoir des drones à longue autonomie que l'on pourrait lancer depuis des submersibles, frégates ou autres navires de moindres gabarits et qui pourraient servir dans le cadre d'opérations de surveillance au-dessus de territoires ennemis distants ou d'opérations de police en mer sur de larges zones.

 

* Pierre Fulla Inside.

 

Sans doute, mais là tu parles de drones catapultables comme le RQ21 BlackJack de la PME californienne Insitu, sa catapulte étant d'un faible encombrement il peut facilement être employé depuis le pont hélico d'une frégate voire d'un OPV, et il offre 16h d'autonomie > Block2_Integrator.jpg

La même boîte qui fait aussi le ScanEagle, également catapultable, et je crois que BAE et IAI en font aussi. Par contre, ils sont tous une voilure fixe, et honnêtement je ne sais pas s'il existe aujourd'hui un modèle de drone à voilure rétractable ou pivotante à grande autonomie qui puisse être ainsi mis en oeuvre, ou depuis les TLT d'un sous-marin. Mais sûr que si ça n'existe pas encore ça va bientôt sortir !

 

L'intérêt du "Drone n' Drone" de Air Concept est qu'il est facilement largable, sans équipement spécial, depuis un avion ou un hélico (carrément à la main depuis la cabine d'un hélico ou la rampe arrière d'un A400M, soute ouverte), ce qui peut spécialement servir pour les opérations aéroportées des FS.

Modifié par Bruno
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Sans doute, mais là tu parles de drones catapultables

 

Bien sûr, drones catapultables et à ailes rétractables. Il y a bien eu des navires dotés de grues pour déposer sur l'eau des hydravions embarqués, mais j'ai peur que des drones plus légers ne résistent pas aussi bien à la houle venant agiter les flots. Et la catapulte, ça offre tout de même une facilité d'utilisation et une plus grande réactivité.

Modifié par Skw
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Effectivement le problème est avant tout celui de la récupération ! Je doute que l'amerrissage en vue d'une récupération soit bien compatible d'une mer un peu formée...sans même évoquer le temps nécessaireà l'opération.

Reste les solutions filets / filins (pour les "petits" vecteurs), ou des solutions plus complexes encore (VTOL...). Personnellement j'ai quand même hâte de voir si les programmes de la DARPA (TERN et autres) ne débouchent pas sur une solution plus originale et performante!

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  • 3 months later...

Depuis fin 2014, Insitu test un drône "lourd" largant puis récupérant en vol un second drône.

La vidéo de démonstration : https://vimeo.com/144026335

Article plus complet sur ce concept, en anglais : http://spectrum.ieee.org/automaton/robotics/aerial-robots/insitu-flares-drone-launch-and-recovery

Modifié par TarpTent
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Le concept est original... Je crois me souvenir d'avoir vu un schéma d'une solution équivalente pour récupérer un drone sur un navire, en venant s'accrocher dans un filin sous un hélicoptère.

PS: juste pour faire le pénible il n'y a pas d'accent sur le "o" de drone (c'est un mot anglais...)

Modifié par bibouz
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  • 2 weeks later...

Le deep learning va arriver rapidement sur les drones pour pouvoir identifier les cibles sans besoin d'un opérateur.

Cela va se faire sur les drones à l'aide de processeurs dédiés (ASIC) dont la spécialisation induit une puissance de calcul phénoménal.

http://www.gizmag.com/kespry-nvidia-demonstrate-deep-learning-drone-tech/40363

Cela va rapidement changer la donne car le drone sera capable de surveiller une zone très large et de ne transmettre à l'opérateur que les détections d'objets de la zone.

Actuellement, l'opérateur doit balayer la zone avec un champ très étroit ce qui limite fortement ses capacités de détection.

Cela va aussi fortement baisser les besoins en débit de transmission car il ne sera nécessaire que de transmettre des images haute résolution des objets détectés.

Dans les faits, cela revient à avoir des opérateurs d'analyse à bord du drone lui même, l'opérateur ne faisant qu'une confirmation et le management de la mission.

Au passage cela poussera à changer l'architecture des drones actuels car le système avec une boule optronique est construit autour de cette nécessité d'un champ étroit et précis à transmettre.

Des solutions de type Gorgon Stare avec surveillance de toute la zone d'un coup à bord risque de vite se généraliser.

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  • 3 months later...
On 14/11/2015 at 10:39 PM, clem200 said:

C'est assez récent comme terme. 

Tout ceux qui s'intéresse à l'intelligence artificielle s'y mettent, du drone à la voiture autonome. 

C'est assez simplement une implémentation des réseaux neuronaux à l'ancienne ... qu'on a jamais vraiment plus développer informatiquement par manque d'outil technologique. Pendant longtemps les algos qui utilisait des logique de système neuronaux était ultra lent ... résultat on s'en servait plus pour  faire de la pédagogie qu'en production.

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