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lanceur européen VEGA


zx
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http://www.latribune.fr/entreprises-finance/industrie/aeronautique-defense/20111028trib000660291/le-petit-lanceur-italien-vega-se-prepare-au-grand-saut.html

 

Arianespace va lancer le 7 novembre la campagne du vol de qualification de Vega, qui peut emporter une charge utile de 1,5 tonne en orbite basse. Le tir est prévu fin janvier.

 

Un lanceur européen peut en cacher un autre. Après le tir réussi de Soyouz à Kourou le 21 octobre, Arianespace va s'engager à partir du 7 novembre dans « la campagne du premier lancement » du petit lanceur italien Vega, a annoncé vendredi la société de commercialisation des lanceurs européens (Ariane 5, Soyouz et Vega). « Le programme vient de franchir ces derniers jours des étapes significatives dans sa mise en exploitation », explique Arianespace dans un communiqué publié vendredi. Du coup, l'Agence spatiale européenne (ESA), Arianespace et European Launch Vehicle (ELV), le maître d'œuvre italien de la production de Vega, ont signé en septembre le contrat pour la production de quatre nouveaux lanceurs, a dévoilé la société européenne.

 

A la suite de la réunion portant sur la revue sur l'état de préparation du lanceur, qui s'est tenue en Italie les 13 et 14 octobre, l'ESA, qui développe Vega en coopération avec l'agence spatiale italienne (ASI) et le Centre national d'études spatiales (CNES), a décidé « de démarrer la campagne de lancement du vol de qualification de Vega », a précisé Arianespace. Dans ce cadre, ses équipes opérationnelles apportent leur soutien pour la campagne de Vega, qui peut placer en orbite basse (700 km d'altitude) une charge utile pouvant aller jusqu'à 1,5 tonne.

 

Les étages du lanceur italien de qualification sont arrivés en Guyane le 24 octobre pour un début de campagne le 7 novembre « en vue d'un premier lancement à la fin du mois de janvier 2012 ». Le lanceur italien sera exploité commercialement à partir de l'année prochaine au sein de la gamme de lanceurs d'Arianespace, Ariane 5 (lanceur lourd) et Soyouz (lanceur moyen). Les quatre nouveaux lanceurs commandés complètent « le contrat pour l'achat d'un premier lanceur signé l'année dernière dans le cadre du contrat VERTA, correspondant aux cinq lancements suivant le vol de qualification ».

 

Vega a été conçu pour garantir une large gamme de missions et configurations de charges utiles, en particulier pour le lancement de petits satellites en orbite basse ou héliosynchrone et permettant ainsi de répondre à la demande de certains clients d'Arianespace. « Vega a vocation à s'imposer rapidement comme le meilleur lanceur dans sa catégorie », a estimé Arianespace. En septembre, son PDG Jean-Yves Le Gal, avait assuré qu'il existait « un besoin pour un petit lanceur ». Car plusieurs programmes concurrents rencontraient des difficultés à l'image des deux lanceurs russes Rockot (2 tonnes en orbite basse) et Dniep (1 tonne) et des hésitations du lanceur américain Taurus d'Orbital (5 tonnes). Du coup, Vega « reçoit de plus en plus d'expression d'intérêts » de clients, avait confirmé Jean-Yves Le Gall.

 

Vega est un programme de l'ESA financé par l'Italie, la France, l'Espagne, la Belgique, les Pays-Bas, la Suisse et la Suède. Les actionnaires d'ELV sont Avio (70 %) et l'ASI (30 %).

Modifié par zx
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Si ils réussissent ce sera une belle performance pour l'Europe qui disposera d'une gamme de lanceur complète. Une bonne base pour faire croître le secteur.

ATTENTION : C'est la campagne de lancement qui commence le 7  novembre, mais le lancement est prévu pour fin janvier 2012.

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  • 2 months later...

Mon, 23 January, 2012

Vega Expected to be Price-competitive With Russian Rockets

KOUROU, French Guiana — Europe’s Vega small-satellite launcher, whose inaugural flight is scheduled for mid-February, will be sold commercially for about 32 million euros ($42 million) per launch — a price that can compete with converted Russian ballistic missiles, Vega officials said Jan. 23.

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  • 3 weeks later...

Pour info,

http://www.aeroplans.fr/Europespace/premier-vol-vega-esa.html

Rejoignez l'ESA pour le premier vol de qualification de Vega le lundi 13 février avec une fenêtre de lancement de 11h00 à 13h00 heure de Paris. Vega décollera du port spatial de l'Europe à Kourou, Guyane française, et aura pour mission de placer neuf satellites sur orbite. L'Europe disposera d'un système de lancement supplémentaire qui complètera sa flotte actuelle. La videotransmission commencera à 10h40 heure de Paris

Pour assister au Lancement

http://www.videocorner.tv/index_fr.htm

http://www.latribune.fr/entreprises-finance/industrie/aeronautique-defense/20120212trib000682800/decollage-lundi-a-kourou-du-premier-lanceur-de-satellites-vega.html

Au total, 9 satellites seront mis en orbite pour cette mission prévue avec une fenêtre de tir de 10h00 à 12h00 GMT.

Un peu moins d'une heure après le décollage, le vol Vega VV01 mettra sur orbite Lares, satellite développé par l'agence spatiale italienne, pour mesurer le phénomène de distorsion du temps provoqué par la rotation de la terre.

Environ un quart d'heure plus tard, ce sera au tour du satellite de recherche ALMASat-1 de l'université de Bologne d'être mis sur orbite en même temps que les 7 autres, des nanosatellites réalisés par les universités membres de l'Agence spatiale européenne.

Le dernier-né des lanceurs européens aura mis une décennie pour voir le jour et est destiné aux satellites de petite taille entre 300 et 2500 kg. Vega répond principalement aux exigences d'un marché des satellites scientifiques de plus en plus miniatures et économes.

Le programme de développement de Vega aura coûté près de 710 millions d'euros, assumé à près de 60% par l'Italie, le deuxième contributeur étant la France avec une participation de près de 25%.

Ce premier lancement - le seul de l'année - doit permettre de valider l'ensemble de lancement Vega en vue d'une exploitation commerciale sur le marché international dans ce créneau très porteur des petits satellites.

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  • 1 year later...

18/04 15:37 - Le deuxième lancement de Vega se prépare,  (début Mai si pas de report)

http://www.futura-sciences.com/fr/news/t/astronautique/d/le-deuxieme-lancement-de-vega-se-prepare_45954/#xtor=RSS-19

Pour son deuxième lancement, Vega prépare un cycle de quatre tirs qui permettront de démontrer la grande variété des missions que ce lanceur peut réaliser. Le premier tir est prévu début mai, avec trois satellites à placer sur orbite.

Un an après son vol inaugural, en février 2012, le petit lanceur Vega doit confirmer ce succès qui avait tout de même agréablement surpris les « italo-sceptiques » (il est principalement développé par l’Italie). Un deuxième tir est prévu début mai avec le lancement de trois satellites, dont Proba-V de l’Agence spatiale européenne.

Pour ce vol, Vega utilisera pour la première fois l'interface adaptateur Vespa (pour VEga Secondary Payload Adapter), qui permet d’emporter plusieurs satellites. Les satellites VNREDSat-1 (120 kg) et ESTCube-1 (1,4 kg) seront logés à l’intérieur de l’adaptateur. Proba-V, placé sur le dessus, sera le premier satellite séparé sur orbite. Avec une masse de 160 kg, Proba-V est le plus lourd des trois satellites, qui totalisent ensemble une masse de 281,4 kg, alors que celle de l’adaptateur Vespa n’est que de 250 kg.

Trois satellites à lancer par Vega

Proba-V (V pour Végétation) est un satellite de l’Esa dont la mission principale est de prendre la suite de l'instrument Végétation, embarqué sur les satellites Spot-4 et Spot-5. Il sera placé sur une orbite héliosynchrone à une altitude de 820 km. Fabriqué par la société Qinetiq, il surveillera la croissance mondiale de la végétation depuis son orbite héliosynchrone polaire. Ce satellite fait partie du programme général de technologie de soutien de l'Esa. Le premier Proba a été lancé en octobre 2001, Proba-2 en septembre 2009 et la mission Proba-3, constituée de deux satellites pour démontrer et tester le vol en formation, le sera en 2015, voire 2016.

VNREDSat-1, un satellite d’observation de la Terre, est construit par Astrium pour le compte de l'Académie des sciences et de technologie du Vietnam. Pour le gouvernement de ce pays, l’objectif du satellite est de mieux surveiller les effets du changement climatique, de prévoir et prendre les mesures nécessaires pour empêcher les catastrophes naturelles, mais aussi d’optimiser la gestion des ressources naturelles du pays.

Quant à ESTCube-1, il s’agit du premier satellite estonien. De forme cubique avec des côtés de dix centimètres environ, il est construit par différentes universités et académies, avec l’aide de l’agence spatiale allemande. Il aura pour mission de tester le principe d'une technologie de propulsion innovante, appelée voile solaire électrique. Comme les voiles solaires déjà expérimentées, elle serait poussée par les particules chargées émises depuis le Soleil, c'est-à-dire le vent solaire, à la différence que la voile ne serait pas matérielle mais constituée d'un champ électrique généré par de très longues tiges.

Premier lancement de Vega, en Guyane, le 13 février 2012. Le deuxième sera suivi de très près par les opérateurs de lancement. Dans le secteur spatial, où règne une concurrence acharnée, l'image de marque d'un nouveau programme joue un grand rôle sur son futur succès commercial.

Vega, un lanceur flexible

Si la mission de référence de Vega consiste à lancer un satellite de 1.500 kg à une altitude de 700 km, la masse des charges utiles peut varier selon l’orbite et l’altitude. Il peut donc répondre à différents types de missions dans des domaines scientifiques et technologiques variés, tels que l'observation de la Terre ou des missions militaires. Seulement, avant de commercialiser Vega, il faut s’assurer de sa fiabilité et démontrer la grande variété des missions qu'il peut réaliser. D’où le programme d'accompagnement Verta, qui finance les cinq premiers vols ainsi qu'une amélioration des performances du lanceur.

Ce deuxième lancement est très différent du premier vol. Pour cette mission, le lanceur vise une orbite synchronisée avec le Soleil, avec un changement de plan entre les deux charges utiles principales, et donc des zones de retombée des étages différentes. Par rapport au premier tir, la trajectoire est également différente et sera soumise à d’autres contraintes. Enfin, la désorbitation active de l’étage supérieur Avum et l’utilisation d’un nouveau programme de vol sont prévues.

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Espérons que tout se passe bien. Car au delà de tout ça il faut continuer a engranger des contrats prives ( ils en ont obtenus 2 ou 3 je crois ) et arriver a augmenter le rythme de lancements.

  Disons que le problème a la base, était qu'Arianespace n'était que très très peu présent sur le marché du mini/micro sat ... Voir même pas du tout vu que le + petit format sur lequel ils étaient présent était les "petits sat" (je veux par la : micro sat < 500 kl, mini sat < 1t, petit sat 1 a 2t environ ) a placer sur A5 avec les tirs de gros sat de 5t ...

  En dessous ils ne lancaient pour ainsi dire jamais ou presque ... C'était un marché ou les russes étaient assez présent du fait de leur gamme de missiles balistiques recyclés en mini lanceurs pour petits/micro sats et quelques pays qui profitaient du vide d'offre occidentale pour développer leur programme spatial comme l'Inde qui a il me semble longtemps lancé du mini sat pour se faire la main et la Chine aussi a une époque

  Résultat des courses, concernant ce marché Arianespace part d'un carnet d'adresse de clients quasiment vide ... Commercialement parlant tout est a faire ! Mais vu le prix de la fusée par rapport a ce qui existe sur le marché ... Ca va être tendu, a moins qu'il existe une demande pour les tirs a haute qualité sur ces formats (je veux dire par la, une garantie de très haute précision des orbites recherchées sans pets de travers en route) 

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  Disons que le problème a la base, était qu'Arianespace n'était que très très peu présent sur le marché du mini/micro sat ... Voir même pas du tout vu que le + petit format sur lequel ils étaient présent était les "petits sat" (je veux par la : micro sat < 500 kl, mini sat < 1t, petit sat 1 a 2t environ ) a placer sur A5 avec les tirs de gros sat de 5t ...

  En dessous ils ne lancaient pour ainsi dire jamais ou presque ... C'était un marché ou les russes étaient assez présent du fait de leur gamme de missiles balistiques recyclés en mini lanceurs pour petits/micro sats et quelques pays qui profitaient du vide d'offre occidentale pour développer leur programme spatial comme l'Inde qui a il me semble longtemps lancé du mini sat pour se faire la main et la Chine aussi a une époque

  Résultat des courses, concernant ce marché Arianespace part d'un carnet d'adresse de clients quasiment vide ... Commercialement parlant tout est a faire ! Mais vu le prix de la fusée par rapport a ce qui existe sur le marché ... Ca va être tendu, a moins qu'il existe une demande pour les tirs a haute qualité sur ces formats (je veux dire par la, une garantie de très haute précision des orbites recherchées sans pets de travers en route) 

Ben déjà ca va finir par être les seuls sur le marché. Et pour le coût il faut justement augmenter le nombre de lancements par ans. La réductions des coûts sont déjà prévus. Et les communiés avec Ariane6 devrait améliorer tout ça.
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Je crois qu'arianespace sera pas seule, les russes ont abandonnés leur recyclage de missile et attendent leur nouveau petit lanceur soyouz 2.1, les lanceurs classique coute trop cher, le seul rival était space X avec sa falcon 1, qui a été mis au placard en attendant une reprise avec une falcon 1e, il y a un marché si le cout est accessible mais il

faudra produire beaucoup de lanceur. coté chinois, cela n'a pas l'air d'être leur priorité.

concurrent russe de vega, le premier vol va de report en report, prévu 2011, puis 2012, puis 2013, pas sur que cela soit cette année, les derniers échecs les

ont refroidis un peu. pas bon pour le business si cela explose. le test d'avril a échoué.

http://www.kosmonavtika.com/lanceurs/soyouz/version/14A15/14A15.html

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Pourquoi les seuls ? Je comprends pas trop ? Des annonces d'abandon du format par les pays habituels qui lançaient ?

Me semble qu'il y avait le brésil aussi qui était présent ... Enfin la on parle d'un marché bien moins clairs que les charges moyennes/lourdes

J'avais fait le tour des petits lanceurs et il y en a au final très peu qui ont survécus malgré tous les projets. Le principal concurrent était Falcon 1; devait arriver dans une version amélioré mais qui a été abandonné définitivement. Ils ont pas réussi à tenir les coûts et les performances.Coté  brésiliens au mieux ce sera pour des besoins nationaux si ils arrivent à se lancer. Coté US y'a aussi le Taurus mais il a fait que 9 lancements en 10 ans dont deux échecs lors des deux derniers lancements. Y'a aussi le Minautor d'Orbital Sciences  mais il est beaucoup plus cher que Vega et je pense pas qu'il lancera autre chose que des trucs nationaux. Au final il reste le Rockot Russe mais vu qu'il recycle des missiles et qu'ils vont perdre l'un de leur client avec Vega je suis pas sur que ça va durer. Au final peut être les indiens?
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Au final il reste le Rockot Russe mais vu qu'il recycle des missiles et qu'ils vont perdre l'un de leur client avec Vega je suis pas sur que ça va durer. Au final peut être les indiens?

Recycler les missiles de l'URSS, ça devient de plus en plus dur. Ils ont tous été mis en service il y a plus de 20 ans et les effectifs sont de plus en plus réduit. L'héritage de l'URSS commence à disparaitre.
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Recycler les missiles de l'URSS, ça devient de plus en plus dur. Ils ont tous été mis en service il y a plus de 20 ans et les effectifs sont de plus en plus réduit. L'héritage de l'URSS commence à disparaitre.

Oui c'est ce que je voulais dire.
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Et aussi la Coré du Sud, qui essaye d'envoyer un satellite avec kslv1 made in russia. bon charge utile 100kg, pas une grosse menace pour vega. contrairement à Soyouz 2 ou au futur angara

http://fr.wikipedia.org/wiki/Korea_Space_Launch_Vehicle

Plus sérieusement, j'ai trouvé un truc intéressant, pas trop vieux, cela date d'un an.  Dans la liste des lanceurs concurrents, il y a une chinoise Longue Marche 6

L’avenir de Vega : quel marché et quels défis pour le nouveau lanceur européen ?

http://www.frstrategie.org/barreFRS/publications/notes/2012/201203.pdf

A noter, Vega continura à évoluer au  niveau charge utile, masse et coiffe, si elle peut atteindre une CU de 1,5t à 2.5/3t selon les versions, ca serait pas mal

une vega standard et une vega "heavy".

extrait:

Un deuxième dossier sur la table du Conseil de l’ESA concernera la décision, ou non, de consolider, voire de faire évoluer ce lanceur. Le montant

des ressources allouées au programme sera déterminant. On peut supposer que, dans la situation économique actuelle, ce montant pourra

dépendre aussi de la décision de financer (et dans quelle mesure) l’évolution d’Ariane 5 ou son successeur.

L’évolution du lanceur Vega (taille de la coiffe, masse de la charge utile, et autres) qui vise à augmenter ses capacités, devrait permettre d’élargir la gamme des missions institutionnelles, européennes ainsi que commerciales. Parmi les futurs changements attendus, il est important de mentionner que les sociétés italienne MBDA et

belge Spacebel développent le logiciel de vol du lanceur qui remplacera l’actuel, fourni par Astrium pour les deux premiers vols seulement.

Ceci permettra d’éviter les retards et les difficultés rencontrées par ELV au moment du transfert de cette technologie de la France à l’Italie

Il s’agit d’une opportunité très intéressante pour Rome, car c’est l’occasion de développer au sein de l’ESA des technologies nouvelles et stratégiques. Par ailleurs, les systèmes de guidage, de navigation et de contrôle sont perçus par l’Agence spatiale italienne comme nécessaires pour une complète maîtrise et autonomie de ses compétences sur les systèmes de lancement. Cela permettrait également à l’Italie de mieux mettre en valeur ses compétences au sein de l’ESA

Enfin, le développement du moteur P80 (premier étage de Vega), dans le cadre des synergies exploitables, pourra être considéré pour les

futures évolutions d’Ariane 5.

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