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La saga du Clémenceau, coque Q790


Philippe Top-Force
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au rythme ou c'est parti, il va finir dans le Léman votre clem :lol:

mais là, je peux vous dire qu'il va pas y rester longtemps, parce que je vais me charger personellement de son cas à coup d'obus de 155 mm, tirés bien sûr d'un M109 (vu que la 5.6 de mon FASS 90 risque de ne pas suffir.  :lol:).

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  • 3 months later...
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Sarkozy la MN nettoie le clemenceau au Karcher ...

http://www.ouest-france.fr/ofdernmin_-Operation-de-grattage-de-la-coque-de-l-ex-Clemenceau_-783713--BKN_actu.Htm

Opération de grattage de la coque de l'ex-Clemenceau

Dans le cadre de l'appareillage de la coque de l'ex-Clemenceau vers Hartlepool, plusieurs dispositions ont été prises (fermetures des ouvertures, arrimage des éléments mobiles, installation des remorques...). Elles ont été complétées par des analyses de la flore et de la faune. Plusieurs espèces de végétaux et animaux ont été observées sur la coque. Elles sont présentes sur les côtes bretonnes mais a priori absentes du littoral d'Hartlepool. La marine a donc décidé, à titre de précaution, de procéder avant le départ de la coque, à l'élimination de ces éléments par grattage. Ces opérations sont incluses dans le calendrier de départ. Elles devraient durer quatre jours.

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Ex-Clem. La désignation d’un expert indépendant demandée

Après l’annonce de la découverte de parasites sur la coque de l’ex-Clemenceau (notre édition d’hier), David Rajjou, l’avocat de l’association brestoise AE2D, annonce qu’il demandera, lundi, la désignation d’un expert judiciaire indépendant, motivée par une « insuffisance de renseignements ».

« Cette découverte valide le cœur de notre recours contre la décision de la Drire (Direction régionale de l’industrie, de la recherche et de l’environnement) autorisant l’exportation du navire-déchet vers l’Angleterre. Après la décision de la Drire, qui dépend, je le rappelle, du ministère de l’Environnement, on nous avait assuré qu’il n’y avait aucun problème, que tout était clair... On voit le résultat ! Nous ne faisons pas confiance au communiqué de la Marine nationale au sujet du grattage annoncé et nous réclamons qu’une étude fouillée soit menée ». De son côté, Jean-Paul Hellequin, de l’association Mor Glaz, ironise : « Une fois de plus, le départ de l’ex-Clemenceau est différé, pour des raisons qui vont faire rire l’ensemble de l’Union européenne ». « Nos amis britanniques, ajoute-t-il, doivent savoir qu’il y a encore plus grave que ces "parasites" sous la coque. Il y a aussi de grandes quantités d’amiante et d’autres produits toxiques qui ne pourront être traités à Hartlepool. (...) Nos amis d’outre-Manche doivent refuser l’arrivée de cette coque chez eux et prendre enfin conscience que d’accepter ce déchet militaire, serait accepter de traiter, dans le futur, les déchets de ceux qui ne veulent pas le faire chez eux. (...) Une solution existe pour déconstruire l’ex-Clemenceau en France, voire même à Brest ».

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  • 2 weeks later...

Petite annonce: pour le jour du départ du Clem, je suis à la cherche d'un hélico/chasseur capable d'emporter des missiles anti-navires ou des torpilles et âinsi que d'une paire de missiles/torpilles. Cela afin de pouvoir lui rendre hommage comme il se doit.

:lol:

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Petite annonce: pour le jour du départ du Clem, je suis à la cherche d'un hélico/chasseur capable d'emporter des missiles anti-navires ou des torpilles et âinsi que d'une paire de missiles/torpilles. Cela afin de pouvoir lui rendre hommage comme il se doit.

:lol:

Tu comptes le couler dans le Lac Leman  :lol:

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Tu comptes le couler dans le Lac Leman  :lol:

je sais bien qu'en Suisse on la creusite aigue*,  :lol: :lol: :lol:

mais là, creuser un canal (ou aménager le Rhône) pour être capable d'amener le Clem dans le Lac Léman, je crois c'est au dessus de nos forces. :lol: :lol: :lol:

Même si ça pourrait avoir une petite utilité (après des centaines d'années de renoncement, on aurait enfin un accès à la mer  :lol:).

*tiens d'ailleurs il y a actuellement une exposition à Lausanne qui s'appelle: "Creusez les Alpes, qu'on voie la mer!"  :lol:

Je pensais plutot à ce scénario:

"Que le plus grand navire de guerre

Ait le courage de me couler

Le cul tourné à Brest

Pays breton où je suis né"

Mais comme me payer un cuirassé Iowa, c'est pas dans mes moyens... :lol:

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On nettoie,

http://www.meretmarine.com/article.cfm?id=109189

Sinon Chris, j'appose cet article ici.

La Marine Française prête à intégrer les soldats suisses

Si le Conseil fédéral confirme la participation des Forces spéciales suisses à la mission Atalante pour lutter contre la piraterie, la France devrait les accueillir.

Par Rédacteur en chef.

Publié le 8 janvier 2009, dernière mise à jour le 8 janvier 2009.

Sur le plan militaire, l’essentiel est planifié : les hommes du DRA 10, le détachement de forces spéciales de l’armée suisse qui participerait à la mission de lutte contre la piraterie Atalante, devrait rejoindre le détachement de fusiliers marins français qui se trouve déjà sur place. Ne manque plus que la décision finale du Conseil fédéral, qui se prononcera lors de sa séance du 14 janvier. Dans les trois à cinq jours suivants, la troupe d’élite basée au Tessin partirait pour le golfe d’Aden. Le projet a été soumis le 7 janvier au nouveau chef du Département de la défense, Ueli Maurer. Il prévoit deux teams de sept spécialistes du DRA 10, accompagnés de cinq à dix personnes, qui assureraient le commandement et la logistique.

La suite ici pour en parler.

http://www.air-defense.net/Forum_AD/index.php?topic=9903.msg355091#msg355091

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http://www.letelegramme.com/gratuit/generales/regions/bretagne/ex-clemenceau-pas-sur-que-la-marine-gagne-au-grattage-20090109-4489041_1593748.php

Ex-Clemenceau. Pas sûr que la Marine gagne au grattage

Exemplaire jusqu’au bout sur le plan écologique ? À voir. Le grattage de la coque de l’ex-Clemenceau en milieu naturel, par des plongeurs, n’a pas tardé à susciter des réactions.

Alors que les plaisanciers ou les marins-pêcheurs doivent faire caréner leur bateau sur des cales à récupération pour eaux souillées, la Marine nationale gratte la coque d’un de ses anciens plus gros navires (260 m) au cœur de sa rade-abri, à Brest, sans mesures de protection particulière. Une rade-abri directement reliée au fragile écosystème de la rade de Brest, les pêcheurs de coquilles Saint-Jacques en savent quelque chose.

AE2D : « Inacceptable »

L’association brestoise Agir pour l’environnement et le développement durable, opposée au départ de la coque a découvert avec stupeur la technique utilisée par la Marine.

« Un véritable cas d’exception pour un navire qui se doit (se devait ?) de la plus grande exemplarité sur le plan écologique », commente le membre fondateur de l’association, Christian Bucher. « Ce grattage est inacceptable. Ce sont plusieurs kilos ou dizaines de kilos de peinture au tributyl étain (TBT) qui vont venir se déposer sur le fond ».

Mor-Glaz : « Du bricolage »

Le toujours très mordant Jean-Paul Hellequin de Mor-Glaz estime que ce « grattage » s’apparente à du « bricolage ». « L’ancien porte-avions devait passer en cale sèche ! On aurait ainsi montré qu’on avait les moyens de le démanteler à Brest. Comment expliquer ce que fait la Marine nationale aujourd’hui quand on poursuit et fait payer des capitaines de cargo ou de bateau de pêche pris à polluer en mer ? Et que fera-t-on des tonnes d’eau contenues dans les ballasts de ce vieux Clem’ ? ».

Robin des Bois : « Il faut vérifier l’impact »

Jacky Bonnemains, porte-parole de l’association Robin des Bois, pourtant grand supporter du dossier porté par la Marine, aimerait que soit comparée la qualité de l’eau et des boues de la zone d’amarrage du bateau, avant et après cette opération de nettoyage. La Marine est connue pour avoir utilisé par le passé des peintures antifouling aussi radicales que polluantes. « Il faut vérifier l’impact de cette opération de dernière minute. Si les analyses ne sont pas satisfaisantes, il faut espérer que la Marine se donne les moyens de draguer la zone polluée ». Le porte-parole de l’association connaît bien le problème des résidus portuaires. Son organisation avait, notamment, pointé les fortes teneurs en métaux, TBT et hydrocarbures des boues récupérées lors du creusement du nouveau port de plaisance brestois.

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C'est vraiment se foutre de la gueule du monde...

Quand je lis tout çà je ne peux m'empêcher de penser que l'adage "trop bon trop con" prend toute sa valeur...

Le nombre de mecs qui se font mousser avec ce dossier est stupéfiant... Je serais le PREMAR je ferais en sorte que la coque coule lors de son transfert en GB, faute de l'avoir coulée dans l'Indien

Ce dossier aurait mérité un Bob Maloubier au mieux de sa forme drivé par Foccard

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http://www.brest.maville.com/actu/actudet_-57-vieilles-coques-a-deconstruire-_dep-795585_actu.Htm

57 vieilles coques à déconstruire

Dans l'anse de Landévennec, les escorteurs Duperré et Galissonnière et le croiseur Colbert attendent d'être démolis. : Ouest-FranceDans l'anse de Landévennec, les escorteurs Duperré et Galissonnière et le croiseur Colbert attendent d'être démolis. : Ouest-France

L'ex-porte-avions Clemenceau n'est pas le seul. La base navale de Brest a 57 vieilles coques à déconstruire.

Le Q-790 ¯ le nom officiel de l'ex-Clemenceau ¯, est un peu l'arbre qui cache la forêt. Rien qu'à Brest, la Marine a recensé cinquante-sept vieilles coques en attente de démolition. Cela représente 78 000 tonnes de ferraille et autres matériaux. À lui seul, le Clem, en attente d'être remorqué vers l'Angleterre, pèse 35 000 tonnes.

Au fond de la rade de Brest, à Landevennec, d'autres poids lourds attendent le ferraillage : le fameux Colbert, longtemps musée flottant à Bordeaux. De chaque côté du croiseur, deux escorteurs, le Duperré et la Galissonnière. Par larges plaques, la peinture des superstructures s'écaille.

« Vis-à-vis de l'environnement, on n'a pas d'inquiétude à avoir », assure Philippe Guégan, le commandant de la base navale. La Marine effectue des inspections chaque semaine et fait des prélèvements pour vérifier la qualité de l'eau.

L'association de défense de l'environnement marin Mor-Glaz dénonce, elle, une pollution du site. Accusation rejetée par le maire de Landévennec, Roger Lars. L'élu tient autant à son cimetière marin qu'à sa célèbre abbaye. « Ma meilleure garantie, c'est ma pêche aux palourdes et elles sont bonnes ! »

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Que faire des vieux bateaux de la Marine ? Les couler pour le plus grand plaisir des plongeurs, propose le député Gilbert Le Bris.

Ce sont de vieux bateaux dont la Marine nationale ne sait pas trop quoi faire. Il y en a bien quelques-uns qui terminent leur vaillante carrière comme brise-lames. Tandis que le Clémenceau attend d'aller se faire découper dans un chantier naval anglais, l'épilogue d'un feuilleton tragi-comique.

Car de vieux bateaux, la Marine nationale en a quelques-uns. Rien qu'à Brest, elle en compte 57, méthodiquement mangés par la rouille (Ouest-France de mardi). Même si certains ont trouvé à Landévennec, au fond de la rade de Brest, un ultime havre de paix au cimetière des bateaux, le problème pour la Marine est épineux. Depuis quelques mois déjà, Gilbert Le Bris, député (PS) du Finistère, essaie d'avancer une idée : couler ces vieilles coques au large des côtes pour en faire des réserves naturelles pour les poissons, et aussi des sites privilégiés pour la plongée sous-marine.

« Les Anglais ont réussi... »

Une idée saugrenue ? Sauf que les Etats-Unis, la Grande-Bretagne et aussi Malte s'y mettent. « Des clubs de plongée m'en ont parlé. Je pense déjà que du côté de l'île de Groix, dans les baies de Concarneau et de Douarnenez il y a des endroits où l'on pourrait ainsi couler un bateau. Pour la plongée, il faut prévoir une profondeur de vingt à quarante mètres. Les Anglais ont réussi à le faire. Je ne vois pas pourquoi nous ne pourrions pas en faire autant », plaide Gilbert Le Bris persuadé que sur ce terrain sous-marin « la Bretagne a une carte à jouer ». Après tout, elle a ce qu'il faut. Les vieux bateaux et le littoral.

On n'en est pas encore là. Ce n'est pas la première fois que le député finistérien essaie de convaincre qu'un tel projet pourrait se concrétiser. Il en a déjà parlé aux présidents de la Région et du conseil général. Mais en la matière, c'est le ministère de la Défense qui est compétent. Il a donc demandé un rendez-vous à Hervé Morin. Bien sûr, ce n'est pas la solution miracle. D'abord, il faudrait rendre juridiquement possible l'immersion. Et puis, s'assurer quand même qu'elle sera sans danger pour l'environnement. Des obstacles qui pour Gilbert Le Bris ne sont certainement pas insurmontables. Il est convaincu qu'envoyer ainsi par le fond quelques vieux bateaux serait une réponse assez simple à un problème très compliqué.

D. G.

Ouest-France

http://www.brest.maville.com/actu/actudet_-Couler-les-bateaux-pour-le-bonheur-des-plongeurs-_dep-796481_actu.Htm

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  • 1 month later...

Démantèlement de l’ex-Clemenceau : ce que la presse ne veut pas vous dire

Comme c’était prévisible, lorsque la semaine dernière la coque de l’ex-porte-avions Clémenceau a été remorquée dans le chantier Able-UK pour y être démantelée, la presse a rapporté que son arrivée avait provoqué des manifestations de colère des écologistes. Un journaliste de la BBC a interviewé un de ses écologistes, qui se plaignait qu’Able UK, l’entreprise anglais qui a obtenu le plus important contrat de démantèlement en Europe, n’avait aucune expérience, n’avait pas de cale sèche et qu’elle se préparait à démanteler cet énorme bâtiment, transportant des centaines de tonnes d’amiante mortelle, au milieu d’une réserve naturelle de renommée internationale.

Si le journaliste de la BBC avait mieux fait son travail, il aurait pu hésiter avant de faire son reportage d’une manière qui déforme autant les faits. Loin de n’avoir aucune expérience, Able a construit sa réputation depuis 1986 comme le spécialiste du démantèlement de navires, plateformes pétrolières et centrales électriques dans le monde. Loin de ne pas disposer de cale sèche, c’est là que se trouve la plus grande. Et des études exhaustives ont montré que, comme la centrale nucléaire d’Hartlepool située juste à côté, il cohabite parfaitement avec les échassiers dans la réserve de Ramsar.

La BBC a au moins permis au PDG d’Able, Peter Stephenson, d’expliquer d’une manière mesurée que l’ex-Clemenceau sera démantelé de la façon la plus sûre et responsable pour l’environnement. Mais il était suivi par un responsable de l’Agence pour l’environnement, ce qui sous-entendait qu’Able Uk travaillait ainsi uniquement en raison des exigences draconiennes imposées par l’agence à la compagnie.

A la vérité, la BBC aurait pu orienter son reportage d’une complètement différente. Au lieu de lui donner un aspect aussi négatif, elle aurait pu expliquer que l’objectif d’Able est de se construire une réputation de chantier le plus efficace au monde pour le démantèlement et le recyclage des navires potentiellement dangereux, qui auraient sinon été démantelés sur une plage indienne par une nuée de paysans mal payés, sans tenir compte des règles de sécurité.

Loin d’avoir soulevé la colère des écologistes, à l’exception de la militante locale dont les déclarations sauvages lui ont valu le reportage de la BBC, Able a gagné le respect de Greenpeace et des Amis de la Terre, qui ont tous les 2 salués l’expertise avec laquelle il prévoit de démanteler le Clemenceau. Loin d’agir de façon responsable à cause de la surveillance de l’Agence de l’Environnement, le succès d’Able repose sur le fait de protéger tout autant ses salariés que l’environnement, sachant ce qu’ils font bien mieux que n’importe quel bureaucrate officiel.

En d’autres termes, nous pourrions tout à fait acclamer une société britannique qui peut battre ses concurrents en faisant quelque chose d’utile aussi bien que cela peut être fait (et en créant dans la région 200 emplois). C’est la raison pour laquelle Able est la seule compagnie en Europe capable de démanteler en sécurité l’ancien navire amiral de la marine nationale, de même que 5 anciens bâtiments de l’US Navy, remplis d’un type d’amiante véritablement dangereux, la brune (au contraire du ciment d’amiante blanche avec laquelle elle est si honteusement confondue par les militants écologistes).

Au lieu de chercher des raisons de se battre pour des vétilles, nous devrions saluer le faire que, en cette sombre époque, ce pays peut toujours être le siège d’une compagnie leader mondiale dans son domaine, qui accomplit sa tâche d’une manière que même les écologistes les plus responsables reconnaissent comme étant tout à fait nécessaire.

L'analyse de la rédaction :

Cet article remet en cause la plupart des arguments soulevés par les écologistes français dans leurs procédures judiciaires destinées à empêcher le départ de l’ex-Clémenceau.

Référence :

The Telegraph (Grande-Bretagne)

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  • 11 months later...
  • 9 months later...

Déterrage de topic, pour l'annonce officielle :

Porte-avions Clemenceau : Démolition achevée

Le Clemenceau n'est plus qu'un souvenir. La société Able UK vient d'achever la démolition de l'ancien fleuron de la Marine Nationale dans son chantier d'Hartlepool, au nord de l'Angleterre. Il reste maintenant à boucler l'inventaire des matières retirées de la coque. Le sort de l'ex-Clemenceau avait fait, en 2006, l'objet d'une polémique internationale en raison des matières dangereuses contenues à bord, en particulier l'amiante. Après une tentative ratée de le faire déconstruire en Inde, il était revenu à Brest au printemps 2006. Après un appel d'offres, le chantier avait été confié à Able UK en juin 2008.

Edition de Samedi/Dimanche 4/5 décembre 2010.

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