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[Toulouse Montauban] Meurtres en série


Claudio Lopez
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Cet enfoiré a tenu 31 heures, et il était toujours opérationnel ?

La prochaine fois, faudra tirer avant.

ou balancer le fameux gaz Russe ! la prochaine fois, faudra remballer les gants et taper sur le groin un bon coup.

ce type était une ordure du début à la fin.

tueur de soldats , tueurs d'enfants , tueurs de policiers , etc ...

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Une question aux connaisseurs. Pourquoi avoir 3 services (GIGN, GIPN et RAID) pour des missions plutôt similaires ? Ne serait-il pas pertinent de conserver uniquement  un de ses seuls services (de préférence le GIGN qui a de par son statut la capacité à agir en territoire étranger) quitte à l'agrandir et lui à fournir des moyens plus conséquents ? Bref, quel avantage à conserver 3 services ?

Sinon confirmation : quand on voit les différents nombres de blessés mentionnés pour le RAID, les médias diffusent bon nombre de contre-informations. Si leur corporation avait une certaine éthique, certains journalistes devraient perdre leur carte de presse.

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GIGN Sa devise est " Sauver des vies au mépris de la sienne" http://www.gign.org/groupe-intervention/?page_id=498

Une question aux connaisseurs. Pourquoi avoir 3 services (GIGN, GIPN et RAID) pour des missions plutôt similaires ?

Arrêté du 5 janvier 2011 relatif aux missions et à l'organisation des services composant la force d'intervention de la police nationale et portant dispositions sur l'affectation et l'aptitude professionnelle de leurs agents

Je remets l'arrêté http://www.legifrance.gouv.fr/affichTexte.do?cidTexte=JORFTEXT000023560658&dateTexte=

Il y a la Force d'Intervention de la Police Nationale FIPN qui comprend RAID/BRIBAC/GIPN/

La force d'intervention de la police nationale comprend l'unité de recherche, d'assistance, d'intervention et de dissuasion de la police nationale (RAID), les groupes d'intervention de la police nationale (GIPN) et la brigade anticommando de la préfecture de police, unités spécialisées d'intervention de la police nationale qui conservent leur rattachement organique.

Lorsqu'elle est constituée, le RAID assure la coordination opérationnelle des unités qui la composent et qui interviennent alors sous l'autorité des préfets de département ou, à Paris et dans les départements des Hauts-de-Seine, de la Seine-Saint-Denis et du Val-de-Marne, du préfet de police.

Le RAID contribue, dans l'ensemble du territoire de la République, à la lutte contre toutes les formes de criminalité. A ce titre, il prête assistance aux services de police et il est notamment chargé :

― d'intervenir à l'occasion de troubles graves à l'ordre public nécessitant l'utilisation de techniques et de moyens spécifiques ;

― d'apporter son concours opérationnel aux services chargés de la prévention et de la répression de la criminalité organisée et du terrorisme ;

― d'assister le service de protection des hautes personnalités dans ses missions ;

― de mettre à la disposition des services de police des matériels spécialisés servis par le personnel de l'unité ;

― de contribuer, en collaboration notamment avec la direction des ressources et des compétences de la police nationale, à l'instruction des personnels de police en matière de lutte antiterroriste ;

― de procéder, en collaboration avec la direction des ressources et des compétences de la police nationale et la direction centrale de la police judiciaire, à des études et des essais de techniques et de matériels d'intervention ainsi qu'à la formation de fonctionnaires de police ou de services dans le cadre de ses activités.

Les groupes d'intervention de la police nationale sont créés, au sein des directions départementales de la sécurité publique, par circulaire du directeur général de la police nationale prise sur la proposition du directeur central de la sécurité publique.

Ils contribuent à la lutte contre toutes les formes de criminalité, y compris, lorsque la force d'intervention de la police nationale est constituée, en matière de terrorisme. A ce titre, ils prêtent assistance aux services de police et sont notamment chargés :

― d'intervenir à l'occasion de troubles graves à l'ordre public nécessitant l'utilisation de techniques et de moyens spécifiques ;

― d'intervenir à l'occasion d'opérations de maintien de l'ordre nécessitant l'utilisation de techniques et de moyens spécifiques ;

― de mettre à la disposition des services de police des matériels spécialisés servis par le personnel des groupes

La brigade anticommando de la préfecture de police est placée sous l'autorité du chef de la brigade de recherche et d'intervention de la direction régionale de la police judiciaire de Paris.

Ses missions et son organisation sont définies par arrêté du préfet de police.

A la demande du directeur général de la police nationale, elle peut être appelée à intervenir dans l'ensemble du territoire national, sur décision du préfet de police.

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Une question aux connaisseurs. Pourquoi avoir 3 services (GIGN, GIPN et RAID) pour des missions plutôt similaires ? Ne serait-il pas pertinent de conserver uniquement  un de ses seuls services (de préférence le GIGN qui a de par son statut la capacité à agir en territoire étranger) quitte à l'agrandir et lui à fournir des moyens plus conséquents ? Bref, quel avantage à conserver 3 services ?

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Même si l'action de la justice est éteinte avec le décès du présumé auteur des faits, il y aura quand même une enquête, au moins pour démonter la filière, les soutiens et possibles complicités dont il aurait pu bénéficier.

Cette enquête, sous l'égide de la DCRI probablement, aura certainement moins de moyens que si elle avait été menée parallèlement par plusieurs services mobilisés par un juge, mais elle aura lieu quand même, ne serait-ce que sous une impulsion politique.

Sinon, sur un mode plus "Café du Commerce", est-ce qu'on ne pourrait pas dire que la principale faute commise par ce terroriste a été de changer de cible ?

Continuer à abattre des militaires, selon le mode opératoire initial lui aurait certainement permis de continuer sa sinistre besogne plus longtemps. Abattre froidement des enfants, dans un établissement scolaire, en visant une confession sensible qui plus est, cela constitue trois critères susceptibles de donner une exposition maximale à son action, mais aussi un coup de boost plus que sensible aux démarches policières ! L'émotion qu'il a créé a desservi l'objectif de s'inscrire dans la durées sur les assassinats de militaires.

C'est aussi la multiplicité des revendications et des buts poursuivis qui a été néfaste à son action. Tuer des militaires pour venger les Afghan de la présence de nos troupes d'occupation est une chose. Ajouter l'objectif d'abattre des Israélites, par amalgame avec les troupes Israéliennes, pour venger "les enfants palestiniens" était le meilleur moyen de se perdre ...

S'il y a une leçon à retenir, pour les candidats terroristes, c'est qu'il ne faut jamais changer son fusil d'épaule, jamais vouloir élargir le domaine de la lutte si l'on veut lutter efficacement ou longtemps. Les spécialistes sont finalement plus dangereux que les généralistes. C'est un peu l'application de l'adage "Qui trop embrasse, mal étreint"

Au contraire, la leçon pour les forces de l'ordre (mais je crois qu'ils la connaissent déjà) est que quelqu'un dont les objectifs changent en cours de route est plus facile à appréhender car sa concentration, en se dispersant selon ses buts changeants, ne lui permettra pas d'éviter les erreurs.

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Une question aux connaisseurs. Pourquoi avoir 3 services (GIGN, GIPN et RAID) pour des missions plutôt similaires ? Ne serait-il pas pertinent de conserver uniquement  un de ses seuls services (de préférence le GIGN qui a de par son statut la capacité à agir en territoire étranger) quitte à l'agrandir et lui à fournir des moyens plus conséquents ? Bref, quel avantage à conserver 3 services ?

Sinon confirmation : quand on voit les différents nombres de blessés mentionnés pour le RAID, les médias diffusent bon nombre de contre-informations. Si leur corporation avait une certaine éthique, certains journalistes devraient perdre leur carte de presse.

Une partie des explications ICI http://www.air-defense.net/forum/index.php?topic=18087.msg604192#msg604192

http://www.interieur.gouv.fr/sections/a_la_une/toute_l_actualite/securite-interieure/lancement-force-intervention

FIPN http://www.fipn.fr/

http://www.gouvernement.fr/gouvernement/lancement-de-la-force-d-intervention-de-la-police-nationale

http://www.interieur.gouv.fr/sections/a_la_une/toute_l_actualite/securite-interieure/lancement-force-intervention/downloadFile/attachedFile/plaquette_basse_def.pdf

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On va éviter ce genre de polémique comme celle de l'intervention des Commando Marine lors de l'assaut sur le voilier, un mort.Prouteau voulait le GIGN

Ah mais pourquoi Mitterand utilisait le GIGN pour protéger sa fille cachée.

Ou celles de forces spéciales au Sahel, 2 morts.

Ou pourquoi la France est encore présente en Afghanistan.

Ou pourquoi Sarkozy a donné ordre aux Rafale de bombarder et faire une No fly Zone.

Ou pourquoi 1 heure dans l'appartement en vive force.

Ou pourquoi on a regroupé la DST et les RG, et la SDAT

Ou pourquoi on a attendu une trentaine d'heures.

Ou pourquoi on a un jeune de 23 ans qui est passé au travers des mailles de la lutte anti terroriste

Ou pourquoi un THP n'a pas tiré à la PGM 12.7 Heucate

Ou pourquoi les chaînes de TV font du INFO ENTERTAINMENT

J'avais juste poser une simple question c'est inutile de tout de suite prendre la mouche mais bon de tout façon je l'avais supprimer 30 secondes après j'avais espérer que ma question n'avais pas était lu mais la prochaine j'éviterai de poser des questions et me contenterai d'acheter un journal !

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Merci pour les liens Philippe, et ça apporte quelques éléments instructifs... mais pour le profane que je suis en la matière, on se demande vraiment s'il n'y aurait pas une pertinence à conserver un seul service (quitte à élargir sa sphère d'action) pour mutualiser les moyens et les connaissances. Peut-être considère-t-on qu'il est préférable de conserver un groupe d'intervention au sein de la police afin de faciliter une certaine continuité dans les affaires ? Ou s'assurer une solution de recours si l'on s'aperçoit que quelque chose ne tourne pas rond dans l'un des autres services ? Bref, dans beaucoup d'autres secteurs d'activités, on a tendance à éliminer les services qui font redites (notamment pour économiser) alors je me pose cette question de l'intérêt ?

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