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Opérations au Mali


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Il y a 3 heures, kalligator a dit :

J'admire son dévouement mais condamne le fait qu'elle aie travaillé dans un lieu aussi pourri, n'y a t il pas à faire pour des civils innocent dans des endroits ou on ne risque de devenir monnaie d'échange pour les bandits ?

Il faudrait en savoir plus sur son ONG, une bonne ONG ne devrait pas l'obliger d'être sur place, alors qu'il y a des locaux.

Si sans elle, sur place l'ONG n'existe plus, ce n'est plus une ONG mais une action humanitaire personnel qui s’éteindra avec elle.

 

Après vérification, ce n'est pas une ONG mais une action personnelle aidé (par la suite) par une association suisse, certainement constituée en partie de quelques proches.

Modifié par gargouille
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il y a une heure, kalligator a dit :

 

C'est son droit le plus strict de risquer de se retrouver prise en otage ou décapitée même si ses raison sont très honorables simplement que perso je ne pourrais pas me mettre dans cette situation

Dans ce cas, son fils n'avait pas le droit de faire ce qu'il a fait.

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https://malijet.com/a_la_une_du_mali/248371-mali-dans-le-secret-des-negociations-qui-ont-permis-la-liberatio.html

Le 25 mars dernier, alors qu’il battait campagne pour les législatives dans sa région de Niafunké, Boubou Cissé, alors Premier ministre, est approché par Moustapha Limam Chafi. Le Mauritanien, ancien conseiller spécial de Blaise Compaoré, est réputé pour ses réseaux au sein des groupes jihadistes dans le nord du Mali et a déjà été impliqué dans plusieurs libérations d’otages occidentaux au Sahel.

Au Premier ministre malien, Chafi glisse un nom : celui de Chérif Ould Attaher, un Arabe du Tilemsi et ex-membre du Mouvement pour l’unicité et le jihad en Afrique de l’Ouest (Mujao) qui a, lui aussi, déjà pris part à plusieurs négociations pour faire libérer des otages ces dernières années.

Le 5 avril, Boubou Cissé signe un mandat officiel lui donnant autorisation de « conduire toutes les démarches, formalités et de conclure tous les actes nécessaires » à la libération de Soumaïla Cissé. Chérif Ould Attaher demande à être accompagné dans sa mission par le colonel Mamadou Lamine Konaré, alors conseiller du Premier ministre sur les questions de renseignement. La mission des deux hommes est validée par Ibrahim Boubacar Keïta et son Premier ministre dans le plus grand secret, notamment pour éviter que les services français et la Direction générale de la sécurité d’État (DGSE) malienne n’en soient informés.

Les services français sont, eux aussi, informés. Ils ne veulent pas entendre parler d’une libération de Soumaïla Cissé avant celle de Sophie Pétronin. Pour ne pas froisser l’opinion publique française, probablement, mais aussi parce qu’ils souhaitent s’adosser au cas Cissé et ne pas apparaître en première ligne – notamment pour le paiement d’une rançon. Ils plaident donc pour qu’Ahmada Ag Bibi, député de Kidal, reprenne le dossier de Soumaïla Cissé en collaboration avec les services maliens.

Ce notable touareg leur sert déjà d’intermédiaire dans le dossier Pétronin. Il connaît Iyad Ag Ghali depuis les années 1990 et a déjà joué un rôle dans les négociations pour la libération des otages d’Areva et de Vinci, enlevés en 2010 au Niger.

En parallèle, le président Emmanuel Macron appelle IBK pour lui demander de confier l’affaire à ces nouveaux intermédiaires. Sous pression française, le chef de l’État malien s’exécute.

https://www.rfi.fr/fr/afrique/20201010-mali-libération-otages-négociations-rancon-liberation-jihadistes

La libération de 200 jihahistes le week-end dernier, peut poser problème selon Christian Cambon, le président de la commission des Affaires étrangères et de la Défense du Sénat. Notamment pour les militaires de Barkhane. Christian Cambon, joint au téléphone par Pierre Firtion du service Afrique de RFI.

« Si la junte actuellement au pouvoir a organisé cet échange dans le sens d’une réconciliation nationale, cela peut se concevoir au sens où, à chaque fois que se termine un conflit intérieur qui a entraîné beaucoup de drames, beaucoup de sang, il y a toujours des échanges de prisonniers, des libérations de part et d’autre, cela peut se comprendre.

Si malheureusement tel n’était pas le cas, et c’est là effectivement où se situe mon souci, cela voudrait dire que, parmi les 100 ou 200 – on ne sait pas encore exactement combien de prisonniers ont été libérés – et au sein desquels se trouvent de manière absolument formelle quatre ou cinq terroristes qui ont signé des crimes de sang épouvantables –, s’il n’y a pas de contrepartie de paix et d’apaisement et s’il s’agit de simplement de la contrepartie de ces quatre libérations, bien évidemment, là, cela pose problème. Et si c’était ça le marchandage, cela aurait été un marchandage particulièrement périlleux et dangereux pour nous ».

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Le 09/10/2020 à 13:56, g4lly a dit :

C'est souvent comme ça une guerre non?

Et toujours on t'explique que l'autre c'est le con, le rat, l'inhumain pour que tu puisses le tuer sans trop te tracasser.

Mouais, là c'est pour dire "qui sont trè trè méchant".

T'as raison souvent la guerre c'est nier l'autre, sinon c'est pas facile. Je le garde toujours en tête et c'est précisément ce que je déteste avec toute forme d'extremisme, il nie l'autre et dans ce cas moi et mon modèle de vie. Accessoirement c'est aussi le rapport du faible au fort.

Pour ce qui nous concerne, c'est gênant de soulever mes lapalissades :wink:

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Il y a 2 heures, Wallaby a dit :

La mission des deux hommes est validée par Ibrahim Boubacar Keïta et son Premier ministre dans le plus grand secret, notamment pour éviter que les services français [...] n’en soient informés.

Les services français sont, eux aussi, informés.

C'est ballot.

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Il y a 6 heures, Hypsen a dit :

Ce sont dans les zones en guerre que les gens souffrent le plus, et donc qu'il y a le plus besoin d'humanitaires...

Par définition une ong ne travaille pas avec des militaires et ne veut surtout pas être associée à eux.

Sauf que les Ong gèrent tout de même le risque, ce ne sont pas non plus des acteurs irrationnels,  sauf dans le cas d'individus isolés qui ne voient que leur action (leur plaisir ?) sans prendre en compte l'environnement et le risque pour eux et celui-ci. ...

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On le mentionne peu, mais deux autres otages italiens ont aussi recouvré la liberté durant la même "vague".

À noter que plusieurs clichés circulent du touareg Iyad Ag Ghali, patron du GSIM, accueillant les djihadistes libérés en personne (voir Twitter de Wassim Nasr pour les curieux).

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19 hours ago, gustave said:

Sauf que les Ong gèrent tout de même le risque, ce ne sont pas non plus des acteurs irrationnels,  sauf dans le cas d'individus isolés qui ne voient que leur action (leur plaisir ?) sans prendre en compte l'environnement et le risque pour eux et celui-ci. ...

Je n'ai pas dit non plus qu'elles étaient inconscientes, simplement le risque fait parfois partie de l'engagement.

Pas besoin d'aller dans un pays en guerre, va dans une assos qui essaye de détourner les jeunes des gangs et des narcotraficants, le risque est loin d'être 0...

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https://malijet.com/les_faits_divers_au_mali/lettres_ouvertes_mali/248416-soumaïla-cissé%2C-à-son-arrivée-à-bamako%2C-exprime-sa-reconnaissanc.html

Dans l’interview accordée à Monde Afrique, le chef de file de l’opposition malienne est revenu sur les circonstances de son rapt. « Je me disais qu’il était impossible de faire campagne en restant chez moi. Ce jour-là, on a pris la route pour Koumaïra après le déjeuner. C’est à un kilomètre de l’arrivée que nous avons entendu un gros boum, un coup de feu, qui a touché ma voiture. Mon garde du corps était derrière. Il a été touché au cou, à l’artère. Dès qu’ils ont arrêté le convoi, ils ont pris mes lunettes, m’ont bandé les yeux, m’ont fait monter sur une moto et je suis parti tandis que les autres sont restés sur place. J’ai passé la nuit avec mes ravisseurs, un boulet au pied, bien que je ne sois pas du genre à fuir », a-t-il révélé.

Du haut de ses 70 ans, Soumaila Cissé a vécu des difficultés liées à l’hébergement, à l’alimentation, au déplacement…durant ses 6 mois de détention. «J’ai dû me déplacer dans vingt sites différents au cours de ma captivité. J’ai voyagé en moto, en pirogue, à dos de chameau… Au fil du temps, je traversais des zones boisées, d’autres désertiques puis herbacées. Je commençais alors à me dire qu’il y a des otages qui le restent plus de trois ans.

Je vivais aux trois quarts du temps sous les arbres. Il y a les insectes qui se faufilent dans vos vêtements, les averses qui vous surprennent à deux heures du matin… L’alimentation est quasiment la même du premier au dernier jour. Des spaghettis, des macaronis, du riz, et du pain qu’ils font. Des plats que l’on partage tous ensemble. Ce n’est clairement pas le grand confort, encore moins le paradis. Il n’y a pas d’abris, pas de contacts sociaux, pas de médicaments… », confie l’ex-otage au Monde Afrique.

https://malijet.com/la_societe_malienne_aujourdhui/248415-agression-au-siege-de-la-cmas-issa-kaou-djim-victime-de-la-posit.html (12 octobre 2020)

Le Coordinateur général de la Coordination des Mouvements, Associations et Sympathisants de l’imam Mahmoud Dicko (CMAS), Issa Kaou Djim a été agressé, le samedi dernier, par des jeunes du M5-RFP mécontents de l’ancien « N°10 » du mouvement hétéroclite. Faut-il accuser ces jeunes passionnés ? Non. Il faut plutôt s’attaquer au parrain de la CMAS pour son silence quant à l’orientation proprement dite de son mouvement : pro M5 ou Pro CNSP.

Au  même moment, Dicko est resté dans sa mosquée observant la belle mort très prochaine de son mouvement. Il ne dit aucun mot , ni en faveur du clan pro autorités transitoires ni  en faveur du clan pro M5-RFP. Ainsi, chacun de ces clans se réclame de lui. Mais où va-t-on ? Ce qui est sûr, il est le seul, aujourd’hui, à pouvoir donner une orientation claire et peut être accepté par tous au sein du mouvement.

S’il disait clairement que la CMAS soutient les autorités transitoires, ses militants du côté du M5-RFP pourraient difficilement se réclamer de ce mouvement. En ce moment, le M5 n’aurait pas aussi le courage d’aller faire ses réunions au siège de la CMAS qui soutient les autorités transitoires.

Son silence aggrave la division au sein de la CMAS. Et l’agression de Issa Kaou Djim en est l’une des conséquences.

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5 minutes ago, Kerloas said:

 

Pour bien comprendre.

L'auteur des twits traduit un document émanent de "Jamāʿat nuṣrat al-islām wal-muslimīn" concernant la libération des otages.

Jamāʿat nuṣrat al-islām wal-muslimīn raconte sa version des faits ... et s'adresse au gouvernement malien et à la France.

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https://malijet.com/actualite-politique-au-mali/flash-info/248512-attaque-contre-les-fama-a-sokoura-les-terroristes-enregistrent-d.html (14 octobre 2020)

Les terroristes ont enregistré de lourdes pertes, lors de l'attaque complexe (EEI-Embuscade) contre les FAMa le 13 octobre 2020 au pont de Paroukou.

Les FAMa ont abattu 13 terroristes et calciné 2 de leurs véhicules. Les terroristes ont aussi subi d'autres dégâts matériels (munitions, armement...logistique).

L'évaluation a permis de découvrir que ces forces du mal avaient également attaqué un camion de transport civil au pont de Paroukou. Ce bilan fait état de 12 civils tués et 23 autres blessés. Lesquels blessés ont été évacués avec ceux des FAMa par la MINUSMA.

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https://www.liberation.fr/planete/2020/10/15/echange-de-prisonniers-au-mali-le-coup-de-la-liberation_1802497

Un gradé qui a bien connu l’opération Barkhane s’étrangle : « Aucune vie ne vaut 200 prisonniers et 10 ou 30 millions d’euros [l’existence et le montant d’une éventuelle rançon ne sont pas confirmés, ndlr].» Les responsables politiques français ne le disent pas aussi abruptement, mais Paris n’est pas ravi de voir ces prisonniers à nouveau dans la nature. La France assure n’avoir pas eu son mot à dire. «La décision de libérer des jihadistes, en particulier, appartient aux seules autorités maliennes qui ont jugé que cela était indispensable pour obtenir la libération de Soumaïla Cissé », a indiqué mardi la ministre des Armées, Florence Parly, à la commission des affaires étrangères du Sénat. Selon les informations remontées à son ministère, aucun prisonnier n’aurait tué de militaires français.

Plusieurs détenus libérés sont en revanche accusés d’avoir participé à des attaques meurtrières contre les Casques bleus de la Mission des Nations unies au Mali (Minusma). Ainsi, Attiyoub Ag Inine, Azibayate Ag Alhassane, Abidine Ag Biga et Oubeye Ag Inini avaient été arrêtés le 23 mai 2017 après un assaut contre une patrouille d’un bataillon tchadien de la Minusma qui avait fait deux morts et un blessé parmi les Casques bleus à Aguelhok, dans le nord du Mali.

« A Bamako, on fait croire que 200 méchants jihadistes sont prêts à rejoindre le combat, mais ce n’est pas vrai, avertit un travailleur humanitaire qui vit dans la région. Bien sûr, certains vont prendre le maquis mais la plupart, raflés par erreur, ne sont même pas des combattants, ils vont simplement retourner dans leur famille. »

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Il y a 13 heures, kalligator a dit :

Cela fait plaisir de voir les Forces Armées Malienne obtenir un succès, elles étaient vraiment à la peine ces derniers mois

Le Parisien parle de diverses versions des faits autorisant à comprendre que les "renforts" seraient "tombés dans une embuscade" "dont l'arrivée a « coïncidé » avec l'attaque [de civils]", ce qui semble dire qu'ils n'avaient pas l'initiative.

Le même article dit que les véhicules ennemis ont été "détruits par l'aviation militaire".

Je ne savais pas que le Mali avait une aviation militaire. Si tel est le cas, c'est la première fois que j'en entends parler depuis 2012, où le Mali engageait des pilotes mercenaires ukrainiens.

Est-il tiré par les cheveux d'imaginer qu'il s'agit de l'aviation française ?

https://www.leparisien.fr/international/mali-19-personnes-tuees-dans-des-deux-embuscades-successives-14-10-2020-8402421.php

Vers 1 heure du matin, un poste militaire à Sokoura, dans le stratégique cercle de Bankass, près de la frontière burkinabée, « a été attaqué par des individus armés non identifiés » selon le ministère de la Défense. Neuf soldats maliens ont été tués.

Un renfort dépêché sur les lieux « est à son tour tombé dans une embuscade au niveau du pont de la localité de Paroukou », selon le ministère. Là, deux autres soldats ont perdu la vie. Dans les échanges de feu, treize assaillants ont été abattus et deux de leurs véhicules détruits par l'aviation militaire.

Douze civils, des forains se rendant à la foire hebdomadaire de Bankas, ont été tués au même endroit dans des circonstances encore floues. Selon une source policière interrogée par l'AFP, les forains « suivaient le renfort de l'armée », se croyant protégés, et ont ensuite été pris pour cibles par des assaillants. Mais selon un représentant de l'Etat dans la région, s'exprimant sous couvert d'anonymat, le véhicule transportant les civils « se trouvait en première position », devant les renforts militaires, dont l'arrivée a « coïncidé » avec l'attaque.

Parmi les douze civils figuraient deux femmes et un enfant. L'armée a également fait état de dix blessés et des disparus lors de la deuxième attaque.

https://minusma.unmissions.org/communiqué-de-presse-mine-un-casque-bleu-tué-dans-les-environs-de-kidal (15 octobre 2020)

Aujourd’hui vers 13h30, un véhicule de la Force de la MINUSMA a heurté une mine ou un engin explosif, à environ 50 km de la ville de Kidal. L'explosion a entraîné la mort d’un Casque bleu. Un autre, grièvement blessé, a été évacué par la MINUSMA pour recevoir des soins médicaux appropriés.

http://www.lobservateur.bf/index.php?option=com_k2&view=item&id=5457 (13 octobre 2020)

Ajoutez-y le blocus de Farabougou, au centre du Mali, où les djihadistes empêchent, depuis une semaine, les populations de sortir ou d’entrer, causant une pénurie de denrées alimentaires qui a commencé à tuer des enfants. Ils ne se sont pas contentés de fermer les portes du patelin puisqu’en plus du siège, les maîtres des lieux ont massacré six personnes, blessé vingt-deux autres et enlevé une dizaine de villageois.

https://www.dw.com/fr/au-mali-le-village-de-farabougou-centre-assiégé/a-55266040

Ces violences font suite à l'enlèvement, lors de la foire hebdomadaire du village de Farabougou, d'une vingtaine de personnes, dont neuf étaient retenues depuis. A la suite de cet enlèvement, les ravisseurs, des djihadistes présumés, encerclent Farabougou, selon les responsables locaux cités par l'AFP.

"Le village est coupé du pays par les terroristes qui ont bloqué toutes les voies d'accès", a déclaré le chef de village, Boukary Coulibaly dont les propos sont rapportés par l'AFP.

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http://www.opex360.com/2020/04/08/un-avion-dattaque-leger-a-29-super-tucano-de-la-force-aerienne-malienne-sest-ecrase-pres-de-sevare/ (8 avril 2020)

Les capacités d’attaque au sol de la force aérienne malienne ne reposent donc plus que sur 3 A-29 Super Tucano [on ignore quand les deux derniers exemplaires commandés seront livrés] ainsi que sur quatre hélicoptère Mi-24/35M cédés par la Russie [deux autres étaient attendus en 2019].

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Il y a 12 heures, Wallaby a dit :

Ajoutez-y le blocus de Farabougou, au centre du Mali, où les djihadistes empêchent, depuis une semaine, les populations de sortir ou d’entrer

Des djihadistes assiègent un patelin depuis une semaine, et il n'y a personne pour profiter de la présence confirmée et continue des affreux pour leur dire bonjour à grands coups de GBU ?

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il y a 23 minutes, Kelkin a dit :

Des djihadistes assiègent un patelin depuis une semaine, et il n'y a personne pour profiter de la présence confirmée et continue des affreux pour leur dire bonjour à grands coups de GBU ?

J'ai bien l'impression que ce n'est pas si simple, et que les vilains sont intégrés dans la population et non à l'extérieur en mode "siège du Gondor" :unsure:.

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