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Opérations au Mali


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petite correction sur ligne de défense .

se sont 800 obus tiré par les 120 et 155 de serval .

le chiffre de 80 obus tiré est celui des 105 des AMX 10 RCR .

donc 800 pélots pour en gros 8 pièces (voir 6 car on parlé d'une demie section de 120 il me semble ) s'est pas mal de tirs quand même .

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On le pourcentage de tire au but ?

Je trouvais le chiffre de 80 obus assez faible , celui de 800 obus je le trouve assez élevé pour un guerre asymétrique .

Il est probablement révélateur de l intensité des combats , mais il faut rester prudent comme je l ai déja écrit .

Combien d obus explo , fum ou eclairant ...?

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petite correction sur ligne de défense .

se sont 800 obus tiré par les 120 et 155 de serval .

le chiffre de 80 obus tiré est celui des 105 des AMX 10 RCR .

donc 800 pélots pour en gros 8 pièces (voir 6 car on parlé d'une demie section de 120 il me semble ) s'est pas mal de tirs quand même .

Question d'un néofite en la matière : Lorsqu'un appui d'artillerie est demandé, comment ça ce passe en terme de décision de tir?

Je suppose qu'il y a toute une procédure qui permet de faire ces choix, genre pour un appui contre "E" ennemie en situation "S" on doit faire tirer "x" obus par "n" pièces avec un interval de tir de "s" secondes.

Est-ce qu'on a des informations là dessus? Ou est-ce des informations classés?

Ca nous permettrait de mettre en regard le nombre d'obus tiré (et donc le nombre d'appuis demandé) avec le nombre de jour déployé. Cela parlera peut-être d'avantage.

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EUTM Mali : la formation démarre.

http://www.bruxelles2.eu/zones/sahel/eutm-mali-la-formation-demarre.html

Photos : http://www.eutmmali.eu/

L'Eurafrique à repenser.

La politique européenne de coopération, de développement est-elle à repenser ?  Ce qui s’est passé au Mali aujourd’hui, en Côte d’Ivoire hier, ne peut-il pas se reproduire demain au Burkina Faso, au Sénégal ou dans d’autres pays ? La vision post coloniale de l’Afrique des indépendances importée des anciens pays coloniaux (France, Royaume-Uni, Portugal, Belgique…) ne semble plus vraiment adaptée tout comme ne l’est pas également la vision d’un vaste champ à exploiter de pays sans un passé colonial trop affirmé (Allemagne, Pays-Bas…) qui préfèrent tisser des liens commerciaux qui posent tout autant de questions. Car la sociologie du paysage africain s’est largement modifiée depuis ses premiers fondements. Alors que la France fait peu à peu le deuil de « sa » Françafrique et rénove tant bien que mal sa politique africaine, l’approche, assez paternaliste en quelque sorte, du modèle d’Eurafrique doit donc être révisée en profondeur. L’absence d’un partenariat “stratégique” entre l’Europe et l’Afrique ou les Afriques est symptomatique d’un certain état d’esprit… dépassé.

http://www.bruxelles2.eu/zones/sahel/eutm-mali-mettre-fin-a-une-certaine-confusion-des-esprits.html

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Question d'un néofite en la matière : Lorsqu'un appui d'artillerie est demandé, comment ça ce passe en terme de décision de tir?

Je suppose qu'il y a toute une procédure qui permet de faire ces choix, genre pour un appui contre "E" ennemie en situation "S" on doit faire tirer "x" obus par "n" pièces avec un interval de tir de "s" secondes.

Est-ce qu'on a des informations là dessus? Ou est-ce des informations classés?

Ca nous permettrait de mettre en regard le nombre d'obus tiré (et donc le nombre d'appuis demandé) avec le nombre de jour déployé. Cela parlera peut-être d'avantage.

http-~~-//www.youtube.com/watch?v=Bud6r_BGj7A

Quelques éléments de réponses ... Mais je laisse les pro te répondre :)

;)

avec se genre de reportage ,Yves Debay savait faire expliqué les choses  =)

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La France est bien partie pour avoir un nouveau détachement militaire permanent en Afrique. Laurent Fabius a promis le maintien d'une force française d'appui de 1 000 hommes stationnés au Mali, tout en se gardant bien, cette fois-ci, d'annoncer une échéance de son retrait total.

A l'occasion de la visite de Laurent Fabius à Bamako, vendredi 5 avril, le gouvernement malien a réaffirmé sa volonté d'organiser des élections au mois de juillet, soit trois mois après l'amorce du retrait de l'armée française, fixée à la fin d'avril.

"Nous espérons que les conditions seront très bientôt réunies pour nous permettre d'organiser ces élections et en finir d'ici au 31 juillet. C'est un pari. Mais c'est un engagement fort du gouvernement malien", a déclaré le premier ministre, Diango Cissoko, à l'issue d'un entretien avec le ministre des affaires étrangères français.

"La communauté internationale a les yeux braqués sur vous", a lancé Laurent Fabius à ses interlocuteurs maliens, estimant "techniquement et politiquement faisable" d'avoir un "président légalement élu en juillet".

QUATRE CENT MILLE DÉPLACÉS ET RÉFUGIÉS

Malgré les commentaires sceptiques sur l'organisation d'élections dans un délai aussi serré, Bamako affiche sa confiance. Jeudi 4 avril, le ministre de l'administration du territoire, Moussa Sinko Coulibaly, a affirmé n'avoir "aucun doute par rapport" au calendrier de juillet. Il promet de trouver une solution pour que les quatre cent mille Maliens déplacés ou réfugiés puissent voter, bien que loin de leurs bureaux de vote.

"Ce ne seront pas des élections absolument parfaites", a concédé une source diplomatique française à l'AFP, estimant toutefois qu'un report ne changerait guère les choses et insistant sur la nécessité d'avoir au moins une présidentielle – le second tour des législatives pourrait être organisé en septembre.

Paris et la communauté internationale engagée au Mali insistent sur la nécessité d'un régime légitime à Bamako et comptent sur l'effet d'entraînement que pourrait avoir un scrutin pour avancer dans la réconciliation.

1 000 SOLDATS FRANÇAIS RESTERONT STATIONNÉS AU MALI

Par ailleurs, M. Fabius a affirmé que la rébellion touareg du Mouvement national de libération de l'Azawad (MNLA), en partie à l'origine de la crise malienne, devra déposer les armes "le moment venu". "Dans un pays démocratique, il ne peut pas y avoir deux armées", a dit Laurent Fabius, en affirmant que la ville de Kidal (nord-est du Mali) tenue par le MNLA, qui y a désigné un "administrateur" et a refusé la présence de l'armée malienne, "fait partie du territoire malien".

Il a confirmé qu'un millier de soldats français resteraient de façon permanente au Mali. "La France a proposé aux Nations unies et au gouvernement malien d'avoir une force d'appui française d'un millier d'hommes, qui sera permanente, qui sera au Mali, et qui sera équipée pour lutter contre le terrorisme", a déclaré M. Fabius, avant de quitter Bamako.

http://www.lemonde.fr/afrique/article/2013/04/05/le-mali-promet-des-elections-en-juillet_3155016_3212.html
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Maintenant AQMI nierait la mort de Abou Zeid !  :lol:

http://www.lemonde.fr/international/article/2013/04/06/aqmi-dement-la-mort-de-son-chef-au-sahara-confirmee-par-la-france_3155270_3210.html

C'est une erreur flagrante commise par le président français [François] Hollande, dont la popularité est faible et dont le parti est pris dans des scandales financiers et moraux, afin de faire croire à l'opinion publique française et mondiale au succès d'une victoire qui rétablirait leur confiance perdue, tant au niveau intérieur qu'à l'étranger", dénonce Aqmi.

En plus, ils s'intéressent à l'affaire CAHUZAC ! :lol:

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Dans la foulée de la rodmap présidentielle, les premiers gros volumes vont commencer à quitter le Mali. Comme je l'avais révélé ici,

(...) Ce départ du Mali ne veut pas dire que de précieuses capacités ne resteront pas en place dans les quatre sites dont la France dispose dans la région. Et des mouvements de va-et-vient ne sont pas à exclure.Surtout si l'ONU commence à sortir son carnet de chèques.

Car finalement, ce retrait précipité des troupes françaises n'est motivé que par un motif unique : l'argent, qui manque.

Détail  : http://lemamouth.blogspot.fr/2013/04/serval-commence-plier-les-gaules.html#more
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www.cridem.org/C_Info.php?article=641612

06-04-2013 13:13 - Gilles Kepel se confie à Liberté: les pays du golfe ont sponsorisé les islamistes et les salafistes'

Universitaire, arabisant, Gilles Kepel est retourné entre 2011 et 2013 dans treize pays arabes pour mieux comprendre les événements qui agitent la région depuis 2011.

Fruit de ses deux années de voyage Passion arabe est un journal de 480 pages où se mêlent des analyses, des anecdotes et des rencontres… Liban, Bahreïn, Émirats arabes unis, Syrie, Tunisie, Égypte, Palestine, Israël, Qatar, Arabie saoudite, Yémen, Turquie, Libye : un livre de vie (Kitab al-hayat) sur les printemps arabes.

Dans cet entretien, Kepel explique comment les salafistes sont sortis vainqueurs des révolutions arabes et pourquoi les monarchies du Golfe à commencer par l’Arabie saoudite ont financé les mouvements intégristes pour islamiser les sociétés arabes par le bas. Mais l’auteur fait remarquer que les nouvelles générations semblent réfractaires aux discours religieux, du moins en tant que mode de gouvernance.

Liberté : Qu’est-ce qui pousse un universitaire reconnu de 57 ans à jouer les jeunes “chercheurs-reporters” et à retourner sur le terrain ?

Gilles Kepel : En décembre 2010, le patron de Sciences-Po Paris a pris la décision absurde de fermer le département d’études du monde arabe, que j’avais créé. Pour cette nouvelle direction, restriction budgétaire oblige, il suffisait de surfer sur les blogs et les réseaux sociaux derrière son ordinateur et de parler l’anglais pour comprendre les sociétés arabes. Après “cette mise à mort”, j’avais besoin de me reconstruire. Le déclenchement des révolutions le 17 décembre 2010 (*), en Tunisie allait me permettre d’encaisser le coup de massue.

J’ai entrepris ce long voyage. Cela fait 40 ans que je fréquente cette région. J’y ai beaucoup d’amis, un certain nombre d’ennemis aussi. Je vis avec ce monde une vraie passion, faite d’amour et de détestation. Mais la soudaineté, la détermination populaire, les mots d’ordre des manifestants de ces Printemps arabes nous ont tous surpris.

Pour ma part, les catégories de pensée dans lesquelles j’étais enfermé ne fonctionnaient plus. Je devais tout reprendre. Aller sur le terrain comme un observateur de base, pour comprendre. Retrouver ces lieux où j’avais erré, rencontrer les acteurs de ces printemps pour éviter de plaquer trop rapidement des schémas d’interprétation sans fond.

Deux ans de pérégrinations, 35 voyages et 13 pays visités vous ont finalement donné la clé de “ces printemps” ?

Il faut avoir l’humilité de ne pas tirer de conclusions hâtives. Le processus ne fait que commencer. Il est loin d’être fini. Nous sommes entrés dans la troisième phase de la révolte.

Quelles sont ces phases ?

La première qui va de la mi-décembre 2010 à l’automne 2011 est celle des jeunes qui descendent dans la rue pour réclamer des droits universels : démocratie, liberté et justice sociale. La seconde comprise entre septembre 2011 et le 1er semestre 2012 correspond à la montée des islamistes. Les Frères musulmans notamment qui, invisibles et silencieux au début des révoltes, remportent les élections en Tunisie et en Égypte.

Et enfin la troisième phase, celle où depuis un an, les Frères qui ont montré leur incapacité à résoudre les problèmes sont contestés par la rue. Aujourd’hui, plus que les libéraux, on entend surtout les salafistes qui contestent les gouvernements en place. En Égypte le parti Nour, en Tunisie Ansar al-Chariah s’en prennent régulièrement aux laïcs, aux intellectuels, aux mauvais musulmans, aux artistes et aux femmes.

L’assassinat le 6 février dernier de l’opposant laïc Chokry Belaïd témoigne de la violence de ces groupes. Les salafistes sont la partie visible, “spectaculaire” de ces révolutions. Ils font beaucoup de bruit et les médias les montrent. Mais les laïcs et la société civile ne sont pas en reste. En Tunisie, au lendemain de l’assassinat de l’avocat Chokry Belaïd, des milliers de gens, libéraux et démocrates, sont descendus dans les rues de la capitale, pour réclamer la fin des violences islamistes et le départ d’Ennahda au pouvoir. En Tunisie comme ailleurs, il existe des associations citoyennes extrêmement attentives à la sauvegarde des libertés individuelles.

Plus de deux ans après leur début, n’y a-t-il vraiment aucune certitude à tirer de ces printemps ?

Quel que soit le devenir, il y a une chose sur laquelle on ne pourra pas revenir : pour la première fois dans ces pays est apparue une citoyenneté arabe. La liberté de s’exprimer, qui avait été confisquée après les indépendances par les régimes autoritaires au pouvoir, a fait surface. Les gens n’ont plus peur de descendre dans la rue, même si la contestation part dans tous les sens. Et que l’on y trouve aussi bien des jeunes en jeans et en baskets que des barbus en djellabas et des femmes recouvertes du voile intégral.

Pourquoi ces mouvements islamistes, absents au début des révolutions, ont fini par “étouffer” les jeunes libéraux, et confisquer leur révolution ?

Parce dans la clandestinité où les dictatures des anciens régimes arabes les maintenaient, ils s’étaient efficacement organisés en groupes structurés. œuvrant dans l’ombre, un peu comme les partis communistes naguère. Ils jouissaient aussi de l’aura des partis martyrs : un grand nombre de leurs dirigeants avaient été emprisonnés sous les dictatures.Ils apparaissaient aux yeux de la population rurale plus honnêtes que les autres. Contrairement à ce que les télévisons occidentales nous ont montré, les révolutions ne se réduisaient pas à la jeunesse éduquée des centres-villes, parlant le français et l’anglais et utilisant Internet et les réseaux sociaux.

Aux yeux des ouvriers, des fellahs des quartiers pauvres et des campagnes, cette jeunesse révoltée semblait trop occidentalisée. Très vite aussi quand les premières difficultés sont apparues, les Frères ont été considérés comme les seuls pouvant rétablir l’ordre et la sécurité.

Aujourd’hui l’état de grâce est terminé ?

Le même chauffeur de taxi qui en Égypte vous assurait en juin 2012 qu’avec un président comme Mohamed Morsi et son parti, Liberté et Justice au pouvoir, l’Égypte était sauvée, stigmatise aujourd’hui la confrérie en vous assurant que ces chefs sont incapables de sortir le pays du chaos. Le danger ce sont les salafistes. Soutenus par l’Arabie Saoudite, certains de leurs militants n’hésitent pas à utiliser la violence. Ces extrémistes profitent des frustrations pour gagner le cœur des peuples et conquérir les opinions publiques.

Quel est la différence entre les Frères musulmans et les salafistes ?

Soutenus par le Qatar, les Frères veulent s’emparer du pouvoir politique par le haut, en prenant le pays par les urnes. Financés par l’Arabie saoudite, les salafistes veulent islamiser l’ensemble de la société par le bas, en œuvrant dans les quartiers pauvres et les bidonvilles, sans forcément prendre le pouvoir politique. Même si récemment ils ont formé des partis. Ce qui est nouveau pour leur mouvance.

Frères et salafistes ne tiennent-t-ils pas un double langage en se montrant rassurants pour la communauté internationale et les Occidentaux, alors qu’au fond, leur désir commun est d’islamiser les sociétés ?

Ces printemps ont amené des dissensions dans les rangs islamistes, des Frères comme des salafistes. En Tunisie, l’ancien Premier ministre, Hamadi Djeballi, a démissionné de son poste car il était en désaccord avec la ligne trop religieuse de sa hiérarchie. D’autres personnalités défendent une société civile et une privatisation du religieux coupé du politique. Les islamistes ne parlent plus d’une voix unique. Ils sont confrontés à des difficultés économiques et la jeune génération se rend compte peu à peu, qu’on ne dirige pas un pays avec des versets religieux.

Vous dites que le pétrole est la cause de l’arrivée de ces mouvements islamistes. Pourquoi ?

Les révolutions arabes ont terrorisé les princes des gazomonarchies comme le Qatar et ceux des pétromonarchies comme l’Arabie Saoudite. Les mots d’ordre des jeunes révolutionnaires : démocratie, liberté, justice sociale incarnent tout le contraire de la politique de ces émirats et royaumes corrompus et dictatoriaux. Ces derniers ont vécu dans l’angoisse, de voir les manifestants arriver jusqu’à leurs portes pour les prier de partager leurs richesses.

Pour endiguer cette menace, les pays pétroliers du Golfe ont sponsorisé des groupes islamistes et salafistes, afin que ces mouvements religieux retournent la colère de leurs partisans contre les laïcs, les libéraux et les mauvais musulmans, sans remettre en cause les comportements et les privilèges des princes qataris ou saoudiens. Le pétrole est une vraie “malédiction”.

(*1) Le 17 décembre 2010, Mohamed Bouazizi, jeune vendeur ambulant de Sidi-Bouzid, ville du centre de la Tunisie, s’immole par désespoir sur une place publique. Son suicide déclenche la révolte des Printemps arabes, et entraîne la chute de trois dictatures en quelques mois : la Tunisie le 14 janvier 2011, l’Égypte le 11 février 2011, et la Libye

www.liberte-algerie.com/actualite/les-pays-du-golfe-ont-sponsorise-les-islamistes-et-les-salafistes-gilles-kepel-se-confie-a-liberte-197445

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un jihadiste canadien d'origine sud-coréenne arrêté en mauritanie

  Aqmi s'inspire chez huber felix thiéfaine ?  :lol:

(je pensais a son séminariste chinois de hambourg a moto, j'ai bien dit a moto, fonce a toute allure vers un point non défini ...)

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