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Opérations au Mali


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Capturés à qui ? Aux rebelles ?

Si les rebelles commencent à se balader avec des D30 sans que les Maliens s'en aperçoivent... Et comment ils l'ont amené ? En le tirant avec un pick-up ?

Je ne fais que précisé ce qui est rapporté dans le point de situation ci-dessus. Mais à priori l'armée malienne a du D30 donc sans doute un exemplaire récupérer après la chute de Gao, comme les BM21 ...

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http://aboudjaffar.blog.lemonde.fr/2013/02/21/keep-calm-and-shut-the-fuck-up/

Un article plutôt cinglant sur la comm de la presse et de notre ministre aujourd'hui ...

Du grand Art, il est au sommet de sa forme ! Il faut dire que cette assaut jihadiste repoussé par les forces Françaises valide ses thèses depuis le début.

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en tout cas si autour de chez moi, il y avait des zombies, personnellement j'aimerai une arme pour défendre ma famille. çà me semble légitime. d'autant que l'armée malienne n'installe pas de gardes , ou de force dans les villages secondaires. Une erreur à terme, qui finira par vider les villages et permettra aux rebelles de mieux isoler les troupes entre leur lignes de transport.

le petit coté, ils vont retourner les armes contre nous, franchement de toute manière où l'instabilité reviendra, les populations auront vite fait de comprendre qu'il vaut mieux s'entendre avec les rebelles qu'avec le pouvoir fantoche malien. On joue un jeu dangereux en mettant les populations entre le marteau et l'enclume. Mais c'est un choix.

Slider69 tu te rends compte que tu as passé les 20 dernières pages à déplorer les représailles inévitables de l'armée malienne envers les touaregs, d'où la nécessité d'une partition que tu appelles de tes voeux.

Et qu'en même temps tu souhaites qu'on arme chaque villageois songhais, peuls, soninkés... pour qu'il défouraille à la moindre occasion sur tout ce qui ressemblerait de près ou de loin à un arabe ou un targui ?

Tu te rends compte un peut de l'incohérence de tes propos ?

De plus en ce qui concerne l'absence de l'armée malienne de la région de Kidal par crainte de représailles envers les touaregs, avez-vous oublié qu'il y a encore des soldats touaregs dans la-dite armée ? Des soldats, ceux du Colonel-Major Ag Gamou par exemple, qui sont restés fidèles au Mali et à leurs frères d'armes et n'ont pas trahi.

Pourquoi donc ces soldats ne sont-ils pas employés en zone touareg vu qu'ils y sont chez eux ? Comment se fait-il que des touaregs combattent encore pour le Mali ? D'où vient la rivalité entre Iyad Ag Ghaly, de tribu noble Kel Ifogha, et Ag Gamou qui est membre d'une tribu Imghad (vassale) ? Cela voudrait-il dire que le monde touareg n'est pas monolithique (islamistes, indépendantistes laïques, légitimistes...) et que finalement le MNLA n'a en fait aucun mandat pour parler pour tous ?

Il serait temps de commencer à se poser certaines questions avant de sauter sur sa chaise en criant comme un cabri  : "partition, partition !" Car cela n'aboutit à rien et cela ne signifie rien.

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Slider69 tu te rends compte que tu as passé les 20 dernières pages à déplorer les représailles inévitables de l'armée malienne envers les touaregs, d'où la nécessité d'une partition que tu appelles de tes voeux.

Et qu'en même temps tu souhaites qu'on arme chaque villageois songhais, peuls, soninkés... pour qu'il défouraille à la moindre occasion sur tout ce qui ressemblerait de près ou de loin à un arabe ou un targui ?

Tu te rends compte un peut de l'incohérence de tes propos ?

De plus en ce qui concerne l'absence de l'armée malienne de la région de Kidal par crainte de représailles envers les touaregs, avez-vous oublié qu'il y a encore des soldats touaregs dans la-dite armée ? Des soldats, ceux du Colonel-Major Ag Gamou par exemple, qui sont restés fidèles au Mali et à leurs frères d'armes et n'ont pas trahi.

Pourquoi donc ces soldats ne sont-ils pas employés en zone touareg vu qu'ils y sont chez eux ? Comment se fait-il que des touaregs combattent encore pour le Mali ? D'où vient la rivalité entre Iyad Ag Ghaly, de tribu noble Kel Ifogha, et Ag Gamou qui est membre d'une tribu Imghad (vassale) ? Cela voudrait-il dire que le monde touareg n'est pas monolithique (islamistes, indépendantistes laïques, légitimistes...) et que finalement le MNLA n'a en fait aucun mandat pour parler pour tous ?

Il serait temps de commencer à se poser certaines questions avant de sauter sur sa chaise en criant comme un cabri  : "partition, partition !" Car cela n'aboutit à rien et cela ne signifie rien.

Extrait du point de situation du 21 ministère de la défense "Au Nord du pays et depuis le 18 février, les soldats français et maliens ont débuté leurs actions offensives dans le massif de l’Adrar avec l’opération Panthère." Il y a donc des soldats maliens en pays touareg, et ce n'est pas la première fois que c'est mentionné.

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Extrait du point de situation du 21 ministère de la défense "Au Nord du pays et depuis le 18 février, les soldats français et maliens ont débuté leurs actions offensives dans le massif de l’Adrar avec l’opération Panthère." Il y a donc des soldats maliens en pays touareg, et ce n'est pas la première fois que c'est mentionné.

Dans ce cas comment expliques-tu ça :

http://www.maliweb.net/news/armee/2013/02/20/article,128980.html

l'absence de l'Armée Malienne à Kidal mis en perspective, donne un autre éclairage à la situation militaire sur la zone.

la question que je posais il y a quelques temps !

le Mali récupérera t-il le nord ? La France et de fait l'Armée Française ont t-elles déjà actés la partition sans vouloir le dire.

ou encore ça

L’armée malienne « ne fait pas de la figuration », insiste le Premier ministre malien, Diango Cissoko. A Paris depuis deux jours, il a rencontré le ministre français de la Défense, Jean-Yves Le Drian, avec qui il a notamment évoqué l'absence de soldats maliens à Kidal.

http://www.rfi.fr/afrique/20130220-mali-diango-cissoko

Ce n'est pas parce qu'il y a quelques éclaireurs de l'armée malienne (les soldats maliens mentionnés dans le briefing) intégrés aux troupes françaises, tchadiennes ou nigériennes qu'on peut dire qu'il y a une réelle présence des troupes maliennes au nord. Apparemment il semble qu'ils ne participent pas directement aux opérations dans la région de Kidal.

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Petite erreur dans l'article qui parle du tigre avec des missiles antichars .... Malheureusement les HAD ne pourront sans doute pas faire leurs premiers vols durant l'opération Serval.

Clairon

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Personnellement, et au regard des contacts bien engagé avec la France, et confirmé à l'Etat Major Français. Le MNLA à réussi un bonne percée Politique. Une percée qui lui a permis de rejoindre rapidement les principes de l'ONU d'une protection pour les Touaregs dans leur zone de contrôle, d'avoir de bon rapport avec l'armée française sur la zone de Kidal par exemple et pour finir de préparer leurs positions dans le nouveau cadre d'un Mali redessiné qui devra intégré politiquement cette composante Nord. On verra comment politiquement les choses évolues (finalement le rapport de force permettra de savoir qui contrôle quoi et comment). Sur la présence de soldats Maliens au coté des Forces Françaises dans le Nord, j'attendrai les conclusions Historiques qui nous donnerons les détails de l'intervention à Kidal par exemple.

pas besoin en effet de monter en température... :lol: ni de sauter comme des cabris  :lol:

En respirant bien à fond et lisant les comptes rendus venant de Bamako on voit bien que le pouvoir central craint le MNLA. C'est à mon avis pas pour rien. J'ai eu plaisir à noter sur le compte rendu du MNLA qu'ils soutenaient la lutte anti terroriste et c'est à mon avis un beau tour de force de nos forces en opération sur place.

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Quant à l'article de Newsweek, tout bon flatteur vivant au dépend de celui qui l'écoute, il faut le prendre au 2nd degré et comprendre le message derrière les lignes. Le titre est assez ambigüe pour comprendre la moquerie à moins que vous pensiez vraiment que la France soit LA superpuissance, leader du monde libre.

Je ne pense pas qu'il s'agisse d'une moquerie. Par contre, le cas français est employé comme négatif pour faire ressortir l'effritement de l'influence américaine sur le plan international, et par ailleurs critiquer la politique extérieure de l'administration Obama. A dessein, l'exemple français est donc magnifié - au-delà sans doute de ce que l'auteur pense concrètement - afin de renforcer la critique adressée à la politique extérieure américaine. A titre personnel, je vais attendre avant sur le long terme pour pouvoir juger du caractère "résolu" (decisive) de l'action française.
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ce qui est marrant avec ces fous d'allah, c'est qu'ils n'ont pas le droit de boire de l'alcool et de fumer mais ils ont le droit de se shooter!!   :P

Il n'y a pas que les drogues qu'ils s'autorisent, en plus des vols, des viols, les repentis des maquis du GIA algérien parlaient aussi d'homosexualité assez répandue. Bref, ces types sont loin d'être tous des modèles de rigueur religieuse.

En revanche si je peux voir l'utilité de la kétamine pour etre insensible à la douleur, je reste dubitatif quant à son usage généralisé comme dopant, ca suppose une accoutumance et une connaissance assez précise des dosages pour ne pas tomber dans un "k-hole" (trou noir où tous les sens sont coupés). Si vous voulez voir ce que donne un exces de ketamine c'est ici O0

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Les barons de la coke de Gao : une enquête du Figaro

Depuis quelques années ils avaient élu domicile dans un quartier de Gao, quartier surnommé "cité de la cocaïne". Visite guidée grâce au reporter du journal Le Figaro Thierry Oberlé. Alors aujourd'hui, les grandes villas blanches, sont désertes, depuis le début de l'intervention française. Les riches demeures ont été pillées. Même les jacuzzis ont été démontés. Mais jusqu'à... il y a encore peu de temps, ces maisons abritaient notoirement plusieurs parrains du trafic de cocaïne. La "Mali connection" est donc mise à mal, par l'arrivée des militaires français. L'intervention française a complètement bouleversé les règles de ce trafic de cocaïne.

l'article complet est disponible ici, mis uniquement pour les abonnés : http://www.lefigaro.fr/mon-figaro/2013/02/21/10001-20130221ARTFIG00728--gao-au-mali-sur-la-trace-des-barons-de-la-coke.php

sinon vous pouvez écouter le reportage récapitulatif sur france info : http://www.franceinfo.fr/decryptage/hyper-revue-de-presse/hyper-revue-de-presse-aod-899943-2013-02-22

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Petite erreur dans l'article qui parle du tigre avec des missiles antichars .... Malheureusement les HAD ne pourront sans doute pas faire leurs premiers vols durant l'opération Serval.

Clairon

Sauf si on est encore pour 3 ans. =)  Il peut arriver aux journalistes non spécialisés de confondre un tir de missiles HOT à partir d'un HRA Gazelle avec un tir à partir du système d'armes Tigre.

http://www.liberation.fr/monde/2013/02/22/une-large-chasse-a-l-homme-pour-retrouver-les-sept-otages-francais_883738

http://lignesdedefense.blogs.ouest-france.fr/archive/2013/02/21/titre-de-la-note.html

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Interview de de Diango Cissoko le 21 février 2013 :

Nous sommes prêts à discuter de tout et avec tous, pas seulement avec les communautés du Nord. Mais il est hors de question de parler de fédéralisme. Nous ne discuterons pas, non plus, de partition du pays, Nous ne discuterons pas de la remise en question de la laïcité. Et nous n'accepterons pas la présence de groupes armés dans le pays. Il y a une seule armée, c'est l'armée malienne, qui s'occupe de tout le territoire malien défini à l'intérieur des frontières de 1960, pas un centimètre carré de moins.

Mais nous sommes ouverts à tout dialogue avec toutes les communautés dès lors qu'il s'agit de parler de développement local et d'approfondir la décentralisation. Nous sommes aussi prêts à examiner une forme de redécoupage du territoire : créer plus de régions, de communes, de cercles, d'arrondissements, dans le Nord.

http://www.lemonde.fr/international/article/2013/02/21/diango-cissoko-il-est-hors-de-question-de-parler-de-federalisme-pour-le-mali_1836028_3210.html

Le projets de développement dans le nord-Mali sont explicités dans l'article suivant paru dans le journal « L'Essor » du mardi 13 juillet 2010, à propos de la mise en oeuvre des accords d'Alger, à travers « un ambitieux programme de développement des régions du Nord comprenant 39 projets et programmes » qui est un programme réparti sur 10 ans  :

projet d’aménagement et de mise en valeur du système Faguibine ;

projet de développement des petits aménagements hydro-agricoles de proximité ;

programme pilote de promotion de la culture du palmier dattier dans la Région de Kidal etc. ;

route bitumée Taoussa-Tombouctou-Goundam-Tonka-Léré-Niono ;

une partie de la route Kidal-Anéfis-Bourem ;

barrage de Taoussa.

http://www.primature.gov.ml/index.php?option=com_content&view=article&id=4906:mise-en-uvre-de-laccord-dalger--a-la-satisfaction-des-parties&catid=23:ministere-de-ladministration-territoriale-et-des-collectivites-locales&Itemid=100088

Les avantages du barrage de Taoussa étaient résumés par A. O. Diallo dans le journal « L'Essor » du 5 décembre 2007 :

Les spéculations dépendant de la crue ne peuvent connaître qu'un développement limité même si on introduisait des pompages d'appoint en début de cycle pour compenser en partie les aléas dus à la pluie et l'expansion des cultures irriguées, handicapée par la faiblesse des débits d'étiage du Niger.Le déficit alimentaire et la pression sur les écosystèmes de la vallée s'accroîtront donc avec l'augmentation de la population et du cheptel. Par ailleurs, les perspectives de développement artisanal et industriel sont aussi handicapées par l'absence de ressources énergétiques locales et de marchés ruraux solvables. Les programmes de développement en cours, tout en étant très utiles au plan local, n'auront donc qu'un impact limité tant qu'on n'aura pas créé un saut qualitatif dans le développement par un ou des investissements de taille suffisante pour rompre avec le cercle vicieux de la pauvreté. Cet effort d'investissement devra s'inscrire dans une politique cohérente de développement.

(...)

Aussi, en réponse à la situation écologique préoccupante de la zone et aux perspectives limitées des programmes actuels de développement, le gouvernement envisage le développement durable de la boucle du Niger entre Tombouctou et Gao par la construction d'un ouvrage de contrôle des débits (barrage) à droit du seuil de Taoussa situé sur le fleuve Niger entre les villes de Bamba et Bourem.

http://touaregspassepresent.blogspot.fr/2007/12/barrage-de-taoussa-un-projet-intgrateur.html

Mais il y a aussi des inconvénients dans les grands projets de barrages : l'indemnisation des populations déplacées :

http-~~-//www.youtube.com/watch?v=yYVrDmkGM88

http-~~-//www.youtube.com/user/IUCN/?v=8PsMo1kniz8&lr=1

L'association des populations locales aux bénéfices du développement est en effet problématique, comme l'indique François Polet dans son étude sur le développement du tourisme dans les îles de Guinée Bissao :

Dans ces contextes dominés par l’informalité et les rapports de force, le discours sur la responsabilisation et la participation des « parties prenantes » relève ni plus ni moins du wishfull thinking,... ou de la mystification. En l’absence d’instance de contrôle, de mécanisme de reddition de compte ou de contre-pouvoir dignes de ce nom, l’entrepreneur est seul arbitre de ses comportements vis-à-vis des communautés locales, de ses employés, de l’environnement. Et quand bien même celui-ci est animé de bonnes intentions, il est d’abord un investisseur pressé de récupérer sa mise dans un marché compétitif et un environnement politique imprévisible. Dans ces conditions, seul un saint ne verrait pas dans l’absence de normes un avantage comparatif...

http://www.cetri.be/spip.php?article2602&lang=fr [« L’illusion du développement par le tourisme dans les Etats fragiles », article paru dans "la Revue nouvelle" d’octobre 2012]

On peut ainsi trouver sur le site de l'IUCN (Union Internationale pour la Conservation de la Nature) une étude d'impact intitulée : « Étude sur le recasement, indemnisation et droits des populations dans la zone du barrage de Taoussa » : https://cmsdata.iucn.org/downloads/etude_sur_le_recasement__indemnisation_et_droits_des_populations_dans_la_zone_du_barr.pdf

Dans ce contexte, ce qu'Alexis Roy appelle « l'instrumentalisation de la société civile » doit inspirer une certaine prudence :

Si le Mali ne craint pas la comparaison avec d’autres pays africains en matière de libertés publiques et de droits de l’homme, la prolifération d’organisations politiques et de la « société civile » n’est pas garante à elle seule d’un fonctionnement plus démocratique. La corruption, le clientélisme et le patrimonialisme continuent à travers elles à ordonner et réguler le quotidien des populations, et constituent les principaux modes de légitimité tant sur le plan social que politique et économique. Il existe cependant des dynamiques autonomes de l’État ou des bailleurs de fonds, et des combats importants sont menés par certaines organisations et partis politiques. L’instrumentalisation de la société civile a ses limites : si le mécontentement social des populations peine à trouver écho dans l’espace public, il pourrait à nouveau se matérialiser de façon violente (6), par exemple autour de la question du prix des denrées agricoles, comme on a pu l’observer dans différentes capitales africaines ces dernières années.

http://www.cetri.be/spip.php?article1975&lang=fr [« Mali : instrumentalisation de la « société civile » », article publié dans "Etat des résistances en Afrique"(CETRI, 2010)]

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Le Mujao revendique les attaques de Gao et Kidal

Le porte-parole du Mujao, Abu Walid Sahraoui, a en effet affirmé que ses combattants ont “reçu l’ordre d’attaquer.” Et d’ajouter : “Si l’ennemi est plus fort, nous allons reculer pour mieux revenir, jusqu’à la libération de Gao”, ville contrôlée depuis le 26 janvier dernier par les troupes françaises de l’opération Serval et des contingents maliens et nigériens.

“Nous allons libérer la ville de tous les mécréants. Nous avons les plans de leurs domiciles, de leur lieu de cachette, de leurs complices”, a encore assuré le responsable du Mujao.

(...) L’intervention de cette dernière a permis un retour au calme et de “neutraliser” une quinzaine d’assaillants. Au cours des combats, deux militaires français ont été “très légèrement blessés”, selon l’Etat-major des armées (EMA), de même que 4 soldats maliens. Par ailleurs, deux autres terroristes ont été tués par le contingent nigérien chargé de défendre les deux postes de contrôle installés au nord de la ville.

http://www.opex360.com/2013/02/22/mali-le-mujao-revendique-les-attaques-de-gao-et-kidal/

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MISMA : Les forces africaines au Mali pourraient finalement atteindre 10.000 hommes au lieu de 3.300 initialement prévus.

C'est l'une des recommandations issues de la réunion extraordinaire du comité des chefs d'état major de la CEDEAO, jeudi à Bamako.

Plus d'un mois après s'être engagée sur le terrain, la MISMA pourrait également se retrouver sous mandat de l'ONU.

Pour Pierre Buyoya, ancien président du Burundi, représentant de l'Union Africaine au Mali et dans le Sahel, l'évolution des données sur le terrain exige des réponses nouvelles.

http://www.bbc.co.uk/afrique/region/2013/02/130222_mali_misma.shtml

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