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L'Algérie


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Algérie: Hollande va ouvrir des archives

AFP Publié le 17/12/2012

François Hollande s'est engagé à faire remettre à la veuve du mathématicien communiste Maurice Audin, disparu à Alger après avoir été arrêté par des militaires français en 1957, tous les documents relatifs à la disparition de son mari, a-t-elle déclaré aujourd'hui à l'AFP.

Josette Audin a précisé avoir reçu, en réponse à une lettre qu'elle avait envoyée en août au Président de la République, une missive du chef de l'Etat dans laquelle il assure avoir "demandé à Jean-Yves Le Drian, ministre de la Défense, de vous recevoir afin de vous remettre en mains propres l'ensemble des archives et documents en sa possession relatifs à la disparition de votre mari". "Nous allons voir, ce n'est pas terminé, j'attends. Le ministère ne m'a pas encore contacté", a dit Josette Audin.

Dans sa lettre, François Hollande assure que "plus de cinquante ans après la fin de la guerre d'Algérie, la France "doit faire face à ses responsabilités et au devoir de vérité qui lui incombe envers vous et votre famille d'abord, mais également envers l'ensemble des citoyens", selon un extrait publié lundi par l'Humanité.

Le chef de l'Etat annonce par ailleurs qu'il comptait se rendre, au cours de sa visite à Alger mercredi et jeudi, sur la place Maurice-Audin, "en hommage à la mémoire" du jeune homme qui s'était engagé en faveur de l'indépendance algérienne. Interrogé aujourd'hui par l'AFP le général à la retraite Paul Aussaresses, qui a reconnu des actes de torture et des exécutions pendant la guerre d'Algérie, s'est contenté de déclarer, par l'intermédiaire de sa femme: "C'est une affaire douloureuse pour tout le monde".

Le 6 août, Josette Audin avait adressé un courrier au Président de la République demandant que "les historiens puissent avoir accès à toutes les archives de toutes les personnalités civiles et militaires françaises en charge du "maintien de l'ordre" en Algérie". "Comme le président de la République Jacques Chirac l'a fait pour condamner la rafle du Vel' d'Hiv', j'espère que vous ferez aussi, au nom de la France, non pas des excuses pour des actes qui ne sont pas excusables, mais au moins une condamnation ferme de la torture et des exécutions sommaires commises par la France pendant la guerre d'Algérie", avait espéré Mme Audin dans son courrier.

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Rapprochement Algero-libyen dans le domaine sécuritaire , les forces de sécurité et la nouvelle armée libyenne seront formé avec l'aide de l’Algérie dans une partie sera formé directement dans les écoles militaire algérienne .

Lancement de plusieurs initiatives de coopération sécuritaire entre l’Algérie et la Libye en janvier 2013 (Ali Zidane)

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ALGER - Le Chef du gouvernement libyen, Ali Zidane, a annoncé lundi le lancement en janvier 2013 de plusieurs initiatives dans le domaine de la coopération sécuritaire entre son pays et l’Algérie.

Dans une déclaration à la presse à l’issue de l’audience que lui a accordée le président de la République, Abdelaziz Bouteflika, M. Zidane a précisé que l’Algérie et la Libye "ont convenu de plusieurs initiatives dans le domaine de la coopération sécuritaire qui seront lancées en janvier 2013".

Le responsable libyen a en outre noté la "convergence" de vues entre les deux parties sur "la plupart des questions".

M. Zidane a ajouté que la rencontre avait permis d’aborder les questions politiques et sécuritaires, soulignant "la convergence de vues (entre les deux parties) sur la plupart des questions".

Le chef du gouvernement libyen a entamé lundi une visite officielle de deux jours en Algérie à l’invitation du Premier ministre, Abdelmalek Sellal.

http://www.aps.dz/Lancement-de-plusieurs-initiatives.html

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Sellal confirme la signature du contrat de l’usine Renault

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Le premier ministre Abdelmalek Sellal a confirmé ce soir la signature d’un accord pour l’implantation d’une usine par le constructeur automobile français Renault à l’occasion de la visite du président François Hollande mercredi et jeudi prochain en Algérie.

S’exprimant sur France3 dans le journal Soir3 en direct depuis Alger, Sellal a indiqué que les deux parties signeront un accord portant réalisation de cette usine dans l’oranie.

Le journal français Le Figaro a lui aussi indiqué ce lundi que Renault signera mercredi un accord définitif sur la création d’une usine près d’Oran lors de la visite de François Hollande .

L’usine, dont l’Etat algérien détiendra 51% et le constructeur automobile français 49%, aura en 2014 une capacité de production annuelle initiale de 25.000 véhicules, qui pourra ensuite être portée à 75.000 unités, précise le quotidien sur son site internet.

Toujours selon la même source, le site fabriquera des Renault Symbol, modèle dérivé de la Logan de deuxième génération.

Par ailleurs à la question des attentes de l’Algérie de la visite de Hollande, le premier ministre a déclaré qu’il est important de se tourner vers l’avenir et bâtir un partenariat entre les deux pays et ne plus rester prisonniers des concepts réduits, allusion faite au passé colonial de la France en Algérie.

Alors que  Sellal promet que les algériens réserveront un accueil “chaleureux”  au président François Hollande qui trouvera aussi en face de lui à Alger un président “clairvoyant”.

source: http://www.algerie1.com/actualite/sellal-confirme-la-signature-du-contrat-de-lusine-renault/

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Je n'y vois rien de bizarre, les Kabyles représentent presque la moitié des Français d'origine algérienne et sont les "plus anciennement présents", et il faudrait en tenir compte, pour le bien de la stabilité interne de la France!

Etant fils d'immigré kabyle, je me reconnais en rien dans ce clown de M'henni et dans son petit groupuscule de barmans parisiens. Lui et sa clique sont pour le moment très minoritaires en Kabylie. C'est un peu comme en France, on entend parler de particularismes voire même de groupuscules séparatistes corses, alsaciens, basques, sans parler des revendications savoyardes, bretonnes et alsaciennes. Mais au final, on se rend compte que même en Corse, d'après un référendum tenu dans cette île, les autonomistes sont vachement minoritaires, alors qu'en est il des indépendantistes qui font beaucoup de boucamps dans les médias. Au départ, ce Ferhat M'henni et son groupuscule, étaient autonomistes, et ils étaient déjà pas mal isolés en Kabylie, et ils se sont radicalisés encore plus, et donc ils vont s'isoler encore plus. Certes y a des problèmes sérieux et anciens avec le pouvoir central, mais sur des questions démocratiques, sur nos spécificités culturelles, etc.. On est certes une région réputée frondeuse, mais sa fait pas de nous des séparatistes.

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Algérie: reconnaître les "crimes" (PCF)

AFP Publié le 18/12/2012

Le PCF a exhorté aujourd'hui le président François Hollande à "reconnaître enfin la réalité du colonialisme et des crimes d'État", lors de sa visite en Algérie qui commence demain. "Il est vraiment temps de construire une relation franco-algérienne d'égalité et de maturité", demandent les communistes dans un communiqué. "La visite de François Hollande à Alger doit être l'occasion de refonder le rapport entre la France et l'Algérie et pour cela de reconnaître enfin la réalité du colonialisme et des crimes d'État qui l'ont caractérisé".

"L'État français, par la voix de ses plus hauts dirigeants, n'a jamais eu le courage d'assumer clairement, pour la dignité de la France, une aussi lourde histoire. François Hollande doit le faire maintenant". "Au cours de cette visite d'État, il doit montrer la hauteur de vue qui s'impose pour reconnaître la blessure historique infligée à la nation algérienne par 130 ans de domination et de violence coloniale et par 8 ans de répression et de guerre", insiste le PCF.

"Un geste de cette portée montrerait une volonté de faire reculer tous ceux qui, dans notre pays, instrumentalisent le passé colonial pour nourrir le racisme, les haines et les idéologies les plus réactionnaires. Cela grandirait la France", selon ce parti, qui avait été un important soutien du FLN pendant la guerre d'Algérie.

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Mais alors, l'arabe des Syriens par exemple, c'est encore différent de celui des Algériens ? Je ne savais pas qu'il y avait de telles différences.  :rolleyes:

la langue officielle de l'algérie et de la syrie et des autres pays arabes est la même partout , sauf que le dialecte de tous les jours est totalement différent de la langue officielle ! en réalité c'est dialectes sont de vraies  langues même si elles n'ont aucun statut pour le moment.

le "monde" "arabe" d'aujourd'hui ressemble à l'Europe du moyen age ou tous les peuples parlaient des dialectes romanisés alors que la langue officielle était le latin pour des raisons religieuses .

apprendre l'arabe pour les petits algériens équivaut à maitriser une langue étrangère , généralement il faut 3 ans pour lire et comprendre cette  langue . 

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C'est encore plus compliqué, car l'arabe "officiel" est l'arabe standard moderne, qui est aussi l'arabe écrit, mise au points par des intellectuels arabes de l'est de la Méditerranée, donc plus proche de ces contrées. Il prends sa source à l'arabe pré-islamique et à l'arabe coranique.

Et il y a l'arabe vernaculaire, propre à chaque zone.

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C'est encore plus compliqué, car l'arabe "officiel" est l'arabe standard moderne, qui est aussi l'arabe écrit, mise au points par des intellectuels arabes de l'est de la Méditerranée, donc plus proche de ces contrées. Il prends sa source à l'arabe pré-islamique et à l'arabe coranique.

Et il y a l'arabe vernaculaire, propre à chaque zone.

les algériens prononcent les mots arabes avec  un accent amazigh ( berbère ) et d'une manière déformée et en plus ils mélangent ça avec des mots amazigh , français et même espagnol . bien sûr l'écrasante majorité des algériens descendaient des amazighs donc c'est tout à fait normal qu'ils parlent mal la langue arabe  !

ce "mélange" linguistique à l'algérienne  n'existe pas au moyen orient où on utilise que des mots arabes avec les accents locaux ...

bon en réalité les algériens n'avait pas vraiment le choix  , il n y a avait de langue algérienne propre  , on pouvait pas officialiser le français pour  les raisons que tout le monde connait et on pouvait pas adopter l'anglais non plus  donc il ne restait que l'arabe , la langue de la religion .       

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bon en réalité les algériens n'avait pas vraiment le choix  , il n y a avait de langue algérienne propre  , on pouvait pas officialiser le français pour  les raisons que tout le monde connait et on pouvait pas adopter l'anglais non plus   donc il ne restait que l'arabe , la langue de la religion .         

La standardisation d'une langue est toujours possible, à condition qu'il y ait une volonté politique ; donc, pour reprendre, en réalité ce n'est pas qu'il n'y avait pas de langue algérienne mais que le gouvernement en place était plus branché du coté du Caire et que le coté religieux bloquait tout, et donc qu'il n'y avait pas de volonté politique de procéder à la standardisation de "l'arabe algérien" afin d'en faire une langue. Pour enchaîner, le contre-exemple est celui du maltais, dialecte arabe érigé en langue nationale de Malte pour des raisons politiques et identitaires (langue ausbau), le tout influencé par des raisons religieuses.

ps: pour ceux qui voudraient avoir un degré de comparaison, le néerlandais est beaucoup plus proche de l'allemand que l'est l'arabe maghrébin de l'oriental/standard.

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Excuses, repentance, ce qu'en pensent les Français :

A la question "pensez-vous que le président de la République française devrait présenter à l'Algérie les excuses de la France au sujet de son action durant la période coloniale?", 35 % des personnes interrogées choisissent la réponse: "non, en aucun cas. 26% disent oui, "mais à condition que l'Algérie présente des excuses au sujet des pieds noirs et des harkis". 13% disent : "oui, tout à fait", soit un sous-total de 39% de oui. 26% ne se prononcent pas.

http://www.france24.com/fr/20121219-france-algerie-35-francais-hollande-doit-pas-presenter-dexcuses
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Hollande promet un "discours de vérité" devant le Parlement algérien

Au deuxième jour de sa visite en Algérie, le président français doit prononcer un discours hautement symbolique devant le Parlement algérien. Il doit y évoquer l’épineuse question du passé colonial, sans pour autant faire acte de "repentance".

Au deuxième jour de sa visite d’État en Algérie, le président français, François Hollande, est attendu devant le Parlement algérien, où la question du passé colonial de la France dans le pays devrait, selon toute attente, être largement évoquée.

Pas de "repentance", ni d’"excuses", a cependant prévenu François Hollande. Mais une "vérité et reconnaissance de ce qui a été". "Il y a une vérité à dire sur le passé et une volonté à se prononcer sur l'avenir, a-t-il déclaré, mercredi 19 décembre, lors d’une conférence de presse. Une vérité sur le passé, sur la colonisation, sur la guerre avec ses drames et ses tragédies, sur la mémoire blessée."

"Ouvrir une nouvelle période" des relations franco-algériennes

Ce passé ne doit, en revanche, pas "empêcher de préparer l’avenir", a-t-il ajouté. "Après 50 ans, il est nécessaire d'ouvrir un nouveau temps, une nouvelle phase, une nouvelle période" et de "jeter un regard lucide sur le passé, faire l'expérience de tout ce que nous avons pu réaliser ensemble et puis ouvrir une nouvelle page". La question du passé colonial a longtemps empoisonné les relations entre les deux pays qui, aujourd’hui, affichent leur volonté de "mettre un terme" aux conflits mémoriels.

"Je suis surtout désireux de faire avancer la France et l'Algérie", a ainsi assuré François Hollande. À ce titre, il a indiqué que ce voyage ne constituait que les prémices d’une relation plus étroite avec l’Algérie. "Ce n’est pas un voyage qui fait une relation, a-t-il déclaré. C'est ensuite que nous devons donner toutes les preuves de cette réussite", a-t-il conclu, évoquant la création d’un "comité intergouvernemental" qui réunirait les principaux ministres des deux pays et l’élaboration d’un "document cadre de partenariat d’égal à égal", sorte de feuille de route de la coopération franco-algérienne.

À l’issue de ce discours très attendu devant les deux Chambres, le président français se rendra à quelque 600 km d’Alger, à Tlemcen, où il prononcera un second discours face à des étudiants. "Il soulignera à cette occasion que les questions d’éducation, d’échanges universitaires et de formation seront au cœur de l’agenda bilatéral", a expliqué Romain Nadal, porte-parole diplomatique de l’Élysée.

Accueilli en grande pompe

Pour sa première visite d’État en Algérie, François Hollande a été accueilli en grande pompe mercredi, dans une ville liftée pour l’occasion : rues passées au Kärcher, façades repeintes, drapeaux des deux nations, population mobilisée pour acclamer les deux chefs d’État…

À son arrivée, le numéro un français a fait une “déclaration d’amitié” à l’Algérie. Ce voyage "était attendu parce que c'est le premier que je fais comme président de la République, parce que c'est le premier dans cette région, parce que c'est un voyage qui vient en 2012, à un moment forcément symbolique, 50 ans après l'indépendance de l'Algérie", a-t-il déclaré.

Après une "déambulation" sur le front de mer puis un bain de foule, François Hollande et son homologue algérien, Abdelaziz Bouteflika, se sont rendus dans la résidence d'État de Zéralda pour un long entretien, à huis clos. Les deux pays ont par ailleurs signé une vingtaine de contrats, censés redonner du souffle aux relations économiques franco-algériennes. L’un d’entre eux, très attendu, porte sur une usine d’assemblage du constructeur automobile Renault près d’Oran.

http://www.france24.com/fr/20121220-france-algerie-hollande-discours-parlement-passe-colonial-repentance-excuses-memoire-histoire

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Hollande dénonce la colonisation "brutale" en Algérie

Le Monde.fr avec AFP | 20.12.2012 à 12h08

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François Hollande a dénoncé, jeudi 20 décembre, le système colonial "profondément injuste et brutal" instauré en Algérie par la France et a reconnu les "souffrances" du peuple algérien. Il s'exprimait devant les parlementaires au deuxième jour de sa visite d'Etat. Parmi ces souffrances, il a cité "les massacres de Sétif, de Guelma et de Kherrata" qui "demeurent ancrés dans la mémoire et dans la conscience des Algériens".

"La vérité, elle n'abîme pas, elle répare. (...) L'Histoire, même quand elle est tragique, douloureuse, elle doit être dite, a souligné le président français alors que l'Algérie fête le cinquantième anniversaire de son indépendance. Rien ne se construit dans la dissimulation, l'oubli ou le déni."

"Nous avons ce devoir de vérité sur la violence, les injustices, les massacres, la torture", a-t-il poursuivi en évoquant la guerre d'Algérie, sous les applaudissements des parlementaires algériens. Pour favoriser "la paix des mémoires", le président français a appelé à l'ouverture des archives des deux pays.

Soucieux de ne heurter ni les mémoires algériennes ni les mémoires françaises, le chef de l'Etat a dit ne pas "oublier" "les Français d'Algérie ni les coopérants venus après l'indépendance". Mais il n'a pas évoqué le sort des harkis, ces supplétifs de l'armée française qui ont subi des représailles en Algérie après l'indépendance. La veille, M. Hollande avait affirmé qu'il n'était pas venu en Algérie, mercredi, "faire repentance ou excuses". "Je viens dire ce qu'est la vérité, ce qu'est l'histoire", avait-il précisé au début d'une visite de trente-six heures.

Si François Hollande a dit souhaiter tourner le partenariat franco-algérien vers l'avenir, l'enjeu mémoriel de sa visite n'en restait pas moins crucial. A Alger, il lui fallait trouver les mots pour rendre hommage, sans brusquer, aux centaines de milliers de victimes d'une guerre dont la France a tu le nom jusqu'en 1999.

Il entendait ainsi réussir là où ses prédécesseurs ont trébuché. Jacques Chirac avait été accueilli dans la liesse en 2003 et 2004. Mais l'année suivante, une loi visant à inscrire dans les manuels scolaires français "le rôle positif" de la colonisation avait durablement plombé les relations franco-algériennes. Quant à Nicolas Sarkozy, il avait séduit les Algériens en décembre 2007, mais la réception dans la foulée de sa visite d'associations de harkis avait rompu le charme.

François Hollande et Abdelaziz Bouteflika tenteront donc de tourner la page de ces espoirs déçus par une "déclaration conjointe" à défaut d'un traité d'amitié. Le chef de l'Etat algérien a dit en attendre un "partenariat d'exception" tandis que Paris souhaite aussi nouer à cette occasion "un dialogue politique sur les grands enjeux internationaux", à commencer par le Mali. La France voudrait obtenir l'appui de l'Algérie en vue d'une intervention internationale dans le nord de ce pays, contrôlé par des islamistes radicaux.

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Hollande dénonce la colonisation "brutale" en Algérie

Peut-être qu'un jour, le président algérien viendra à l'assemblé nationnal française et dénocera les crimes de guerre du FLN contre les civiles.

Mais vu qu'hier dans C-Dans l'air, une historienne algérienne expliquait que le mot harkis était apparenté aux mots traître et colabo en Agérie, ça en prend pas le chemin. O0

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Peut-être qu'un jour, le président algérien viendra à l'assemblé nationnal française et dénocera les crimes de guerre du FLN contre les civiles.

Mais vu qu'hier dans C-Dans l'air, une historienne algérienne expliquait que le mot harkis était apparenté aux mots traître et colabo en Agérie, ça en prend pas le chemin. O0

le jour ou la france s'excusera auprès des français de la division charlemagne de 39/45 d'en avoir passé un grand nombres aux pelletons d'exécutions tu pourras compter sur l'algérie à ce moment là pour leur donner une autre définition ;)

hollande vient de marquer un premier coup réussit quant à sa stature d'homme d'état et j'écris pas ca par rapport à l'algérie mais il s'est en plus sacrément bien naviguer en terrain miné le bougre.

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le jour ou la france s'excusera auprès des français de la division charlemagne de 39/45 d'en avoir passé un grand nombres aux pelletons d'exécutions tu pourras compter sur l'algérie à ce moment là pour leur donner une autre définition ;)

Ah bon à ce point ? J'ignorais q'il y avait des femmes enceinte, des enfants et des vieillards dans la division Charlemagne. Ca m'étonne pas qu'ils se soient fait avoir, devaient être nul au combat.

(Moi aussi je kiff trop ses comparasons historico-café du commerce de ouff. C'est trop rigolo. :happy:)

hollande vient de marquer un premier coup réussit quant à sa stature d'homme d'état et j'écris pas ca par rapport à l'algérie mais il s'est en plus sacrément bien naviguer en terrain miné le bougre.

Oui, bof, il baisse son froque et renforce le pouvoir du FLN en reconnaissant la part de responsabilité de la France dans cette guerre et en ne demandant pas la reciproque sur les massacres du FLN. Comme d'hab. Le FLN qui pratique le négationnisme pour se maintenir au pouvoir depuis 62 doit être content.  La version du FLN, à savoir que les massacres de civiles n'ont jamais eu lieu et que les survivant sont des menteur, devient vérité officiel en France aussi. Top fort ce FLN ! La France devrait en prendre de la graine. Ca c'est de la politique.Moi celui que j'admire, c'est Boutéflika. Malin le bougre, il a su manoeuvrer le flambi pour qu'il fasse ce qu'il attendait de lui. =D

Jamais la Russie ne ferait pareil connerie, heureusement. :P

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Jamais la Russie ne ferait pareil connerie, heureusement. :P

Ah merci, j'ai bien rigolé!

C'est vrai que la Russie est adoree sur la scene internationale, leur politique etrangere est repute de Caracas a Damas en passant par la Havane ou Teheran.

On n'a pas grand chose a gagner a nier les choses qu'on a fait (et qui sont bien connues...), surtout quand on se permet de donner des lecons aux autres sur le sujet.

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Ah si la Russie, on a bien pris 10 milliards d'armements GRATOS en 2006 en payant notre ancienne dette des années 70/80  :lol:

la russie a même été payée en vins et oranges à la belle époque. ça s'appelle la réalpolitik il n'y a ni baissage de froc ni autre chose c'est juste la vie
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C'est vrai que la Russie est adoree sur la scene internationale, leur politique etrangere est repute de Caracas a Damas en passant par la Havane ou Teheran.

La Russie se fout d'être adoré pour sa politique étrangère, c'est pas un pays de bisounours comme la France. Y a qu'une seule chose qui compte pour la Russie, ce sont les intérets de la Russie. Un peu comme les ricains dans une certaine mesure. Et elle est bien plus respectée que la France sur le plan internationnal. :P

On n'a pas grand chose a gagner a nier les choses qu'on a fait (et qui sont bien connues...), surtout quand on se permet de donner des lecons aux autres sur le sujet.

Y a de la marge entre nier et faire tout seul, tout le chemin de l'acceptation alors que l'autre joue les ignorant et se fout de ta gueule ouvertement en pratiquant un négationnisme digne des partie d'extrème droite en UE, ça s'appelle baisser son froque. Mais bon, la France le fait probablement pour faciliter les accords économique et l'implantation d'entreprises FR sur le sol Algérien, chaque gouvernemen FR a toujours un peu prostitué la France pour quelques billets vert, certains ricains diront que c'est très français comme tradition après tout. :P

L'action est belle, mais comme elle est à sens unique et qu'elle le restera, ça la rend ridicule. Dommage.

la russie a même été payée en vins et oranges à la belle époque. ça s'appelle la réalpolitik il n'y a ni baissage de froc ni autre chose c'est juste la vie

La Russie a un grand pays à contenter.  =)

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