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[LPM] Loi Programmation Militaire


xav
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Faut-il revoir le dispositif militaire français en Afrique?

“On ne peut qu’être frappé du décalage entre les postures formulées dans les documents de réflexion stratégique et la réalité. La réalité, c’est que rien n’aurait été possible sans ‘Licorne’, sans ‘Épervier’ , sans ‘Sabre’. Aucun de ces dispositifs ne figure pourtant expressément au rang des bases prépositionnées du Livre blanc de 2008, qui ne prévoyait qu’une base par façade maritime africaine”, ont souligné les sénateurs Jean-Pierre Chevènement et Gérard Larcher dans leur rapport remis la semaine passée. “Sans point d’appui sur le sol africain, disposerait-on de la même réactivité, de la même expertise, bref, de la même efficacité?”, se sont-ils interrogés.

“Les forces prépositionnées qui ont été si décisives, ont-elles vraiment vocation à évoluer, sous l’effet des restrictions budgétaires et de l’arrivée (enfin !) des capacités de transport stratégique, vers de simples plates-formes logistiques, plus légères? Comment construire des relations bilatérales qui permettent d’éviter que nos forces ne soient un recours à chaque nouvelle crise? Quel avenir pour la sécurité sur un continent dont on ne peut aujourd’hui que constater la faiblesse de ses armées?”, ont-ils écrit. Le prochain LBDSN répondra-t-il à ces question?

http://www.opex360.com/2013/04/24/faut-il-revoir-le-dispositif-militaire-francais-en-afrique/

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Alors certes il s'agit du poste budgétaire qui a le moins augmenté depuis 15 ans, on est tous d'accord.

Mais quand même avec 36.2 milliards d'euros pensions comprises ce budget annuel et celui d'un pays qui consacre beaucoup à sa défense.

Néanmoins j'ai du mal à comprendre la cohérence entre les 36.2 d'un côté et les 45.7 de l'autre.

Il va bien falloir un moment que l'on se pose des questions en terme d'organisation et d'utilisation de ces crédits.

Et notamment mettre en parallèle le contrat opérationnel et l'importance des crédits alloués;

C'était LE credo de Jean-Claude Drouillot.

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Alors certes il s'agit du poste budgétaire qui a le moins augmenté depuis 15 ans, on est tous d'accord.

Mais quand même avec 36.2 milliards d'euros pensions comprises ce budget annuel et celui d'un pays qui consacre beaucoup à sa défense.

Néanmoins j'ai du mal à comprendre la cohérence entre les 36.2 d'un côté et les 45.7 de l'autre.

Il va bien falloir un moment que l'on se pose des questions en terme d'organisation et d'utilisation de ces crédits.

Et notamment mettre en parallèle le contrat opérationnel et l'importance des crédits alloués;

C'était LE credo de Jean-Claude Drouillot.

Dans les 45,7 ils ont dû compter la Gendarmerie ou les pensions ou les deux.  :P J'ai la flemme d'aller voir.
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Dans les 45,7 ils ont dû compter la Gendarmerie ou les pensions ou les deux.  :P J'ai la flemme d'aller voir.

46 milliards, chiffre du SIPRI inclus la gendarmerie de plus il ne s'agit pas du budget du mindef, mais des "dépenses" de la défense. Le budget du mindef intègre quelques recettes du mindef aussi ... Pour le SIPRI en 2011 les dépenses purement défense - sans gendarmerie mais avec pension - sont de 39.6 milliard de euros.

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Qui paie pour vigipirate?

Cout et surcout a charge du mindef visiblement http://www.assemblee-nationale.fr/13/budget/plf2010/a1972-tIII.asp#P1913_135617 seul la lutte contre les feu de foret est indemnisé par le minint.

Pour 2010 périmetre défense sans gendarmerie:

- 13 millions pour vigipirate

- 14 millions pour Harpie 2

- 9 million pour AF447

- 4 million pour IY 626

...

Surcout totale missions intérieures 41 million d'euros.

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Budget : les vrais comptes de la Défense française

http://www.latribune.fr/entreprises-finance/industrie/aeronautique-defense/20130326trib000756084/budget-les-vrais-comptes-de-la-defense-francaise.html

On est toujours numero 4 en terme de depense militaire ? l'Inde n'est pas devant nous ?

Parfois, au delà des grands discours les tableaux sont assez explicites.

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http://www.latribune.fr/entreprises-finance/industrie/aeronautique-defense/20130423trib000761219/budget-la-defense-ne-veut-pas-desarmer.html?google_editors_picks=true

La France, une puissance militaire et nucléaire

Contrairement à son voisin allemand reconnu pour les performances de son industrie « Made in Germany », la France a développé depuis les années 1960 le concept de puissance militaire et nucléaire et, à un degré moindre, de puissance spatiale. Avec succès. Elle a fondé toute une partie de sa diplomatie sur cette stratégie, qui lui permet d'exister sur la scène internationale. Le Mali n'a-t-il pas appelé au secours la France, qui garde aujourd'hui encore une influence en Afrique, en dépit de la montée en puissance des émergents, dont la Chine, sur ce continent? Paris n'a-t-il pas réussi à conserver son siège de membre permanent à l'ONU, alors que le Brésil ou l'Inde lorgnent avec envie cette position d'influence? Bien sûr, la France reste - et peut-être restera - une puissance moyenne. Mais à condition qu'elle continue à investir de façon raisonnable dans son armée.

En 2012, le Parlement a voté un budget 2013 de 31,4 milliards d'euros. Un budget de crise, qui ne permet pas de s'offrir tout ce qui était prévu mais qui permet de limiter la casse tout en tenant compte de la contrainte budgétaire très tendue du moment. Avec infiniment moins de moyens que certains pays comme les États-Unis, la France dispose d'un outil militaire structurant qui lui permet d'intervenir aux quatre coins de la planète de façon plus ou moins autonome. Cela sera encore plus vrai quand l'armée de l'air sera équipée, très prochainement, de l'avion de transport militaire A400M et, à moyen terme, des avions-ravitailleurs polyvalents A330 MRTT, qui remplaceront les Boeing KC-135 à bout de soue et qui approchent les 50 ans d'âge.

Une filière performante à la merci de Bercy

Alors que tout le monde espère le renouveau d'une politique industrielle, celle de la Défense, qui se classe au troisième rang des filières industrielles du pays, est l'une des rares réussites de la France. C'est le résultat d'investissements massifs qui ont intégré « l'impératif d'indépendance nationale en matière d'équipement des forces de défense », rappelle la Cour des comptes.

En 2012, la France a dépensé plus de 13 milliards d'euros pour l'équipement des armées : 6,2 milliards pour les armements conventionnels, 3,4 milliards pour le maintien en condition opérationnel (MCO) des matériels en service, 2,6 milliards pour la dissuasion, 885 mil-lions pour les programmes d'études amont (PEA). Toutefois, c'est un investissement qui rapporte avec un eet de levier intéressant : 1 euro investi dans la défense rapporte de 1,5 à 1,70 euro à l'État. Sous quelle forme? TVA, impôts, contributions au financement des organismes sociaux, emplois induits créés localement...Parallèlement, 1 euro de valeur ajoutée chez les maîtres d'œuvre dans le secteur de l'aéronautique et du spatial génère 4,80 euros de valeur ajoutée dans l'économie, selon l'Insee. À titre de comparaison, cet effet multiplicateur n'est que de 4,1 dans l'automobile, de 2 dans la construction et de 1,5 dans les services et le commerce. Cette filière bien dispersée sur le territoire national, à l'exception du Nord et de l'Est, fait vivre environ 4000 ETI et PME. Selon le Conseil des industries de défense françaises (Cidef), le chiffre d'affaires s'est élevé à 17,5 milliards d'euros en 2011. Et la France possédait sept entreprises dans les trente premiers groupes mondiaux en termes de chiffre d'affaires dans le domaine de l'armement (voir infographie).Pour la plupart des sociétés duales (civiles et militaires), la bonne santé des entreprises de défense devrait leur permettre de surmonter des coupes claires, se justifie-t-on à Bercy. Mais comme le rappelle un bon observateur du secteur, « si vous n'offrez pas une vision sur le long terme à ces industriels, comme tout bon industriel, ils arrêteront leur activité défense et la France perdra des compétences de haut niveau et des emplois, qui seront recyclés dans les activités civiles. En revanche, ces mêmes industriels peuvent poursuivre leur investissement si l'État leur précise que c'est simplement une période de transition ». Enfin, réduire les dépenses dans l'outil industriel d'armement, c'est également dévaloriser les actifs de l'État actionnaire de plusieurs groupes, dont certains sont cotés en Bourse. Ainsi, l'État, qui souhaite céder 1,56% d'EADS, pourrait récupérer 478 millions d'euros sur la base d'un prix de 37,35 euros par action. Au total, la Cour des comptes a estimé la valeur du portefeuille de l'État dans la Défense à 12,25 milliards d'euros.

Des emplois stables « Made in France »

S'il existe des emplois non délocalisables, ce sont bien les emplois dans la défense. Du pur « Made in France ». L'industrie revendique 165000 emplois en France, dont un tiers chez les grands maîtres d'œuvre (EADS, Thales, Safran, Dassault Aviation, MBDA, Nexter et DCNS), le reste étant disséminé dans les ETI et les PME travaillant dans le domaine de l'armement. S'y ajoutent environ 8000 emplois non marchands (CEA, CNES, Onera principalement). Le nombre d'em-plois induits dans les commerces locaux, les services (santé, éducation, loisirs, etc.) serait d'environ 130000. Soit un coecient multiplicateur compris entre 0,7 et 0,9 par rapport au nombre d'emplois du secteur de la défense. Ces emplois sont souvent qualifiés : environ 30% d'ingénieurs et 50% d'ouvriers qualifiés. Le rapport des effectifs qualifiés/non qualifiés est de 4 pour 1, contre 2 pour 1 dans l'ensemble du secteur de l'industrie. Enfin, c'est une industrie qui favorise les approvisionnements natio-naux. Ainsi, MBDA réalise plus de 80% de ses achats en France.

L'impact local est aussi très important. Le tiers des eectifs de la défense est localisé en Île-de-France, avec Thales, Safran, EADS et MBDA. Les façades maritimes françaises (Bretagne, Normandie et Méditerranée) concentrent les emplois dans le naval (DCNS notamment), tandis que les régions Sud-Ouest (Dassault Aviation, EADS, Astrium, Thales) et Médi-terranée (Eurocopter) ont l'aéronautique. Enfin, les régions Centre et Rhône-Alpes regroupent les emplois dans l'industrie terrestre (Thales, MBDA, Nexter, Panhard). C'est en Provence-Alpes-Côte d'Azur que le poids de la défense est le plus lourd, avec 20% de l'activité industrielle. Ce ratio tombe à 12% en Île-de-France, 11% en Bretagne, et 10% dans la région Centre.

Des exportations excédentaires

L'industrie de l'armement profite aussi à la balance commerciale : « Elle a exporté pour 4 milliards d'euros de matériels militaires et génère 2,7 milliards d'euros d'excédent net », avait annoncé en juillet 2012 le président du Cidef, Christian Mons. Soit un taux de couverture de 290% en 2011 (si le taux est inférieur à 100%, la balance commerciale est déficitaire) et une moyenne de 267% sur la période 1990-2010, selon l'Insee. En moyenne, l'export représente entre 30 et 40% du CA des industriels du secteur, qui ont toutefois besoin d'une commande nationale pour pouvoir exporter un matériel certifié par l'armée française.

Rafale, A400M, Tigre, NH90, frégates multimissions, canons Caesar... : les industriels français ont aujourd'hui à leur disposition des produits matures sur le plan opérationnel, dont la plupart ont fait leur preuve au combat en Afghanistan, puis en Libye et au Mali. Ce qui est un plus dans les négociations. En termes de prises de commandes, les groupes de défense ont engrangé 6,5 milliards d'euros en 2011 et près de 5 milliards en 2012. La plupart sont engagés sur de grandes compétitions commerciales. C'est le cas de Dassault Aviation en négociations exclusives avec l'Inde pour la fourniture de 126 Rafale. L'avionneur est en bonne place pour équiper les armées de l'air émiratie (60 appareils), brésilienne (36), malaisienne (18) et qatarie (24). Au Qatar et au Brésil, l'ensemble des groupes français lorgnent plus de 20 milliards d'appels d'ores lancés par Doha et plus de 15 milliards par Brasilia. En Arabie saoudite, Thales attend un contrat de défense aérienne de plus de 2,5 milliards tandis que MBDA, qui devrait équiper le Rafale de ses missiles une fois exporté, est en attente d'une commande de 1,8 milliard de Delhi.

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http://www.lepoint.fr/editos-du-point/jean-guisnel/la-marine-sauve-ses-navires-pas-ses-missions-18-04-2013-1656450_53.php

c'est quoi ce délire ?

Commande de Fremm réduite

Le porte-avions nucléaire qui se serait trouvé sur la sellette si l'hypothèse budgétaire de Bercy avait été validée par François Hollande va pouvoir se maintenir à flot. Il est vrai qu'avec ses Rafale armés du missile ASMP-A, il participe aussi à l'intouchable dissuasion. Mais le programme Fremm (frégates européennes multimissions) va souffrir. De 17 navires prévus au lancement de cette série, le nombre avait déjà été ramené à 11 en 2008. Le nombre final ne devrait pas dépasser huit exemplaires, le premier exemplaire de ces frégates lourdes, L'Aquitaine, procédant actuellement aux derniers essais avant son entrée en service.

Sur les sept autres bâtiments (Normandie, Provence, Languedoc, Auvergne, Alsace, Bretagne et Lorraine), cinq sont déjà sur cale au chantier DCNS de Lorient, la ville du ministre de la Défense Jean-Yves Le Drian. Il est très vraisemblable que la série pour la marine française s'arrêtera à ces huit exemplaires. La marine nationale devrait donc compter à terme dix frégates "lourdes", à savoir les huit Fremm et les deux FDA (frégates de défense aérienne) de type Horizon, le Forbin et le Chevalier Paul. Auxquelles s'ajouteront les cinq frégates légères de la série La Fayette (La Fayette, Surcouf, Courbet, Aconit et Guépratte).

8 ASM il en manque une ? et les Freda ?

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11-2 à la Grèce = 9

Reste plus qu'à en fourguer une à un autre acheteur et hop!

Tu es à 8...

D'un coté si à la place des 2 fredas on les loues aux grecs

Autant développer des FREDA+ABM....  avec les italiens

Mais 9 ASM c'est le minimu

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bonjour,

désolé pour ma question, mais je ne comprends pas bien pourquoi en avoir 9 est le minimum nécessaire ?

actuellement, je dirais même que nous en sommes à 7 (si je ne me trompe pas).

(6 type F70 - je ne compte pas le Georges Leygues - et la dernière type Tourville F67)

Mais je ne connais pas assez bien la marine pour savoir si elle est vraiment perturbée de ce si petit nombre de frégate ASM depuis quelques années.

D'ailleurs, lors de la commande des 17 FREMM , nous devions avoir combien de ASM et d'AVT ?? ce n'était pas 8 ASM ?

Pour moi, lorsque nous sommes passés à 11 FREMM, on a gagné en fait une ASM en "bonus" (9 + 2 FREDA), un confort supplémentaire me semble-t-il.

Donc en gros, (re)passer à 8 ASM (et les 2 FREDA louées à la grêce), ça ne pourrait pas passer si jamais le Livre Blanc/future LPM en décidait ainsi ?

Au prix de la conservation des 6 Barracuda, moi je signe de suite pour 8 ASM + 2 FREDA prêtées que l'on récupèrera dans quelques 10 ou 15 ans :)

Merci d'avance pour vos précisions sur mes interrogations et remarques :)

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bonjour,

désolé pour ma question, mais je ne comprends pas bien pourquoi en avoir 9 est le minimum nécessaire ?

actuellement, je dirais même que nous en sommes à 7 (si je ne me trompe pas).

(6 type F70 - je ne compte pas le Georges Leygues - et la dernière type Tourville F67)

Mais je ne connais pas assez bien la marine pour savoir si elle est vraiment perturbée de ce si petit nombre de frégate ASM depuis quelques années.

D'ailleurs, lors de la commande des 17 FREMM , nous devions avoir combien de ASM et d'AVT ?? ce n'était pas 8 ASM ?

Pour moi, lorsque nous sommes passés à 11 FREMM, on a gagné en fait une ASM en "bonus" (9 + 2 FREDA), un confort supplémentaire me semble-t-il.

Donc en gros, (re)passer à 8 ASM (et les 2 FREDA louées à la grêce), ça ne pourrait pas passer si jamais le Livre Blanc/future LPM en décidait ainsi ?

Au prix de la conservation des 6 Barracuda, moi je signe de suite pour 8 ASM + 2 FREDA prêtées que l'on récupèrera dans quelques 10 ou 15 ans :)

Merci d'avance pour vos précisions sur mes interrogations et remarques :)

Premièrement, une flotte de navire n'a pas une DTO à 100% entre ceux qui sont en ATM ou IPER donc à quai, ceux à quai en attente pour appareiller, ceux en reprise OP et ceux en patrouille.On sait qu'il faut 4 FREMM ASM pour la protection FOST au large de île Longue/Brest ...on sait que les pays se dotent de sous-marins tous type, on parle même de prolifération car à ce jour, 43 états possèdent des sous-marins, contre 10 durant la guerre froide.

Donc les FREMM doivent ou devaient remplacer les frégates classe Tourville/Georges Leygues et Cassard.Donc 9 navires.

On sait à la suite du RETEX Balkans, qu'on a formaté un besoin d'une flotte à 4 navires à vocation lutte antiaérienne, donc 2 FDA et 2 FREDA.

Idem avec la DTO et MCO, pour assurer une permanence opérationnelle pour protéger le PAN et le GAN, ou le groupe Amphibie.

D'un format avant 2008 à 26 navires de surface de premier rang, on est passé à 18 frégates de premier rang.Avec 11 millions de km² de ZEE , une République Française riveraine de 3 océans, et de 4 mers, on ne peut pas passer sous une flotte à moins de 4 SNLE/6 SNA/18 navires de combat.

On nous a démontré la nouvelle prise de conscience d'une maritimisation, on a une Marine Océanique du grand large.Nous ne sommes pas là pour faire des ronds dans l'eau Mare Nostrum.

Conclusion, on doit faire un effort sur les équipements navals .Entre 2011 et 2016 pour les BRIC, le budget naval de la Russie doit/devrait augmenter de 35%, celui de la Chine de 57%, celui du Brésil de 65% et l'Inde 69%...Je ne compte pas celui de l'Afrique du Sud.

On peut observer les montées en puissance de la Corée du Sud, du Japon qui l'était, de la Malaisie, de Singapour, de l'Australie et du Canada.

On peut s'inspirer de celui de UK en UE.   6 T45 Destroyers Lance missiles et 13 T23 remplacées par 13 T26.7 SSN/SNA/4 SNLE/SSBN/2 CVF/...

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Donc en gros, (re)passer à 8 ASM (et les 2 FREDA louées à la grêce), ça ne pourrait pas passer si jamais le Livre Blanc/future LPM en décidait ainsi ?

Au prix de la conservation des 6 Barracuda, moi je signe de suite pour 8 ASM + 2 FREDA prêtées que l'on récupèrera dans quelques 10 ou 15 ans :)

Merci d'avance pour vos précisions sur mes interrogations et remarques :)

Tu rêve !! on parle de 20 ans voir plus !!
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