Aller au contenu
AIR-DEFENSE.NET

Exploitation minière dans l'espace


seb24
 Share

Messages recommandés

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

asteroide, lune, mars, plus loin, les astéroides seraient un bon commencement, il faut trouver les méthodes d'exploitation et de rentabilité, du moins tout ce qui concerne le minerai rare  (15 ans) qui est utilisé dans l'industrie et l'électronique. les ressources terrestre ne sont pas inépuisable, même avec le recyclage. la lune avec l'hélium 3 (2 million $ le kg).  puis Titan (hydrocarbure, méthane), Europe, etc..

http://www.enerzine.com/helium-3-quand-lenergie-viendra-de-la-lune/6094-2009-07

avec les coûts des fusées qui se réduisent, le privé qui commence à s'intéresser à de nouveaux objectifs.

 

Modifié par zx
Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

Le 30/07/2017 à 19:44, zx a dit :

Grrrrrr. Je serais bien tenté de monter ma startup d'exploration et exploitation minière dans l'espace.

Qui est partant ?

 

 

 

Le 30/07/2017 à 19:49, RestitutorOrientis a dit :

Il y a quel genre de mines sur Mars? La Lune? Vénus étant trop dangereuse.

 

Des mines ? Pour le moment aucune......

Pour les ressources exploitables sur la Lune on a le Titane, les terres rares éventuellement, mais surtout l'oxygène de la régolite et l'eau des pôles qui pourrait faire de l'astre sélène une sorte de relais routiers/stations services de l'espace.  

Notons qu'à part l'oxygène la quasi absence d'éléments légers même combinés, comme le carbone, l'azote et l'hydrogène, supports indispensable à la vie : il faudra tout importer. Mais la difficulté majeur d'une éventuelle exploitation minière est que la concentration des différents minéraux est très faible et donc pas très économique à exploiter malgré l'abondance de l’énergie solaire ; mais ce n'est pas vraiment grave si le but est juste de développer une infrastructure de base qui avant tout faciliterait l'exploration du système solaire. Mais on peut penser quand même qu'il doit y avoir des gisements suffisamments concentrés de quelques mégatonnes ou  gigatonnes des éléments technologiquement les plus intéressents soit suffisent pour lancer une petite activité capable de soutenir une communauté humaine modéré de quelques milliers de personnes et ses infrastructures.

Le truc est que la Lune n'a pas connu d'activité hydrologique dans son sous-sol ou à sa surface comme sur Terre ; tout le contraire de Mars qui au contraire a connu une intense activité hydrologique et ressemble par là à sa cousine terriennes. On doit donc y trouver des gîtes de minéraux hautement concentrés faciles à exploiter, et surtout suffisant pour le développement d'une civilisations autonomes de plusieurs millions de personnes. Mais inutile de songer à l'exportation au vu de la force de la gravité martienne.

 

Le plus intéressant reste la ceinture d’astéroïde qui regorge de métaux comme le platine, l'Or et l'iridium qui coûtent une fortune sur notre planète bleu. Ces métaux très denses on en quelques sorte coulé vers le noyaux et son "sidérophile" - c'est à dire qui ont une affinité avec le Fer,  ce dernier se concentrant au centre de la Terre. C'est d'ailleurs simple, les métaux que je viens d’énumérer son pour la plupart d'origine "extraterrestre" dans le sens où ils sont arrivés à une période relativement tardive de l’existence de la Terre avec des astéroïdes. La microgravité qui règne dans la ceinture d’astéroïde devrait rendre aussi économique le transport qui n'aura besoin que de peu d’énergie, mais assez acrobatique le travail d'extraction/raffinage.

Modifié par Shorr kan
  • J'aime (+1) 1
  • Upvote (+1) 1
Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

Le plus simple ne serait pas de capturer des astéroïdes, pour les transformer en géocroiseur ... et de tout récolter après l'impact?

Ca serait probablement bien plus simple que d'exploiter sur place puis trimbaler dans un vaisseau spatial.

Le petit souci c'est que détourner un astéroïde ... je suis pas certain que ce soit très légal, du moins ... pas pour les planter sur terre.

Visiblement la Nasa avait un projet dans le genre ... sensé stoker l'asteroide en orbite pour exploitation postérieure.

  • J'aime (+1) 1
Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

il y a une heure, g4lly a dit :

Le plus simple ne serait pas de capturer des astéroïdes, pour les transformer en géocroiseur ... et de tout récolter après l'impact?

 

Si tu penses à des trucs de plusieurs kilomètres ou même juste centaines de mettre, au-delà de la simple survie de la vie sur Terre je pense qu ça ne va pas le faire : les différentes associations de riverains de la planète se donnerons la mains pour faire barrage à l'idée au nom du principe bien terrien du "pas dans mon jardin".

 

Blague à part, tu désignes une aire d’impact de quelques centaines de kilomètres carrés, tu te limites à des cailloux de quelques dizaines de tonnes envoyés à un rythme régulier, tu apprends à viser juste et gérer les aléas de la trajectoire et c'est bon.

Le seul inconvénient majeur que je vois est le risque de balancer suffisamment de poussières cumulés dans l'atmosphère pour provoquer un hiver nucléaire...

Un autre effet à évaluer, c'est celui de l'ionisation  de grand ampleur de l'atmosphère provoqué par d'innombrables rentrés. 

 

 

Modifié par Shorr kan
Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

il y a 43 minutes, g4lly a dit :

Le plus simple ne serait pas de capturer des astéroïdes, pour les transformer en géocroiseur ... et de tout récolter après l'impact?

Ca serait probablement bien plus simple que d'exploiter sur place puis trimbaler dans un vaisseau spatial.

...

L'avantage d’extraire et de raffiner dans l’espace c'est de pouvoir utiliser le rayonnement solaire H24 et pas atténué, et accéder à des ordres de grandeurs énergétiques sans commune mesure avec ce qui existe sur Terre. 

Mais le principal intérêt d'une activité industrielle dans l’espace est de ne pas avoir à tout ramener de la Terre. Mais c'est vrai que juste balancer de la caillasse sur Terre est le plus facile dans un 1er temps vu les niveaux de concentrations de métaux dedans.

Ce serait une façon aussi de s’entraîner aux bombardements orbitaux :ph34r:...

 

il y a 43 minutes, g4lly a dit :

...

Visiblement la Nasa avait un projet dans le genre ... sensé stoker l'asteroide en orbite pour exploitation postérieure.

Oui, c'est leur projet. C'est apparemment le seul truc potable qu'il ont trouvé à faire faire à leur lanceur géant.......enfin jusqu’à récemment. Même ça ils vont plus le faire :

https://www.cieletespace.fr/actualites/la-nasa-sauve-son-budget-mais-perd-son-asteroide 

:dry:

 

il y a 13 minutes, g4lly a dit :

Et si on vise un carré au milieu de l'océan ... pas trop profond ... pas de riverain, pas de poussière.

Ouais, pourquoi pas. 

Modifié par Shorr kan
Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

Tiens cela me fait penser à l'expansion européenne à travers le monde, rapporter des épices et de l'or.....

L'un des problèmes qui risque de se poser est la rentabilité des mines terrestres, rien qu'un astéroïde de la taille d'une région composé de fer pourrait faire sombrer la valeur du fer...

Et je ne parle même pas de la création d'une sphère de dyson ou la possibilité de rallonger la durée de vie du soleil...

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

il y a une heure, kotai a dit :

Et je ne parle même pas de la création d'une sphère de dyson ou la possibilité de rallonger la durée de vie du soleil...

Bien que théoriquement possible (avec un budget illimité et beaucoup d'imagination !) aucun des deux ne se fera pour une question tout bêtement économique... :tongue:

Concernant la sphère de Dyson, il serait infiniment moins cher et plus rapide de construire quelques milliers de réacteurs à fusion, plutôt que mobiliser tout le pognon de la terre sur plusieurs milliers d'années pour la construction d'une telle sphère (qui serait plutôt sous une forme d'essaim ou d'anneau en pratique). Sachant qu'il faudrait pour cela démanteler la ceinture d''astéroïde voire une planète ou deux pour la construction et surtout trouver une solution à la problématique de l'acheminement de l’énergie à travers le système solaire.

Pour le rallongement de la durée de vie du soleil, ce n'est pas juste un moteur dans lequel il suffit de refaire le plein d’hydrogène pour gagner en autonomie. En faite cela serait contre-productif car rajouter une telle quantité d’hydrogène (déjà il faudrait réussir à l'acheminer !) augmenterait la masse de notre étoile et donc sa gravité... ce qui aurait pour conséquence d’accélérer la vitesse à laquelle notre étoile brule son combustible et donc réduirait sa longévité. La solution est donc de faire maigrir notre soleil... encore une fois il faudrait tout le pognon de la terre sur plusieurs milliers d'années pour avoir une noria de millions de vaisseau qui passeraient leur temps à faire l'aller retour depuis notre soleil (avec une gravité 30 fois supérieur donc autant dire qu'il faudra de sacré moteur). Bref, on se contentera sans doute de juste faire nos bagages et se barrer ailleurs à la place, ça coutera bien moins cher et ça nous donnera l'occasion de foutre un peu le bordel ailleurs :ph34r:.

 

 

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

Il y a 1 heure, Flippy a dit :

...

Pour le rallongement de la durée de vie du soleil, ce n'est pas juste un moteur dans lequel il suffit de refaire le plein d’hydrogène pour gagner en autonomie. En faite cela serait contre-productif car rajouter une telle quantité d’hydrogène (déjà il faudrait réussir à l'acheminer !) augmenterait la masse de notre étoile et donc sa gravité... ce qui aurait pour conséquence d’accélérer la vitesse à laquelle notre étoile brule son combustible et donc réduirait sa longévité. La solution est donc de faire maigrir notre soleil... encore une fois il faudrait tout le pognon de la terre sur plusieurs milliers d'années pour avoir une noria de millions de vaisseau qui passeraient leur temps à faire l'aller retour depuis notre soleil (avec une gravité 30 fois supérieur donc autant dire qu'il faudra de sacré moteur). Bref, on se contentera sans doute de juste faire nos bagages et se barrer ailleurs à la place, ça coutera bien moins cher et ça nous donnera l'occasion de foutre un peu le bordel ailleurs :ph34r:.

 

 

Je me souviens qu'Hubert Reeves avait proposé de "brasser" avec des lasers à rayon X la matière de notre étoile pour en prolonger de quelques milliards d’années la vie. Bien sur ce n'est que de la SF, mais l'idée est là.

ça me rappel cette dame qui s'est effondré durant une conférence sur la vie et la mort de notre Soleil. Les gens accourt et lui demande pourquoi elle fait un malaise, ce à quoi la dame répond " mais vous n'avez pas entendu ! le conférencier a dit qu'il reste 5 millions d’années avant que le Soleil ne s’éteigne !! " Ce sur quoi le conférencier corrige  " Non, c'était une coquille, c'est plutôt 5 milliards d’années " et la dame à son tour de souffler " Ouf, j'ai eu peur" :laugh:

  • J'aime (+1) 1
  • Upvote (+1) 1
Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

Il y a 21 heures, g4lly a dit :

Le plus simple ne serait pas de capturer des astéroïdes, pour les transformer en géocroiseur ... et de tout récolter après l'impact?

 

c'est en effet la plus simple la méthode et la moins chère, du moins au début, pour des astéroides de petite taille, mais il faudrait le recouvrir d'une bache thermique pour le garder intact pour la rentré en atmosphère, ensuite il faut le guider vers zone de parking pour qu'il se crash en toute sécurité sur terre, comme pour les cargo. ca mérite de faire l'essai à moindre coûts, pour évaluer le minerai, car cette méthode a des limites. on peut le traiter dans l'espace et envoyer le minerai extrait de la meme façon.

Modifié par zx
Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

  • 2 months later...

 

https://www.lesechos.fr/finance-marches/marches-financiers/030676697693-mines-dans-lespace-la-nouvelle-frontiere-2120384.php

si restriction d'accès

 

Les nouvelles ambitions dans l’exploration spatiale pourraient exiger de collecter les ressources naturelles in situ. A commencer par l’eau. Mais les défis restent immenses.

Au lendemain d'une nouvelle annonce d'Elon Musk, qui décrit la colonisation de Mars par l'humanité - propulsée par ses fusées - comme imminente, et alors que les acteurs (majoritairement privés) du « New Space » sont chaque jour plus engagés dans l'exploitation commerciale de cette dernière frontière, une nouvelle « space race » se développe, pour le forage des ressources minières spatiales. 

L'idée d'exploiter les ressources naturelles des astéroïdes n'est en elle-même pourtant pas nouvelle : elle a plus de 100 ans, évoquée pour la première fois dans une nouvelle de science-fiction de 1898, « Edison's Conquest of Mars ». Elle résonne aujourd'hui d'une manière beaucoup plus convaincante, sur fond de possible pénurie de ressources sur Terre : nous pourrions être 10 milliards d'habitants en 2070 , et les astéroïdes, selon certains acteurs du secteur, deviendront une source rentable et quasi-inépuisable de matériaux comme l'or, le nickel, le cobalt, le platine dont sont friands les industriels toujours plus gourmands de l'électronique et des circuits intégrés. 

Cette omniprésence du téléphone portable et de l'ordinateur a déjà déclenché sur Terre, ou plutôt sur mer, une course aux forages du plancher océanique en eaux profondes, censé abriter en nombre ces précieux métaux et qui voit de nombreuses entreprises se disputer les droits d'extraction dans une nouvelle version de la ruée vers l'or, jouée à 1.500 mètres de profondeur. De tels forages ne sont, comme on peut s'y attendre, pas une excellente nouvelle pour l'environnement dans ces zones dont la biodiversité est encore largement méconnue, et de nombreux scientifiques ont déjà tiré la sonnette d'alarme. 

Mais si les forages spatiaux, en comparaison, semblent donc une bonne nouvelle pour ceux d'entre nous qui, n'en déplaise à Elon Musk, ont prévu de rester sur Terre dans les années qui viennent, c'est surtout pour ceux qui vont effectivement quitter la planète qu'elle est un enjeu encore plus important. 

De l'eau comme carburant

En effet, si les deux entreprises leaders du domaine, Deep Space Industries et Planetary Resources, s'intéressent au forage spatial des métaux et à leur retour sur Terre, elles concentrent leurs efforts sur un trésor bien plus précieux : l'eau.

Cette dernière est présente en grande quantité dans de nombreux astéroïdes à portée de la Terre ou localisés de façon très pratique sur le « trajet » vers Mars, et pourrait s'extraire de manière relativement simple.

L'eau, dans l'espace, est nécessaire à la vie des futurs voyageurs, protège des radiations, mais sert surtout à produire le carburant nécessaire à toute l'entreprise (hydrogène et oxygène, par hydrolyse). Un astéroïde d'un diamètre somme toute modeste de 75 mètres pourrait contenir l'ensemble du carburant utilisé... par les 135 lancements de la Navette spatiale ! 

Technologiquement, l'extraction pourrait se faire sans contact : évaporer l'eau en concentrant l'énergie thermique solaire, puis la collecter sous forme de glace sur une plaque froide pré-disposée.

L'absence de gravité autour d'un astéroïde pourrait être un avantage plus qu'un inconvénient, pour pouvoir le quitter une fois la « récolte » effectuée. Toutes ces technologies sont déjà testées par les ingénieurs sur Terre ou même dans l'espace, et le défi pourrait plutôt venir de l'identification des astéroïdes riches en eau. 

Les missions actuelles de Deep Space Industries et Planetary Resources visent à qualifier les technologies nécessaires (navigation optique, propulsion à eau, capteurs infra-rouge) sur des satellites miniatures. Toutes deux évoquent à un horizon de 10 ans une mission au-delà de l'orbite terrestre, vers un astéroïde qui reste à définir parmi une short-list de 150, dont une douzaine devraient se révéler les meilleurs candidats d'ici à 2020. 

image:

2120384_mines-dans-lespace-la-nouvelle-f

Vue d'artiste d'un minage d'astéroïde, par Deep Space Industries   - DSI

Des acteurs traditionnels plus circonspects

Si la technique semble donc à portée, le cadre légal et volet financier se mettent également en place. Deux Etats, le Luxembourg et les États-Unis, ont légalisé l'exploitation minière spatiale en 2016 et 2015 respectivement. Le Luxembourg a signé un accord avec chacune des deux entreprises leaders du domaine et ouvre une ligne de crédit de 200 millions d'euros pour la R&D du forage spatial, en devenant de facto la capitale mondiale.

Si certains critiques y voient une violation du Traité de l'Espace issu de la guerre froide, celui-ci n'interdit pas explicitement l'exploitation commerciale. Goldman Sachs note dans un rapport en 2017 que « les forages spatiaux pourraient être plus réalistes qu'on ne le pense » et que le stockage d'eau en tant que carburant pourrait réllement « changer la donne », créant de véritables stations-service spatiales. 

Les acteurs plus traditionnels du spatial, Etats, laboratoires et agences, sont plus circonspects, même si la NASA envoie une mission capturer un astéroïde métallique en 2019, à des fins scientifiques. Les agences européennes, russes et chinoises se concentrent sur la Lune et Mars. Une étude du MIT a chiffré le coût « d'identifier, capturer et remorquer un astéroïde de 500 tonnes jusqu'en orbite terrestre » à 2,6 milliards de dollars, sans compter les coûts pour extraire et traiter les ressources. 

Conscientes des exploits technologiques que demande l'approche de corps célestes (Curiosity, Rosetta, pour citer les plus récents) et fortes de leur expérience, les agences avancent sans faire d'éclat et sur un calendrier moins ambitieux mais déterminé. Et si finalement, la grande course spatiale de notre époque allait se jouer vers Mars entre privé et public ?

Modifié par zx
  • Upvote (+1) 1
Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

  • 3 years later...

Article sur la politique spatiale du Luxembourg qui consacre 2 % de son PIB soit 200 millions d'euros dans ce domaine. Il y a cinquantaine de sociétés impliqués dans le spatial et l'exploitation future des ressources minières spatiales reste l'axe prioritaire de sa politique :

https://www.lettrevigie.com/blog/2021/06/13/le-luxembourg-est-il-une-vraie-puissance-spatiale-j-crisetig/

 

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

Rejoindre la conversation

Vous pouvez publier maintenant et vous inscrire plus tard. Si vous avez un compte, connectez-vous maintenant pour publier avec votre compte.

Invité
Répondre à ce sujet…

×   Collé en tant que texte enrichi.   Restaurer la mise en forme

  Seulement 75 émoticônes maximum sont autorisées.

×   Votre lien a été automatiquement intégré.   Afficher plutôt comme un lien

×   Votre contenu précédent a été rétabli.   Vider l’éditeur

×   Vous ne pouvez pas directement coller des images. Envoyez-les depuis votre ordinateur ou insérez-les depuis une URL.

 Share

  • Statistiques des membres

    5 964
    Total des membres
    1 749
    Maximum en ligne
    Aquaromaine
    Membre le plus récent
    Aquaromaine
    Inscription
  • Statistiques des forums

    21,5k
    Total des sujets
    1,7m
    Total des messages
  • Statistiques des blogs

    4
    Total des blogs
    3
    Total des billets
×
×
  • Créer...