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Crise financière mondiale [info only]


debonneguerre
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Le PIB français ne dépasse pas son niveau de 2006

DÉCRYPTAGE - L'activité stagne en France depuis six ans. Elle a même a reculé au cours des deux premiers trimestres de l'année dernière, reconnaît l'Insee après avoir rectifié ses chiffres initiaux. Une «récession cachée» - la deuxième en trois ans.

C'est l'une des principales surprises des chiffres publiés ce jeudi matin par l'Insee. L'institut statistique a révisé en baisse ses précédents calculs pour le premier trimestre 2012. Au lieu d'avoir stagné comme annoncé précédemment, le PIB a en réalité reculé de 0,1% durant les trois premiers mois de l'année. Or, le deuxième trimestre ayant lui aussi été en repli de 0,1%, on en déduit, selon la définition la communément admise, que la France a bel et bien bien replongé en récession au premier semestre 2012.

C'est la deuxième récession depuis 2009, signe que la crise financière des subprime, comme toutes les crises financières, a une durée de vie bien plus longue qu'une crise normale.

Deux trimestres de croissance sur six

Le panorama de l'activité en France, ces dernières années, offre donc un paysage sombre. Après un sursaut en 2010, l'activité a lourdement rechuté à l'été 2011, dans la foulée de la seconde vague de crise sur les marchés financiers. Depuis, l'activité en France n'a pas réussi à se relever, enregistrant seulement deux trimestres de croissance sur six.

Pour être préçis, en montant, le PIB français à la fin 2012 s'est établi à 1800,09 milliards d'euros, contre 1800,24 milliards fin 2011. Il a donc même légèrement reculé l'an dernier. Mais il y a plus inquiétant: en 2006, le PIB français s'était établi aux alentours de 1790 milliards d'euros. En d'autres termes, six ans après, il est toujours pratiquement aux même niveau: la France stagne quasiment depuis six ans. Le seuil symbolique des 2000 milliards d'euros de production intérieure brut est plus que jamais hors de portée.

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Pour être préçis, en montant, le PIB français à la fin 2012 s'est établi à 1800,09 milliards d'euros, contre 1800,24 milliards fin 2011. Il a donc même légèrement reculé l'an dernier.

Ce chiffre m'a surpris, le PIB français étant indiqué dans les comparaisons internationales très légèrement au-dessus de 2000 milliards.

En se rapportant au tableau publié par l'INSEE, il apparaît que le chiffre repris par les journaux est celui de la page 1 du tableau, qui semble être aux prix 2005.

L'INSEE rapporte en page 3 le PIB aux prix courants, estimé à 2027,77 milliards en 2012.

Cela ne change naturellement rien aux conclusions de l'INSEE : si on utilise les prix 2012, on trouvera que le PIB en 2006 était d'environ 2015 milliards d'euros, il était en 2012 de 2027 milliards, donc la France est bien en train de stagner économiquement depuis 6 ans. Simplement, l'euro dont nous avons une connaissance intuitive est bien l'euro courant, pas celui d'il y a sept ans, donc ce sont les chiffres en monnaie courante qui donnent les bons ordres de grandeur.

Soit dit en passant, cette erreur -ou au minimum grave imprécision- dans tous les journaux qui rapportent l'information n'a été possible que parce que :

- Certains journalistes ne connaissent pas les ordres de grandeur, comme "PIB France = 2000 milliards"

- De plus, ils ne lisent que la 1ère page des documents, la page 3 c'est un trop grand effort

- Quant aux autres, ils ne font que copier sur les premiers

Nous parlons de journalistes économiques !  >:(  >:(  >:(

P..ain, quelqu'un a une 12.7mm sous la main ?

Quel ramassis d'incompétents et de br...eurs !

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Ce chiffre m'a surpris, le PIB français étant indiqué dans les comparaisons internationales très légèrement au-dessus de 2000 milliards.

En se rapportant au tableau publié par l'INSEE, il apparaît que le chiffre repris par les journaux est celui de la page 1 du tableau, qui semble être aux prix 2005.

L'INSEE rapporte en page 3 le PIB aux prix courants, estimé à 2027,77 milliards en 2012.

Cela ne change naturellement rien aux conclusions de l'INSEE : si on utilise les prix 2012, on trouvera que le PIB en 2006 était d'environ 2015 milliards d'euros, il était en 2012 de 2027 milliards, donc la France est bien en train de stagner économiquement depuis 6 ans. Simplement, l'euro dont nous avons une connaissance intuitive est bien l'euro courant, pas celui d'il y a sept ans, donc ce sont les chiffres en monnaie courante qui donnent les bons ordres de grandeur.

Soit dit en passant, cette erreur -ou au minimum grave imprécision- dans tous les journaux qui rapportent l'information n'a été possible que parce que :

- Certains journalistes ne connaissent pas les ordres de grandeur, comme "PIB France = 2000 milliards"

- De plus, ils ne lisent que la 1ère page des documents, la page 3 c'est un trop grand effort

- Quant aux autres, ils ne font que copier sur les premiers

Nous parlons de journalistes économiques !  >:(  >:(  >:(

P..ain, quelqu'un a une 12.7mm sous la main ?

Quel ramassis d'incompétents et de br...eurs !

+1! Une grande majorité d'esprits superficiels qui ne bossent pas leurs sujets et se copient les uns les autres. Ce que j'avais découvert dans mes recherches sur le problème du climat m'avait ouvert les yeux oh comment! Plus personne dans les médias n'a le temps semble-t-il d'approfondir un sujet.
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Voici la présentation utilisée par Jean-Marc Jancovici pour son audition par la Commission Développement Durable de l'Assemblée Nationale le 6 février dernier (fichier pdf)

Matériel très riche, et en même temps de lecture aisée, que ce soit concernant le rôle de la contrainte énergétique sur les perspectives économiques, les perspectives de l'énergie à moyen / long terme, et les perspectives des gaz à effet de serre.

Je recommande +100 !  :happy:

La page 2 résume les conclusions, qui sont ensuite développées et justifiées :

- L’énergie - surtout fossile - a façonné la totalité du monde qui nous entoure, et notamment l’essentiel des avantages sociaux que nous pensons « acquis pour l’éternité »

- En première approximation, le PIB mondial ne dépend de rien d’autre que de l’énergie disponible en volume, mais pas de son prix (qui répartit la rente)

- En Europe, l’énergie est orientée à la baisse de manière involontaire (pétrole et gaz) ou volontaire sans substitution commode (nucléaire) -> la récession va devenir la norme « un certain temps ».

- Il est inutile de compter sur « les fruits de la croissance » pour financer la transition : nous avons trop attendu pour cela. Désormais toute mesure inutile engendre un effet d’éviction sur des mesures qui le seraient plus

- Le temps joue très rapidement contre l’Europe

- Il y a trop d’énergie fossile pour ne pas « détruire le climat », mais déjà plus assez pour avoir une économie européenne qui évite les chocs 

- La hiérarchie des nuisances valable en monde infini ne vaut plus en monde fini

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Voici la présentation utilisée par Jean-Marc Jancovici pour son audition par la Commission Développement Durable de l'Assemblée Nationale le 6 février dernier (fichier pdf)

Matériel très riche, et en même temps de lecture aisée, que ce soit concernant le rôle de la contrainte énergétique sur les perspectives économiques, les perspectives de l'énergie à moyen / long terme, et les perspectives des gaz à effet de serre.

Je recommande +100 !  :happy:

La page 2 résume les conclusions, qui sont ensuite développées et justifiées :

- L’énergie - surtout fossile - a façonné la totalité du monde qui nous entoure, et notamment l’essentiel des avantages sociaux que nous pensons « acquis pour l’éternité »

- En première approximation, le PIB mondial ne dépend de rien d’autre que de l’énergie disponible en volume, mais pas de son prix (qui répartit la rente)

- En Europe, l’énergie est orientée à la baisse de manière involontaire (pétrole et gaz) ou volontaire sans substitution commode (nucléaire) -> la récession va devenir la norme « un certain temps ».

- Il est inutile de compter sur « les fruits de la croissance » pour financer la transition : nous avons trop attendu pour cela. Désormais toute mesure inutile engendre un effet d’éviction sur des mesures qui le seraient plus

- Le temps joue très rapidement contre l’Europe

- Il y a trop d’énergie fossile pour ne pas « détruire le climat », mais déjà plus assez pour avoir une économie européenne qui évite les chocs 

- La hiérarchie des nuisances valable en monde infini ne vaut plus en monde fini

Petite info: Jancovici vend de l'alarmisme climatique et énergétique. C'est son gagne-pain en tant que consultant : http://fr.wikipedia.org/wiki/Jean-Marc_Jancovici

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Il est même devenu l'un des maîtres à penser des "survivalistes"...

Je l'avais contacté par mail à l'époque où j'écrivais mon bouquin sur le changement climatique, et devant mes doutes argumentés quant à la thèse du GIEC, doutes issus de la lecture des travaux des nombreux climatologues sceptiques (dont des très grosses pointures comme Richard Lindzen par exemple), il m'avait renvoyé simplement à la lecture du dernier rapport du GIEC, me disant que tout était là dedans.
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Petite info: Jancovici vend de l'alarmisme climatique et énergétique.

Pour ne pas démarrer une discussion qui serait contradictoire avec la règle de ce fil, je dirai seulement que c'est sur la base des données scientifiques bien synthétisées par Jancovici que je juge l'intérêt de son travail, non sur ses intentions -et des intentions, nous en avons tous  =)

@Akhilleus : je me suis limité autant que possible, mais il m'a semblé nécessaire d'équilibrer le point de vue de Jojo67. Si tu penses que c'est trop, dis-le moi j'enlèverai ce post.

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Pour ne pas démarrer une discussion qui serait contradictoire avec la règle de ce fil, je dirai seulement que c'est sur la base des données scientifiques bien synthétisées par Jancovici que je juge l'intérêt de son travail, non sur ses intentions -et des intentions, nous en avons tous  =)

@Akhilleus : je me suis limité autant que possible, mais il m'a semblé nécessaire d'équilibrer le point de vue de Jojo67. Si tu penses que c'est trop, dis-le moi j'enlèverai ce post.

Moi ça me va... =)
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La crise? C'est la faute à Keynes, selon le Handelsblatt

Le quotidien allemand fait sa une sur l'économiste britannique accusé d'avoir fait «sept erreurs» à l'origine de la crise actuelle. Et en oublie une au passage...

L’Europe est en crise? Ne cherchez plus, le quotidien économique allemand Handelsblatt a trouvé le coupable: John Maynard Keynes. En affichant en Une le portrait de l’économiste britannique, le journal des chefs d’entreprise d’outre-Rhin titre: «les 7 erreurs de Keynes». Dans un dossier de neuf pages, le Handelsblatt explique qu’avec «sa théorie de plans de relance par les finances publiques, Keynes a attribué à des générations de politiques la légitimité pour endetter l’Etat.» Et le quotidien de conclure: «ceci est fatal.» Autrement dit, c’est la pensée de l’économiste britannique qui est à l’origine de la crise de la dette.

Les «sept péchés» de Keynes

Le Handelsblatt décrit ensuite ces «7 erreurs» qu’il croit avoir repérées dans la théorie keynésienne et qui serait à l’origine de la crise actuelle:

La suite :

http://www.latribune.fr/actualites/economie/union-europeenne/20130215trib000749076/la-crise-c-est-la-faute-a-keynes-selon-le-handelsblatt.html

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Le modèle Allemand doit-il vraiment faire école ?

Xerfi Canal reçoit Guillaume Duval, spécialiste de l'Allemagne.

[dailymotion=640,390]xxgek2[/dailymotion]

Merkel, Cameron... et Hollande. Construction et déconstruction en Europe...

Xerfi Canal - Jean-Michel Quatrepoint : Où va l'Europe ?

[dailymotion=640,390]xxi1u2[/dailymotion]

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Goodyear : l'incroyable courrier du PDG de Titan à Montebourg !  :O

Main d'oeuvre abondante à tarif "discount" dans le tiers-monde, syndicats aux positions dogmatiques (CGT), Europe aux frontières-passoire pour les biens et services... Toute-puissance de l'hyper-capitalisme à l'Américaine.

« Les Echos » ont obtenu la copie du courrier où le président du groupe américain Titan explique au ministre du Redressement productif pourquoi il jette l'éponge sur la reprise de l'usine Goodyear d'Amiens Nord. Dans un style très direct.

Pour éviter la fermeture de l'usine Goodyear d'Amiens Nord, Arnaud Montebourg avait espéré que Titan international, dont l'offre de reprise partielle violemment combattue par la CGT du site mi-2012, reviendrait à la table des négociations. Mais le 11 février, le ministre du Redressement productif avait dû annoncer qu'il avait jeté définitivement l'éponge. Le fabricant de pneus agricoles ne « reviendra pas », avait-il déclaré.

Une sobriété qui tranche avec la violence du courrier que lui a adressé le président du groupe américain, Maurice M. Taylor Jr, dont « les Echos » ont obtenu copie (retrouvez ici le document en anglais). Extraits.

« Vous pensez que nous sommes si stupides que ça ? »

« J'ai visité cette usine plusieurs fois. Les salariés français touchent des salaires élevés mais ne travaillent que trois heures. Ils ont une heure pour leurs pauses et leur déjeuner, discutent pendant trois heures et travaillent trois heures. Je l'ai dit en face aux syndicalistes français. Ils m'ont répondu que c'était comme ça en France (...). Monsieur, votre lettre fait état du fait que vous voulez que Titan démarre une discussion. Vous pensez que nous sommes si stupides que ça ? Titan a l'argent et le savoir-faire pour produire des pneus. Qu'a le syndicat fou ? Il a le gouvernement français. Titan va acheter un fabricant de pneus chinois ou indien, payer moins d'un euro l'heure de salaire et exporter tous les pneus dont la France a besoin. Vous pouvez garder les soi-disant ouvriers. Titan n'est pas intéressé par l'usine d'Amiens nord. »

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La France doit inventer un nouveau modèle économique.

Une étude de la Société générale dévoilée ce mardi fait le point sur l'état de santé de l'économie française. Comme tant d'autres avant elle, celle-ci est peu élogieuse. Réformer devient urgent.

Il y a eu les rapport Pébereau, Attali 1 et 2, le rapport Gallois... entre autres. Depuis le début des années 80, plus de 20 rapports tous plus ou moins définitifs ont fait un point sur l'état de santé de l'économie française. Si les diagnostics varient peu au fil des années,  réformer devient de plus en plus urgent ! Les récentes discussions du G20, au cours desquelles la compétitivité française fut encore pointée du doigt, ont également alimenté ce débat et démontré la nécessité d'agir pour moderniser l'économie française.

Le rapport publié ce mardi par Société générale Cross Asset Research n'échappe pas à la règle. Une nouvelle fois, les rigidités du marché du travail, la faiblesse du taux de marge des entreprises, le poids de la réglementation et l'absence de concurrence dans certains secteurs de l'économie sont relevés et décriés.Entre autres faiblesses de l'économie tricolore.

Des moteurs grippés par l'austérité :

« La France doit rapidement changer de modèle économique si elle veut conserver son rang.», expliquent Michel Martinez et Michala Marcussen, les auteurs de cette étude qui plaident notamment pour le lancement de réformes permettant notamment le transfert de compétences du secteur public vers le privé. « Depuis plus de dix ans, l'économie française repose essentiellement sur la consommation des ménages et le dynamisme du marché immobilier. Grippés par l'austérité, ces deux moteurs ne sont plus assez puissant pour stimuler l'économie », estiment les deux économistes qui mettent en avant les récentes initiatives du gouvernement pour moderniser l'économie et pour rééquilibrer les finances publiques.

Tout le monde est d'accord ? Libérons les énergies en prenant des mesures capables de restaurer la compétitivité du made in France, en en cassant par exemple les rigidités du marché du travail, en donnant ainsi la possibilité aux entreprises d'embaucher et de débaucher plus facilement ? Chiche ?

Le gouvernement a deux problèmes :

Outre la difficulté à faire passer cette idée dans l'opinion, en témoigne les timides avancées en la matière du récent accord sur la sécurisation de l'emploi, le gouvernement se heurte à un autre problème : ce type de réforme pèse sur la croissance à court terme. « Par conséquent, nous ne pensons que le calendrier des réformes devrait s'accélérer », avancent les deux économistes.

Reste que ces réformes, pénalisantes pour la croissance à court terme - et probablement coûteuses sur le plan électoral - s'avéreraient payantes à moyen-long terme. Selon les calculs de l'OCDE, la mise en place de réformes structurelles profondes capables de libérer les énergies augmenterait  le PIB par habitant de 15% en quelques années pour lui permettre de recoller à la moyenne des pays de l'Organisation.

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Une analyse optimiste sur les capacités de rebond de la France.

Xerfi Canal a reçu Vincent Lorphelin, dirigeant fondateur de Venture Patents, qui a présenté son dernier ouvrage "Le rebond économique de la France" (éd. Pearson).

Le rebond après la crise est possible ! Grâce à la force innovante dont la France fait preuve, elle peut retrouver la dynamique d'une croissance soutenue. C'est le propos, résolument optimiste et lucide, que Vincent Lorphelin défend ici en donnant la parole à 85 dirigeants de start-up et de PME françaises remarquablement énergiques et créatives dans un contexte pourtant chaotique.

La France peut se relever, comme elle l'a fait à la fin du 19e siècle, lorsque la Belle Époque a succédé à la Grande Dépression. Alors qu'on croyait le pays voué au déclin, le foisonnement d'innovations autour de la photographie, de l'électricité, de l'automobile, de l'aviation, de la pharmacie, de la chimie ou de la métallurgie fines ? révélées par l'Exposition universelle de 1889 ?, a relancé l'économie d'une façon foudroyante. Ne sommes-nous pas aujourd'hui dans la même situation ? [...]

Vincent Lorphelin, France : les signaux du sursaut, une vidéo Xerfi Canal. 

[dailymotion=640,390]xxm8tt[/dailymotion]

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Michel Sapin le 18 février 2013 :En fin d’année, la croissance aura repris!

« En fin d’année, la croissance aura repris en France. Nul ne peut dire exactement à quel moment ni à quel niveau, mais la situation, qui va s’améliorer dans le monde et en Europe, et la mise en œuvre de nos politiques, me font penser qu’il y aura une reprise de la croissance, et d’une croissance davantage porteuse en emplois. Il ne faut pas se résigner : l’inversion de la courbe du chômage aura lieu, et la fin de l’année reste notre objectif. »

http://www.lejsl.com/actualite/2013/02/18/michel-sapin-en-fin-d-annee-la-croissance-aura-repris

Le 19 février 2013 :Laurent Fabius a été le premier du gouvernement à dégainer en annonçant une croissance à 0,2 ou 0,3% en 2013

Laurent Fabius a été le premier du gouvernement à dégainer en annonçant une croissance à 0,2 ou 0,3% en 2013. Bercy a aussitôt réagi en précisant que la nouvelle prévision n'est pas encore arrêtée, mais n'a pas réfuté les chiffres évoqués par le ministère des Affaires étrangères. Pas plus que le premier ministre Jean-Marc Ayrault.

La suite :

http://www.latribune.fr/actualites/economie/france/20130219trib000749666/croissance-bercy-tente-de-calmer-le-jeu-ayrault-botte-en-touche.html

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Le Crédit Agricole a profité de l'année 2012 qui s'annonçait déjà noire pour faire un grand ménage dans ses comptes, au prix d'une perte nette record de 6,47 milliards d'euros pour son entité cotée, en espérant solder un héritage devenu trop lourd à porter.

C'est le deuxième exercice déficitaire pour l'entité cotée de la banque verte, qui avait déjà affiché une perte nette de 1,47 milliard d'euros en 2011. Sans surprise, le conseil d'administration a décidé de ne pas proposer le versement d'un dividende, ce pour la deuxième année de suite également.

Suite : http://fr.finance.yahoo.com/actualites/cr%C3%A9dit-agricole-perte-nette-record-6-47-milliards-064442538--finance.html

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Le nombre de navires en transit par le canal de Suez a chuté de 16 % au mois de janvier 2013. Cette baisse coïncide avec une période de troubles en Égypte qui a amené l'armée égyptienne à renforcer les mesures de sécurité pour garantir le libre passage par cette voie d'eau stratégique.

1 311 navires ont emprunté le canal de Suez en janvier dernier, contre 1 559 un an auparavant, selon les chiffres fournis par l'Autorité du canal.

La diminution en tonnage net atteint 10,4 %, soit 8,5 millions de tonnes. Tous les trafics sont en baisse à l'exception du transport de passagers.

Les tankers transportant du pétrole brut ou des produits raffinés n'ont été que 267 à passer par Suez au mois de janvier dernier, contre 318 en janvier 2012 et 331 en décembre dernier.

Environ 8 % du commerce mondial transitent par le canal de Suez.

http://www.lemarin.fr/articles/detail/items/canal-de-suez-chute-de-16-des-transits-en-janvier.html
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Nommée à la BPI, Ségolène Royal cherchait sa place

Ségolène Royal, présidente de la région Poitou-Charentes, va être nommée vice-présidente et porte-parole de la Banque publique d'investissement (BPI), a annoncé mercredi 20 février son président, Jean-Pierre Jouyet, au micro de France Inter. "Je suis heureuse de pouvoir être utile [...]. J'ai préfiguré cette banque publique dans ma région, je sais que ça marche", a-t-elle déclaré.

Cette nomination intervient plusieurs mois après les revers subis par l'ancienne candidate à la présidentielle. Perdante lors de la primaire socialiste de novembre 2011, Ségolène Royal a aussi été battue lors des élections législatives en juin dernier.

Cette défaite législative était amère à double titre pour l'élue régionale : parce que le dissident socialiste vainqueur, Olivier Falorni, avait été soutenu par Valérie Trierweiler, actuelle compagne de François Hollande, mais aussi parce qu'en la privant du mandat de député, l'échec lui interdisait d'espérer devenir présidente de l'Assemblée nationale. Or, en février, puis en mai 2012, Ségolène Royal n'avait pas caché qu'elle ambitionnait de prendre le perchoir, qui sera finalement occupé par Claude Bartolone.

RELATIF SILENCE MÉDIATIQUE

La suite :

http://www.lemonde.fr/politique/article/2013/02/20/nommee-a-la-bpi-segolene-royal-cherchait-sa-place_1835741_823448.html

Du dessert aux oeufs on passe au dessert à la banane, comme république bananière.

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