Aller au contenu
AIR-DEFENSE.NET

[Afghanistan] Archive


Messages recommandés

on peut lire un peu partout, d'ailleurs je suis étonné que personne n'en ait parlé, que les Talibans disposeraient d'armes d'origines Iraniennes, du type qui sont utilisées en Irak par la Guérilla. D'ou la mort de plusieurs soldats de la coalition ces derniers jours.

Les Iraniens ne seraient ils pas en train de multiplier les points d'accrochage quitte à passer des alliances contre nature, pour rendre intenable la position de la coalition en vue de rendre irréalisable une action contre eux.

Ne serions nous pas proche d'une intervention contre ce pays?

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

on peut lire un peu partout, d'ailleurs je suis étonné que personne n'en ait parlé, que les Talibans disposeraient d'armes d'origines Iraniennes, du type qui sont utilisées en Irak par la Guérilla. D'ou la mort de plusieurs soldats de la coalition ces derniers jours.

Les Iraniens ne seraient ils pas en train de multiplier les points d'accrochage quitte à passer des alliances contre nature, pour rendre intenable la position de la coalition en vue de rendre irréalisable une action contre eux.

Ne serions nous pas proche d'une intervention contre ce pays?

On trouve la "recette" de ces armes sur Internet,pas besoin de passer par l'Iran.... le Janes Terrorism and Security a conclue catégoriquement l'an dernier que rien ne permettait de dire avec certitude que les Iraniens fournissent des EFP aux taliban.

Le nombre élevé de mort parmi la coalition s'explique par une reprise de pouvoir des Talibans dans les bastions Sud.

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

Dans le cadre de l'offensive lancé par la coalition dans le sud de l'Afghanistan, environ 130 militaires français sont depuis jeudi en opération dans la province de Arghandab. Il s'agit d'une OMLT qui accompagne des éléments du 201 ème corps afghan, envoyé en renfort. Les militaires français sont issus de la Légion étrangère. Ils ont rejoint ce secteur par la route, en provenance de la région de Kaboul.

Une autre OMLT, d'un volume supérieur, devrait arriver prochainement dans la province d'Oruzgan, toujours dans le sud du pays. Par ailleurs, six avions français (Mirage 2000D et Super-Etendart) participent à l'appui des troupes au sol.

e

source:http://secretdefense.blogs.liberation.fr/defense/2008/06/depuis-jeudi-de.html

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

Dans le cadre de l'offensive lancé par la coalition dans le sud de l'Afghanistan, environ 130 militaires français sont depuis jeudi en opération dans la province de Arghandab. Il s'agit d'une OMLT qui accompagne des éléments du 201 ème corps afghan, envoyé en renfort. Les militaires français sont issus de la Légion étrangère. Ils ont rejoint ce secteur par la route, en provenance de la région de Kaboul.

http://news.bbc.co.uk/2/hi/south_asia/7466982.stm

Four US-led coalition soldiers have been killed by a bomb explosion in the southern Afghan province of Kandahar, military officials have said.

Two more soldiers were seriously wounded when a roadside bomb detonated as the men were conducting operations.

The nationalities of the soldiers were not immediately known.

Earlier this week Nato and Afghan forces said they had driven many Taleban fighters from the area during a major offensive in the province.

The operation was in response to a jailbreak staged by the Taleban from Kandahar prison earlier this month, during which at least 350 insurgents were freed.

Deadly month

Kandahar is one of the key battlegrounds of the current rebel insurgency against Afghanistan's government and troops from Nato and a US-led coalition.

Afghan officials say 56 Taleban and two Afghan troops died in the fighting on Thursday, in Arghandab district near Kandahar city, but there was no independent confirmation.

The latest incident comes a day after two other US-led soldiers were killed in separate attacks elsewhere in the country.

Nine British servicemen have also been killed since the start of June - the deadliest month this year for coalition forces, according to the US military.

The BBC's Martin Patience in Kabul says that in recent months the Taleban have switched their tactics using roadside bombs and suicide attacks to increasingly deadly effect.

Visiblement l'opération contre "Taliban break" est bien plus délicate qu'il n'y paraissait. Les troupe se rendant vers Arghandab sont régulierement attaqué. Il semble donc que l'attaque de la prison était un truc bien ficelé et que tout était prévu pour empêcher les troupe de rejoindre les insurgé libérés facilement par leur complice.

Un autre article ici ... les journaux anglais réclame des blindés pour leur troupe ...

http://www.telegraph.co.uk/news/worldnews/asia/afghanistan/2165953/Afghanistan-British-troops-shooting-themselves-in-the-foot-over-Taliban-fight.html

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

En parlant des éléments français présents dans le Sud pour l'offensive, quelqu'un à des infos supplémentaires sur le commentaire de "allo la Terre" sur cette adresse http://secretdefense.blogs.liberation.fr/defense/2008/06/depuis-jeudi-de.html#more

voila la source des infos il me semble avoir vu cette nouvelle sur dailymotion/blog:

le blog d'un médecin mili français:

http://www.philippejuvin.fr/

sa page dailymotion:

http://www.dailymotion.com/juvin

ceci dit je connaît pas ''allo la terre'' il peut faire référence à une autre événement....

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

http://www.philippejuvin.fr/

J'apprends en même temps que j'écris qu'un véhicule de l'ISAF (International Security Assistance Forces), probablement un VAB de chez nous, aurait sauté sur un IED. D'après les premières informations, un type en mobylette se serait infiltré dans le convoi et fait sauter contre le blindé. Nous aurions deux blessés. Un hélico américain est en route pour les récupérer sur les lieux de l'attaque. Un premier bilan fait état d'un U1 (extrème urgence),  et l'autre d'un blast de gravité indéterminée. Nous envoyons deux VAB médicalisés sur la DZ au cas où, et stoppons un bloc opératoire, toujours au cas où. J'interromps mes travaux d'écriture pour aller aux nouvelles.

Deux heures après, je reprends ma plume. Finalement, les blessures étaient heureusement moins graves. Nos deux blessés ont été récupérés par les américains et évacués dans leur hôpital le plus proche. On vient de les récupérer chez nous


Sinon, la situation générale est assez dégradée : on compterait maintenant plusieurs dizaines d’évènements hostiles par jour, attaques à la roquette et IED représentant plus des trois quarts des situations. Hier, un VAB des OMLT a sauté sur un IED. Le véhicule a été projeté en l’air et la porte éjectée. Les deux militaires français qui étaient à l’intérieur s’en sont tirés avec des fractures et des contusions sans gravité. Apprenant qu’il s’agissait de deux légionnaires, un de mes collèges m’a prévenu : « tu verras, ils sont résistants ». Effectivement, à la descente d’hélicoptère, je vois mes deux gars s’avancer sur leurs pieds, un peu lentement mais sûrement, sans plainte particulière. Et gagner à pied leur chambre, malgré leur fracture … du rachis … (stable heureusement). Dans la même verve, après l’explosion qui a quand même, je le rappelle, soulevé le blindé…, un des deux militaires est sorti du VAB pour assurer à lui tout seul le périmètre de sécurité, malgré ses blessures et le choc. Effectivement, les légionnaires sont assez résistants...

L'auteur du blog est officier de réserve, il est médecin urgentiste dans le civil.

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

Une entete de TTU.

“Shopping list” pour l’Afghanistan

Le CEMA a adressé, le 15 avril, à la DGA une liste de matériels à acquérir en programme d’urgence opérationnelle à destination de la Task Force 700, qui partira, cet été, pour l’Est afghan....

Dans le sud Afghan.

Image IPB

Image IPB

Afghan officials and French soldiers of NATO's International Security Assistance Force (ISAF) inspect bodies of suspected Taliban militants after NATO and Afghan military forces driven out hundreds of Taliban militants from around restive Kandahar, Afghanistan 20 June 2008. At least 57 Taliban insurgents were killed and dozens more were wounded as NATO and Afghan forces drove out militants who had recently infiltrated several villages in the southern province of Kandahar, officials said 19 June 2008

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

http://www.iht.com/articles/2008/06/20/asia/afghan.php

Grim reminders of battle in Arghandab valley near Kandahar

MANARA, Afghanistan: Corpses lay stinking in the shade of mulberry trees and in the ruins of a collapsed storehouse. Villagers rushed home to see whether their livestock had died in the heat. Afghan soldiers placed red signs warning of bombs planted alongside the road.

Image IPB

With the fighting in the leafy Arghandab valley apparently over, grim signs remained Friday of the battle that government and NATO troops had waged against Taliban militants who had crept within range of Afghanistan's second city, Kandahar.

Meanwhile, the grinding violence that has plagued the country for much of the past three decades continued elsewhere.

A suicide bomber attacked a military convoy Friday as it drove through Gereshk, a town in neighboring Helmand Province, killing five civilians and one member of the U.S.-led coalition, officials said. Lieutenant Colonel Paul Fanning, a coalition spokesman, declined to release the nationality of the dead soldier.

To the northeast, officials said, a suicide car bomber apparently attacking a military convoy in Khost Province killed only himself, while two Afghan troops were wounded when a bomb hit their Humvee on the Kabul-Kandahar highway.

The advance of as many as 400 militants on Arghandab early in the past week raised particular alarm because the area is considered a potential springboard for attacks on Kandahar, the Taliban's capital until U.S. bombs drove the fundamentalist militia from power in 2001.

Hundreds of government and NATO troops struck back Wednesday, and two days later the provincial governor escorted reporters through army checkpoints on the 16-kilometer, or 10-mile, route from Kandahar to witness the aftermath.

In the village of Manara, a reporter counted 19 corpses, some of them missing limbs. Some were piled up in the mud-brick storehouse, which was missing its roof. Others lay prone in an alleyway beside a tree-shaded stream.

Afghan and French soldiers pointed out a crater in a nearby field and broken and scorched trees that they said were the results of an airstrike. There was no sign of a gun battle, though residents of other villages had reported hearing heavy fire.

A NATO spokesman, Brigadier General Carlos Branco, said the fighting was over by early Thursday. He said there had been only small ground skirmishes, though an alliance helicopter had returned fire against gunmen in one incident and warplanes had carried out "very limited" airstrikes.

The Defense Ministry says that 56 militants were killed. Two Afghan troops also died. Governor Asadullah Khalid said Friday, however, that militants had been killed in about 10 locations and that their death toll had been more than 100.

He said villagers had reported that some militants had spoken the Pashto dialect of tribes across the border in Pakistan. The tribes are suspected of harboring Afghan rebels and leaders of Al Qaeda, as well as sending volunteers of their own to fight in Afghanistan.

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

L'envoi de renforts en Afghanistan oblige l'état-major à de dangereuses contorsions. On sait que, dans ce pays, la menace principale provient des IED (engins explosifs improvisés). Pour s'en protéger, il faut absolument équiper les véhicules de brouilleurs. Or, les Français n'en ont pas assez. Résultat: nous sommes contraints d'en emprunter plus d'une trentaine aux Américains. Et surtout, de demander au contingent français au Sud-Liban de bien vouloir fournir à leurs camarades une partie de ceux qu'il utilise (plus d'une vingtaine, selon nos informations). En espèrant que le Hezbollah ou les groupes radicaux sunnites se tiendront tranquilles sur le bord des routes du Sud-Liban...

Ce manque d''équipement pour assurer la sécurité des troupes françaises est stupéfiant, même s'il est en voie de réglement. Rappellons également que le prochain contingent qui partira en Afghanistan cet été le fera toujours sans VAB à tourelleaux téléopérés. Certes, le programme est lancé mais les premiers ne seront pas livrés à temps. Servir dans un VAB sans tourelleau oblige le serveur de la mitrailleuse de bord à s'exposer à l'air libre.

Notons aussi que les chasseurs alpins, qui se préparent actuellement pour la relève suivante, doivent faire des miracles pour obtenir les munitions nécessaires à leur entraînement au tir.

http://secretdefense.blogs.liberation.fr/

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

Invité grinch

un message lu ce matin

"Source Légion Etrangère : La Légion a transformé le camp DUBS au Sud de Kaboul en véritable atelier mécanique sous l'oeil ébahi des américains. Le détachement voit arriver en expérimentation le nouveau casque avec support d'OB70 en nombre restreint. En attendant les Légionnaires se fabriquent des supports découpés dans des caisses de munitions. Mais le plus gros travail a été de modifier les véhicules pour leur permettre d'emporter plus de munitions d'armements de piles et d'améliorer leur capacité tactique et leur PROTECTION, ils ont également ajouté des phares IR (OFFERT PAR LES AMERICAINS) modifié le tourelleau pour autoriser l'emport de caisses de 12.7 américaines (200 coups) ajouté des caisses sur les cotés pour l'eau et les rations etc... A l'intérieur, il a fallu céer un espace dédié à l'infirmier, supprimer les banquettes et fixer un nombre important de caisses pour le matériel divers. Une équipe de la STAT a été envoyé sur place pour constater les besoins et pour faire le point des modifications que le Légion a effectué et surtout commencer à livrer du matériel pour expérimentation. Pour les tirs de nuit, les 12.7 disposent dorénavant d'un OB50 couplé à un PIRAT haute puissance. EN SOMME " Je ne veux pas le savoir démerdez-vous "

Rédigé par: Kotal | le 22/06/2008 à 08:53""

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

Les traditions de bricolage et d'adaptation sont toujours en vigueur dans les armées françaises, c'est bon signe... :lol:

Ca fait peut-être bricolo, mais c'est comme ça que l'on a "inventé" : les Sherman avec conduite de tir marine (RBFM, très efficace semble-t-il...) les hélicos armés, l'assaut héliporté, les dinassaut* et j'en oublie certainement....

* Il suffit de mettre "Riverine Force" à la place, pour que ça fasse moderne et US.... =D

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

Les traditions de bricolage et d'adaptation sont toujours en vigueur dans les armées françaises, c'est bon signe... :lol:

Ca fait peut-être bricolo, mais c'est comme ça que l'on a "inventé" : les Sherman avec conduite de tir marine (RBFM, très efficace semble-t-il...) les hélicos armés, l'assaut héliporté, les dinassaut* et j'en oublie certainement....

* Il suffit de mettre "Riverine Force" à la place, pour que ça fasse moderne et US.... =D

La rapidité d'adaptation aussi bien tactique que technique est une arme plus sûre que la plupart des nouveauté hi-tech des industriels :)

Comme qui dirait on est jamais mieux servi que par soit même.

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

J'étais persuadé d'avoir posté cette article mais je le retrouve plus alors je reposte.

Edit: en fait j'ai posté le lien plus bas... mais pas l'article je vais résumer en bas en francais.

http://www.telegraph.co.uk/news/worldnews/asia/afghanistan/2165953/Afghanistan-British-troops-shooting-themselves-in-the-foot-over-Taliban-fight.html

Afghanistan: British troops shooting themselves in the foot over Taliban fight

Outdated tactics and severe equipment shortages are our worst enemies in Afghanistan, not the Taliban, argues Thomas Harding.

It's been a good fortnight for the Taliban. Nine British soldiers dead in 10 days, hundreds of imprisoned fighters set free in a daring jailbreak and the floundering Afghan government struggling to convince the population that the security they long for is close at hand.

They will be happy, too, that they have probably made the British commander regret telling me three weeks ago that the insurgency was on the verge of defeat.

Power in Afghanistan is all about posture and perception. The Taliban swept through the country in 1996, barely firing a shot, because local warlords saw that the future was with the black turban and did not want to be left behind. What will be the perception now?

First a suicide bomber killed three Paras, and then a well-planned ambush accounted for another two. Tuesday's bomb attack left a further four soldiers dead – including, in an invaluable publicity coup for the insurgents, Corporal Sarah Bryant, 26, the first female British soldier to die in Afghanistan.

From the safety of their hideouts in Pakistan, the Taliban's leaders and their al-Qa'eda cronies will be counting the dollars from the opium harvest haul, ready to purchase more men, bombs and bullets as the fighting season begins.

After spending a week on the ground with our commanders in Lashkar Gah, and then a fortnight marching, eating and sleeping alongside the Parachute Regiment, I have heard first-hand the worries of our troops – and their diagnosis of the problem.

They fear that the "war of our generation" is turning into a slog that will suck in more troops, who will require increasing logistical support, which will in turn give the enemy many more targets.

This is because the Taliban's tactics are changing. For the first two years, we fought pitched battles against an insurgency determined to over-run our undermanned outposts, which often came close to running out of food and ammunition.

The Taliban's losses were very heavy – in the thousands. But the last fortnight could signal the start of a new approach. Why waste a score of fighters when a suicide bomber or well-placed mine will do?

With more than 8,000 British troops in Helmand, supported by 2,400 Americans, there are plenty of targets to go round.

The Taliban knows the value of public opinion – so important in a counter-insurgency battle – but you sometimes suspect that Whitehall does not. In the opening rounds of the battle for Helmand in 2006, there was no serious public debate about what the mission was. When it became clear that a very serious battle was unfolding, Downing Street banned the press from covering it, in case the public got a whiff that another bloody campaign was unravelling while the insurgency in Iraq was in full cry.

The senior members of the military cannot complain. They were the ones who assured ministers that fighting a war on two fronts was feasible, so long as troop numbers came down in Basra. They also agreed with the politicians that 3,000 men was a suitable number to contain Helmand.

Two years on, we are approaching three times that number, but the increase has gone largely unnoticed, with increments of a few hundred here and there.

Many of our best and brightest military minds – such as Brigadier Ed Butler of the SAS – have called it a day, fed up with poor pay, uncaring civil servants and having to spend too much time away from their families. But there are some very sharp men left, and many of them believe that our greatest enemy is not the Taliban, but our own doctrines and regulations.

The enemy has been forced to adapt to survive. A full-frontal assault on allied positions will fail: indeed, firing anything more than a couple of mortar rounds will attract a vicious hail of retaliatory fire.

So when he hears an Apache attack helicopter approaching, or sees a jet overhead, he no longer stands and fights, but drops his weapon and melts away, no longer a legitimate target. He knows the rules: if you are not carrying a weapon, you cannot be killed. And time is on your side.

Yes, the British might enter a district for a few weeks, but when they leave, the Taliban return, meting out brutal punishment to anyone who has co-operated with the foreigners. And the amount of force needed to take these towns and overwhelm the Taliban makes our own troops less nimble, thereby absorbing manpower, supplies and precious helicopter hours.

"The problem," says one officer, "is that we are focusing on protective mobility. We are definitely going down the road the Russians went in the Eighties, with over-reliance on massive armoured vehicles."

The debate is starting on the ground because soldiers are frustrated that they can march their hearts out all day to track the enemy, only to be blown up by a mine. They query how a lumbering convoy of 100 armoured vehicles can ever surprise an enemy who knows every rock and cave in his own back yard. The time has come, suggest some, to fight the way the enemy fights – but smarter.

In the Rhodesian insurgency, tiny units called fire forces, working in groups of four or eight, would drop into enemy territory by parachute or helicopter, unheard and unseen.

With the aid of local trackers, they remained concealed for days, watching the enemy's movements and waiting patiently for the optimum time to strike. Again and again the guerrillas were horrified as their safety cordon unravelled, with colleagues falling dead around them.

By contrast, our strategy is static, based on bases in fixed locations. Troops leave them to go on patrol in full view of the enemy – which had fatal consequences this month. "It's bloody hard to deceive the enemy with a column of ground movement that can be picked up 500 metres beyond the base," says one veteran. "The effect of four helicopters disgorging 100 soldiers from an unexpected direction would have a huge impact, and would lead to a reduction in the opportunities to blow us up with mines."

Partly, the problem is the same risk-averse culture that enveloped our campaign in Basra, where the highest priority, to which everything else was subordinated, was avoiding British deaths.

At the moment, regular troops are only allowed to move around in numbers considerably larger than the small groups of the Rhodesian campaign. Even snipers, whose pricey new long-range rifles could be a massive asset, are not allowed to go out with just a spotter, but have to be part of more unwieldy units.

For some soldiers, the excuses about excessive danger wear thin, given the huge support available from air and artillery if things go sour. "At times," one told me wearily, "I am waiting for someone to mention the Health and Safety Executive."

However, the single greatest symbol of what is going wrong with our campaign is the lack of helicopters. At some point a senior commander is going to have to find the courage to mortgage his career and say in public what so many have said to me in private – that we are losing lives needlessly because there are not enough.

The eight RAF Chinooks are being flown relentlessly, and fatigue must be setting in. The Ministry of Defence says that the answer is to fly them for even more hours per month, but that's a stupid argument: we need more airframes, more spare parts and more pilots.

This is a refrain that occurs again and again in conversations with senior officers and seasoned NCOs. "Helicopters would put you in places where vehicles cannot," says one. Another says wistfully: "If I could get my hands on four Chinooks for two whole days…"

The reason why the US Marines were so successful in southern Helmand this spring was because they were able to land 600 troops in one lift in one night. In the two weeks I was with them, the Paras could only muster one air assault of two helicopters that had to go in three lifts, hugely increasing the risk of the enemy assembling an anti-aircraft team to attack them.

Then, as we pushed further into Taliban territory, we were forced to travel on foot alongside vehicles, because there were no helicopters available. The Taliban probably just laughed and walked off into the next valley.

Even when we detained a suspected roadside bomber – after slogging through the desert for hours – we almost had to release him because there was no helicopter to take him back to a legal holding facility for three days – the maximum detention time is four days.

The MoD knows that what we have is not enough, and has done for years. But the bean counters have never listened. "If the Government really cared about troops, they would pull their fingers out and get the resources out here," says one soldier.

We can win in Afghanistan, but to do so we will have to find the courage and resourcefulness shown by the enemy – not to mention a few of those long-prayed-for Chinooks.


Tactique dépassés et manque d'équipement sont nos pires ennemis en Afghanistans, pires que les Talibans.

9 soldats anglais sont morts en 10 jours, des centaines de prisonnier talibans ont été libéré, et le gouvernement Afghan essaye de convaicre la population que la sécurité qu'ils attendent est a portée de main.

...

Depuis lers caches au Pakistan les leader Taliban et leur complice d'AlQuaeda comptent leur dollar issu de l'opium et s'apprete a acheter plus d'homme, d'arme et de munition alors que la saison des comabt commence.

...

Les soldats UK craignent que la "guerre de leur génération" devienne une guerre qui nécessite plus de moyen et de troupe donc plus de logistique donc plus de cible.

La tactique talibane a changé ils s'en prennent désormais a nos avant poste les plus faible qui sont parfois presque a cours de munitions ou de nourriture.

Les pertes Talibane sont tres lourdes, par milliers, mais la tactique change. Pourquoi perdre plein de soldat quand un attentat suicide ou une mine peu en faire autant.

Avec 8000 soldat UK et 2400 US, il y a moult cible...

...

Au debut de la bataille d'Helmand en 2006 il n'y a pas eu de debat sur la mission. Quand il est devenu evident que c'eatit une vrai guerre Downing Street a interdit a la presse de la couvrir au cas ou le public y verrait une campgane sanglante alors que l'IRaq s'apaisait.

Les chef militaire ne peuvent pas se plaindre, ce sont eux ui ont garanti que l'angleterre pouvait combattre sur deux fronts tant que les troupe se retirait progressivement de Bassorah. Il ont aussi garantie que 3000 etait suffisant pour controler Helmand.

2 ans plus tard nous sommes au triple mais cette augmentation n'a presque pas été remarqué, car augmenté d'une centaine par ci par la.

...

L'ennemi a été contraint de s'adpater pour survivre. Les assaut frontaux contre les position OTAN ont echoués, et tirer quelques coup de mortier sur une FOB implique une grele de feu "vengeresse" en retour.

Ainsi qd ils entendent les Apache ou voient un Jet ils rompent le combat abandonne leurs armes et se fondent dans l'environnement, ne devenant plus des cible légitime. Ils connaissent la regle, si vous ne portez pas une armes vous ne pouvez pas etre tué ... et le temps est de leur coté.

Aussitot que les troupes quittent un district les taliban reviennent, punissant brutallement les "collaborateurs". Et le volume de troupes necessaire a reprendre les villages et a chasser les taliban rend nos troupe bien moins preste, consommant beaucoup de main d'oeuvre et de precise heure d'helico.

Le probleme c'est que nous nous focalisont sur la mobilité protégé, nous reprenons n'impasse des Soviets dans les année 80, avec une sur-confiance sur les vehicule lourdement blindé.

Le debat a commencé a la base, les soldats etant frustrés de marcher toute la journée derriere l'ennemi seulement pour peter sur une mine. Ils demandent comment un convoi de 100 blindé peu surprendre l'ennemi qui connait chaque recoin du paysage. Le temps est venu de combattre a la maniere de l'ennmi mais plus intelligement.

Lors de l'insurrection en Rhodesie, des petite unité appelé "fire forces", travaillaient en groupe de 4 ou 8, parachté en territoire ennemi, ni vu ni connu.

Avec l'aide de pisteur locaux, il restait caché des jours, observant l'ennemi et attendnat patiemment le meilleur moment pour frapper. Encore et encore la guerilla etait horifié de voir son cordon de sécurité detricoté et les guerilleros mort autour d'eux.

En crontraste notre strategie est statique, basé sur des point fixe. Les troupes les quittent pour patrouiller aux vues de l'ennemis, ce qui a eu des conséquence fatale cette semaine. C'est difficile de tromper l'ennmi avec une colonne terrestre qui peut etre vu a 500 de la base.

L'effet de 4 helicos débarquant 100 soldats depuis n'importe quelle direction a un impact fort et réduit les opportunité d'exploser sur des mines.

Une part du probleme et notre culture d'aversion aux risques, qui a enveloppé la campagne a Bossrah, ou la priorité été d'évité des morts anglais.

Les troupes sont alors obligé de circuler en nombres beaucoup plus gros que les unité de la campagne de Rhodésie. Meme les sniper qui avec les nouveau fusil longue distance pourrait etre un atout majeur ne sont pas authorisé a opéré en en binome, mais doivent se déplacer avec de grosses unités.

Pour les sldat les excuses a propos des danger excessif ne sont pas recevable etant donné l'ppui feu disponible aero ou artillerie, en cas de probleme.

Cependant le meilleur symbole de ce qui ne va pas dans cette campagne c'est le manque d'helicoptere...

Les 8 RAF chinook vol sans relache et la fatigue se ressent. La reponse du ministre et que les helo vont volé plus d'heure par mois, mais c'est stupid, il faut plus de cellule plus de pilote et plus de piece.

Les helico vous emmene la ou les camions ne peuvent pas, si seulement je pouvait mettre la main sur 4 chinook seulement 2 jours ...

La raisons pour laquel les US Marines on eu de nombreux succes dans le sud Helmand et du au fait qu'ils etait capable de déplacer 600 hommes en une seule rotation d'helico dans la nuit. J'ai passé 2 semaines avec les para UK nos avions seulement 2 helico et il fallait trois rotation pour déposer la troupe, augmentant massivement les risques de tir anti aerien.

Plus nous nous enfoncons en territoire taliban plus nous devons progresser a pieds a coté des vehicules a cause du manque d'helico. Les taliban doivent bien se marrer et marcher tranquille vers la vallée d'a coté.

Meme si nous arretons un suspect poseur de bombe, nous somme presque obligé de le relacher parce que nous b'avons pas de moyen de l'envoyer dans un centre de detention au bou de trois jour - la detention maximum est de 4 jours en "garde a vue" -.

...

Nous pouvons vaincre en Afghanistant mais nous devront trouver le courage et les ressource dont font preuves nos ennemis.

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

Amen....

Je crains que l'on ne tombe exactement dans les mêmes travers, au vu des achats pour la Force 700....

Je pensais au début, vu que l'on envoie des paras. Tiens peut-être que l'on va essayer d'appliquer les méthodes de la Guerre d'Algérie. Et bien non, on va aussi transformer nos pioupiou en cibles ambulantes à la mode Ricain / UK..... >:(

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

Le convoi franco-afghan a parcouru par la route les 500 kilomètres qui séparent Kaboul de Kandahar. Les difficultés rencontrées indiquent l'impunité avec laquelle les insurgés afghans opèrent dans les provinces méridionales du pays. À moins d'une centaine de kilomètres au sud de la capitale, dans la province du Wardak, un engin explosif d'environ 250 kg a mis hors de combat un véhicule blindé français (VAB). Plus au sud, deux embuscades ont encore ralenti la progression. Les troupes afghanes et françaises ont mis près de 22 heures à rejoindre Kandahar.

250kg ?! si c'est le meme VAB avec seulement 2 blessé et une porte arraché c'est un miracle.

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

Probablement parce que le but n'est pas de gagner ... mais de ne pas perdre de soldats.

Et puis nos soldats ne sont que des auxilliaires de la politique et des stratégies d'autruis, mais bon, comme dirait les inconnus il y a les bons chasseurs et les mauvais chasseurs.

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

Et puis nos soldats ne sont que des auxilliaires de la politique et des stratégies d'autruis, mais bon, comme dirait les inconnus il y a les bons chasseurs et les mauvais chasseurs.

Rejeter la faute sur les autres ... bof ... quand les tactique US nous convenaient pas on a bien su retirer nos FS. On a su renvoyer des OMLT pour encadrer la formation des troupe Afghane etc.

Se faire capturer des troupes serait difficilement gérable politiquement et médiatiquement, probablement bien plus que d'en perdre sur des mines. Et je comprends la maniere dont c'est géré. Néammoins il est évident que parti comme c'est on est pas pret de voir un régime "fiable" en Afghanistan et que l'usure politique est déjà bien avancée.

Sarkozy annonçant en campagne qu'il ne souhaitait plus voir de troupe française ne Afghanistan... Les dissension sur pour relever les troupes éprouvé dans le sud... Une bonne partie du dispositif n'est la que pour faire bonne figure vis a vis du pouvoir politique US ni plus ni moins.

Après changer de tactique plus risqué ambiance commando de chasse, chèvre de monsieur Seguin et autres c'est plus payant coté bodycount mais tant que taliban express formera des troupe en 15j et pourra réapprovisionner tranquillement au Pakistan, le jeu en vaut il la chandelle?

La vrai solution c'est une vrai armée afghane qui occupe son territoire, controle ses frontieres, a la confiance de sa population ... et ça on en est loin loin loin!

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

Invité
Ce sujet ne peut plus recevoir de nouvelles réponses.
 Share

  • Statistiques des membres

    5 964
    Total des membres
    1 749
    Maximum en ligne
    Aquaromaine
    Membre le plus récent
    Aquaromaine
    Inscription
  • Statistiques des forums

    21,5k
    Total des sujets
    1,7m
    Total des messages
  • Statistiques des blogs

    4
    Total des blogs
    3
    Total des billets
×
×
  • Créer...