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Si cette année il n'y a pas eu beaucoup de neige l'année précédente les OMLT ont opéré en VBL et en VAB, les EEI et les attentats suicide eux sont bien réels, la plus value du VBHM faisait déja sourire le colonel Aragones devant les caméras   ;)

Aprés si c'est pour faire les beaux lors des éxercices de l'OTAN ou sur nos champs de manoeuvres pourquoi pas.

Le probleme c'est que nos forces sans mobilité sont super prévisible ... et cette prévisibilité est aussi dangereuse qu'un blindage un peut inférieur.

Apres on peut rire de ca ... mais en l'absence de moyen héliporté US ... on est cantoné aux pistes, ou a se balader a pied. Les anglais on aussi ce probleme avec leur cougar qui ne peuvent pas aller chercher les blessé dans la green zone hors des pistes larges ... d'ailleurs les anglais ... remplacent les Viking ... par des Bronco via le le programme Warthog - pourtant ils ont du warrior, du CVRT etc.

-. C'est aussi vrai sur les autres theatres ... et il n'est pas sur que le VBCI ... qui est avant tout un VCI - pas un APC - pallie a ca.

Pour ce qui est du VBHM ... pour le moment on ne sait meme pas a quoi il ressemble ... STK a fait plusieurs offre jusqu'a 18t ... je doute qu'a cette masse la pour 16 pax il sont infiniment moins blindé que l'Aravis ... sauf sur le dessous - m'enfin s'il sert a ce a quoi il doit servir ... le cross country ... il ne devrait pas se prendre d'IED -.

Pour l'Aravis ca ne devrait pas etre mieux que le VAB ... on est a la limite de masse du chassis Unimog ... et du moteur ... avec des pneu pas super adpaté au trial :) effectivement il passera la ou le VAB passe ... essentiellement sur les pistes ... mais le jour ou on perdra des gars parce que le vehicule est tanké depuis une plombe et que les insurgé ont eu le temps de boire le thé pénard avant de les étriller on rira moins.

Un 4x4 s'éloigne de la piste :lol: ...

Image IPB

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http://www.wired.com/dangerroom/2009/05/terrorists-threaten-northern-route-to-afghanistan-not-yet/

The government of Uzbekistan has sent tanks and troops to its eastern border region after a series of armed attacks in the city of Khanabad. And that could troubling implications for the U.S. military mission in Afghanistan.

In brief: Nezavisimaya Gazeta quotes Uzbekistan’s chief prosecutor as saying “armed extremists” had attempted to storm a local police station (Uzbekistan’s police are controlled by the internal ministry); the BBC, citing Uzbekistan’s state television network, says that a suicide bomber had struck in the eastern city of Andijan, killing a police officer and wounding several others.

Andijan, as you’ll recall, was the scene of a rather gruesome crackdown by Uzbek security forces four years ago. The Andijan incident led to a rift with the United States, but ties between Washington and Tashkent have quietly been repaired over the past few months.

Here’s the why: Uzbekistan offers a crucial alternative supply route to Afghanistan. Pakistan’s instability is extremely worrying to U.S. commanders, and the U.S. government recently struck a back-door deal to use a South Korean-funded free trade zone in Navoi as a logistics base for supplying U.S. forces.

That may sound like a convoluted way of doing business, but it’s a fact. On a recent visit to Navoi, U.S. Ambassador to Uzbekistan Richard Norland confirmed that the United States and Uzbekistan have reached agreements to use the Navoi airport and Uzbekistan’s transportation system for shipping non-lethal military goods to Afghanistan. According to an embassy news release, discussions are now underway on extending railroad lines from the border of Uzbekistan to Afghanistan’s northern city of Mazar-i-Sharif. Norland cast it as a regional economic development scheme: “For economic development of the region, we need more access to ports and markets,” he said. “It’s in everyone’s interest.”

But it’s also in everyone’s interest that Uzbekistan doesn’t go the way of Pakistan. The regime of Uzbek President Islam Karimov is one of the most repressive in the region (first prize, however, still goes to Turkmenistan). The recent violence in Uzbekistan was not around Navoi: The incidents occured in the Ferghana region, which has been a magnet for Islamic extremists. But while Karimov’s been able to keep a lid on unrest, in the longer term there’s concern that his heavy-handed approach may ultimately lead to more violence.

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"Le gouvernement afghan a fait jeter dans une rivière de l'ouest du pays plus de 1.000 livres imprimés en Iran, parce qu'ils contiendraient des propos offensants pour les musulmans sunnites, ont affirmé des responsables mercredi. Mais les libraires qui avaient commandé ces ouvrages pour leurs échoppes de Kaboul affirment que le contenu de ces livres n'avaient rien d'insultant. Selon eux, les livres ont été détruits en raison d'un préjugé à l'encontre de la minorité chiite, qui représente environ 20% de la population afghane. La controverse est un nouvel épisode des tensions permanentes entre les deux communautés, chiite et sunnite, cette dernière majoritaire en Afghanistan, malgré le discours de tolérance des autorités. Les chiites ont été persécutés par le régime des talibans, pour la plupart sunnites, mais les deux groupes avaient trouvé un modus vivendi instable après le renversement des étudiants en religion en 2001. La constitution du pays libéré des talibans donnaient la possibilité aux sunnites d'édicter des lois ne s'appliquant qu'à leur propre communauté. La controverse actuelle porte sur un container arrivé dans la province de Nimroz il y a six mois, qui contenait outre des boites d'ordinateurs et des manuels d'anglais des livres d'instruction religieuse et d'histoire chiite, d'après le porte-parole du gouverneur de la province, Haaji Nazir. "Des tels livres sont plus dangereux que les balles des talibans" a déclaré à l'Associated Press le gouverneur Ghulam Dastagir Azad." AP

Manque plus qu'une guerre civile matinée de conflit religieux pour améliorer les choses !

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Invité Uncle Sam

Y a truc qui me tracasse , pourquoi l'armée de "terre" française n'a pas de tenue desert

En Afghanistan, ils sont vraiment visible, comme sur la photo au dessus.

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Y a truc qui me tracasse , pourquoi l'armée de "terre" française n'a pas de tenue desert

En Afghanistan, ils sont vraiment visible, comme sur la photo au dessus.

C'est sûr que le kaki en contre jour c'est sombre de chez sombre :)

Il faut leur passer la consigne de n'attaquer qu'avec le soleil de face :lol:

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Y a truc qui me tracasse , pourquoi l'armée de "terre" française n'a pas de tenue desert

En Afghanistan, ils sont vraiment visible, comme sur la photo au dessus.

parce que c'est le crise (depuis la création de l'armée française :lol: :rolleyes: :'( O0 ) donc on fait des économies sur le "superflu"....(c'est pas mon avis!!)
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parce que c'est le crise (depuis la création de l'armée française :lol: :rolleyes: :'( O0 ) donc on fait des économies sur le "superflu"....(c'est pas mon avis!!)

On pourrait économiser la peinture noire sur les VAB alors :lol:

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gibbs

j'avais pas saisi le sens de la question (CAESAR peuvent programmer le timer,airbust et dopler).le porte pelot (servant de piéce) avait une clé pour serrer la fusée une fois celle-ci vissé sur l'obus ,et avec la même clé (en bout de la clé sa fait comme un tournevis )on pouvait réglé la fusée en différent mode comme l'explique ATO.

les mots en english sa me complique le mode de compréhension . :P

En fait je demandais si c'était automatique ... certain canon comme le 40CTA ou le nouveau automoteur 155 US dispose d'un systeme automatique pour réglé la "fusée chronometrique" "la fusée de proximité" ou "le retard" a l'impact, tout ca gérer automatiquement par le controle de tir.

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En fait je demandais si c'était automatique ... certain canon comme le 40CTA ou le nouveau automoteur 155 US dispose d'un systeme automatique pour réglé la "fusée chronometrique" "la fusée de proximité" ou "le retard" a l'impact, tout ca gérer automatiquement par le controle de tir.

gibbs

ok , ;)j'viens de prendre encore un coup de vieux ,j'ai l'impression que le TRF1 s'est devenue un dinosaure ,tu me diras ,j'ai servi aussi sur 105 HM2 ,j'ai adoré ,malgrés son grand âge  =),faut que je me mette à la page sur le matos artillerie ...

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Le probleme c'est que nos forces sans mobilité sont super prévisible ... et cette prévisibilité est aussi dangereuse qu'un blindage un peut inférieur.

Notre prévisibilité ne vient pas de notre absence de mobilité elle est plutot lié à la nature des opérations de contre-inssuréction, les anciens n'ont pas demandé des VBHM mais des hélicoptères pour créer la surprise en Algérie.

Apres on peut rire de ca ... mais en l'absence de moyen héliporté US ... on est cantoné aux pistes, ou a se balader a pied. Les anglais on aussi ce probleme avec leur cougar qui ne peuvent pas aller chercher les blessé dans la green zone hors des pistes larges ... d'ailleurs les anglais ... remplacent les Viking ... par des Bronco via le le programme Warthog - pourtant ils ont du warrior, du CVRT etc.

-. C'est aussi vrai sur les autres theatres ... et il n'est pas sur que le VBCI ... qui est avant tout un VCI - pas un APC - pallie a ca.

Tu l'a dis toi meme, les Viking étaient en Afghanistan parce que les Anglais n'avaient pas autre chose sous la main et la narative du Mod un trompe l'oeil. Pour ce qui est de chercher des bléssés en véhicule je doute, lors qu'une attaque le Ltn Bruno demande a son dispositif de se placer hors de portée RPG, en particulier les VAB. En plus comme je le dis depuis quelques post l'aspect contre- insurréction doit modeler nos mode opératoire avec la prise en compte de la population.

http://18alexterieurafghanistan.blogspot.com/2009/05/de-lanmeur-lafghanistan.html

Régler les contentieux tandis que les soldats crapahutent dans la montagne à la poursuite des insurgés, le Breton est au contact de la population: «Une très large part de mon travail est d'appuyer la force en cas de contentieux». Quand un véhicule heurte le mur d'une maison dans la vallée d'Alasay, les soldats adressent aussitôt la personne lésée à l'adjudant Pascal. Il l'accueille alors à la base française pour recueillir sa déposition, transmise à Kaboul où l'indemnisation est décidée. Bien sûr, les victimes prennent le Breton pour la poule aux oeufs d'or: pour une brèche dans un mur en pisé (terre et paille séchée), le paysan afghan exige au moins mille dollars. Ce qui provoque toujours l'étonnement du gendarme: «Ici, les gens vivent avec trente dollars par mois, et un instituteur gagne 50dollars. Je transmets les demandes sans les commenter, mais je connais les tarifs: pour une chèvre écrasée, c'est 120dollars, et l'indemnisation est très généreuse». «Avec la population la relation est très courtoise»

Si tu trouve une vidéo des Anglais « à la Suèdoise » dans une zone agricole je demande à voir.

Pour ce qui est du VBHM ... pour le moment on ne sait meme pas a quoi il ressemble ... STK a fait plusieurs offre jusqu'a 18t ... je doute qu'a cette masse la pour 16 pax il sont infiniment moins blindé que l'Aravis ... sauf sur le dessous - m'enfin s'il sert a ce a quoi il doit servir ... le cross country ... il ne devrait pas se prendre d'IED -.

La résistance à la menace IED devrait etre un critère déterminant  pour la séléction d'un véhicule parce que ce mode opératoire deviendra la régle, pour celle  d'un VBHM on peut déjà éxclure le Viking au vue de ses piètres performances, pour celui de STK regardons s'il résiste autant que l'Aravis.

Pour l'Aravis ca ne devrait pas etre mieux que le VAB ... on est a la limite de masse du chassis Unimog ... et du moteur ... avec des pneu pas super adpaté au trial  effectivement il passera la ou le VAB passe ... essentiellement sur les pistes ... mais le jour ou on perdra des gars parce que le vehicule est tanké depuis une plombe et que les insurgé ont eu le temps de boire le thé pénard avant de les étriller on rira moins.

Et puis quoi encore on est pas sur M6, si j'ai un de mes capitaine qui tanke sa séction voir sa compagnie sur un chemin  parce qu'il est pas foutu de connaître sa zone d'opération et la paticabilité des routes et chemins en fonction des conditions climatiques il y a un gros problème, heureusement la pluviométrie(jours de pluie) est faible, meme en Kapisa

D'ailleurs pourquoi il était pas en ou avec des VBHM ce jour là puisqu'il en a huit à disposition.

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Notre prévisibilité ne vient pas de notre absence de mobilité elle est plutot lié à la nature des opérations de contre-inssuréction, les anciens n'ont pas demandé des VBHM mais des hélicoptères pour créer la surprise en Algérie.

Les hélicoptere on en a pas ...

Et personnellement je ne souhaite pas voir des VBHM comme vehicule principale de la troupe la bas. Moi je prone toujours la polyvalence ... de plateforme et a défaut de moyen. Il se trouve qu'on a pas de cheniller a envoyer la bas ... et que le VBHM serait bien adapté car pas trop lourd ... tres mobile et qu'il pourrait tres bien servir partout ailleurs. On a déployer des VAC en Bosnie on en a aussi en guyane etc.

Tu l'a dis toi meme, les Viking étaient en Afghanistan parce que les Anglais n'avaient pas autre chose sous la main et la narative du Mod un trompe l'oeil. Pour ce qui est de chercher des bléssés en véhicule je doute, lors qu'une attaque le Ltn Bruno demande a son dispositif de se placer hors de portée RPG, en particulier les VAB. En plus comme je le dis depuis quelques post l'aspect contre- insurréction doit modeler nos mode opératoire avec la prise en compte de la population.

Bah en meme temps quand tu vois comment sont positionné les vehicule t'as peur ... posé la en défilement de roue en plein champ ...

Sinon les VBHM devrait disposer d l'option cage a poule ... et a priori les Viking anglais on pas eu a rougir face au RPG loin de là. C'est essentiellement les IED qui pose de gros probleme au fond plat ... fond qu'on ne peut pas modifier sur le Viking. Mais rien ne dit que le Bronco arrangé warthog ne face pas tres bonne figue contre le RPG et pas trop mal contre IED ... il va aller chercher une masse maxi de pas loin de 18t je crois.

Pour la contre insurrection ... c'est pas un processus monolitique ... il y a des opération tres offensive ... mais aussi des patrouille tres vulnérable etc.

Je vois plutot le VBHM dans le role de la patrouille en cross-country loin des route et des IED, un peu en franc tireur avec les armes d'appui et/ou d'observation.

http://18alexterieurafghanistan.blogspot.com/2009/05/de-lanmeur-lafghanistan.htmlSi tu trouve une vidéo des Anglais « à la Suèdoise » dans une zone agricole je demande à voir.

La résistance à la menace IED devrait etre un critère déterminant  pour la séléction d'un véhicule parce que ce mode opératoire deviendra la régle, pour celle  d'un VBHM on peut déjà éxclure le Viking au vue de ses piètres performances, pour celui de STK regardons s'il résiste autant que l'Aravis.

Et puis quoi encore on est pas sur M6, si j'ai un de mes capitaine qui tanke sa séction voir sa compagnie sur un chemin  parce qu'il est pas foutu de connaître sa zone d'opération et la paticabilité des routes et chemins en fonction des conditions climatiques il y a un gros problème, heureusement la pluviométrie(jours de pluie) est faible, meme en Kapisa

Le question c'est pourquoi limité les mouvement de nos vehicule a la piste ... donc a une sorte de labyrinthe a la con ultra prévisible.

Les anglais usent de longue procédure de deception pour aborder les hameau refuge des insurgés, et souvent les Viking leur permettent d'aborder des positions inaccessible avec les moyen a roue... on le voit a plusieurs reprise dans Ross Kemp "return".

Pour les IED ce n'est rien de nouveau ... ca existe depuis toujours ... les mines anti-char aussi. Simplement nos mode d"engaement ont changé. Avant on avait l'ennemi devant l'ami derriere. Et donc les piege et autre c'était devant on y envoyait le génie avec la charrue ou les rouleau ... voire le cordon explosif ou les mine a blast anti mine etc. On savait gérer tres bien le probleme.

Mais aujourd'hui on veut se battre chez l'ennemi ... sans contrôler le terrain, tout en utilisant un moyen de déplacement civil - la route piste etc. -. Forcement c'est de la rigolade de nous cartonner. Mais visiblement les chose change doucement... on s'enquiert systématique des hauts ... on met en place systématiquement des appuis sérieux, on utilise les moyen de reco aérien pour pas être pris au dépourvu ... enfin on prend l'ennemi au sérieux, et on reprends l'initiative. Et c'est a ce moment la que le VBHM peut être pratique ... multiplier les point d'entrer et accéder a des poste inaccessible, circuler librement quand les condition deviennent ingérable en mobylette :) etc.

Quant au probleme de plantage des véhicule a roue il se pose très souvent - pas seulement les 4x4 mais aussi les 8x8 qui ont souvent a peu prêt la même pression au sol - ... parfois ça se règle assez vite ... parfois c'est très très long. On retrouve le même probleme avec les glissement de terrain des pistes a flanc de coteaux.

Pour ce qui est de l'encadrement - je dis bien l'encadrement - ... d'un je suis pas sur qu'il soit au niveau requis d'aguerrissement - l'effet somnifère de nos OPEX casque bleu et maintient de la paix - ... deux je suis pas sur qu'il est vraiment le choix des moyen. A priori la bas, c'est débrouille toi, avec le cul entre deux chaises, un entrainement pas au niveau et du matos "ancien".

Je parlais encore récemment avec des gars du 16 qui ont servi a Kaboul y a un moment ... ainsi qu'avec des pilote d'helo ... et ils ont corroborée mes impressions. Ont est clairement pas au niveau d'aguerrisement des US et des UK qui bataillent ferme depuis plusieurs année a la fois en Irak et en Astan, et les chose s'arrange doucement a mesure qu'on perd des gars.

D'ailleurs pourquoi il était pas en ou avec des VBHM ce jour là puisqu'il en a huit à disposition.

Probablement parce que les Bv206s ... sont pas assez rapide et blindé pour l'opération de patrouille. Ca se trouve il servent a autres choses ... on les voit jamais sur les photo des parking de FOB ...

Sinon pour l'Aravis  ... je te répète que je ne suis pas contre ... d'ailleurs il y a une commande en court pour 15, juste qu'a mon avis un lot de Warthog serait bien appréciable dans notre inventaire, je le trouve polyvalent et complémentaire de notre parc ...

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http://www.opex360.com/2009/05/28/succes-militaires-en-afghanistan/

Deux militaires britanniques de la Force internationale d’assistance à la sécurité (FIAS/ISAF), placée sous le commandement de l’Otan, ont perdu la vie, ce 28 mai. Le premier est décédé à l’hôpital de Birmingham, en Angleterre, après y avoir été admis pour de graves blessures reçues lors d’une explosion, il y a quelques jours, alors qu’il était en patrouille près de Lashkar Gah, dans la province du Helmand. Le second a été tué pratiquement dans les mêmes conditions, toujours dans le Helmand, près de Garmsir. Ces deux décès portent à 163 le nombre de militaires britanniques tombés depuis 2001 en Afghanistan.

L’avant-veille, trois soldats américains, appartenant également à l’ISAF, ont été tués par un attentat dans la province de Kapisa, dans l’est de l’Afghanistan, où un GTIA français est actuellement déployé. L’attaque a été revendiquée ultérieurement par Qari Mansoor, un porte-parole du Hezb-e-Islami, un mouvement islamiste proche d’al-Qaïda dirigé par Gubuldin Hekmatyar.

Ces attaques sont fréquentes dans le pays et les insurgés font parfois preuve d’audace, comme par exemple à Khost, dans l’est du pays, le 12 mai dernier, où ils attaqué des bâtiments officiels. “Plusieurs kamikazes ont visé simultanément les locaux du gouverneur et de la municipalité de Khost. Selon leur porte-parole, Zabihullah Mujahed, une trentaine de “combattants équipés de voitures piégées, de ceintures d’explosifs et d’armes à feu” ont réussi à s’infiltrer dans la ville. Le porte-parole de l’armée américaine a fait état de combats de rue entre les taliban et les troupes afghanes, appuyées par des forces de l’ISAF.

Cependant, les forces de sécurité afghanes et les troupes de l’Otan ainsi que celles de l’opération Enduring Freedom, ont souvent l’initiative contre l’insurrection. Ainsi, dans la nuit du 27 au 28 mai, la police afghane et l’armée américaine ont donné l’assaut à un camp de taliban situé dans le district de Wor Mamay, près des zones tribales pakistanaises qui servent de bases arrière aux insurgés.

“Lorsque les forces régulières ont approché, elles ont immédiatement été prises sous un feu nourri. Un certain nombre de kamikazes se sont fait exploser et il y avait des grenades installées autour du campement, prévues pour exploser si quelqu’un approchait” a commenté le colonel Julian, porte-paroles des forces militaires américaines en Afghanistan. Des hélicoptères de combat ont fourni un appui aérien aux troupes engagées dans le combat.

Selon Hameedullah Zhohak, le porte-parole de la province de Paktika, quatre véhicules, 27 motos, 30 lance-roquettes RPG ainsi que des armes légères ont été saisies. Aucune perte n’est à déplorer parmi les forces afghanes et américaines. En revanche, 34 insurgés ont été tués. Cette opération visait à mettre la main sur Sangeen (alias Fateh), “un commandant important du réseau Haqqani, responsable de nombreuses attaques dans l’est de l’Afghanistan” et du passage en Afghanistan “de centaines de combattants étrangers venus du Pakistan”.

Le réseau Haqqani, fondé par Jalaluddin Haqqani, un moudjahidin qui a combattu les Soviétiques dans les années 1980 avant de rejoindre les islamistes, serait désormais dirigé par ses fils Siraj (5 millions de dollars sont offert par les Etats-Unis pour sa capture), Naisruddin et Badruddin. Il rassemblerait aussi bien des combattants du mouvement taleb que des militants d’al-Qaïda.

Une semaine plus tôt, une autre opération a été menée conjointement par l’armée nationale afghane et les forces américaines, à Marja, situé à une quarantaine de kilomètres de Lashkar Gah, la capitale de la province du Helmand, dont la resource principale est la culture de l’opium (90% de la production mondiale). Cette fois, il s’est agi de porter un coup au trafic de drogue, dont les royalties, d’un montant de 100 millions de dollars, sont reversées aux taliban, ce qui leur permet de financer leur mouvement et l’insurrection.

L’intervention des militaires afghans et américains, au cours de laquelle une soixantaine de talibans ont été tués, a permi de saisir des armes mais surtout 92 tonnes d’opium, ainsi que des produits chimiques destinés à la production d’héroïne et à la fabrication d’engins explosifs.

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@ G4LLY ,tout a fait d'accord sur ton point de vue sur le  VBHM ,et sur notre niveau d'expérience qui monte mais ne permet pas une plus grande diffusion au sein de l'armée au vue du volume d'hommes déployé en kapissa (ou en OMLT) sur une période de six moix  en comparaison aux volume d'hommes aguerris chez les US  et les brits depuis 2001 en afghanistan et l'irak depuis 2003 .

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http://www.lemonde.fr/asie-pacifique/article/2009/05/29/le-dialogue-avec-les-talibans-aurait-du-etre-engage-des-2001_1199559_3216.html

Dans un chat sur LeMonde.fr, Mariam Abou Zahab, chercheuse associée au CERI-Sciences Po,  fait le point sur la lutte contre les talibans en Afghanistan et au Pakistan.

placedesfetes : Connaît-on l'état des forces talibanes ?

Mariam Abou Zahab : Le terme de taliban recouvre des réalités très diverses. En Afghanistan, les "néotalibans", comme certains les appellent, sont bien différents des talibans historiques. On met sous ce terme des islamo-nationalistes dans le sud de l'Afghanistan, qui ont des objectifs très locaux. Dans l'est de l'Afghanistan, on trouve des groupes très organisés et transnationaux, comme le Hezb-e-Islami d'Hekmatyar, et les réseaux haqqani par exemple.

Au Pakistan aussi, le terme taliban est utilisé pour désigner des groupes dont les objectifs sont très divers. Le mouvement des talibans du Pakistan, dirigé par Baitullah Mehsud, n'est pas homogène ni strictement hiérarchisé. Les groupes qui en font partie sont divisés par des luttes de personnes, de factions. Des bandes de délinquants se livrent à leurs activités en toute impunité en se protégeant derrière le nom de taliban. On ne peut, dans cette région du monde, jamais généraliser.

bob : Les talibans sont-ils plus influents au Pakistan ou en Afghanistan ?

Mariam Abou Zahab : Il est très difficile de répondre à cette question. La réalité est trop diverse. Cela ne se joue pas en termes d'influence plus ou moins grande.

bernard : En cas de victoire au Pakistan, quel est le programme des talibans ?

Mariam Abou Zahab : La question ne se pose même pas, parce que les talibans pakistanais sont un mouvement périphérique, en marge de la société et de l'Etat.

teo : Si les forces pakistanaises reprennent le contrôle du pays, pourront-elles le reconstruire et faire revenir les déplacés ?

Mariam Abou Zahab : C'est vraiment toute la question. L'armée pakistanaise semble cette fois plus motivée et décidée à mener l'opération militaire à son terme. Parce que cette fois, les partis politiques ont presque tous apporté leur soutien à cette opération, ce qui n'était pas le cas jusqu'à présent. Toutefois, les déplacés sont sceptiques quant à la réussite de l'opération. Ils craignent que, comme cela s'est déjà produit par le passé, les talibans ne se soient réfugiés dans les montagnes – ils connaissent le terrain beaucoup mieux que l'armée – et qu'une fois l'armée retirée les militants reviennent. La situation serait alors pire qu'avant l'opération militaire.

Par ailleurs, la population déplacée en veut beaucoup à l'armée, qu'elle accuse d'avoir détruit les maisons, tué des civils et, de plus, les déplacés de Swat ont dû fuir au moment des récoltes, ce qui va poser de graves problèmes dans les mois à venir. Problèmes en termes de denrées alimentaires et autres.

Pour l'instant, il n'est pas possible d'aller dans la vallée de Swat, donc les seules informations dont on dispose sont celles fournies par l'armée. Et on ne connaît par conséquent pas le nombre de pertes du côté taliban.

Mathieu : Une extension de la mission militaire de l'OTAN est-elle possible au- delà des frontières de l'Afghanistan avec l'aval du Pakistan pour combattre plus efficacement les insurgés ?

Mariam Abou Zahab : C'est totalement hors de question. L'OTAN ne l'envisage même pas. Le Pakistan est un Etat souverain, et ce serait totalement contre-productif et aucun gouvernement pakistanais ne pourrait l'accepter. La population encore moins.

thomas : La stratégie de "séduction" des chefs de village en Afghanistan par les Américains peut-elle aboutir ?

Mariam Abou Zahab : Non. L'Afghanistan n'est pas l'Irak. Le modèle Al-Anbar (province d'Irak) ne peut pas être reproduit en Afghanistan parce que la structure tribale est extrêmement différente, et parce que payer et armer des notables locaux ou des seigneurs de la guerre ne pourrait que relancer une guerre civile en Afghanistan.

domino08 : Quelle est la meilleure méthode pour combattre les talibans ? Le dialogue ou la confrontation armée ?

Mariam Abou Zahab : Un mélange des deux. Le dialogue aurait dû être engagé en Afghanistan dès 2001. On a commis l'erreur de marginaliser tous les Pachtounes en Afghanistan. Il faut réintégrer les Pachtouns dans le jeu politique afghan, et négocier tout en maintenant une pression militaire. Mais tout le monde est maintenant d'accord pour dire que la solution n'est pas militaire. Et cela, les observateurs de l'Afghanistan le savaient dès 2001. Beaucoup de temps et d'occasions ont été perdus, et il est peut-être trop tard.

Nico : Les services secrets pakistanais (ISI), considérés comme un Etat dans l'Etat, sont très militarisés et très puissants. Quels est leur rôle dans ce conflit exactement ?

Mariam Abou Zahab : Les services de renseignement de l'armée pakistanaise sont fortement militarisés, puisqu'ils font partie de l'armée pakistanaise. Ils sont la cible des talibans, comme en témoignent les attentats ciblés récents à Lahore, entre autres. Mais ils ne sont pas un Etat dans l'Etat, ils font partie de l'armée.

Ils ont entretenu des relations ambiguës avec les talibans afghans après 2001, pour des raisons liées à ce que l'armée pakistanaise considère comme les intérêts stratégiques régionaux du Pakistan. Mais il faut dire qu'actuellement, au Pakistan, les groupes militants ont totalement échappé au contrôle tant des services de renseignement, qui les ont parfois soutenus, que de leurs aînés. Ils sont devenus incontrôlables.

cerrumios : Sait-on si le mouvement taliban a des ramifications en Europe ? Quel en est le risque sur le continent ?

Mariam Abou Zahab : Les talibans afghans sont un mouvement purement afghan, avec un agenda très local. Aucun Afghan n'a jamais mené d'opération en Europe ni en Amérique du Nord.

Aurelien : Les populations pakistanaise et afghane ne risquent-elles pas, suite aux diverses opérations militaires, de soutenir un peu plus chaque jour les talibans ?

Mariam Abou Zahab : En Afghanistan, les "bavures" des forces de la coalition renforcent le soutien aux talibans. Et l'envoi de troupes supplémentaires dans le sud de l'Afghanistan ne fera qu'accentuer cette tendance. Au Pakistan, les 2,5 millions de déplacés en veulent autant à l'armée qu'aux talibans. Mais beaucoup disent que les talibans ne s'en prenaient pas aux pauvres, alors que l'armée a tout détruit.

Si les autorités pakistanaises, les Nations unies et les ONG ne parviennent pas à apporter un minimum d'aide aux déplacés dans les prochains jours, le risque existe qu'ils basculent du côté des talibans. De plus, les déplacés sont rejetés par la population muhajir et sindhi de Karachi, et les autorités du Pendjab sont réticentes à accepter des déplacés. Tout cela renforce le sentiment, très répandu chez les Pachtouns au Pakistan et en Afghanistan, que les opérations militaires dans les deux pays sont dirigées exclusivement contre eux, et ils parlent souvent d'un "génocide des Pachtouns".

Les autorités pakistanaises s'efforcent de séparer les opérations militaires à Swat et dans des zones tribales de leur participation à la guerre contre la terreur, mais dans l'esprit de la population pakistanaise, même si un consensus est récemment apparu pour soutenir les opérations militaires, un échec de l'armée ferait basculer les déplacés du côté des talibans.

PtiMakake : Si l'armée pakistanaise échoue dans cette guerre et que les talibans poussent une offensive, auraient-ils la possibilité d'accéder à des stocks d'armes nucléaires ?

Mariam Abou Zahab : Non. C'est le grand fantasme des Occidentaux. L'armée pakistanaise et les Etats-Unis ont pris des dispositions pour protéger les installations nucléaires pakistanaises et un tel scénario n'est pas crédible à court ou moyen terme.

indrian : Qu'en est-il de la présence américaine au Pakistan ? La CIA y semble très active...

Mariam Abou Zahab : Oui. La CIA est très présente au Pakistan depuis les années 1980. Les attaques menées par des drones en territoire pakistanais sont de son fait. Elles se sont multipliées depuis l'entrée en fonction du président Obama, et selon les sources américaines, ces attaques ont fait près de 700 morts civils et n'ont tué qu'une quinzaine de "cibles de haute valeur". Elles sont jugées contre-productives et radicalisent la population.

jacnac : Comment se financent les talibans et qui leur procure des armes ?

Mariam Abou Zahab : Il n'est pas difficile de se procurer des armes dans la région. Les deux sociétés, pakistanaise et afghane, sont surarmées. Le financement provient de sources très diverses. Les taxes perçues sur le pavot et l'opium sont marginales dans le financement. Les talibans perçoivent en revanche des taxes sur différentes activités économiques licites. Les enlèvements contre rançon se sont aussi multipliés au Pakistan. Il y a aussi la contrebande, notamment de voitures, l'exploitation dans la vallée de Swat des mines d'émeraude, par exemple, les accords avec la mafia du bois, les braquages de banques et d'entreprises à Karachi, etc. Et il y a aussi les financements provenant de la diaspora pachtoune. Et peut-être, selon certaines sources, des financements privés arabes provenant du Golfe, même si on n'en a aucune preuve.

Lucky_lucius : De quels moyens militaires disposent les talibans par comparaison avec l'armée régulière pakistanaise ?

Mariam Abou Zahab : Ce sont des groupes de guérilla qui connaissent parfaitement le terrain sur lequel ils opèrent. L'armée pakistanaise n'est pas formée à ce type de combat. C'est une armée formée pour des batailles de char en plaine face à l'armée indienne. D'autre part, les meilleures troupes pakistanaises sont toujours déployées à la frontière indienne plutôt que dans la province frontière du nord-ouest. Une partie de l'establishment militaire pakistanais considérant toujours que l'ennemi principal est l'Inde plutôt que les groupes extrémistes religieux.

D'autre part, jusqu'à une période très récente, les opérations militaires pakistanaises dans les zones tribales et les districts pachtouns étaient vues comme une guerre faite pour le compte des Américains plutôt qu'une guerre pour la survie du Pakistan. L'armée pakistanaise n'avait pas le soutien de la population ni des partis politiques, et il était difficile aux militaires de se battre contre leurs compatriotes musulmans et d'affronter des groupes qui, depuis les années 1980 et jusqu'en 2001, étaient considérés comme des moudjahidins qu'il fallait soutenir dans leur combat.

dams-al : Pensez-vous que les évènements actuels peuvent à nouveau mener le Pakistan vers une prise de pouvoir militaire ?

Mariam Abou Zahab : On a beaucoup parlé ces derniers temps de cette possibilité, mais le général Kayani, chef de l'état-major, est très réticent à l'idée d'exercer le pouvoir. D'autre part, la société pakistanaise souhaite un gouvernement civil, démocratique, et ne veut pas voir le retour au pouvoir des militaires qui ont toujours été, sur le long terme, jugés catastrophiques pour le pays. Le président Zardari est impopulaire, et son gouvernement est faible. Des élections anticipées ne sont pas à exclure ; elles verraient probablement la victoire de Nawaz Sharif.

Un coup d'Etat militaire ne serait pas acceptable dans le contexte actuel même si certains, aux Etats-Unis, préfèrent traiter avec un gouvernement militaire pakistanais, vu comme plus stable et plus fiable qu'un gouvernement civil faible et avec de multiples centres de pouvoir.

Jacques : L'histoire montre qu'il est pratiquement impossible de vaincre une guérilla. N'est-il pas envisageable d'abandonner tout simplement le conflit ?

Mariam Abou Zahab : L'histoire de l'Afghanistan montre qu'aucune armée étrangère n'est venue à bout des Afghans et que s'en remettre à une armée étrangère pour venir à bout d'une insurrection armée ne peut que mener à l'échec. Toutefois, quitter brutalement l'Afghanistan n'est pas envisageable car le pays tomberait à nouveau dans le chaos et dans la guerre civile. Plutôt que d'envoyer de nouvelles troupes qui ne feront qu'exacerber le problème, il faut redonner de l'espoir aux Afghans en donnant un calendrier de retrait des troupes et en leur donnant ce dont ils ont le plus besoin, bien avant la "démocratie" : la sécurité du travail et de la nourriture pour leurs enfants. Donc la solution passe par une véritable reconstruction de l'Afghanistan dans l'intérêt des populations afghanes rurales, qui ont été largement oubliées depuis 2001, et qui sont les principales victimes de la poursuite du conflit.

Chat modéré par Antonin Sabot

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"L'histoire montre qu'il est pratiquement impossible de vaincre une guérilla":

J'aime bien le pratiquement, ca doit vouloir dire que théoriquement c'est possible  =), cette chercheuse de sciences po devrait faire des recherches "de théorie appliquée"  ;) au sri lanka, ce qui reste du LTTE des tamouls aurait surement des choses à lui raconter.

Bref je retiendrai toutefois de cet article, qu'elle ne croit pas à une prise de controle du pakistan par les taliban.

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Disons que vaincre une guerilla est possible mais que ce n'est pas rentable vu l'explosion des moyens nécessaires. parce que bon, les USA ont effectivement vaincu la guerilla aux Philippines mais à quel cout humain ? tout simplement énorme...

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vaincre une guerilla est possible si elle ne beneficie ci pas d'un sanctuaire et d'appuis externes sinon elle est morte à terme (Communistes en malaisie, Mau-Mau, LTTE recemment)

par contre si elle beneficie de ces elements (ce qui est jusqu'a present le cas des Talibans avec un sanctuaire pakistanais et un appui de l'ISI) ca peut durer

maintenant si l'ISI a decidé de lacher ses protegés parceque trop remuants et que l'armée pakistanaise a à loisir l'occasion de nettoyer les places sanctuaires, on va voir une amelioration en Astan du point de vue militaire .... et c'est la qu'il faudra pas rater le coche du point de vue civilo-politique

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En effet ..

Ce n'est qu'une question de moyen et donc de motivation . N'oublions pas que nous avons derrière nous une population puissante, avec une opinion qui compte, ce qui n'est pas (je pense) le cas au Pakistan , et les Afghans , les pauvres, je pense qu'ils doivent penser avoir à choisir entre la peste et le choléra ..

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http://www.google.com/hostednews/afp/article/ALeqM5ij5ngHe8QqFuqwQplamMIOvKz3tQ

KABOUL (AFP) — Deux cent quarante-huit insurgés et 17 soldats ont été tués dans une série d'opérations de l'armée afghane lancées à l'approche de l'élection présidentielle du 20 août, a annoncé dimanche le ministère afghan de la Défense.

Pour l'armée afghane, il s'agit de reprendre le contrôle des zones contrôlées par les rebelles islamistes avant ce scrutin.

Les opérations, déclenchées il y a dix jours, ont été menées dans cinq provinces de l'Est et du Sud du pays - Helmand, Uruzgan, Ghazni, Farah et Paktika - toutes sous l'emprise des talibans, a indiqué le général Mohammad Zahir Azimi, porte-parole du ministère.

"Nous essayons d'utiliser les moyens de nos forces nationales, de l'Otan et des forces de la coalition, ainsi que les troupes qui seront déployées plus tard pour mettre en place les conditions d'un vote libre de nos concitoyens", a précisé le général à la presse.

Des milliers de soldats supplémentaires de la coalition internationale conduite par l'Otan sont prévus le jour du vote.

La coalition compte déjà plus de 70.000 hommes qui aident l'armée afghane à combattre l'insurrection des talibans. Ces derniers ont appelé à boycotter le scrutin.

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http://www.military-world.net/Afghanistan/1493.html

The British Army’s SAS Regiment, which played a vital role in defeating al-Qaeda in Iraq, is now arriving in Afghanistan in one of the biggest deployments of UK special forces since the Second World War.

Two squadrons from 22 SAS are being sent to Afghanistan now that Britain’s combat role in Iraq has been wound up, to carry out clandestine operations against the Taleban.

The deployment of the SAS, which will be joining the Special Boat Service (SBS) already serving in southern Afghanistan, represents a mini-surge of troops to add to the 700 regular British soldiers going out for a four-month period to provide extra security during the presidential election.

The switchover of the SAS from Iraq to Afghanistan has coincided with the replacement of General David McKiernan, the overall American commander of Nato’s International Security Assistance Force, by Lieutenant-General Stanley McChrystal, former commander of US Special Operations, who is expected to launch missions to starve the Taleban of fighters, funds and arms.

The impact of the SAS in Baghdad in eliminating the threat from alQaeda and persuading Sunni insurgents to swap sides and become informants helped to bring the war to an end. In a recent interview with The Times, General Sir Richard Dannatt, the head of the Army, said that the coalition special forces, including the British units, had taken on al-Qaeda “and their mass-suicide tactics . . . full square” and had defeated them in Baghdad. “Al-Qaeda didn’t defeat itself in Baghdad. It was defeated, substantially defeated,” he said.

Working closely with a specially trained unit of 12 Iraqi commandos, the SAS in Baghdad and Anbar province crippled at least two car bomb networks, killed or captured hundreds of key targets and took part in multiple rescue missions to save hostages such as Norman Kember, the British peace activist. The SAS sprang into action hours after scores of gunmen in police uniforms kidnapped Peter Moore, a computer consultant, and his four security guards from a Finance Ministry compound in Baghdad on May 29, 2007. SAS troopers were deployed to Sadr City in the hunt for the five, raiding suspected properties night after night, but to no avail.

While the majority of Britain’s military effort was based in Basra, the SAS set up headquarters inside Baghdad’s fortified green zone, working closely with Delta Force, its US counterpart. Members of the squadron also rotated into Basra, where they teamed up with US Navy Seals to hunt Iranian-backed Shia militias.

Delta Force and the SAS learnt from each other. The Americans were impressed by the ability of the SAS to get up close to a target before striking — a technique known as “close-target recce”. Members of the team would apparently even dye their skin brown and hair black, don fake gold watches and wear Iraqi clothes to look like locals, and approach a target.

The SAS principally hunted car bomb networks in Baghdad, a task it pursued up until its final days, taking out two of the six cells in existence. The British efforts earned particular praise from General David Petraeus, the American commander, when he led the multinational force in Iraq. “Who dares wins,” he said, quoting the SAS motto. “They have exceptional initiative, exceptional skill, exceptional courage and, I think, exceptional savvy. I can’t say enough about how impressive they are in thinking on their feet.”

The unrivalled covert operational experience of the SAS in Iraq is now being added to the expertise of the SBS, which has been Britain’s main special forces component in Afghanistan since 2006, alongside the SAS’s Territorial Army units, 21 SAS and 23 SAS.

The arrival of the SAS from Iraq, accompanied by additional specialist troops from the Special Reconnaissance Regiment (former undercover surveillance teams from the counterterrorist campaign in Northern Ireland), and the Special Forces Support Group (formerly the 1st Battalion The Parachute Regiment), will make a substantial difference to Britain’s military campaign in Helmand province.

• Two British servicemen who died after being wounded in separate incidents in southern Afghanistan this week were named by the Ministry of Defence yesterday as Lance Corporal Robert Richards, 24, of the Royal Marine Armoured Support Group, and Lance Corporal Kieron Hill, 20, of the 2nd Battalion The Mercian Regiment.

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