Aller au contenu
AIR-DEFENSE.NET

[Afghanistan] Archive


Messages recommandés

Certes, mais hormis les USA et la GB, aucun des 7 pays devant nous n'as autant de soldats en OPEX, qui je le rappelle, sont environ        21 500 actuellement à servir sous les drapeaux... il faut choisir ces priorités, nous avons les nôtres, ce n'est pas l'Afghanistan pour le moment. Nous fournissons plus de 60 % des effectifs de l'Eufor au Tchad et en RCA,et le nombre de soldats d'Epervier a aussi été revu à la hausse face aux récents évènements.

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

Certes, mais hormis les USA et la GB, aucun des 7 pays devant nous n'as autant de soldats en OPEX, qui je le rappelle, sont environ         21 500 actuellement à servir sous les drapeaux... il faut choisir ces priorités, nous avons les nôtres, ce n'est pas l'Afghanistan pour le moment. Nous fournissons plus de 60 % des effectifs de l'Eufor au Tchad et en RCA,et le nombre de soldats d'Epervier a aussi été revu à la hausse face aux récents évènements.

En fait en décembre, nous avions 10100 soldats en OPEX --> http://www.defense.gouv.fr/ema/content/download/98960/872982/file/CARTE.pdf
Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

Exact, je me référais à un PDF du centre de planification militaire européen, qui listait 21700 militaires français en OPEX en juin 2007 ... je  ne sais pas si c'est un bug ou ... en tout cas oui il y a erreur désolé

Le problème est de savoir comment ils comptent.... Est ce qu'ils comptent que l'AdT ou l'AdA et la Marine avec....? Ce n'est pas toujours très clair....

Après, il faut ajouter les dispositifs permanents : Djibouti 2900h  (3 armées) les trois bataillons Interarmes d'Afrique de l'Ouest ; Gabon 980 h (idem pour les 3) Senegal 1100h (les 3) le bataillon Cote d'Ivoire semble être integré à l'opé Licorne.... Le dispositif ALIDIEN est compris dans la même rubrique "forces de présence"....

Par ailleurs, si l'on ajoute les personnels de souveraineté : Antilles (4600 personnels dont 400 civils et 1250 gendarmes) Guyanne 3500 militaires dont 800 gendarmes (GM) Nouvelle Caledonie 2700 personnels ; Tahiti 2180h ; Ocean Indien (Mayotte + Reunion) 4050h...

Cela fait quand même plus de 21000 personnels entre présence et souveraineté. Je ne conteste pas l'utilité du dispositif masi c'est évident que, à effectifs comparables, nous avons plus de "rigidités" que les britanniques et par voie de conséquence moins de disponibilités....

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

Par ailleurs, si l'on ajoute les personnels de souveraineté

On arrive à plus de 30 000 hommes.

Je ne conteste pas l'utilité du dispositif

Les militaires des DOM-TOM sont autant disponibles pour des OPEX que ceux de métropole, voire opération Cabret.

nous avons plus de "rigidités" que les britanniques et par voie de conséquence moins de disponibilités

Es-tu sur de ça ? Parce-que les britanniques avaient surement un peu les boules de n'avoir qu'une poignée d'hommes aux Malouines. Maintenant ils parlent de stationner des typhoon. Un peu tard peut-être.

qui double le chiffre des forces déployées et donc indisponibles

Voire plus haut.

Fusilier toi qui critiques le dispositif de protection du territoire national dans les DOM-TOM, de par son ampleur, tu peux m'expliquer à quoi servent les +/- 4000 gugusses stationnés en Allemagne. Si on pouvait en envoyer 1000 aux EAU en plus des Mirage 2000-5 ainsi que 1500/2000 en afghanistan (pour rester dans le sujet), ce serait pas mal.

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

à quoi servent les +/- 4000 gugusses stationnés en Allemagne. Si on pouvait en envoyer 1000 aux EAU en plus

de quoi ?

Nous n'avons plus de forces en présence en Allemagne depuis quelques années si je ne me trompe pas ...

pour revenir à ce dont je parlais, le PDF en question présentait les forces françaises (et européennes) en OPEX, qu'ils soient de l'Armée de Terre, de l'Air, ou de la Marine. On  arrivait donc en deuxième position en terme d'effectifs déployés avec 21700 militaires, derrière la GB qui dispose d'entre 25 000 et 28 000 militaires en OPEX

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

Je l'ai déjà expliqué, carte à l'appui. Je repars pour un tour.

Forces sous mandat international : 6000 hommes. (dont kosovo 1800, Afghanistan 1900 et Liban 1600).

Forces de souveraineté : 17000 hommes.

Forces de présence : 6000 hommes. (dont Djibouti 3000, Sénégal 1200).

Forces temporaires : 4300 hommes. (dont Tchad 1200, Cote d'Ivoire 2500).

Ce qui fait environ 33000 hommes déployés hors de métropole dont 11 000 et des poussières en OPEX.

A cela on ajoute les FFSA : 5000 hommes.

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

Je l'ai déjà expliqué, carte à l'appui. Je repars pour un tour.

Forces sous mandat international : 6000 hommes. (dont kosovo 1800, Afghanistan 1900 et Liban 1600).

Forces de souveraineté : 17000 hommes.

Forces de présence : 6000 hommes. (dont Djibouti 3000, Sénégal 1200).

Forces temporaires : 4300 hommes. (dont Tchad 1200, Cote d'Ivoire 2500).

Ce qui fait environ 33000 hommes déployés hors de métropole dont 11 000 et des poussières en OPEX.

A cela on ajoute les FFSA : 5000 hommes.

17.000 en comptant les gendarmes et le service militaire adapté, ce qui fait la moitié du chiffre.
Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

17.000 en comptant les gendarmes et le service militaire adapté, ce qui fait la moitié du chiffre.

Ouais enfin la gendarmerie mobile qui traque l'orpailleur en Guyane c'est pas vraiment bébert qui met des prunes.

C'est quoi le SMA ? Tu es sur qu'il faille diviser le chiffre par deux ?

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

17.000 en comptant les gendarmes et le service militaire adapté, ce qui fait la moitié du chiffre.

Tu as raison Vet, mais ces forces sont comptées comme des forces militaires c'est l'ambiguité de nôtre budget....

Nb. je ne suis pas sur que cela fasse 50% quand même.

@ Orca. Je ne "critique" pas le dispositif  et je ne consteste pas la nécesité de défendre le territoire national et y compris les DOM TOM. Je mets en lumière une "rigidité" (remarque que je mets de guillemets  =D) et je m'interroge sur l'organisation du disposiitif /format. Je ne pense pas que ce soit si "iconoclaste"....Si?  Par ailleurs, les "forces de présence" sont, en partie des "rotations" ce qui accroit, de facto, la pression sur les unités métropole.... Même s'il est plus agreable surement d'aller passer 4 mois à Noumea que au  Kosovo  =D

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

Ouais enfin la gendarmerie mobile qui traque l'orpailleur en Guyane c'est pas vraiment bébert qui met des prunes.

C'est quoi le SMA ? Tu es sur qu'il faille diviser le chiffre par deux ?

Les régiments du service militaire adapté, qui dépendent si mes souvenirs sont bons du ministère ou sécretariat des DOM-TOM.

Ils dispensent des formations proféssionnelles aux jeunes d'outremer: maçon, forestier, vigile, hotellerie...et au même temps une instruction militaire sommaire.

Il existe 8 unités SMA de taille régimentaire. Par contre ces unités ne peuvent pas être employées pour des missions de guerre, uniquement en cas de catastrophe naturelle.

http://www.outre-mer.gouv.fr/outremer/front?id=outremer/a_votre_service/sma_1037718230301

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

Selon les chiffres de l'Etat Major des Armées

Forces de souveraineté.

Antilles

2 250 personnels de l'armée de terre dont 1050 militaires du service militaire adapté,

500 personnels de la Marine,

200 militaires de l'armée de l'air,

1 250 gendarmes,

400 personnels civils

Guyanne

Les forces armées en Guyane, d'un effectif de 3500 militaires, comprennent des unités des trois armées, dont deux du service militaire adapté (SMA), et de la gendarmerie. Elles sont réparties entre Cayenne, Saint-Jean du Maroni et Kourou.

Forces terrestres (1600 hommes) : 9ème RIMA et 3ème REI

Forces aériennes (250 hommes) : 4 Puma et 3 Fennec

Forces navales (150 hommes) : 2 patrouilleurs P400 et 2 Vedettes côtière de surveillance maritime (VCSM) de la gendarmerie maritime

Par ailleurs, le service militaire adapté (SMA - 700 hommes) comprend le 3e RSMA (Cayenne) et le GSMA (Saint-Jean du Maroni).

Enfin, 800 gendarmes sont déployés (5 escadrons de gendarmerie mobile, dont 2 pour la lutte contre l'orpaillage clandestin).

Nouvelle Caledonie

Les unités des FANC (2700 militaires au total) sont principalement déployées à Koumac, Nandai, la Tontouta, Plum et Nouméa où est également basée une partie des forces d’ALPACI (1 frégate de surveillance, le Vendemiaire et 1 Alouette III).

forces terrestres (1100 hommes), dont le RIMaP/NC avec 2 compagnies et un escadron blindé ;

forces navales (450 hommes) : 2 patrouilleurs P400, 1 Batral et une vedette de la gendarmerie maritime ; la flottille 25F (2 Gardian) et des éléments de protection (fusiliers marins en unité tournante).

forces aériennes (150 hommes) : 3 Casa, 5 Puma et 2 Fennec.

Par ailleurs, le SMA (250 hommes) comprend deux compagnies implantées à Koumac et Koné.

Enfin, 750 gendarmes sont déployés (4 escadrons de gendarmerie mobile) et mettent en œuvre une vedette de surveillance et 2 hélicoptères Ecureuil.

Polynesie

Les unités des FAP sont principalement déployées sur l’île de Tahiti et plus précisément à Papeete.

Forces terrestres (570 hommes) : RIMAP/P

Forces aériennes (160 hommes) : 2 Casa, 2 Super Puma

Forces navales :

COMSUP Polynésie Française (forces de souveraineté) à Tahiti (400 hommes) : 1 Batral, 2 patrouilleurs P 400, 1 remorqueur ravitailleur, 2 remorqueurs portuaires, un détachement de fusiliers, le patrouilleur de gendarmerie maritime Jasmin, 1 chaland de transport maritime, la flottille 25 F avec 3 Gardian;

ALPACI (forces de zone / 180 hommes) : 1 frégate de surveillance (Prairial) et 1 hélicoptère embarqué Alouette III à Papeete.

Par ailleurs, le SMA (300 hommes) comprend : un état-major à Tahiti et 3 détachements (Marquises, Australes et Tuamotu).

Les unités des forces françaises en zone sud de l’océan Indien (4050 militaires) sont principalement déployées à La Réunion (3300 militaires) et à Mayotte (750 militaires).

Ocean Indien

Forces terrestres (800 militaires) : à la Réunion : le 2° RPIMa ; à Mayotte : le DLEM.

Forces aériennes (200 militaires) : à la Réunion : 2 Transall et 2 Fennec.

Forces navales (550 militaires dont 100 d'ALINDIEN) :

à la Réunion : une base navale, 2 patrouilleurs P400, un patrouilleur austral, un patrouilleur des affaires maritimes, un BATRAL, un patrouilleur de la gendarmerie maritime et un détachement de fusiliers. Les forces sous contrôle opérationnel d’ALINDIEN (2 frégates de surveillance (Floréal et Nivôse), 2 hélicoptères Panther) peuvent venir renforcer ce dispositif pour des missions spécifiques ;

à Mayotte : un détachement marine avec une vedette de servitude, un CTM et 1 vedette côtière de surveillance maritime de la gendarmerie maritime.

Unités du Service Militaire Adapté (1150 hommes) : à la Réunion : le 4° RSMA ; à Mayotte : un GSMA et deux compagnies.

950 personnels de gendarmerie sont déployés entre La Réunion et Mayotte (dont 2 escadrons de gendarmerie mobile) et mettent par ailleurs en œuvre une Alouette III et une vedette.

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

Le point de vue des diffèrents minsitères sur le SMA (il faudrait qu'ils accordent leurs violons....  =D)

Ministère de la défense

http://www.defense.gouv.fr/defense/espace_jeunes/recrutement_et_formation/le_service_militaire_adapte_sma

Ministère Outre mer

http://www.outre-mer.gouv.fr/outremer/front?id=outremer/a_votre_service/sma_1037718230301

Ministere de l'intérieur.

http://www.le-sma.com/

Il est intéressant de noter que :

les Régiments SMA semblent appartenir aux Troupes de Marine ;

http://www.troupesdemarine.org/actuel/unites/sma.htm

Selon les sites ils auraient également une mission "défense" (évaluer leur caractère opérationnel c'est autre chose...) Mais après tout, ça semble logique qu'ils participent à la défense du territoire en cas d'attaque....

Rapports des parlementaires sur la question

http://www.assemblee-nationale.fr/12/rap-info/i2729.asp

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

D'après le Figaro.fr, les 4 options sont sur la table.

Le président de la République examine les quatre options qui lui sont soumises pour appuyer les forces alliées engagées dans les régions en proie aux attaques des talibans.

Dimanche à Munich, les États-Unis, par la voix du secrétaire à la Défense, Robert Gates, ont une nouvelle fois battu le rappel de leurs alliés, avertissant que la violence et le terrorisme risquaient d'être relancés dans le monde entier si l'Otan subissait une défaite en Afghanistan. Vendredi, une délégation de hauts responsables canadiens était à Paris pour demander l'envoi de renforts français dans le sud du pays où les troupes dépêchées par Ottawa sont à la peine. Des sollicitations récurrentes que Paris envisage favorablement tout en se défendant d'agir sous la pression.

Contrairement à son prédécesseur à l'Élysée, qui ne voulait pas voir les troupes françaises s'attarder en Afghanistan, Nicolas Sarkozy considère ce pays comme le principal front de la lutte contre le terrorisme islamique. Pour le chef de l'État, qui s'est rendu sur place en décembre, un retrait français aurait des conséquences désastreuses pour les autres contingents et conduirait, à terme, au retour des talibans et d'al-Qaida à Kaboul.

Le président de la République s'apprête à se prononcer sur les plans qui lui seront présentés «dans quelques jours». Les annonces officielles ne devraient pas intervenir avant le sommet de l'Otan, à Bucarest, du 2 au 4 avril prochain. Coïncidant avec le terme du mandat français dans la région «Centre», le renforcement des effectifs devrait s'étaler jusqu'au printemps 2009.

Une cinquième «omelette»

Quatre options sont actuellement en préparation sous la houlette des hauts responsables militaires et diplomatiques. La première resterait centrée sur la région de Kaboul où est actuellement basé le gros des troupes (quelque 2 000 hommes au total). À la grande satisfaction de ses alliés, Paris déploie désormais des équipes d'instructeurs (Operationnal Mentor and Liaison Team, OMLT), intégrées au sein d'unités afghanes. Quatre de ces «omelettes», comme on les surnomme, sont d'ores et déjà opérationnelles sur le terrain, y compris dans les zones de combat. Une cinquième sera déployée dans le courant de l'année. Mais Paris est appelé à faire davantage. Une deuxième option serait un déploiement dans la région «Sud», autour de Kandahar. Paris y maintient déjà six avions (3 Rafale et 3 Mirage 2000D) et 200 hommes.

Les Canadiens, qui ont déjà eu près de 80 tués, ont indiqué qu'ils retireraient de Kandahar leurs 2500 soldats si l'Otan ne déployait pas un millier d'hommes supplémentaires. La semaine dernière, la presse canadienne évoquait le chiffre de 700 Français transférés vers le Sud. Une troisième option consisterait à envoyer des renforts français à l'ouest, dans la province du Helmand et vers la frontière iranienne.

Des régions livrées aux chefs de guerre, aux bandes criminelles et aux cultivateurs de pavot. La Force internationale d'assistance à la sécurité (Isaf), avec ses 43 000 soldats de 40 pays, n'y est pas présente. Enfin, la dernière hypothèse viserait à dépêcher des troupes à l'Est, autre zone «chaude» de l'Afghanistan, proche des régions tribales du Waziristan où les djihadistes évoluent comme des poissons dans l'eau.

«Nous souhaitons rendre notre dispositif plus cohérent grâce à un «paquet France» réordonné par l'Otan», souligne-t-on à l'Élysée. À la présidence, on penche dans tous les cas de figure pour l'envoi de quelque 250 hommes des forces spéciales. Une solution qui présenterait l'avantage d'un affichage musclé, d'une bonne acceptation des risques par l'opinion et d'une économie en termes d'effectifs.

Deux cents commandos du Commandement des opérations spéciales (COS) ont déjà été présents en Afghanistan jusqu'en janvier 2007, d'abord sous commandement américain dans la région de Spin Boldak, sur la très délicate frontière sud avec le Pakistan, puis à Djelalabad. Le retour des forces spéciales enverrait un signal fort aux Américains qui apprécient leurs fortes capacités opérationnelles (notamment grâce à un système de communication satellitaire ultra-performant).

Reste à surmonter les réticences de ceux qui gardent l'œil sur d'autres théâtres de crise, comme le Liban-Sud ou le Tchad où ces forces sont bien intervenues la semaine dernière pour exfiltrer des ressortissants français et des diplomates.

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

Ce n'est pas très  clair vers la fin, j'ai peur de mal comprendre... Si je résume ce que j'en comprends :

1°- On renforce nôtre dispositif au sud (là ou ça chauffe le plus ) par l'envoi des FS (250)  Du coup, du côté de Kandahar on aurait : les avions, les FS et 1 ou 2 OMLT....

2° - On va jouer les commandos de chasse dans des zones peu tenues, mais plutôt et si posible, en articulation avec la zone de Kaboul (cf l'est vers le Pakistan ou l'oues vers l'Iran)

3° - On envoie probablement un 5eme OMLT.... La logique serait en articulation avec la nouvelles zone....

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

Pour parler d'autre chose, je viens d'apprendre que le 11 Février, 2 Rafales accompagnés de 2 Mirage 2000 D, ont effectué leur première mission d'appuis au sol en soutiens aux forces de l'ISAF.

Source : défense.gouv

http://www.defense.gouv.fr/ema/enjeux_defense/operations_exterieures/afghanistan/breves/12_02_08_afghanistan_premiere_mission_des_rafale

(photos et vidéos)

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

Invité
Ce sujet ne peut plus recevoir de nouvelles réponses.
 Share

  • Statistiques des membres

    5 964
    Total des membres
    1 749
    Maximum en ligne
    Rafale28
    Membre le plus récent
    Rafale28
    Inscription
  • Statistiques des forums

    21,5k
    Total des sujets
    1,7m
    Total des messages
  • Statistiques des blogs

    4
    Total des blogs
    3
    Total des billets
×
×
  • Créer...