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alexandreVBCI
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Autant je vois l'intérêt d'envoyer des humains au sol d'une planète afin d'être plus réactif dans l'exploration du sol, autant pour explorer l’atmosphère je ne vois pas ce que l'humain apporte de plus.

Disons que pour une mission permanente, en établissant une sorte de base avancée dans les air ça peu être intéressant. Ca facilite l'exploration au sol. On peut y envoyer des robots et les piloter en temps réel. Mais après c'est vrai que pour une mission courte durée comme celle de la vidéo ça fait un peu trop pour pas grand chose.

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une des chose qu'il faut particulièrement améliorer, quelque soit le type de mission,

ce sont les moyens de communications, beaucoup trop lent, il faudrait des relais.

Yep. Il manque surtout un projet politique et industriel fédérateur fort pour faire quelque chose. Et à partir de la construire ce qui est nécessaire. La on à encore et toujours l'impression que la NASA est un peu dans le limbo. Et qu'elle ne sait pas ou elle va. J'aime bien l'idée de Venus mais je pense que Mars reste la cible favorite et la plus facile et la plus fiable. Ce qui est intéressant c'est que l'on a des de plus en plus de technos disponibles pour faire ces missions. Reste à savoir qui va lancer le coup de départ.

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le point positif, il y a de plus en plus de fusée pour un accès à l'espace moins coûteux

 

pour les grandes mission, la nasa fait son train train avec SLS, après l'annulation du programme constellation

 

J'attends beaucoup des missions avec retour d'échantillon, mais il y en a pas beaucuoup,  peut etre une nouvelle mission rosetta avec retour d'échantillon, 

ca serait particullèrement intéressant

 

USA set to adapt SLS for additional payloads

 

http://www.nasaspaceflight.com/2015/08/usa-adapt-sls-additional-payloads/

Modifié par zx
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le point positif, il y a de plus en plus de fusée pour un accès à l'espace moins coûteux

 

pour les grandes mission, la nasa fait son train train avec SLS, après l'annulation du programme constellation

 

J'attends beaucoup des missions avec retour d'échantillon, mais il y en a pas beaucuoup,  peut etre une nouvelle mission rosetta avec retour d'échantillon, 

ca serait particullèrement intéressant

 

USA set to adapt SLS for additional payloads

 

http://www.nasaspaceflight.com/2015/08/usa-adapt-sls-additional-payloads/

Yep il reste maintenant à arriver à envoyer des moyens de propulsion rapide qui permettent de réduire les période de transit.

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Yep il reste maintenant à arriver à envoyer des moyens de propulsion rapide qui permettent de réduire les période de transit.

Il me semble que certains types de propulsion spatiale électrique permettent d'obtenir selon les besoins une forte poussée ou une bonne impulsion spécifique (IE ~ rendement).

Je pense particulièrement à la technologie VASIMR ( https://en.m.wikipedia.org/wiki/Variable_Specific_Impulse_Magnetoplasma_Rocket ) La NASA a prévu d'en installer un prototype sur la Station Spatiale Internationale ( http://discovermagazine.com/2014/may/12-rocketman ) S'ils respectent le calendrier, on devrait disposer d'ici 2-3 ans de suffisamment d'informations concrètes pour juger de la pertinence du système.

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Il me semble que certains types de propulsion spatiale électrique permettent d'obtenir selon les besoins une forte poussée ou une bonne impulsion spécifique (IE ~ rendement).

Je pense particulièrement à la technologie VASIMR ( https://en.m.wikipedia.org/wiki/Variable_Specific_Impulse_Magnetoplasma_Rocket ) La NASA a prévu d'en installer un prototype sur la Station Spatiale Internationale ( http://discovermagazine.com/2014/may/12-rocketman ) S'ils respectent le calendrier, on devrait disposer d'ici 2-3 ans de suffisamment d'informations concrètes pour juger de la pertinence du système.

Yep mais pour de grosses mission il vont devoir trouver un bon générateur d’électricité également. C'est ce que je sous-entendait. On a les technos. Reste à les utiliser.

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Yep mais pour de grosses mission il vont devoir trouver un bon générateur d’électricité également. C'est ce que je sous-entendait. On a les technos. Reste à les utiliser.

Si j'en crois les tests à venir sur l'ISS, VASIMR tirera son électricité de panneaux solaires et de batteries qui stockeront l'énergie photovoltaïque afin d'atteindre une quantité suffisante pour les périodes d'utilisation. Une méthode tout à fait compatible avec les futures sondes: la mission Jupiter Icy Moon Explorer utilisera des panneaux solaires.

 

Maintenant, on voit que les observations de Galileo autour de la géante gazeuse ont pu durer huit ans. Celles de Cassini autour de Saturne devraient s'étaler sur treize années. On peut se demander si, dans ce conditions, des transits rapides s'avèrent indispensables? Si les sondes passent lentement de l'orbite d'une lune à l'autre, cela pourrait être grâce à un moteur très léger. Ce qui permettrait d'emporter une plus grosse charge utile, IE plus d'instruments scientifiques de mesure. Cela ne présenterait-il pas un intérêt?

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Si j'en crois les tests à venir sur l'ISS, VASIMR tirera son électricité de panneaux solaires et de batteries qui stockeront l'énergie photovoltaïque afin d'atteindre une quantité suffisante pour les périodes d'utilisation. Une méthode tout à fait compatible avec les futures sondes: la mission Jupiter Icy Moon Explorer utilisera des panneaux solaires.

 

Maintenant, on voit que les observations de Galileo autour de la géante gazeuse ont pu durer huit ans. Celles de Cassini autour de Saturne devraient s'étaler sur treize années. On peut se demander si, dans ce conditions, des transits rapides s'avèrent indispensables? Si les sondes passent lentement de l'orbite d'une lune à l'autre, cela pourrait être grâce à un moteur très léger. Ce qui permettrait d'emporter une plus grosse charge utile, IE plus d'instruments scientifiques de mesure. Cela ne présenterait-il pas un intérêt?

Pas forcément . Le test de Vasimr vont se faire sur l'ISS qui dispose je crois de 20Kw. Si tu envois vers Jupiter les panneau solaire vont avoir rendement beaucoup plus faible, tu de panneaux solaire que l'ISS et tu sera obligé d'emporté des moteurs relativement réduit. Du coup c'est pas sur que tu puisses avoir un gain suffisant.

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Ça fait des années que j'entends parler de tests de VASIMR sur l'ISS, je me demande si ils auront lieu avant le démantèlement de la station :P

Oui est visiblement ça a été annulé:

http://sen.com/blogs/irene-klotz/nasa-nixes-ad-astra-rocket-test-on-the-space-station

Même si la Nasa finance toujours le projet.

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Oui est visiblement ça a été annulé:

http://sen.com/blogs/irene-klotz/nasa-nixes-ad-astra-rocket-test-on-the-space-station

Même si la Nasa finance toujours le projet.

L'abandon du moteur VASIMR ne laisse en rien présager d'un désintérêt pour les propulseurs ioniques.

La sonde Dawn de la NASA, actuellement en orbite autour de Ceres, dans la ceinture d'astéroïdes, y est parvenue à l'aide d'un moteur à ions. L'excellent rendement de ce dernier a permis auparavant au vaisseau d'examiner Vesta, un autre objet analogue.

En 2016, l'Esa va envoyer Bepi Colombo vers Mercure, également à l'aide d'un moteur ionique.

L'agence européenne va aussi mettre sur orbite le satellite Lisa Pathfinder, avec une technologie du même genre. Mais les propulseurs électriques serviront pour orienter l'engin dans l'espace, à la place des habituelles roues de réaction ( http://sci.esa.int/lisa-pathfinder/39981-engineering/ et

http://sci.esa.int/science-e-media/document/IAF-03-A.4.08.pdf )

Cela permettra aussi de vérifier si le nouveau mécanisme s'avère plus fiable que celui utilisé jusqu'ici (Kepler a dû renoncer à certains de ses objectifs suite à la panne de deux de ses roues de réaction : http://m.space.com/22387-nasa-planet-hunting-kepler-spacecraft-problems.html )

Tous ces éléments m'amènent à penser qu'on devrait assister à un usage de plus en plus fréquent des moteurs ioniques pour les missions interplanétaires.

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L'abandon du moteur VASIMR ne laisse en rien présager d'un désintérêt pour les propulseurs ioniques.

La sonde Dawn de la NASA, actuellement en orbite autour de Ceres, dans la ceinture d'astéroïdes, y est parvenue à l'aide d'un moteur à ions. L'excellent rendement de ce dernier a permis auparavant au vaisseau d'examiner Vesta, un autre objet analogue.

En 2016, l'Esa va envoyer Bepi Colombo vers Mercure, également à l'aide d'un moteur ionique.

L'agence européenne va aussi mettre sur orbite le satellite Lisa Pathfinder, avec une technologie du même genre. Mais les propulseurs électriques serviront pour orienter l'engin dans l'espace, à la place des habituelles roues de réaction ( http://sci.esa.int/lisa-pathfinder/39981-engineering/ et

http://sci.esa.int/science-e-media/document/IAF-03-A.4.08.pdf )

Cela permettra aussi de vérifier si le nouveau mécanisme s'avère plus fiable que celui utilisé jusqu'ici (Kepler a dû renoncer à certains de ses objectifs suite à la panne de deux de ses roues de réaction : http://m.space.com/22387-nasa-planet-hunting-kepler-spacecraft-problems.html )

Tous ces éléments m'amènent à penser qu'on devrait assister à un usage de plus en plus fréquent des moteurs ioniques pour les missions interplanétaires.

C'est sur. Ils ont annulé le programme de test sur l'ISS, ce qui est quand même dommage. Mais les financements continuent. Et Vasimr n'est qu'un modèle de moteur ionique parmi d'autres.

La propulsion Ionique c'est l'avenir à court et moyen terme dans le spatial. On le voit avec l'installation sur les satellites et le développement de moteurs de plus en plus puissants.

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L'abandon du moteur VASIMR ne laisse en rien présager d'un désintérêt pour les propulseurs ioniques.

La sonde Dawn de la NASA, actuellement en orbite autour de Ceres, dans la ceinture d'astéroïdes, y est parvenue à l'aide d'un moteur à ions. L'excellent rendement de ce dernier a permis auparavant au vaisseau d'examiner Vesta, un autre objet analogue.

En 2016, l'Esa va envoyer Bepi Colombo vers Mercure, également à l'aide d'un moteur ionique.

L'agence européenne va aussi mettre sur orbite le satellite Lisa Pathfinder, avec une technologie du même genre. Mais les propulseurs électriques serviront pour orienter l'engin dans l'espace, à la place des habituelles roues de réaction ( http://sci.esa.int/lisa-pathfinder/39981-engineering/ et

http://sci.esa.int/science-e-media/document/IAF-03-A.4.08.pdf )

Cela permettra aussi de vérifier si le nouveau mécanisme s'avère plus fiable que celui utilisé jusqu'ici (Kepler a dû renoncer à certains de ses objectifs suite à la panne de deux de ses roues de réaction : http://m.space.com/22387-nasa-planet-hunting-kepler-spacecraft-problems.html )

Tous ces éléments m'amènent à penser qu'on devrait assister à un usage de plus en plus fréquent des moteurs ioniques pour les missions interplanétaires.

 

 

   Perso je pige pas trop l'intérêt de virer les roues a réaction qui servent a l'orientation du sat, pour y remplacer par des propulseurs a effet Hall (moteur ionique au Xénon qu'on commence a bien connaitre du fait de son fonctionnement relativement simple) ...

 

  A moins d'une erreur et qu'en fait il s'agit plutot de la motorisation principale du sat

 

  Parce que franchement pour l'orientation de l'engin spatial de la taille d'un satellite : Les roues a réaction c'est ce qu'il y a de mieux a mon sens, ça ne consomme que de l'électricité et tant que l'alimentation électrique solaire fonctionne : Le fonctionnement des roues est possible a l'infini ou presque, bon bien sur s'en servir use tjrs un peu les accus a l'intérieur de la partie module de service.

 

     Je vois pas quel gain on pourrait avoir en remplaçant les roues a réaction par un moteur HET (Hall effect thruster, et pas Hypothèse ET on est pas sur un forum de ziti ici ...)

 

  On ne peut avoir que des pertes a mon sens par rapport aux roues

 

    Il faut savoir qu'avec des roues a réaction vous pouvez même jusqu'a changer d'orbite en faisant spiraler le satellite, c'est déja arrivé sur des sats dont le moteur chimique a hydrazine principal était en panne : Il n'avait pas pu a cause de ça, rejoindre son orbite de service finale : Ben c'est en faisant spiraler le sat que finalement ils y arriveront ... Rappelez vous, c'est arrivé sur le premier sat a propulsion élec de l'ESA, un sat qui était spécialisé dans le relais de communication entre satellites sans passer par antennes terrestres. Le sat était expérimental dans ce domaine

 

        (Bon l'opération fut longue, le sat a mis plusieurs mois, au lieu de quelques heures pour atteindre son orbite finale de service par la méthode du spiralement par roues a réactions, mais au moins on a pu prouver de manière imprévu a l'origine que des roues a réaction peuvent pallier a un moteur principal en panne)

 

   Un moteur HET par rapport a des roues a réactions présente l'inconvénient de consommer du Xénon qui doit rester pressurisé et dont la conso doit être surveillé et donc il n' y a pas d'autonomie quasi infinie comme avec des roues ... Certes ils consomment tout deux de l'électricité, le moteur HET doit surement moins consommer d'énergie électrique que les roues ça Ok ... Mais il y a le Xénon a prévoir ...

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Perso je pige pas trop l'intérêt de virer les roues a réaction qui servent a l'orientation du sat, pour y remplacer par des propulseurs a effet Hall (moteur ionique au Xénon qu'on commence a bien connaitre du fait de son fonctionnement relativement simple) ... (...)

Les roues de réaction posent régulièrement des soucis aux sondes et aux satellites. Une recherche rapide m'en a donné trois-quatre : Kepler (déjà cité), Mars Odyssey ( http://m.space.com/16094-mars-odyssey-orbiter-safe-mode.html ), Dawn ( http://www.nasa.gov/mission_pages/dawn/news/dawn20120813.html ), Bird ( https://fr.m.wikipedia.org/wiki/BIRD_(satellite) )

Ce type de mécanismes tournant nécessite des pièces précisément ajustées et lubrifiées. Ils n'apprécient pas toujours les vibrations et l'accélération qui accompagnent le décollage d'une fusée (la grande antenne de la sonde Galileo en a souffert également) Une solution envisagée consista à utiliser des palliers magnétiques, mais ils s'avèrent plus chers et plus lourds.

L'avantage des moteurs électriques tient d'abord au nombre très réduit de pièces en mouvement, ce qui limite les risques de panne mécanique. D'autre part, la faible poussée de ce type de propulseur s'avère un avantage. Elle permet d'espérer un positionnement très précis de la sonde.

La diversité des techniques envisagées pour les moteurs électriques (plasma, effet Hall ...) contraste avec les roues de réaction qui semblent inchangées entre les lancements de Mars Odyssey (2001) et de Kepler (2010). Le premier cas indique une effervescence prometteuse, et ce alors qu'il existe encore des pistes à peine envisagées:

• l'usage de supra-conducteurs pour produire des champs plus intenses

• la voile solaire électrique ou magnétique ( https://fr.m.wikipedia.org/wiki/Voile_magn%C3%A9tique ) Cette dernière, en utilisant le flux de particules expulsées par le soleil ne consommerait plus que de l'électricité (par contre la direction du vent solaire, modifiée uniquement par les magnétosphères planétaires, rendrait la navigation plus proche du vol-à-voile que de la propulsion classique)

Ces deux domaines relèvent actuellement plus de la science-fiction que de la prospective, mais s'avèrent suffisamment prometteurs pour qu'on ne les néglige pas.

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  • 2 weeks later...

Opinion: Artificial Gravity Would Solve Most Space Problems

 

http://aviationweek.com/space/opinion-artificial-gravity-would-solve-most-space-problems

 

traduction auto

La liste partielle et toujours croissante des effets néfastes de l'apesanteur sur le corps humain comprend l'atrophie musculaire, le cœur retrait, des irrégularités du rythme cardiaque, la réduction du volume sanguin et de la production de globules rouges, perte de masse osseuse, gonflement du cerveau, l'anémie, la dysfonction endothéliale, le sommeil la privation, les calculs rénaux, mal de l'espace, l'affaiblissement du système immunitaire et, plus récemment découvert, une incapacité permanente vision. 

 

De nombreux observateurs ont noté que l'exposition prolongée à la microgravité est étonnamment similaire à l'apparition accélérée de la vieillesse.

 

Donc, ce qui a été la réponse de la communauté spatiale à ces problèmes? Solutions-régimes, la plupart du temps au coup par coup des médicaments et l'exercice. 

 

Pendant ce temps, les technologues de l'espace ont été réinventent un outil ou un procédé mis au point au cours des dernières années 2000 et plus qui ne fonctionnent pas correctement sans gravité. 

 

Et voilà presque chaque outil que nous utilisons dans l'espace-tournevis, clés, toilettes, lavabos, d'un bureau et de lits. 

 

La plupart des aliments doivent être retraités en pâtes d'éviter l'utilisation de quelque chose comme les assiettes, casseroles, poêles, couteaux et fourchettes. Le plus troublant, face à des urgences comme éteindre un incendie ou d'effectuer même la chirurgie mineure est compliquée par l'apesanteur.

 

La fanfare qui a salué l'accomplissement apparemment anodin ce mois de cultiver et de manger une tête de laitue dans l'espace est soit risible ou triste. Les solutions de contournement et la bande-aide et les approches sur les problèmes que pose apesanteur ont pas empêché les astronautes qui ont passé de longs relais dans l'espace d'avoir à être sortis de leurs capsules après la rentrée.

 

Cela pourrait se révéler être un véritable défi pour les premiers explorateurs de Mars.

 

VWPT33_promo_0.jpg

 

Tous ces problèmes et probablement beaucoup plus pas encore découvert, pourraient être faits pour disparaître complètement en confrontant la cause racine. Nous devons poursuivre gravité artificielle maintenant.

 

Pourquoi il n'a pas eu un effort concerté vers une gravité artificielle déjà? Peut-être qu'il est le terme «gravité artificielle." Cela ressemble à la science-fiction, quelque chose qui implique des machines futuristes qui génèrent quelque sorte ondes de gravité. 

 

Mais l'idée de base de la gravité artificielle est bien comprise. 

 

Elle repose sur la force centrifuge. Son application dans l'espace a été proposé il ya plus d'un siècle par Konstantin Tsiolkovski, le pionnier de l'astronautique. Expériences dans l'espace ont prouvé sa conjecture est correcte.

 

Pourquoi avons-nous pas avancé? L'inertie bureaucratique, les intérêts industriels bien établis, pensée à court terme, le manque d'imagination, ils contribuent tous. Le programme de la navette spatiale a été une occasion perdue. 

 

Réservoirs externes de la navette ont été stimulées 95% du chemin en orbite avant d'être largué-jeté. 

 

Ils auraient été maintenus en orbite. Ils ont offert une énorme quantité de volume habitable. Nous pourrions mettre trois ensemble pour créer un espace de gravité station artificielle à un moyeu et deux attachés à la plaque tournante de tourner autour de lui.

 

Ce fut une occasion perdue. Mais cela ne change pas le fait que la gravité artificielle permettrait de résoudre de nombreux problèmes. Alors, comment devrions-nous commencer maintenant? De toute évidence, nous ne pourrons pas commencer avec des stations spatiales en rotation géantes à la "2001: A Space Odyssey."

 

La première station spatiale artificielle gravité sera encore probablement composé de deux modules tournant autour, et attaché à, un troisième module de moyeu. A 100 mètres de long attache et un taux de 3 tours de rotation généreraient environ la même gravité que nous vivons sur Terre. 

 

Les bonnes nouvelles sont il ya toujours un moyen pratique et rentable de le faire. Nous pourrions utiliser les réservoirs de carburant d'hydrogène qui feront partie du système de lancement spatial qui NASA est en train de développer pour l'exploration humaine de l'espace. 

 

Ils pourraient être aménagés avec des ponts internes et équipées en orbite ou mis sur orbite une charge utile comme pleinement opérationnel. Au sein de chaque module, quatre ponts, 8 pi. Dehors, donneraient environ 2300 sq. Ft. De travailler et de vivre l'espace. 

 

Presque tous les équipements, mobilier et consommables pourraient être hors les composants du plateau conçus pour les appareils ou les sous-marins car un environnement de gravité normale serait là dans l'espace. Cela permettrait d'économiser d'énormes quantités d'argent sur ​​chaque mission.

 

Le développement d'une toute nouvelle classe de rotation structures spatiales à partir de zéro exigerait un état d'esprit de l'ingénierie frais. Il présente de nouveaux défis, mais aucun d'entre eux devrait être insurmontable. La promesse d'une gravité artificielle est réel et non pas mystérieuse. Poursuivant les technologies afin de lui permettre maintenant serait payer énormément dans l'avenir.

 

Robert Salvage a travaillé comme ingénieur chez Rocketdyne pour près de 20 ans, principalement sur ​​les programmes de lasers de haute énergie. Il a présenté undocument sur ​​la gravité artificielle à l'Institut américain d'aéronautique et les SpaceOps Astronautique de 2014 de la conférence. Il peut être atteint à salvagerobert@gmail.com.

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