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Le potentiel économique des technologies de rupture


alexandreVBCI
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Il y a et il y aura toujours de la place pour tous.

Il me semble que ces gens souffrent de deux problèmes :

- nous n'avons pas un système de formation en continu performant. Nous nous sommes construit depuis plus de vingt ans autour du BAC. Or, ce diplôme n'est qu'une clef pour débuter des études qui réclament de l'abstraction. Seul 1/3 de la population est capable d'abstraction. La poursuite de cet objectif a mis de côté les autres diplômes qu'un homme peut avoir entre 17 et 20 ans. Il y a un autre effet au tout BAC, la médiocrité de l'enseignement en continue et à distance. Il provient du monopole de l'EdNat, celle-ci déclarant qu'elle n'est pas là au profit des entreprises mais de l'enseignement en général.

- le second verrou est le salaire minimum dont la croissance régulière sort du marché du travail tout ceux dont la productivité est inférieur à 2300€/mois. Le SMIC a un second effet. C'est un marquant tellement fort qu'il ralenti la progression de la rémunération d'un employé dans le temps.

Maintenant, il existe des solutions. Nous avons des initiatives très intéressantes comme l'école 42 qu'a montée X. Niel.

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Voici l'explication :

Près de 3 millions de salariés au 1er juillet 2003 sont soumis au régime du salaire minimum, selon une enquête de la Direction Statistique du Ministère de l'Emploi français. L'écrasement de la grille salariale dans l'économie française a donc deux effets : l'éviction du marché de l'emploi par les personnes dont la productivité est inférieure à ce niveau arbitraire défini par l'État français, et le déclassement d'une catégorie toujours plus grande d'individus, se retrouvant à ce niveau minimal de salariat. Au final, le salaire minimum devient le salaire maximum.

Ce phénomène est accentué en France par les allègements de charge qui ont été mis en place sur les bas salaires, incitant les entreprises à ne pas augmenter ces employés. L'Ifrap compare ainsi le pourcentage de salariés au Smic en France (16,8 %) au pourcentage américain (1,5 %).

On observe donc logiquement un faible taux d'occupation des actifs les moins productifs dans l'économie française : les jeunes et les plus de cinquante ans. Cela va sans surprise de pair avec un salaire minimum extraordinairement élevé (Voir le graphique, source OCDE).

in http://www.wikiberal.org/wiki/Salaire_minimum#Probl.C3.A8mes_pos.C3.A9s_par_le_salaire_minimum
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Mouai, sauf que en l'état 110 cores, je ne vois pas comment tu peux les rentabiliser. C'est toujours la même histoire depuis le début, il est rare d'avoir plus d'un ou deux processus qui bouffent du temps CPU à 100% en même temps, et un programme est rarement écris pour avoir plus de 3/4 threads (au delà la synchronisation devient plus coûteuse que le gain de l'exécution en parallèle).

 

 

  Autant sur les utilisations "PC" je pourrais être d'accord, rares sont les procos multicores réellement exploités comme il se devrait, mais c'est aussi fortement lié a des technologies logicielles pas adaptées a une exploitation maximales du potentiel réel des cores (un exemple simple je me rappel par exemple windows 7 était optimisé pour les dual core quand le marché hardware était lui déja globalement sur les quadricores ...)

 

  Mais c'est très différent si on parle de calculateurs ect ou la les processeurs sont toujours exploités aux maximum de leur potentiel via des technologies logicielles adaptées, et heureusement sinon on multiplierait le nombre de sous pc a une machine pour rien

 

   Le problème de fond étant les environnements PC de bureau ou domestique qui emploient des logiciels comme des systèmes d'exploitation ne pouvant être optimisés sur un nombre précis de core du fait d'offres qui s'élargissent (beaucoup de dual core dans les bas de gamme pc portable, la ou la quadricore est la norme dans PC tour ... Versions de systèmes d'exploit pas forcément les mêmes ect ...)

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nous n'avons pas un système de formation en continu performant. Nous nous sommes construit depuis plus de vingt ans autour du BAC. Or, ce diplôme n'est qu'une clef pour débuter des études qui réclament de l'abstraction. Seul 1/3 de la population est capable d'abstraction. La poursuite de cet objectif a mis de côté les autres diplômes qu'un homme peut avoir entre 17 et 20 ans. Il y a un autre effet au tout BAC, la médiocrité de l'enseignement en continue et à distance. Il provient du monopole de l'EdNat, celle-ci déclarant qu'elle n'est pas là au profit des entreprises mais de l'enseignement en général.

Et les bac pro et technique c'est quoi? Le système est construit autour des BAC: général pour les études longues, Tech pour les études courtes et Pro pour le direct to work. Les autres diplomes de bas niveau personne n'en veut, avoir un bac pro c'est pas la mort, ne pas l'avoir c'est un très mauvais signal pour l'employer. Sinon d'accord sur le reste: pas de formation continue individualisé et une bonne partie des enseignants sont des idéologues, mais surtout en étude sup universitaire.

 

- le second verrou est le salaire minimum dont la croissance régulière sort du marché du travail tout ceux dont la productivité est inférieur à 2300€/mois. Le SMIC a un second effet. C'est un marquant tellement fort qu'il ralenti la progression de la rémunération d'un employé dans le temps.

 

L'oeuf ou la poule? La formation trop faible qui ne rend pas assez productif ou le niveau de rémunération trop élevé? Solution absolu: RMU.

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Le RMU, qui le paye? Ce concept d'argent gratuit est dangereux en cela qu'il démotive à progresser dans la vie.

Le problème du salaire minimum est l'interdiction d'entrée sur le marché de l'emploi des moins qualifiés. Tu peux changer le système éducatif, il y aura toujours des gens incapable de produire plus de 2300€ (et je place la barre nécessaire très bas.).

Il n'y a pas de poule et d'oeuf en cela que la mutation technologiques, technique constante impose des remises à niveau constante. Ne dit-on pas souvent que l'important est d'apprendre à apprendre ? Ainsi, une personne voyant son secteur professionnel disparaître doit pouvoir trouver une structure de formation capable de la préparer à un autre secteur. De même, celles ayant échoué dans leur scolarité initiale doivent trouver elles aussi de telles structures pour se lancer tardivement.

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Ca contredit ton propos. Le SMIC n'interdit pas la montée des rémunération.

 

Ce qui limite l'augmentation des salaire ce sont les seuil "fiscaux", seuil indexé sur le SMIC, mais qui ne sont pas le SMIC.

 

Franchir un seuil fiscal c'est avoir a payer beaucoup plus que le petit plus necessaire a franchir le seuil. C'est ici un probleme de progressivité de la fiscalité ou des exonération de fiscalité, pas un probleme de salaire minimum.

 

Le fait que le salaire minimum "empeche" les moins productif d'etre employé est plus ou moins vrai, dans le sens ou les emplois SMIC sont largement subventionné et ou tout un cas d'alternatives existent et sont massivement utilisé, genre les contrat de qualif dans la grande distribution.

 

En allemagne les mini job par exemple se retrouve massivement subventionnée, si bien que l'employé est payé par l'état pour bossé gratuitement pour l'employeur privé, c'est un peu la meme chose au USA. En effet travailler pour si peu, coute plus cher que ca ne rapporte ... et ce n'est donc pas rentable.

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Et les bac pro et technique c'est quoi? Le système est construit autour des BAC: général pour les études longues, Tech pour les études courtes et Pro pour le direct to work. Les autres diplomes de bas niveau personne n'en veut, avoir un bac pro c'est pas la mort, ne pas l'avoir c'est un très mauvais signal pour l'employer. Sinon d'accord sur le reste: pas de formation continue individualisé et une bonne partie des enseignants sont des idéologues, mais surtout en étude sup universitaire.

 

L'oeuf ou la poule? La formation trop faible qui ne rend pas assez productif ou le niveau de rémunération trop élevé? Solution absolu: RMU.

 

 

   Excuse mais le bac pro c'est bien gentil ... Mais déja a l'époque de sa création on sentait bien la volonté quelque part de créer une sorte de "sous bac" pour ceux qui n'avaient pas ou peu le niveau pour suivre les lycées généraux ...

 

   Mais la réalité sociale du bac pro c'est que dans la plupart des domaines ou il sera en concurrence avec d'autres cursus depuis le général qui peuvent aller bien + loin (bac pro au meilleur des cas tu as accès a un Bts mais bon : rien de systématique, et il faut assurer question niveau) les entreprises consommant des bac pro par exemple dans les secteurs batiment et artisanat lié au batiment :   On se rend très vite compte qu'il s'agit bien d'un diplome ou vous serez surtout consommé par des entreprises de tailles limitées et a carrière limitées et les salaires qui vont avec

 

   En termes de considération de niveau on est sensé vous considérer comme un technicien, la ou la réalité de l'emploi vous considère comme un ouvrier ...

 

 Et j'ai assez vu les réalités du marché de l'emploi pour pas me tromper a ce sujet ... Dans mon corps de métier de base (technicien froid/clim) par exemple aujourd'hui le bac pro "énergétique" est devenu une sorte de diplome de base pour marner en tant qu'ouvrier du batiment dans le domaine : Car c'est la réalité sociale du diplome ... Même si elle ne correspond pas toujours au niveau réel du diplome (qui lui devrait + être considéré a niveau technicien) mais c'est comme ça !

 

   Les entreprises de poses et entretiens dépannage de clim ont poussé comme des champignons en France, et aujourd'hui un bac pro est embauché comme poseur de base, la ou pourtant sa formation lui permet de travailler dans les rouages les + complexes du domaine, mais ça les entreprises veulent pas en entendre parler car elles ont accès pour ça a tout une armée de jeunes diplomés en génie climatique (sur des cursus général + universitaires techniques) alors les bac pro ben ... Ils sont traités au final comme une simple manne ouvrière de base

 

   Ce qui confirme qu'on est bien dans les réalités sociales dans un sous bac ... Après vous trouverez toujours l'exemple du mec qui a eu son bac pro et qui a eu la chance de progesser dans une boite est qui exerce un vrai métier reconnu et avec le salaire qui va avec, mais est ce tant une généralité ? Non ... Il y a eu des périodes de veinards dans certains domaine ou les diplomés en bac pro étaient fortement recherché, aujourd'hui le métier est saturé de diplomés bien + haut en recherche d'emplois : Les veinards du passé restent des veinards

 

   Idem pour les productiques, électromécanicien ect formés dans les années 90 ... Il y a eu les chanceux, et il y a la génération qui voit combien ils n'ont aucune chances faces aux armadas de DUT arrivés sur le marché de l'emploi dans les années 2000

 

   Pour tout dire les bac pro ont joui d'une petite embellie de la fin des années 90 ou les entreprises recherchaient activement et les embauchaient avec reconnaissance ... Mais depuis le retour a la morosité éco de 2001 jusqu'a aujourd'hui + crise :  Les bac pro ont vite compris qu'a la base ils ont toujours été considérés comme des sous bacs par les entreprises qui ont de vastes choix, aujourd'hui c'est quasi un bac "ouvrier" et rien de +

Modifié par alpacks
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   Mais la réalité sociale du bac pro c'est que dans la plupart des domaines ou il sera en concurrence avec d'autres cursus depuis le général qui peuvent aller bien + loin (bac pro au meilleur des cas tu as accès a un Bts mais bon : rien de systématique, et il faut assurer question niveau) les entreprises consommant des bac pro par exemple dans les secteurs batiment et artisanat lié au batiment :   On se rend très vite compte qu'il s'agit bien d'un diplome ou vous serez surtout consommé par des entreprises de tailles limitées et a carrière limitées et les salaires qui vont avec

 

Et? un bac pro ne poursuit pas ses études, j'ai fais un BTS, et ceux de bac pro galéraient sévères. C'est pas fait pour ça, c'est fait pour bosser direct. Carrière limité? oui mais attend, tu crois qu'on finira tous cadre? C'est pas possible, mais il faut former un maximum les gens avant de les lacher sur le marché. Tu préfèrerai mettre tout ce beau monde en CAP ou BEP, et à 16 ans sur le marché?

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Gérer les technologies de rupture : conversation avec Chamath Palihapitiya

 

« Chaque facette de chaque emploi sera transformée par les nouvelles technologies », déclare Chamath Palihapitiya, un ancien dirigeant de Facebook devenu capital-risqueur.

 

http://www.finyear.com/Gerer-les-technologies-de-rupture-conversation-avec-Chamath-Palihapitiya_a26579.html

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La France va lancer jeudi 34 plans visant à préparer l'évolution de son industrie dans la transition énergétique et numérique attendue dans les dix ans et reconquérir des parts de marché dans la compétition mondiale avec à la clé des créations d'emplois.

 

L'objectif est de "construire une offre industrielle nouvelle, compétitive, capable de regagner les marchés perdus et d'en gagner de nouveaux", selon un document de présentation vu mercredi par l'AFP.

Ces plans d'action, qui veulent traduire une "Nouvelle France industrielle", seront présentés à l'Elysée par le président de la République François Hollande, avec le ministre du Redressement productif Arnaud Montebourg et en présence de plusieurs autres ministres.

Les 34 plans couvrent un vaste éventail de secteurs: transports (voiture à faible consommation ou sans pilote, avion électrique, TGV du futur, dirigeables), textile, bois, chimie verte et biocarburants, énergies renouvelables, réseaux électriques, numérique, robotique, biotechnologies médicales, nano-électronique, objets connectés, réseaux électriques intelligents, usine du futur, etc.

Fruit d'un travail mené au sein du ministère du Redressement productif avec l'appui du cabinet McKinsey, la Nouvelle France industrielle a retenu une série de priorités qui ont été déclinées en plans d'action.

Ces plans ont été élaborés après une analyse approfondie des marchés mondiaux en croissance et un examen de la place de la France pour chacun de ces marchés.

Les priorités retenues répondent à trois critères: se situer sur un marché en croissance ou présentant des perspectives de croissance forte, se fonder sur des technologies que la France maîtrise, et occuper une position forte avec des entreprises leader ou disposer d'un écosystème permettant d'occuper une place forte.

Certains des plans, comme la voiture consommant 2 litres aux 100 km, figuraient dans les plans de filières industrielles mis en place depuis un an.

Une part importante des projets concernent la transition énergétique et écologique dans les domaines des transports, du stockage de l'énergie, de la rénovation thermique des bâtiments, du recyclage et des matériaux verts, etc.

Mais une place significative est aussi faite à la transformation technologique et "sociétale" attendue dans les dix ans à venir.

Dans ce cadre, sont prévus un plan "hôpital numérique" pour développer l'offre industrielle française dans la e-santé, le plan "e-Education" dans un marché mondial évalué à 91 milliards de dollars, et les "objets connectés" de plus en plus présents dans de nombreux domaines de la vie quotidienne ou encore les "services sans contact" et la "réalité augmentée".

Chaque plan "sera animé par un chef de projet, issu dans la majorité des cas, du monde industriel et économique". Ceux-ci seront chargés de constituer des équipes avec des représentants de l'Etat, de fixer les objectifs et de préciser les financements à solliciter, notamment dans le cadre des Investissements d'avenir, et les partenaires à associer.

L'Etat interviendra en mettant ses moyens à disposition, en termes de réglementation, formation, financement, commandes publiques.

Le cabinet McKinsey considère que ces plans d'action "concernent potentiellement 480.000 emplois à dix ans et représentent 45,5 milliards d'euros de valeur ajoutée dont près de 40% à l'export", selon le document de présentation.

(AFP)

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34 plans? C'est trop, c'est du saupoudrage. 4-5 axes majeurs avec 2 ou 3 projets dans chaque axes ça aurait suffit. 

 

 

  Hum, quand tu as près de 750 000 emplois industriels a reconquérir, se contenter de 10 ou 15 projets c'est pas suffisant ... D'autant qu'il ne faut surtout pas oublier que la France industriel des 30 glorieuses fut avant tout une incroyable diversités d'industries ...

 

   Se concentrer dans des secteurs ? Le meilleurs moyens de se planter pour récolter quelques pépins en nombre d'emplois ... Il faut absolument diversifier bien au contraire

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Sauf qu'avec un budget de 3.4Md (de tête), ça fait court pour chaque plan. En terme d'emploi industriel il faut compter un bon million d'euro d'investissement par emploi... La question n'est pas de se concentrer à fond dans quelques secteurs, mais de rendre l'action de l'état efficace. Si on dilue, ça ne sert à rien. 

Modifié par Karg se
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C'est parce-que l'état a enfin compris que ce n'était pas à lui de jouer le rôle de l'investisseur (c'est pour ça que parler de retour du colbertisme est un peu fort comme on peut l'entendre dans certains médias). La majorité du plan se base sur de l'investissement privé, l'état étant là pour faire le rôle de facilitateur, que ce soit en terme de relation entre les entreprises, de législation, de diplomatie pour l'export et de soutient pour les projets industriel lourd. Bref tout ce que font les gros pays industriels font comme les US, l'Allemagne, etc...

 

Et puis l'état des finances ne sont pas là aussi pour pouvoir mener un réel plan d'investissement par l'état.

Modifié par Dino
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Oui si on parle du rôle stricte d'investisseur, néanmoins certaines technologies ont encore besoin de développement, voir de recherche fondamentale. Les constructeurs d'automobiles n'ont pas besoin de l'aide de l'état, par contre ceux qui travaille au CNRS sur la batterie du futur devrait être, si j'ose dire, en open bar. Quand on s'approche d'une rupture technologique, où le gagnant pourrait prendre un avantage considérable sur le reste du monde, il ne faut pas hésiter. Je remarque aussi l'absence du nucléaire de 4ème génération, visiblement à long terme pétrole et gaz de schiste vont être exploité massivement. 

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En France on a eu pendant longtemps tendance à vouloir séparer l'innovation financée par les entreprises de la recherche fondamentale effectuée en université et exclusivement financée par l'état. Cette séparation existe beaucoup moins dans d'autre pays où de nombreuse entreprises financent la recherche soit par leurs labos privés, soit en faisant du mécénat au près des universités.

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Le problème c'est que nos "universitaires" sont très fermés au monde de l'entreprise, pas forcément en science mais les "littéraires" (lettre, art, langue) rendent difficile toutes évolutions en ce sens. Pour eux l'Université doit être un système autosuffisant produisant des enseignants, comme au Moyen Age. 

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Hum, quand tu as près de 750 000 emplois industriels a reconquérir, se contenter de 10 ou 15 projets c'est pas suffisant ... D'autant qu'il ne faut surtout pas oublier que la France industriel des 30 glorieuses fut avant tout une incroyable diversités d'industries ...

 

   Se concentrer dans des secteurs ? Le meilleurs moyens de se planter pour récolter quelques pépins en nombre d'emplois ... Il faut absolument diversifier bien au contraire

Tout à fait. Surtout qu'en se concentrant sur certains secteurs, on empêche le développement des autres.

Et pour diversifier, une seul solution. Laisser vivre les entreprises.

Au lieu de prêter de l'argent aux entreprises (et aux banques, 30 milliards il y a un mois.) qu'il diminue ses dépenses, qu'il baisse la pression fiscale et diminue le nombre d'impôts/taxes. Ce sera suffisant pour relancer l'economie.

En abandonnant toute politique industrielle, nous en créerons une bien plus forte.

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