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CaRaPACE


xav
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  • 3 weeks later...
  • 1 year later...

Lors d'un comité technique de réseau sous la présidence du Délégué Collet-Billon., la CGT est revenue sur l'exemple du citernier CARAPACE (sa gestioncatastrophique) et a posé la question sur l'avenir de la DGA et des systèmes de qualification.

 

La DGA répond que CARAPACE est l'exemple à ne pas suivre et a été acheté sans intervention en amont de la DGA...

 

Traduction, seule la DGA conduit les programmes d’armement. Donc avis au SEA

Modifié par wolfmoy
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pourquoi gestion catastrophique ?

comment le SEA a t il pu shunter la DGA ?

Le SEA est une entité propre comme la gendarmerie il n'a pas besoin de passer par la DGA pour les procédures d'homologation Par contre le SEA utile les installations DGA pour faire des tests sur ses camions. Ils ont aussi tout pouvoir pour l'achat des carburants dans le monde entier.    

 

Avec la DGA les procédures sont beaucoup trop longues ce qui pose un problème. Surtout au COS qui à besoin de modifier ses matériel rapidement en fonction des théâtres. En faite le COS demande lui aussi un pouvoir adjudicateur comme SEA pour être autoriser à  modifier un matériel sans homologation par la DGA et surtout acheter du matos sans appel d'offre. 

 

 

http://www.defense.gouv.fr/content/download/215378/2395288/file/Flyer%20Carapace.pdf

 

 

 

 

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Modifié par Scarabé
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La partie juste derrière la cabine, ne contient que les pompes et autres trucs?

Et la cabine en elle même, n'offre de place que pour deux/trois personnes de front?

Il a de la gueule, tout comme le porteur polyvalent récemment acquis!

Modifié par syntaxerror9
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Lors d'un comité technique de réseau sous la présidence du Délégué Collet-Billon., la CGT est revenue sur l'exemple du citernier CARAPACE (sa gestioncatastrophique) et a posé la question sur l'avenir de la DGA et des systèmes de qualification.

 

La DGA répond que CARAPACE est l'exemple à ne pas suivre et a été acheté sans intervention en amont de la DGA...

 

Traduction, seule la DGA conduit les programmes d’armement. Donc avis au SEA

tu peux nous en dire plus sur la gestion catastrophique?

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pourquoi gestion catastrophique ?

 

Ce n'est pas précisé dans le compte-rendu

 

 

 

comment le SEA a t il pu shunter la DGA ?

 

La DGA a procéder aux qualifications toutefois comme précisé dans l'Instruction générale 125/EMA-1516/DGA du 26 mars 2010, la DGA est l’organisme conduisant les programmes d'armemement

 

http://www.moodle.ead-minerve.fr/pluginfile.php/7989/mod_resource/content/1/Livret%20125-1516.pdf

 

 

Le SEA est une entité propre comme la gendarmerie il n'a pas besoin de passer par la DGA pour les procédures d'homologation Par contre le SEA utile les installations DGA pour faire des tests sur ses camions. Ils ont aussi tout pouvoir pour l'achat des carburants dans le monde entier.    

 

Avec la DGA les procédures sont beaucoup trop longues ce qui pose un problème.

 

 

Il me semble que la DGA homologue les véhicules pour avoir l’agrément pour être transporté par les vecteurs de l'armées (aéronefs, véhicules, navires). Toutefois, cette homologation peut se faire sur dossier avec des essais fait par un tiers.

 

Un bémol, avec un prototype, même si des simulations ont été effectuées à priori , des RETEX apparaissent .

 

Dans le cas présent, on ne peut qu’émettre des suppositions. Ainsi la conception a t'elle pris en compte la maintenance, le rôle de chacun dans les essais.

 

 

Surtout au COS qui à besoin de modifier ses matériel rapidement en fonction des théâtres. En faite le COS demande lui aussi un pouvoir adjudicateur comme SEA pour être autoriser à  modifier un matériel sans homologation par la DGA et surtout acheter du matos sans appel d'offre.

 

Cette citation soulève plusieurs remarques:

- si il n'a pas d'homologation, en cas de pb, qui sera responsable ?. Il y a des exemples récent  ;).

- le COS souhaite avoir un pouvoir adjudicateur afin de passer ces achats selon l'article je ne sais plus lesquels s’affranchissant des appels d'offres. Ceci implique d'avoir des acheteurs. Donc hausse des personnels.

 

 

 

138. Dans son rapport de 2008 déjà mentionné, la Cour des comptes a signalé les faiblesses du système d'acquisition des équipements des forces spéciales qui est d'une grande complexité et ne donne pas satisfaction.

 

139. Le premier élément de ce système est la Commission Interarmées d'Etudes Pratiques Concernant les Opérations Spéciales (CIEPCOS) créée par une instruction du CEMA du 16 novembre 1992, c'est-à-dire en même temps que le COS lui-même. On a donc compris, dès l'origine, que les matériels, les techniques et les procédures spécifiques aux forces spéciales ne pouvaient s'accommoder ni des grands marchés, ni des procédures lourdes qui garantissent l'homogénéité et la sécurité des matériels et sont la marque des achats des armées. Présidées par le GCOS, la CIEPCOS se réunit une fois par an et examine les projets d'équipement. Elle ne fait pas d'acquisition mais achète du matériel pour expérimentation. Toutes les avancées technologiques qui sont la marque du COS passent par elle, mais elle ne peut que faire procéder à des études et ensuite proposer à l'état-major dont dépend l'unité demanderesse l'adoption des matériels choisis. Elle ne dispose que d'un budget modeste.

 

140. Le COS peut toutefois procéder à des achats d'urgence sur étagère pour une mission donnée et dispose d'une ligne budgétaire de l'ordre d'un million d'euros par an.

 

141. Les bureaux d'armée interviennent ensuite à deux niveaux :

- Les bureaux spécialisés des états-majors FS (BFST ; Alfusco ; BFSA) étudient les matériels proposés par la CIEPCOS ou directement pour leurs besoins propres. Des plans d'équipement sont ensuite établis en cohérence avec le contrat capacitaire fixé par l'échelon d'emploi (COS ou DRM) ;

- Les bureaux spécialisés de chaque état-major d'armée qui étudient, puis réalisent ces plans d'équipement.

 

142. On voit bien que le système décrit ci-dessus, qui avait été créé pour répondre aux besoins spécifiques des forces spéciales, a été simplement plaqué sur l'existant. Il ne peut pas fonctionner de façon harmonieuse et ce pour trois raisons.

143. D'un point de vue organique, le COS n'a pas les moyens de sa politique : état-major ultra-restreint, concentré sur l'opérationnel, il n'a pas les moyens de répondre à cette fonction d'équipement. Par ailleurs, les pouvoirs de la CIEPCOS ne sont que consultatifs et les fonds dont disposent le COS ne permettent que de répondre aux besoins les plus urgents. Il doit faire face aux états-majors d'armée qui sont les seuls décisionnaires et pour qui les besoins du COS sont trop limités pour intéresser qui que ce soit. Ils sont du reste vus comme une source de désorganisation. Le principal problème est celui des délais. Ceci vaut naturellement pour les achats, compte tenu du caractère échantillonnaire des commandes qui ne motive personne. Mais cela vaut plus encore pour l'homologation (ou « qualification ») nécessaire à la mise en service opérationnelle. Certes, cette procédure n'est pas toujours une obligation, mais elle s'avère lourde pour les matériels aéronautiques, les parachutes, l'armement et les matériels de plongée, qui sont justement les matériels intéressant au premier chef les forces spéciales.

144. D'un point de vue juridique, les besoins des forces spéciales sont bien connus : elles doivent avoir le matériel le plus performant et le mieux adapté à chaque situation, ce qui implique des changements et des adaptations constants. Cette obligation pourtant simple à comprendre se heurte en pratique à un nombre de contraintes invraisemblables. Si un matériel homologué se révèle inadapté ou si un retour d'expérience d'opération suggère qu'une modification, même légère le rendrait plus performant, ceci est impossible sans une nouvelle homologation, laquelle engendrera un délai qui peut atteindre plusieurs années. Si une homologation a été obtenue d'une armée pour un matériel (par exemple la marine), il faut recommencer toute la procédure pour une autre armée. Ceci est regrettable pour les matériels déjà en service dans d'autres armées de pays alliés, et donc largement testés. En outre, pour s'assurer qu'un matériel acheté en urgence opérationnelle puisse bénéficier d'un service après-vente, il faut négocier un contrat de maintenance, ce qui peut prendre plusieurs années. C'est ainsi qu'une modification minime du véhicule terrestre P4 a pris trois ans ; que la mise en place d'une mitrailleuse 12,7 sur l'hélicoptère Cougar a pris cinq ans et il est même arrivé, en matière d'optronique, que le matériel commandé ait été frappé d'obsolescence au moment de sa livraison !

145. Enfin, d'un point de vue pratique, la Cour des comptes soulignait que le principal problème concernait l'interprétation faite des textes eux-mêmes : le COS, n'étant pas investi d'un pouvoir adjudicateur, est obligé de trouver, pour chaque achat, une entité étatique habilitée, que ce soit celui d'un état-major ou d'une base qui accepte de s'en charger. C'est alors que les difficultés commencent, puisque la technique de l'appel d'offres est par nature inadaptée aux besoins des forces spéciales qui sont souvent spécifiques (un seul fournisseur sur le marché), limités, répétitifs et presque toujours urgents. Pourtant des procédures spécifiques existent (p. ex l'achat à fin d'expérience), mais aucun pouvoir adjudicateur n'a jamais accepté d'y recourir.

8) Les améliorations intervenues

146. Les relations de la DGA avec les forces spéciales s'inscrivent toujours dans le cadre des mécanismes conventionnels. Les équipements qui leur sont réservés sont inscrits dans la sous-action 09-75 « opérer en milieu hostile - autres opérations et conduite des opérations spéciales ». Mais la faible granularité des montants qui leur sont consacrés ne permet pas de les rendre visibles dans les documents budgétaires.

147. Un schéma directeur des forces spéciales a été établi entre EMA et DGA en 2011. Il définit en particulier les grands domaines d'acquisition à envisager. Les FS s'appuient également sur l'expertise technique de la DGA soit dans le cadre de programmes, soit de manière ponctuelle sur les affaires conduites en propre par le COS (p. ex : acte technique sur la navigabilité, caractérisation de performances, etc.). Dans certains cas où l'achat ne demande pas d'expertise technique particulière (achat sur étagère notamment), la contractualisation peut être déléguée au COS.

 

152. Pour répondre au besoin spécifique d'adaptation, certains mécanismes existants ont été mis en oeuvre par la DGA :

- les « Opérations d'Expérimentation Réactive » (OER). De ce point de vue, le COS est très actif avec cinq à sept projets par an, pour un montant total d'environ un million d'euros ;

- les « Urgences Opérations » (UO). En 2013 sept des quatorze procédures d'acquisition l'ont été au profit des forces spéciales, notamment des équipements pour les avions C 130 ; l'intégration d'armements pour des véhicules terrestres ; des minidrones. Depuis 2009, quinze millions d'euros ont été consacrés aux urgences opérations pour les forces spéciales.

153. La relation entre la DGA et le COS semble bonne et directe mais basée sur un réseau de quelques personnes seulement :

- au COS : un ingénieur DGA est en place au bureau équipement et prospective ; il devrait être rejoint par un deuxième ingénieur ; Il facilite la relation entre la DGA et le COS, et plus généralement les unités des Forces spéciales, dans les différentes opérations d'armement ;

- à la DGA : un architecte capacitaire est le point de contact privilégié et participe au comité exécutif du COS.

154. Le COS bénéficie également du dispositif RAPID de soutien de l'innovation duale des PME et ETI sur des thèmes pouvant présenter un besoin dual.

155. Enfin, il convient de signaler l'initiative prise par le COS lui-même de la création d'une sorte de Salon des forces spéciales : le SOFINS (Special Operations Forces Innovation Seminar) dont l'objectif est de rapprocher les forces spéciales des PME, plus réactives et souvent plus innovantes que les grands groupes. La première édition s'est tenue en avril 2013, sur le camp de Souge où est stationné le 13èmeRDP et a rencontré un succès tel que SOFINS sera reconduit sur une base bisannuelle. Il est le troisième salon de ce genre après SOFIC qui se tient chaque année aux Etats-Unis et SOFEX en Jordanie.

c) Des réformes souhaitables et nécessaires

156. En dépit de ces améliorations, et de la bonne relation entre le COS et la DGA, les procédures normales d'acquisition restent fondamentalement inadaptées aux besoins du COS. Pourtant des réformes sont nécessaires comme le signalait la Cour des comptes dans son rapport de 2008.

157. Le seul vrai moyen de permettre au COS de bénéficier des souplesses qui existent dans le code des marchés publics est, soit de lui conférer l'autorité de pouvoir adjudicateur, soit d'en désigner ou d'en créer un à son intention. La première solution est la plus logique. Il semblerait qu'elle ait été refusée par l'EMA et le COS lui-même en 2004, afin de conserver au COS son caractère uniquement opérationnel. Mais les temps ont changé et peut-être faut-il reconsidérer cette possibilité. Après tout, qu'est-ce qui d'un strict point de vue de l'efficacité des deniers publics justifie que l'on accorde à la DGSE ce que l'on refuse au COS ?

158. Pour raccourcir les procédures d'homologation, qui sont beaucoup trop longues, plusieurs réformes, qui auraient dû être faites depuis longtemps, s'imposent :

- L'extension automatique d'une homologation réalisée dans une armée aux autres armées ; de même, lorsque le matériel est connu et qu'il est déjà homologué dans les armées alliées ou par l'OTAN ;

- Le droit de modifier un matériel devrait être reconnu à la CIEPCOS, ce qui suppose de modifier ses missions ;

- Le traitement en priorité des demandes d'homologation du COS.

159. A défaut de faire du COS un pouvoir adjudicateur, la possibilité de créer, au sein du programme 146, sous forme d'AOA (Autre Opération d'Armement) un programme pour l'équipement des unités spéciales (PEUS), mérite d'être considérée.

Modifié par wolfmoy
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  • 3 years later...

Si mes souvenirs sont bons, la CIEPCOS valide des projets, les unités expériementent et devraient faire un retex (malheureusement pas toujours. Je crois savoir qu''un projet commun GIGN (qui participe à la ciepcos) / CPA10 pour des localisateurs de sniper QinetiQ... L'année suivante, les opérateurs du 10 présents à la ciepcos n'étaient pas au courant avant de proposer une expérimentation semblable (RMGL). Là on touche un autre problème autant Forfusco a un commando dédié aux expérimentations, autant souvent les cellules/bureaux expérimentation/prospectives sont souvent tenues par des inaptes opex (blessures...) ce qui mène à un roulement et un manque de suivi...

Modifié par prof.566
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Il y a 2 heures, floflo7886 a dit :

Ils sont (enfin) déployés en opérations.

ici à Gao depuis quelques jours

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En effet, 5 ans après avoir défiler pour la 1e fois sur les Champs .... Mais visiblement ils ont un gros problème de mobilité, L'Esprit de Valmy a fait quelques clichés du passage d'un CaraPace à moitié rempli seulement sur une pelouse de la base d'Evreux, résultat assez affligeant ...

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Clairon

 

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il y a 58 minutes, Clairon a dit :

En effet, 5 ans après avoir défiler pour la 1e fois sur les Champs .... Mais visiblement ils ont un gros problème de mobilité, L'Esprit de Valmy a fait quelques clichés du passage d'un CaraPace à moitié rempli seulement sur une pelouse de la base d'Evreux, résultat assez affligeant ...

IMG_2612_jean-francois.brillant_scania-c

Clairon

 

Il y a une flaque

n'importe quel camion qui passe la, fait la même choses. Faut pas déconner la 

 

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Pour ce qui se demande a quoi sert le "caisson" derrière la cabine. Le caisson est aménagé comme un camping car, avec couchage, kitchenette etc. pour que l'équipage puisse durer en autonomie pendant les missions de transport du carburant. Cette boite semble aussi blindé pare balle - moins que la cabine a priori -.

Pour la mobilité ... l'engin est léger ... 32T maxi pour l'attelage. Par contre je ne comprends pas bien si c'est un 8x6 ou un 8x8 ...

.... Le systeme de gestion de la pression des pneumatique centralisé semble aussi avec été installé sur le tard. C'est juste une impression?

14+juillet+20013+1+1308.JPG

Ici rien

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Ici la tuyauterie qui va jusqu'au moyeu

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Il y a 13 heures, floflo7886 a dit :

Incertitude sur la présence des TOP (radio popote, et sa légendaire justesse, évoque des questions de résistance du toit, mais à confirmer)

Sur les Carapace les essais de tirs ont été validé par la DGA le problème c'est le manque de Top 12.7 Kongsberg 

Sur 500 prévu au départ (2009) seulement 380 ont été livré.  La dernière tranche de 120 a été annulée en 2015 pour dégager du budget pour sentinelle. 

230 VAB ultima ont reçu le top

Sur 60 VAB ultima Genie livrée seulement 20 ont reçu le top.

On trouve aussi 24 VHM avec un top. 

Les autres sont dans les régiments du matériel en entretient ou en réserve. 

 

Ensuite on a un autre version de top 12.7 (180 exemplaires) avec lanceur Galix pour les VBCI PC et les Aravis mais celui la ne va pas sur le CARAPACE 

Et pour faciliter la logistique sur Griffon et Serval encore un nouveau top va arriver 

 

 

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3 hours ago, Shorr kan said:

La charge utile et la distance franchissable sont de combien ?

Il peut remorquer autre chose qu'une citerne ?

C'est un tracteur pour semi remorque ... il peut remorquer n'importe quelle semi remorque avec un PTRA classique de 44T pour tout l'attelage. Du tres classique.

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Il y a 6 heures, Scarabé a dit :

Ensuite on a un autre version de top 12.7 (180 exemplaires) avec lanceur Galix pour les VBCI PC et les Aravis mais celui la ne va pas sur le CARAPACE 

Le Tourelleau 12,7 du VBCI PC est un FN-Contraves

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Le Tourelleau 12,7 des Aravis est un Kongsberg

mf48516yd.jpg

Mis à part la Doucette, aucune parenté

Clairon

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