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Police, Gendarmerie, Pénitentiaire, Pompiers [infos only]


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Si ça peut te rassurer, de tous les logiciels lancés en grande pompe en 2007... aucun ne fonctionne. On a fermé celui de l'EN il y a quelques semaines ou on se prépare à le fermer. Il devait coûter 60 millions, au bout de 300 il ne marche toujours pas.

Pour le reste, notamment les rivalités interarmes, oui. MAIS à mon sens, si la tête ne donne pas le bon exemple, ni la base ni surtout les petits chefs ne le suivront.

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4 hours ago, Boule75 said:

Perso, j’attends goulument que la presse enquête aussi sur les passes-droits dans le privé. Quelque chose me dit que ce serait beaucoup plus énormissime... 

On te répondra qu'il s'agit d'argent privé et d’intérêt privé ... et que les propriétaire en font ce qu'il en veulent. C'est le fondement du libéralisme ...

C'est d'ailleurs le discours Macronien concernant l'entreprise ... enfin le vrai discours ... pas le décorum a deux sous que LREM présente parfois.

L'état lui se doit d'être exemplaire parce qu'il dispose d'un immense pouvoir ... et de la responsabilité collective.

Techniquement quand un représentant de l'état tape sur des manifestant ... c'est pas un individu qui tape ... c'est la France.

Exactement comme quand un militaire français tue un Afghan ...

Évidement ce sens sacré du collectif ... visiblement il a été "oublié" ... mais c'est pas très étonnant quand on voit les profil des gens qui gouverne.

Un article intéressant sur la maniere dont les FdO sont amener a gérer les manifestation et la dérive du "MO" dans une société médiatisée.

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Derrière l’affaire Benalla, la question des violences policières

Selon des chercheurs, les violences policières, banalisées, mettent en lumière les problèmes structurels de la police française et invitent à repenser le système en profondeur.

Le 1er mai, coiffé d’un casque à visière des CRS, un homme est filmé en train de s’en prendre violemment à deux manifestants en marge du défilé, place de la Contrescarpe, dans le 5e arrondissement de Paris. Deux mois plus tard, le scandale éclate lorsque Le Monde révèle que l’individu n’est autre qu’Alexandre Benalla, proche collaborateur du président de la République. Une vidéo intitulée « Alerte violences policières tabassage gazage quartier latin » était en ligne sur YouTube depuis le jour des événements, sans que cela prenne plus de proportions, signe révélateur d’une forme de banalisation des violences policières.

Auditionnée lors de la commission d’enquête de l’Assemblée nationale, le 24 juillet, la directrice de l’inspection générale de la police nationale (IGPN), Marie-France Monéger-Guyomarc’h, a justifié l’absence de suite donnée à la vidéo, tant qu’elle a cru qu’il s’agissait d’un policier à l’œuvre : selon elle, les images montraient des gestes « pas très efficaces », une façon de faire « certes rugueuse », mais « une force légitime si ce sont des policiers ».

« Force légitime » ou violence injustifiée ? Le 17 février 2017, six experts mandatés par le Haut-Commissariat des Nations unies aux droits de l’homme, s’appuyant sur trois affaires précises, avaient déjà souligné des abus de la police. Ils avaient alors interpellé le gouvernement français sur « l’usage excessif de la force par la police concernant trois personnes d’origine africaine ». En cause, le contrôle de François Bayiga en mai 2016, la mort d’Adama Traoré, deux mois plus tard, et les brutalités exercées envers Théo L. en février 2017. Les experts se disent alors « particulièrement préoccupés par le fait que (…) ces incidents ne sont pas isolés ».

En manifestation, la répression prime sur la discussion

Derrière la responsabilité des policiers accusés, souvent présentés comme des cas déviants, Jérémie Gauthier, sociologue à l’Institut de recherche interdisciplinaire sur les enjeux sociaux (IRIS-EHESS) et chercheur associé au centre Marc-Bloch, à Berlin, s’interroge sur la responsabilité de l’institution policière tout entière :

« Une réflexion devrait être menée en France sur le sens du mandat policier. Il apparaît nécessaire de prendre en compte les causes structurelles derrière le déchaînement des violences policières individuelles. »

La police française se caractérise par une tendance à la répression plutôt qu’à la discussion, remarque Jérémie Gauthier. A titre de comparaison, avance le chercheur, la police allemande cogère davantage les manifestations en amont avec les organisateurs. « Cette stratégie de prévention permet de définir ses contours et de limiter l’usage de la force », souligne-t-il, s’appuyant sur les travaux de son collègue Fabien Jobard, chercheur au CNRS, rattaché au Centre de recherches sociologiques sur le droit et les institutions pénales (Cesdip).

En France, les manifestations font davantage l’objet d’un contrôle tendu sur le moment. « Nous nous contentons de maîtriser militairement les factions violentes, sans réfléchir à d’autres alternatives », déplore Fabien Jobard. S’ajoutent à cela de nouvelles radicalités, note Christian Mouhanna, sociologue, chargé de recherches au CNRS et directeur du Cesdip, à l’image des 1 200 blacks blocs à la manifestation du 1er Mai, réputés pour s’en prendre violemment aux forces de l’ordre. Ces militants vêtus de noir et cagoulés se fondent ensuite dans la foule, assaillie par la police comme un seul homme.

...

https://www.lemonde.fr/police-justice/article/2018/07/28/derriere-l-affaire-benalla-la-question-des-violences-policieres_5337080_1653578.html

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...

Une « stratégie de harcèlement sans fondement »

« Au sein de la police du quotidien, la lutte anticriminalité domine », affirme Jérémie Gauthier. La répression de la délinquance passe essentiellement par le contrôle d’identité, « bien souvent à l’origine de situations de violence ». Une étude du Défenseur des droits, réalisée au début de l’année 2016, montre que 80 % des jeunes noirs ou arabes ont été contrôlés au cours des cinq dernières années. Beaucoup sont convaincus du bien-fondé de ce type de mission, mise en valeur dans les formations, comme l’affirme Jérémie Gauthier :

« Pour un jeune policier, la meilleure manière de faire ses preuves, ce sont les interpellations. Pourtant, la population sollicite constamment d’autres types de missions, pour lesquelles les gardiens de la paix français sont très peu formés : prévention, médiation, tranquillité publique, résolution de conflits… »

Le directeur du Cesdip fustige également cette « stratégie de harcèlement », d’autant qu’elle apparaît « sans fondement ». Une étude publiée en janvier dans le British Journal of Criminology montre que les contrôles policiers n’ont pas eu d’impact sur la délinquance à Londres. Une hausse de 10 % des contrôles sur un mois est associée à une diminution de la criminalité de 0,32 % le mois suivant : un résultat bien marginal. Des études menées à New York et à Chicago sont parvenues à des conclusions similaires.

Une profession corporatiste en proie au malaise

Le thème des violences policières demeure un sujet sensible au sein de l’institution. Pour Christian Mouhanna, « l’omerta s’explique principalement par la pression du groupe ». Il n’est pas question de remettre en cause les pratiques des aînés au sein d’une profession où le respect de la hiérarchie est primordial. Il caractérise la police par « un esprit corporatiste extrêmement fort, où la critique en public équivaut à une traîtrise : “Je ne suis pas une balance”, répète-t-on ».

Le sociologue s’est intéressé aux policiers issus de minorités ethniques ou de sexe féminin, et les a interrogés sur leur réaction face à certains comportements racistes ou misogynes : « Silence total en général, constate-t-il. Les contestations se font rares, tandis que les femmes surjouent la virilité afin de mieux se faire accepter. »

Des manifestations de policiers dénonçant la « haine antiflic » ont commencé à voir le jour en mai 2016, symboles d’une profession en proie à un profond malaise. Pour Christian Mouhanna, cette crainte s’explique en partie par le décalage social rencontré par les jeunes des périphéries ou de province envoyés dans les quartiers sensibles, alors qu’ils n’ont pas été confrontés à la violence dans leur jeunesse. Pour se faire respecter, et sur les conseils de leurs aînés, « ils cherchent immédiatement à imposer leur autorité », décrit le sociologue.

« L’Etat s’est déchargé sur l’institution policière »

Bras armé de l’Etat, la police joue un rôle essentiel dans le contexte tendu lié à la menace terroriste. Mais lors de l’état d’urgence, « l’Etat s’est déchargé sur l’institution policière, reproche Fabien Jobard, il a autorisé les manifestations, tout en exigeant un contrôle accru de la part des policiers, faisant peser sur eux l’entière responsabilité ».

Afin de les appuyer dans leur mission, les gardiens de la paix ont été dotés d’armes non létales de plus en plus violentes : Flash Ball, Taser et grenade de désencerclement. Au moment d’évacuer la ZAD de Notre-Dame-des-Landes, en avril, dix mille grenades lacrymogènes ont été tirées en dix jours. Une utilisation massive qui pose question.

« Ironie de l’histoire, relève Christian Mouhanna, ces armes ont été introduites aux Etats-Unis pour limiter le recours à l’arme à feu. En France, où les policiers en faisaient peu usage, cela a créé une incitation indirecte à être plus violent. »

La responsabilité politique face au « déficit démocratique »

Dans ce rapport de force historique, la police se caractérise comme une institution en perpétuelle quête d’autonomie, face au pouvoir étatique s’évertuant à en faire son propre instrument. Jérémie Gauthier note que l’instrumentalisation de la question de l’insécurité à des fins électorales a créé une situation paradoxale :

« Le caractère discriminatoire de certains contrôles d’identité, qui est désormais prouvé, ainsi que les violences, traduisent en France un déficit de démocratie lié à l’action policière. Les affaires Théo L. et Traoré en sont des exemples. Pourtant, malgré des mobilisations croissantes, les autorités campent sur une position de déni. »

Maîtresse de conférences en philosophie politique et éthique à l’université Paris-IV-Sorbonne et psychanalyste, Hélène L’Heuillet estime, quant à elle, que le duel entre police et société exige d’être dépassé. La police doit redevenir un tiers institutionnel, strictement encadré.

Elle assure : « Le respect de la fonction policière passe par la maîtrise des débordements pulsionnels. La façon de gérer des situations explosives, comme à Nantes au début du mois, ou à Calais depuis l’arrivée des réfugiés, doit être repensée. » Son modèle : le préfet de police Maurice Grimaud, resté dans l’histoire comme l’un des artisans du retour au calme en mai 1968. Alors que la capitale explose, il impose son autorité aux forces de l’ordre en exigeant leur modération et dialogue fréquemment avec les manifestants.

 

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5 hours ago, Boule75 said:

Et tout ça, comme la privatisation (bradage ?) de la Française des Jeux : pfuit ! Sous le radar, tapons sur le Benalla. Ah là là... 

Tu minimises et tu tapes a coté ...

... techniquement ... l'état a menti ... à tout niveau ... et c'est ça le probleme.

Le mensonge le plus patent c'est que le fautif ait été sanctionné ... les auditions ont démontrés que c'était faux ... il n'y a pas eu de sanctions effectives, au contraire.

Je passe sur la litanie de mensonges a tout niveau qui a suivi ...

Et c'est ça qui est reproché.

  • Que La présidence merde ... et qu'elle déballe tout ... s'excuse ... répare ... ca a un sens.
  • Que la présidence merde ... mente ... mente ... mente ... se foute de la gueule des gueux ... ça ne passe pas.

Pour le reste le gueux il n'y peut rien ... il s'est fait mettre lors des élections et tout est plié pour 5 ans. Il a compris il a l'habitude de gérer ses frustration.

Qu'on se foute ouvertement de sa gueule par contre ... ça il peut y faire quelques choses.

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Le 25/07/2018 à 23:38, Scarabé a dit :

8 Dash en comptant les 2 que nous avons. 

Airbus travail sur un avion amphibie dériver du Casa  ils ont 8 ans pour le produire et valider son emploi afin de renouveler la flotte européenne de canadair

https://www.lesechos.fr/28/07/2016/LesEchos/22243-071-ECH_la-france-va-progressivement-renouveler-ses-bombardiers-d-eau.htm#

A la lecture de l'article, il n'est pas question d'un avion amphibie dérivé du C-295, mais seulement "d'un bombardier d'eau".

"...le C-295 : un avion de transport militaire que l'européen veut actuellement dériver en bombardier d'eau avec un partenaire canadien, Coulson.

...

...Concernant la « composante amphibie », le marché n'a pas été lancé à ce stade côté français,"

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Il y a 7 heures, Boule75 a dit :

Perso, j’attends goulument que la presse enquête aussi sur les passes-droits dans le privé. Quelque chose me dit que ce serait beaucoup plus énormissime...

 

Ce serait bien que cette écurie d'augias là soit nettoyée, pour sûr, mais l'opinion s'en fout à raison. Du moins il me semble qu'il y a un immense décalage entre les dysfonctionnement et disjonctages, très réels mais limités, qui sont révélés et l'ouragan médiatique incessant servi depuis au moins 15 jours maintenant.
L'absence de recul est assez frappante.

Aucun remède n'est proposé à la jalousie/rivalité/animosité maladive et aigüe qui caractérise les rapports entre police et gendarmerie, à plein de niveaux si ce n'est partout, et qui provoque des dysfonctionnements coûteux voir catastrophiques. Pour connaître un peu mieux la police, je dois d'ailleurs signaler à quel point s'y maintiennent des personnes indignes d'y bosser tant elles glandent ; les syndicats font peur. On peut engueuler impunément son N+3 ou 4 à certains endroits. J'ai vu au moins un recrutement basé sur la médiocrité ("il me sera fidèle parce qu'il est très mauvais. Comme il le sait, il peut servir de paillasson").
Les baronnies sont sidérantes : pourquoi la PP dispose-t-elle de sa propre DSI, pour donner dans le concret connu de première main ? Ça s'est calmé après Charlie, mais j'ai le souvenir d'un service endeuillé ces dernières années où l'on entendait des bouteilles s'ouvrir les vendredi après-midi. Et toujours dans le vécu, j'ai souvenir du récit effaré de policiers (anciens militaires !) après la première rencontre avec un chef gendarme qui les avait vraiment traité comme des sous-fifres. J'ai le souvenir de plates-formes absurdes, censément redondées sur deux sites, un police, un gendarmerie, mais avec des équipes se regardant en chien de faïence, des pratiques antinomiques et des versions logicielles différentes d'un site à l'autre. Probabilité de fonctionnement de la plate-forme : nulle. J'ai le souvenir de projets menés en double, en triple, etc... "chacun chez soi, et on réinvente la poudre vinaigrette".

Bref !

Et tout ça, comme la privatisation (bradage ?) de la Française des Jeux : pfuit ! Sous le radar, tapons sur le Benalla. Ah là là...

 

Eh ouais : un gars qui s'y est cru, qui pratique l'entrisme, qui rentre par la fenêtre quand on l'a viré par la porte. Lamentable, mais limité.

 

--

edit : tiens, un article du Monde qui illustre les mécanismes, les tactiques d'entrisme du zozo et des manières d'y répondre, sur le fond.

j'aurai bien mis + 10, mais je ne peux pas

 

rien n'est exagéré !

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Tient, Crase va aussi être licencié https://www.lemonde.fr/societe/article/2018/07/31/affaire-benalla-castaner-a-engage-la-procedure-de-licenciement-de-vincent-crase_5337816_3224.html
Il "s'occupe de la sécurité au sein du parti présidentiel La République en marche (LRM)"

Concernant la réforme de la sécurité présidentielle à priori demandée en début de quinquennat par Macron, celle ci semble pas avoir été une réalité. Cet article, https://www.lemonde.fr/societe/article/2018/07/31/selon-le-chef-du-gspr-m-benalla-n-occupait-aucune-fonction-de-protection-du-president_5337708_3224.html , dit en effet que le GSPR est toujours réalisé par des officiers de police et la gendarmerie et que « n’occupait aucune fonction de protection du président ». Pourtant il avait demandé des ports d'armes... C'est quoi ce dawa?

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il y a 5 minutes, ippa a dit :

Tient, Crase va aussi être licencié https://www.lemonde.fr/societe/article/2018/07/31/affaire-benalla-castaner-a-engage-la-procedure-de-licenciement-de-vincent-crase_5337816_3224.html
Il "s'occupe de la sécurité au sein du parti présidentiel La République en marche (LRM)"

Concernant la réforme de la sécurité présidentielle à priori demandée en début de quinquennat par Macron, celle ci semble pas avoir été une réalité. Cet article, https://www.lemonde.fr/societe/article/2018/07/31/selon-le-chef-du-gspr-m-benalla-n-occupait-aucune-fonction-de-protection-du-president_5337708_3224.html , dit en effet que le GSPR est toujours réalisé par des officiers de police et la gendarmerie et que « n’occupait aucune fonction de protection du président ». Pourtant il avait demandé des ports d'armes... C'est quoi ce dawa?

mytho ; il a chopé le melon, il se la petait et se croyait un bon

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Il y a 12 heures, g4lly a dit :
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Derrière l’affaire Benalla, la question des violences policières

Selon des chercheurs, les violences policières, banalisées, mettent en lumière les problèmes structurels de la police française et invitent à repenser le système en profondeur.

Le 1er mai, coiffé d’un casque à visière des CRS, un homme est filmé en train de s’en prendre violemment à deux manifestants en marge du défilé, place de la Contrescarpe, dans le 5e arrondissement de Paris. Deux mois plus tard, le scandale éclate lorsque Le Monde révèle que l’individu n’est autre qu’Alexandre Benalla, proche collaborateur du président de la République. Une vidéo intitulée « Alerte violences policières tabassage gazage quartier latin » était en ligne sur YouTube depuis le jour des événements, sans que cela prenne plus de proportions, signe révélateur d’une forme de banalisation des violences policières.

Auditionnée lors de la commission d’enquête de l’Assemblée nationale, le 24 juillet, la directrice de l’inspection générale de la police nationale (IGPN), Marie-France Monéger-Guyomarc’h, a justifié l’absence de suite donnée à la vidéo, tant qu’elle a cru qu’il s’agissait d’un policier à l’œuvre : selon elle, les images montraient des gestes « pas très efficaces », une façon de faire « certes rugueuse », mais « une force légitime si ce sont des policiers ».

« Force légitime » ou violence injustifiée ? Le 17 février 2017, six experts mandatés par le Haut-Commissariat des Nations unies aux droits de l’homme, s’appuyant sur trois affaires précises, avaient déjà souligné des abus de la police. Ils avaient alors interpellé le gouvernement français sur « l’usage excessif de la force par la police concernant trois personnes d’origine africaine ». En cause, le contrôle de François Bayiga en mai 2016, la mort d’Adama Traoré, deux mois plus tard, et les brutalités exercées envers Théo L. en février 2017. Les experts se disent alors « particulièrement préoccupés par le fait que (…) ces incidents ne sont pas isolés ».

En manifestation, la répression prime sur la discussion

Derrière la responsabilité des policiers accusés, souvent présentés comme des cas déviants, Jérémie Gauthier, sociologue à l’Institut de recherche interdisciplinaire sur les enjeux sociaux (IRIS-EHESS) et chercheur associé au centre Marc-Bloch, à Berlin, s’interroge sur la responsabilité de l’institution policière tout entière :

« Une réflexion devrait être menée en France sur le sens du mandat policier. Il apparaît nécessaire de prendre en compte les causes structurelles derrière le déchaînement des violences policières individuelles. »

La police française se caractérise par une tendance à la répression plutôt qu’à la discussion, remarque Jérémie Gauthier. A titre de comparaison, avance le chercheur, la police allemande cogère davantage les manifestations en amont avec les organisateurs. « Cette stratégie de prévention permet de définir ses contours et de limiter l’usage de la force », souligne-t-il, s’appuyant sur les travaux de son collègue Fabien Jobard, chercheur au CNRS, rattaché au Centre de recherches sociologiques sur le droit et les institutions pénales (Cesdip).

En France, les manifestations font davantage l’objet d’un contrôle tendu sur le moment. « Nous nous contentons de maîtriser militairement les factions violentes, sans réfléchir à d’autres alternatives », déplore Fabien Jobard. S’ajoutent à cela de nouvelles radicalités, note Christian Mouhanna, sociologue, chargé de recherches au CNRS et directeur du Cesdip, à l’image des 1 200 blacks blocs à la manifestation du 1er Mai, réputés pour s’en prendre violemment aux forces de l’ordre. Ces militants vêtus de noir et cagoulés se fondent ensuite dans la foule, assaillie par la police comme un seul homme.

Empilement classique de théories faites par des sociologues partisans relayées par des personnes nous faisant régulièrement le coup de la grande dictature en France.

Ah ça c'est sur la théorie du dialogue en MO fonctionne vraiment mieux en Allemagne..quant on voit les incidents réguliers avec leurs black blocs ou leurs hooligans on constate quoi ? des charges de la police anti émeutes ( BFE ) à coups de tonfa  et usage de canons à eau. 

On pourra toujours se poser des questions sur la forme de l'usage de la force par les unités anti émeutes, moyens intermédiaires en France pour ne pas aller au contacts ou coups de matraques dans d'autres pays mais la base reste toujours la même :

Nous sommes dans des pays Européens démocratiques avec un énorme droit de manifester, en particulier en France où le choix de provoquer des incidents revient exclusivement à certains manifestants et pas à la police. Il se passe dans le calme des centaines de manifestations chaque année en France avec la présence des forces de l'ordre et ca ne dégénère pas. Pourquoi ? puisque la vilaine police fachiste est présente elle devrait casser tout le monde à chaque fois non ? hé bien non...

Et quand on voit ce qu'il faut subir ou constater avant d'intervenir franchement le coup de la dictature ca va hein..

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Il y a 5 heures, mandav a dit :

Et quand on voit ce qu'il faut subir ou constater avant d'intervenir franchement le coup de la dictature ca va hein..

Je dirais même que l'auteur ment ouvertement dans son article, ou pire ne connait rien aux réalités organisationnelles et tactiques des unités anti-émeutes.

Révélation

 

 

 Source :

http://gsg9polizei.blogspot.com/2016/07/bereitschaftspolizei.html

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On 7/31/2018 at 4:25 PM, mandav said:

Empilement classique de théories faites par des sociologues partisans relayées par des personnes nous faisant régulièrement le coup de la grande dictature en France.

Ah ça c'est sur la théorie du dialogue en MO fonctionne vraiment mieux en Allemagne..quant on voit les incidents réguliers avec leurs black blocs ou leurs hooligans on constate quoi ? des charges de la police anti émeutes ( BFE ) à coups de tonfa  et usage de canons à eau. 

On pourra toujours se poser des questions sur la forme de l'usage de la force par les unités anti émeutes, moyens intermédiaires en France pour ne pas aller au contacts ou coups de matraques dans d'autres pays mais la base reste toujours la même :

Nous sommes dans des pays Européens démocratiques avec un énorme droit de manifester, en particulier en France où le choix de provoquer des incidents revient exclusivement à certains manifestants et pas à la police. Il se passe dans le calme des centaines de manifestations chaque année en France avec la présence des forces de l'ordre et ca ne dégénère pas. Pourquoi ? puisque la vilaine police fachiste est présente elle devrait casser tout le monde à chaque fois non ? hé bien non...

Et quand on voit ce qu'il faut subir ou constater avant d'intervenir franchement le coup de la dictature ca va hein..

Euh, faut pas non plus oublier qu'Hollande a ré autorisé plein d'armes qui ne l'étaient plus et poussé à des actions policières de plus en plus dures pour sa loi Travail, pourrissant bien le fond. Le tout dans une police nationale et une gendarmerie qui n'ont pas à ma connaissance adopté la stratégie de la désescalade pratiqué outre Rhin (cortège kurde, des flics arrêtent un mec et dans la foulée une dizaine de flics en maillot orange viennent calmer le jeu et expliquer pourquoi pour éviter que ça dégénère).

Et sans aller dans la caricature, le jour où un extrémiste prendra le pouvoir et appliquera les mêmes recettes que nos soit disant démocrates bonjour les dégâts...

Alors certes la police allemande, et le monde entier (dont moi), reconnaît la grande valeur de nos CRS et leurs disciplines, voir devraient s'en inspirer, mais nous aussi on est sacrément perfectibles, surtout qu'on a bien empiré ces dernières années.

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Affaire Benalla encore une avalanche de mensonges sous serment... Comme quoi le Sénat ça sert a quelques choses :bloblaugh:

  • Le préfet de police ... envoie du courrier manuscrit personnel a Benalla ... mais affirme qu'il ne le connait pas devant la commission d’enquête.
  • Les interpellé de la contre escarpe n'était ni violent, ni connu de la police, ni visé par les CRS dans le cadre de leur MO. Ils n'ont pas résisté au FdO lors de leur controle, on donné leur identité et on été libéré rapidement car la police n'avait pas grand chose a leur reprocher. Evidement ca va complétement a l'inverse de ce qui a été dit sous serment par les différents protagoniste ... Benalla et Crase en tete.
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Affaire Benalla : le couple de la Contrescarpe n’a pas menti à la police

D’après des éléments dont « Le Monde » a pris connaissance, les deux trentenaires sont vierges d’antécédents et n’ont pas provoqué de violences « graves » le 1er mai.

Le Monde | 07.08.2018 à 06h38 • Mis à jour le 07.08.2018 à 18h09 | Par Ariane Chemin

Le jeune couple connu pour avoir été molesté par Alexandre Benalla sur la place de la Contrescarpe, dans le 5e arrondissement de Paris, le 1er mai, est vierge d’antécédents judiciaires, n’a pas cherché à dissimuler son identité et n’a pas provoqué de violences « graves » ou « répétées » contre les CRS massés sur les lieux. C’est du moins ce qu’ont indiqué deux services de police au procureur de la République de Paris, François Molins, dans des courriers dont Le Monde a pris connaissance.

Le 1er mai, peu avant 20 heures, un jeune homme de nationalité grecque, travaillant à Paris comme cuisinier, et une jeune graphiste française, vivant ensemble dans la banlieue sud de Paris, se trouvent sur cette place touristique du Quartier latin, où quelques dizaines de manifestants se sont donné rendez-vous. Un petit groupe de CRS charge en direction de la fontaine, au centre de la place, sans viser directement le jeune couple. Tous deux lancent alors des objets sur les forces de l’ordre, y ajoutant un bras d’honneur et un index menaçant.

C’est à ce moment qu’Alexandre Benalla, adjoint du chef de cabinet d’Emmanuel Macron, et Vincent Crase, gendarme réserviste employé régulièrement par l’Elysée (et dont on sait aujourd’hui qu’il était armé), entrent en scène. Les coups pleuvent sur le jeune homme, comme en témoigne une vidéo désormais fameuse.

Relâché sans poursuites

Le 25 juillet, une semaine après que Le Monde a identifié sous son casque l’auteur des coups et que l’Elysée a convenu qu’il s’agissait de M. Benalla, le procureur de la République de Paris avait adressé une lettre au directeur de la direction de la sécurité de proximité de l’agglomération parisienne (DSPAP).

Le magistrat demandait à Frédéric Dupuch de « préciser » pourquoi ces deux trentenaires de la Contrescarpe « n’avaient pas été mis en cause pour les faits commis contre les forces de l’ordre ce jour-là » et pourquoi « aucune procédure » n’avait été engagée contre eux. Dans la foulée, M. Molins avait annoncé une enquête préliminaire sur ces violences commises le 1er mai contre des policiers.

Dans sa réponse, datée du 26 juillet, M. Dupuch « déplore » que le jeune couple brutalisé n’ait pas été déféré. Selon lui, « rien de spécifique n’a été décidé » les concernant, mais « l’Evangile » - comme on appelle ce centre de police proche de la gare du Nord où ont été regroupées les personnes interpellées à l’issue des incidents du 1er mai -, étant débordé ce soir-là, « priorité [avait] été donnée aux individus suspectés d’avoir participé aux actions les plus violentes, porteurs d’armes, de vêtements noirs, foulards, accessoires de dissimulation, c’est-à-dire les potentiels membres des black blocs », nombreux quelques heures plus tôt boulevard de l’Hôpital et autour de la Bastille. Ce qui n’était pas le cas du couple interpellé place de la Contrescarpe.

« Les violences de la place de la Contrescarpe ne revêtaient pas la même intensité, ajoute le patron de la DSPAP. De surcroît, [les deux jeunes gens] n’avaient aucun antécédent au TAJ », le fichier d’antécédents judiciaires de la police et de la gendarmerie. Le couple est donc relâché sans poursuites, avec vingt et une autres personnes.

De « fausses identités »

Visiblement insatisfait de ces explications, le parquet de Paris a réclamé le 26 juillet des détails supplémentaires à un autre service de police, la sûreté territoriale de Paris. Ses responsables confirment que, le 1er mai, il a été décidé de « prioriser » les gardes à vue de militants susceptibles d’appartenir à la « mouvance black bloc ». Pour les autres personnes, si les fiches rédigées lors de leur interpellation ne faisaient « pas état d’infractions de violences volontaires graves ou répétées » à l’encontre de la police « ou d’atteintes particulières ou dangereuses », elles ont été relâchées, détaillent les deux officiers de police judiciaire dans leur rapport.

Celle du jeune restaurateur de la Contrescarpe est rédigée par Maxence Creusat, l’un des trois policiers mis en examen pour « violation du secret professionnel » et « détournement d’images » après qu’il a fourni des vidéos de la Préfecture de police à Alexandre Benalla, soucieux de préparer sa défense. Sur la fiche d’interpellation, M. Creusat évoque un « jet de projectiles (deux bouteilles de bière) », mais précise que le CRS visé « ne dépose pas plainte » contre le jeune homme de 29 ans, né à Thessalonique, qui décline dès son arrestation ses date de naissance, nom et prénom, reportés à la main par le commissaire (avec deux petites coquilles). L’orthographe est rectifiée le soir même, peu après 22 heures, à « l’Evangile ».

Contrairement à ce que de nombreux protagonistes de « l’affaire » et plusieurs médias ont rapporté, le couple n’a jamais dissimulé ni son adresse ni son identité. La jeune femme de 30 ans a présenté ses papiers à Philippe Mizerski, le major en civil chargé d’accompagner Alexandre Benalla au cours de son « observation » : c’est lui qui rédige sa fiche – entièrement renseignée – place de la Contrescarpe, à 20 h 05, comme pour son compagnon.

Dans des textos adressés le lendemain de la manifestation par Laurent Simonin, chef d’état-major à la Préfecture de police, à Alexandre Benalla, celui-ci disait pourtant à tort que le jeune restaurateur avait « donné un nom bidon… celui d’un basketteur de Salonique ». Le 25 juillet, devant la commission des lois de l’Assemblée nationale, le préfet de police, Michel Delpuech, avait aussi expliqué que les deux trentenaires « n’avaient pas de papiers sur eux » et avaient « déclaré de fausses identités ».

 

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Affaire Benalla : le message chaleureux du préfet de police de Paris à l'ancien garde du corps d'Emmanuel Macron

20h34 , le 7 août 2018, modifié à 21h03 , le 7 août 2018

Le Canard enchaîné révèle une lettre du préfet de police de Paris dans lequel il félicite l’ancien garde du corps d’Emmanuel Macron.

"Cher ami". C’est en ces termes que le préfet de police de Paris, Michel Delpuech, débute une lettre destinée à Alexandre Benalla qu'a pu consulter le Canard enchaîné. Lors de la suite du mot, Michel Delpuech remercie Alexandre Benalla pour "la magnifique photo souvenir de quelques forces de l'ordre réunies autour du couple présidentiel" et conclut par un "amicalement vôtre". Interrogé par le Canard enchaîné, le préfet de police se justifie d’un "pur geste de courtoisie". Lors de son audition par la commission d'enquête de l'Assemblée nationale, Michel Delpuech avait reconnu, contrairement à Gérard Collomb, connaître l'ancien garde du corps d'Emmanuel Macron. Selon ses dires, il le connaissait depuis la fin de la campagne présidentielle car il était "en charge d'une partie de la sécurité dans le staff du candidat" Macron.

Il avait condamné des "copinages malsains"

Il avait également condamné des "dérives individuelles inacceptables, condamnables, sur fond de copinages malsains". "Un copinage" entre policiers et Alexandre Benalla, avait-il précisé plus tard pendant l'audition.

Le témoignage du préfet avait été fragilisé plus tôt dans la journée par des révélations du Monde. Le haut gradé affirmait devant les élus que le jeune couple de manifestants, victime des coups d'Alexandre Benalla, "n'avaient pas de papiers sur eux" et avaient "déclaré de fausses identités". Mais, selon les informations du quotidien, les deux manifestants n'auraient ni provoqué de violences "graves" et "répétées" contre les CRS ce jour-là, ni cherché à dissimuler leur identité.

 

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Je crains fort que cela ne change pas grand chose. On ne parle déjà plus des armes "disparues", du coffre-fort "égaré" mais déjà de la future réorganisation des services. Pas sur que le rapport du Sénat fasse plus de dégâts en haut lieu.

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il y a 17 minutes, g4lly a dit :
  • Les interpellé de la contre escarpe n'était ni violen

Il est tout de même dit que :

Citation

Tous deux lancent alors des objets sur les forces de l’ordre, y ajoutant un bras d’honneur et un index menaçant.

Je veux pas lancer un débat à la con, mais parler de non violence est un poil exagéré :biggrin:

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Just now, clem200 said:

Je veux pas lancer un débat à la con, mais parler de non violence est un poil exagéré :biggrin:

C'est pas moi qui le dit c'est la CRS ... visiblement ce jour là leur souci c'était des personnes infiniment plus violente ... et un jet de je ne sais quoi plus ou moins en direction des FdO n'était pas susceptible de poursuite.

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il y a 34 minutes, g4lly a dit :

Le préfet de police ... envoie du courrier manuscrit personnel a Benalla ... mais affirme qu'il ne le connait pas devant la commission d’enquête.

Euh... si on parle bien de Michel Delpuech, ce n'est pas ce qui est indiqué dans l'article que tu cites :

Citation

 Lors de son audition par la commission d'enquête de l'Assemblée nationale, Michel Delpuech avait reconnu, contrairement à Gérard Collomb, connaître l'ancien garde du corps d'Emmanuel Macron

.

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3 minutes ago, Boule75 said:

Euh... si on parle bien de Michel Delpuech, ce n'est pas ce qui est indiqué dans l'article que tu cites ...

Delpuech a reconnu lors des audition connaître a peine et pas personnellement Benalla ...

... c'est amusant de le voir lui envoyer des courriers manuscrit relatant chaleureusement des aventures communes ...

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M. Delpuech a affirmé avoir rencontré M. Benalla pour la première fois l’avant-veille du deuxième tour de l’élection présidentielle, il y a un an, au cours d’une réunion de travail. Il dit avoir croisé M. Benalla à plusieurs reprises : « Il était dans le cercle proche des personnes autour du président. Beaucoup de photographies le montrent, en disant ça, je ne révèle rien », rapporte M. Delpuech.

Le préfet de police de Paris affirme par ailleurs ne pas connaître personnellement M. Benalla. « Dans mon téléphone portable, je n’ai jamais eu le numéro de M. Benalla », rapporte-t-il.

 

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il y a 1 minute, g4lly a dit :

Delpuech a reconnu lors des audition connaître a peine et pas personnellement Benalla ...

Et une carte de remerciement manuscrite prouve le contraire ?

Il peut bien minimiser ses rapports avec Bennala, je te le concède, comme à peu près tout le monde actuellement. De là à ce qu'on en parle ici... :pleurec:

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3 minutes ago, Boule75 said:

Et une carte de remerciement manuscrite prouve le contraire ? 

Il peut bien minimiser ses rapports avec Bennala, je te le concède, comme à peu près tout le monde actuellement. De là à ce qu'on en parle ici... :pleurec:

Disons que deux mensonges sous serment éventé en un jour de la par du PP ... ca n'a absolument pas sa place ici.

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Il y a 4 heures, Patrick a dit :

Attendez... J'ai mis les infos sur "pause" ces derniers jours, les armes n'ont pas été récupérées? :blink:

Il les a restituées volontairement. Ce qui manque c'est le "coffre d'arme", qui ne fait pas l'objet de recherches à ce stade.

L'autre larron avait des armes dans les locaux LREM, qui ont été saisies.

C'est super-grave.

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Il y a 9 heures, g4lly a dit :

C'est pas moi qui le dit c'est la CRS ... visiblement ce jour là leur souci c'était des personnes infiniment plus violente ... et un jet de je ne sais quoi plus ou moins en direction des FdO n'était pas susceptible de poursuite.

Si si c'est bien suspectible de poursuite. Nous sommes là dans la banalisation des violences contre les forces de l'ordre. Besoin d'un dépôt de plainte chronophage, complexité procédurale, mansuétude de la justice, le tout  qui amène  le CRS à laissé tomber. 

Modifié par mandav
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Il y a 9 heures, g4lly a dit :

visiblement ce jour là leur souci c'était des personnes infiniment plus violente ... et un jet de je ne sais quoi plus ou moins en direction des FdO n'était pas susceptible de poursuite.

Vu ce que se prennent Apple et Google, j'imagine que je ne serai pas susceptible de poursuites si je commets de la fraude fiscale à mon petit niveau ?

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