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faltenin
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J'avais compris que c'était des orientations lentes (dizaine de tours minutes max) et temporaires en fonction des besoins et de la situation tactique.

Ce sera certainement la solution choisie au final puisque ce que je décris n'est pas techniquement possible (à moins de modifier la cellule).

Mais ça pose problème si il faut suivre deux groupes de cibles distincts et/ou assurer une liaison air/missile correcte après avoir tirer. Car si je ne m'abuse un MICA est conçu pour recevoir une mise à jour de cible toutes les demi-secondes.

Avec un radar fortement incliné (au-delà de 30°), ça nécessite de maintenir le radar immobile (et aveugle sur la moitié du champ de bataille) ou de le faire tourner très vite (ce qui n'est pas possible pour des raison d'inertie). Avec un radar peu incliné, le problème est résolu mais ça ne sert alors à rien de le faire tourner vu que le gain en performance est réduit à peau de chagrin.

D'un autre côté un radar fortement incliné perd pas mal en portée puisque le gain maximal n'est plus dans l'axe de l'avion (à moins qu'on cesse d'envoyer les intercepteurs droit vers un contact).

Faut voir si le jeu en vaut la chandelle mais en aucun cas cette solution n'est supérieure à une antenne fixe dans tous les cas contrairement à la propagande britanique.

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Mouais et puis dans ce cas de figure, comment tu fais pour locker deux cibles aux opposés de ta zone de couverture ?

Tu le fais pas non plus avec un radar à antenne fixe. C'est pas 360° en 3D. Avec deux cibles à 9h30 et 2h30 ou une vertical, tu dois bouger le nez de ton avion.

C'est assez compliqué d'imaginer la bulle de détection d'une antenne inclinée vu les interférences probables sur les bords des zones d'émission...

J'imagine ca comme un gros projecteur orientable, tout en sachant qu'un AESA est orientable électroniquement aussi.  J'ai l'impression que c'est plus pour voir dans les coins si nécessaire (puisqu'il parait que les perfomances "latérales" des AESA sont leurs faiblesses) ou pour garder le tracking en fort dénivellé lors de manoeuvres et de guidage de missiles, guidage qui doit sûrement être la priorité dans le logiciel d'orientation de l'antenne.  

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(puisqu'il parait que les perfomances "latérales" des AESA sont leurs faiblesses)

C'est le cas de tous les ESA.

Sinon, l'idée du Captor est cohérente avec la tactique BVR de l'avion.

Tout droit vers la cible à Mach 1.6, tir, puis ouverture maximale (sans perdre la cible de son cône de balayage radar) sur le côté pour réduire la vitesse d'approche tout en augmentant sa vitesse de défilement latérale, le tout sous 4 à 5 G soutenus sans ralentir (il faut à tout prix faire ramer les missiles ennemis au maximum), et ré-engagement si nécessaire.

C'est tout l'intérêt d'avoir un avion à forte manoeuvrabilité supersonique, avec un radar qui voit bien dans les coins.

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C'est clair que cette solution n'est pas faite pour gérer du multicible ou jouer sur la polyvalence, mais pour permettre au Typhoon de bénéficier de l'AESA sans avoir à changer radicalement de tactique d'emploi!

Et c'est un point très important! Tout le design de l'appareil, des surfaces de contrôle aux réacteurs, est optimisé pour des engagements BVR en haut supersonique et fort facteur de charge. Lui coller une antenne AESA fixe ce serait comme le brider complétement dans son emploi opérationnel.

Au final, une antenne AESA mobile présente des intérêts réels (TMor vient de les décrire) ainsi bien évidemment que des défauts par rapport à une antenne AESA fixe. A radôme identique, le nombre de modules sera plus restreint et donc la portée de détection et les performances globales (y compris en entrelacement de modes) plus réduite dans le seul secteur avant.

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Je parle d'une antenne amovible, d'une antenne AESA fixée sur un support mobile mécanique, comme ce qui a été étudié pour les chasseurs russes et, dans un premier temps, pour le Typhoon.

En raison de son obligation de pivoter, elle disposera de moins de modules qu'une antenne AESA fixe déposée dans le même radôme avec la même unité de traitement derrière.

Après, pour une antenne articulée autour d'un pivot rotatif, on est d'accord, c'est autre chose. ça a le mérite de pouvoir conserver un nombre important de modules tout en étant désaxé.

L'inconvénient, c'est qu'il est impossible d'orienter l'antenne dans le secteur avant. Pour avoir un bon balayage de ce dernier, il faut faire pivoter l'antenne et/ou jouer sur le dépointage des modules de l'antenne.

Encore une fois, ce système ne permettra pas d'avoir la même portée/puissance maximale en secteur avant qu'une antenne fixe. Autre corolaire négatif: l'obligation de dépointer électroniquement et de faire pivoter l'antenne autour de son axe pour balayer tout le secteur avant multiplie la possibilité de détection des lobes secondaires et réduit d'autant la discrétion de l'antenne.

Personnellement, si je devais choisir pour le Typhoon, je prendrais plutôt une antenne AESA-mécanique plutôt que le système pivotant. Son nez est suffisamment imposant pour qu'il conserve une antenne similaire en taille à celle du Rafale, du Super Hornet ou du F-35, tout en ayant des capacités de dépointage lui permettant de conserver ses capacités tactiques actuelles (voir à la fois loin devant, et loin sur les côtés selon le contexte tactique).

Une antenne pivotante, c'est pas mal pour le merge en mode acquisition. Mais pour faire de la veille lointaine ou tout simplement de l'entrelacement de mode, ça à l'air nettement moins pratique et moins discret. Sans compter les risque technologiques.

Quand on voit que le Typhoon risque d'être l'appareil d'attaque principal de la RAF (sic!) et de la Luftwaffe ce ne serait peut-être pas du luxe.

Mais bon, en quelques années, les technologies ont le temps de mûrir et les choix de changer! On verra bien.

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C'est au tour des italiens.....

ROME - As the industrial consortium behind the Eurofighter Typhoon presses customers to commit to an electronically scanned radar, the Italian Air Force has confirmed its doubts that the radar can be ready in time for the next tranche of the combat jet.

"The physical insertion of an AESA radar in Tranche 3A is not feasible timewise," said Gen. Giuseppe Bernardis, the Air Force deputy chief of staff.

"Another thing could be an interest in studying the option of retrofitting the fleet one day, money and circumstances permitting," he added.

Speaking at the Dubai Airshow this week, Eurofighter CEO Enzo Casolini said proposals could be submitted by year's end to the four lead Eurofighter nations for a new AESA (advanced electronically scanned array) radar to replace the twin-engine jet's mechanically scanned Captor radar. Britain, Germany, Italy and Spain may then make a joint decision by February on how to proceed, he said.

Officials from companies in the Eurofighter consortium have previously said the deadline was needed in order to mount a new radar on board the first batch of the third tranche of Typhoons that the four nations signed up to buy in July.

Italy has signed to buy 21 Tranche 3A aircraft. It originally envisioned buying 46, but when the tranche was split it said budget limitations may rule out taking the full quota.

Britain and Germany are reportedly interested in switching to an AESA radar, but the doubts raised by Bernardis, which he first voiced last summer, suggest finding a consensus will not be easy.

The Italian Air Force's less-than-enthusiastic support for e-scan is due in part to its desire to focus on the air superiority role of the Typhoon, leaving air-to-ground missions to the F-35 Joint Strike Fighter, which Italy has ordered.

"We believe the mechanically scanned radar is fulfilling all our operational needs for an air superiority fighter," Bernardis said. "This, however, doesn't rule out a more up-to-date radar in the future, given that we will be possibly flying Eurofighters until 2040."

Eurofighter officials are, however, keen to get started on developing an e-scan radar to boost the aircraft's chances in competitions such as in India, where e-scan is a prerequisite.

In Dubai, Casolini said e-scan technology being developed by Selex Galileo - which is teamed with EADS and Indra in the Euroradar consortium - would be a likely candidate for use on the Typhoon.

Selex officials have said that after a deal is struck on the warplane's AESA radar, about five years will be required to develop a production-standard version.

Unlike fixed-panel AESA radars being built by U.S. companies, which face in the direction of the aircraft, the Selex panel sits at an angle and can revolve, meaning its angle of coverage can be increased in any given direction by moving the panel.

The "swashplate" concept has been taken up by Saab, which chose Selex to supply the Swedish company with its AESA Vixen radar for the Gripen NG fighter jet that Saab is offering to Brazil.

A smaller version of the Vixen, using a fixed plate, has been sold for use on U.S. Customs and Border Protection aircraft.

Bob Mason, vice president of marketing and sales at Selex Galileo, part of Italy's Finmeccanica group, said a rapid pace is called for to develop an e-scan radar for Typhoon partners.

"We will need to work fast and be innovative to get an e-scan ready for Eurofighter," he said.

Mason said the new e-scan with a swashplate would put the Typhoon ahead of U.S. competitors. "We believe the Captor now on the Eurofighter outperforms the first generation of e-scan radars, while the respositionable e-scan radar we are now developing takes us beyond the first generation F-16, F-15 and F-18 arrays."

The angle of the revolving plate to the direction of the aircraft could range from 5 to 45 degrees, depending on the wish of the customer, he added.

Some of work being undertaken with Saab on the Gripen e-scan radar would be of benefit to future work, Mason said.

Looking ahead, he said Selex is eyeing the e-scan radar's capabilities in broadband communications and electronic warfare.

"E-scan has the ability to do these things, and we are looking at the possibilities in case there is a request from a customer," Mason said.

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La réalité, c'est qu'il va falloir les fourguer ces machines, ça va devenir très très féroce.

C'est pas l'arabie saudite qui voulait un 2e batch de typhoon ?

Les britons risque de ne pas apprécier si les Allemands reussissent à refourguer leurs 37 trapanelles  aux saoudiens.

Ce qui est marrant avec le typhoon c'est que quelque soit le nombre de commandes exports, le nombre total de machines produites reste invariablement le même  :lol:

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La paume!

extraordinaire... ils on traduit Palm en paume...

Dans mon bureau il y en avait une tres belle au meme endroit avec deux Su30 indiens, un M2000-9 et un F-16 blk60. Chacun sembant sortir d'une vranche du palmier...

Magnifique, tu as traduit "branche" en "vranche" !

@+, Arka

PS: tu l'a bien cherché  ;)

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  • 2 weeks later...

Le consortium EuroFighter super optimiste pour l'avenir de son zinc à l'Export.

http://www.eleconomista.es/empresas-finanzas/noticias/1750559/12/09/Eurofighter-puja-por-fabricar-en-Espana-140-cazas-y-proteger-22000-empleos.html

Eurofighter puja por fabricar en España 140 cazabombarderos

Miguel Ángel Gavira

Getafe coordina una campaña de exportación en Corea del Sur que puede reportar 8.000 millones. El consorcio quiere aprovechar la experiencia de EADS Casa para abrir mercado en Latinoamérica

España será uno de los cuatro pilares en los que Eurofighter sustentará su ambiciosa campaña de exportación. Una vez que ya ha abastecido a los Ejércitos de los países miembros del consorcio, el fabricante de cazabombarderos ha responsabilizado a su filial con sede en Getafe de la campaña de venta de aviones en Corea del Sur.

En una entrevista con elEconomista, el consejero delegado del grupo europeo de defensa, Enzo Casolini, asegura que "España liderará estas conversaciones y si se consigue el contrato, los aviones se ensamblarán en la planta de Getafe".

Corea del Sur se plantea comprar 50 aparatos en una primera fase, pero sus necesidades futuras son entre 100 y 140 cazas, por lo que el contrato total, incluyendo soporte logístico y mantenimiento, superaría los 8.000 millones de euros (unos 60 millones de euros por aparato).

22.000 puestos de trabajo

Casolini, que recibió amablemente por primera vez a un medio español en la sede de Eurofighter en Munich, asegura que para la compañía "es muy importante mantener el empleo en los países en los que está presente y este contrato ayudaría. En el caso de España, 22.000 empleados dependen de este programa. Y buena parte de ellos son ingenieros de alta cualificación", añade el gestor italiano de Eurofighter, que ejerce como consejero delegado desde el pasado mayo.

Hasta el momento, la factoría de Getafe había ensamblado todos los cazas que había encargado el Ejército del Aire español (87 unidades) y fabricado el ala derecha de todos los Eurofighter del programa.

El consorcio europeo -que tiene como principales accionistas a EADS, EADS Casa, BAE Systems y Alenia- también quiere aprovechar la experiencia que EADS Casa ha adquirido en el mercado latinoamericano con aviones de transporte militar como el CN-235 o el C-295 para intentar captar clientes, aunque reconoce que es un área complicada. "En Latinoamérica no hay mercado. Brasil ya optó por los aviones franceses de Dassault (Rafale). Por el momento es difícil, aunque podría haber alguna posibilidad de negocio en Chile", comenta esperanzado.

Precisamente, el modelo francés a la hora de vender sus cazas es el que quiere aplicar Eurofighter en sus campañas de exportación, que comenzaron con buen pie cuando Austria adquirió 15 aviones por 1.700 millones de euros y se convirtió en el primer cliente externo.

"Para los programas de exportación necesitamos el soporte político de las naciones miembros. Al igual que está haciendo, por ejemplo, Nicolas Sarkozy, con su industria de defensa, apoyando al caza Rafale en Latinoamérica", matiza.

Optimistas

Y es que en Eurofighter son optimistas. Se calcula que el mercado potencial de cazas en todo el mundo es de 800 unidades "y estamos convencidos que, como mínimo, entre 250 y 300 pedidos serán para Eurofighter", estima Casolini.

Paralelamente a las negociaciones de Eurofighter España con Corea del Sur, Eurofighter Alemania está haciendo lo propio con India, que ha pedido de momento 126 aparatos, pero que podría incrementar el contrato en el futuro a 250 ó 300 cazabombarderos.

Estas campañas de exportación tendrán una configuración similar a la Tercera Fase A del programa inicial de Eurofighter, que incluye el sistema electrónico e-scan o los misiles Meteor. La gran ventaja respecto a otros programas es que "los clientes podrán integrar su propio sistema de armamento".

Las nuevas campañas de exportación no afectarán a la estructura societaria de la compañía, en la que EADS Casa controla el 13 por ciento. Lo que si hará Eurofighter es crear una sociedad en cada país donde se quiera vender el producto, pero la central seguirá estando en Munich y coordinará y dará soporte a todo el programa. "Los accionistas de la compañía tendrán una reunión a mediados de diciembre para fijar la estrategia definitiva de exportación", añade el consejero delegado del grupo.

Casolini nos deja con un sueño: ser capaces de aterrizar en el mercado norteamericano. ¿En Estados Unidos?, imposible. "Pero tenemos posibilidades de entrar en Canadá".

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C'est le cas de tous les ESA.

Sinon, l'idée du Captor est cohérente avec la tactique BVR de l'avion.

Tout droit vers la cible à Mach 1.6, tir, puis ouverture maximale (sans perdre la cible de son cône de balayage radar) sur le côté pour réduire la vitesse d'approche tout en augmentant sa vitesse de défilement latérale, le tout sous 4 à 5 G soutenus sans ralentir (il faut à tout prix faire ramer les missiles ennemis au maximum), et ré-engagement si nécessaire.

C'est tout l'intérêt d'avoir un avion à forte manoeuvrabilité supersonique, avec un radar qui voit bien dans les coins.

Fiction " faire une antenne aesa pivotante facilemnt"

realité " le plus dur dans une antenne aesa n'est pas d'assembler de modules sur l'antenne, mais concevoir un système de refroidissement efficace pour ne pas pomper toute l'énergie"

Alors pourquoi ils ne mettent déjà pas en pratique un antenne aesa fixe qui a déjà des couts de oufs avant de vouloir en faire une rotative qui à mon avis devrait décupler l'équation à résoudre?

Parce que nous vivons dans un monde de communication, et comme aucune AESa pour le typhoon n'est planifier, il faut garder tout le monde fixer sur ses produits et faire d'une situation loser , une winner!

au départ pour excuser le fait que personne n'a envie de financer une antenne aesa ils avaient dit que leur Captor était bien meilleur qu'une Aesa! ben voyons,  mais comme c'est pas crédible, nous avons un autre son de cloche, alors que tout les specialistes disent "Banco" avec un sourire en coin!

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Image IPB

Un «Typhoon» de l’armée de l’air des forces britanniques vole au-dessus de la Paume, cette île artificielle de Jumeirah, à Dubaï, aux Émirats arabes unis, à l’occasion de la fête aérienne, mardi 24 novembre.  (SIPA)

ben ca va les british commence a s'approcher de l'Afgha avec leur Typhoon  ^-^ O0
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realité " le plus dur dans une antenne aesa n'est pas d'assembler de modules sur l'antenne, mais concevoir un système de refroidissement efficace pour ne pas pomper toute l'énergie"

J'avais lu (DSI ou blogs) que pour le contrat au EAU, la problématique de la portée du RBE2-AESA était directement liée à la capacité de refroidissement derrière. C'est peut-être aussi liée à 'l'abandon' de l'actuel OSF-IR refroidit (Cryotech.) pour gagner de la place et du froid.

Il y a un autre point qui n'est pas abordé, c'est la SER. Les mécanismes des radars mécaniques brillent comme des sapins de noël. les dômes abritant les radars n'étant pas réputés pour déformer ou renvoyer les ondes radars. :)

Comment comptent-ils gérer ce problème ?

Ca m'étonne pas qu’ils aient besoin d’avoir un leurre tracté avec ingénieurs comme ça.

La solution est tellement plus simple quand on rajoutte des antennes AESA sur les flancs de l'avion (vu sur beaucoups d'autres projets comme le F22). Tu met deux antennes AESA rectangulaires sur les flancs de l’entrée d’air du Typhie, et ça règle même ton problème d’échauffement.

Image IPB

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Un pur 'wath if', ok; mais plus ou moins avancé que l'assiette tournante ?

Pour aller dans le sens de Graber, cette solution permetrai d'avoir une antenne AESA plus facilement et plus tôt, pour dans un deuxième temp ajoutter celles sur les cotés si l'argent est dispo.

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Le consortium EuroFighter super optimiste pour l'avenir de son zinc à l'Export.

http://www.eleconomista.es/empresas-finanzas/noticias/1750559/12/09/Eurofighter-puja-por-fabricar-en-Espana-140-cazas-y-proteger-22000-empleos.html

Eurofighter puja por fabricar en España 140 cazabombarderos

Miguel Ángel Gavira

Getafe coordina una campaña de exportación en Corea del Sur que puede reportar 8.000 millones. El consorcio quiere aprovechar la experiencia de EADS Casa para abrir mercado en Latinoamérica

España será uno de los cuatro pilares en los que Eurofighter sustentará su ambiciosa campaña de exportación. Una vez que ya ha abastecido a los Ejércitos de los países miembros del consorcio, el fabricante de cazabombarderos ha responsabilizado a su filial con sede en Getafe de la campaña de venta de aviones en Corea del Sur.

Corea del Sur se plantea comprar 50 aparatos en una primera fase, pero sus necesidades futuras son entre 100 y 140 cazas, por lo que el contrato total, incluyendo soporte logístico y mantenimiento, superaría los 8.000 millones de euros (unos 60 millones de euros por aparato).

Je lis bien là? :rolleyes:, 50 coucous à vendre à la corée du sud??? :rolleyes:

Quelqu'un sait de quoi il en retourne?

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