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Solutions alternatives hors PA2


Philippe Top-Force
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Messages recommandés

oui mais quels drones et pour quelle charge militaire et quelle capacité de loitering :

plus la charge utile monte plus le drone (à voilure fixe) prend plus de distance pour décoller :

le lien suivant donne les distances de décollage de différents drones israeliens :

http://www.pmulcahy.com/uavs/israeli_uavs.html

l'hermès 450 et son clone amélioré watchkeeper serait compatible avec une utilisation sur BPC et probablement aussi le héron mais le héron TP risquerait d'être juste probablement (mais je n'ai pas les données de take off run)

l'option du drone vertical privilégiée par la marine (mais avec un recul prévisible de la mise en service pour 2020) risque par contre d'avoir un temps de loitering plus court (sauf si 1-160 hummingbird) et moins de vitesse que les voilures fixes.

La combinaison drone et Tigre avec délivrance de missile en stand off type ANL qui aurait une portée de 50 km environ serait une combinaison efficace

Mais ce type de drone reste limite si il y a une aviation en face "moderne"

et le BPC risque d'être pas mal vulnérable même si il y a une Horizon dans le coin...

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Sans compter qu'avec 800m2 d'espace de commandement, il y aurait aussi de la place à bord...

le problème est plutot quel type de drone vu les retards du drone naval envisagé pour 2020 ...

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L'US Navy avait envisagé de prendre la version du MQ-9 Reaper navalisée, appelée Mariner avec ailes repliables, train d'atterrissage compact, renforcé, plus solide et crosse d'appontage, 6 pylones d'emport de charges (2 GBU12/8 AGM114 Hellfire...) mais c'est le RQ-4 Global Hawk qui a été choisi.

Néanmoins, ce type d'aéronef sans pilote a une envergure de 20 mètres et une longueur de 11 mètres.

Donc Général Atomics pourrait nous en doter mais pour le BPC, c'est compromis, pour rappel l'ascenseur axial = 225 m² et celui latéral = 120 m². Pas de brins d'arrêt.

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L'US Navy avait envisagé de prendre la version du MQ-9 Reaper navalisée, appelée Mariner avec ailes repliables, train d'atterrissage compact, renforcé, plus solide et crosse d'appontage, 6 pylones d'emport de charges (2 GBU12/8 AGM114 Hellfire...) mais c'est le RQ-4 Global Hawk qui a été choisi.

Néanmoins, ce type d'aéronef sans pilote a une envergure de 20 mètres et une longueur de 11 mètres.

Donc Général Atomics pourrait nous en doter mais pour le BPC, c'est compromis, pour rappel l'ascenseur axial = 225 m² et celui latéral = 120 m². Pas de brins d'arrêt.

Pour rappel l'ascenseur arrière fait 15 m x 15 m donc un Reaper avec ailes repliables devrait rentrer (et d'ailleurs un Rafale M pas à pleine charge aussi...)

Pour la question des brins d'arrêt, je me demande s'il n'y a pas un peu plus d'options pour des drones globalement nettement moins lourds que les avions.

Notamment du côté d'esco.zodiac où il y a différents modèles de système d'arrêt mobiles couplables à des brins d'arrêt ou à des barrière d'arrêt :

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et quant aux barrières d'arrêt on peut arrêter tout aussi bien du scan eagle que du plus lourd...

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Pour le SCAN EAGLE : "ScanEagle needs no airfield for deployment. Instead, it is launched using a pneumatic launcher designed as part of a university engineering design project, now patented by Insitu as the "SuperWedge" launcher. It is recovered using the "SkyHook" retrieval system, which uses a hook on the end of the wingtip to catch a rope hanging from a 30 to 50-foot (15 m) pole. This is made possible by a high-quality differential GPS units mounted on the top of the pole and UAV. The rope is attached to a shock cord to reduce stress on the airframe imposed by the abrupt stop." http://en.wikipedia.org/wiki/File:ScanEagle_recovery_on_USS_Oscar_Austin.jpg

On n’est qu’au début de l’aventure des drones et des robots militaires, surtout qu’on ne tient plus à risquer la vie d’un pilote, compte tenu des progrès sur les missiles et que le prix d’un avion piloté est considérablement plus important que celui d’un drone. Le délai entre le concept et la mise en service d'un appareil piloté est sans commune mesure avec celui d'un drone.

Rien que pour donner de l’allonge à la surveillance maritime, les drones vont très rapidement s’imposer sur les bâtiments militaires. 

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On n’est qu’au début de l’aventure des drones et des robots militaires, surtout qu’on ne tient plus à risquer la vie d’un pilote, compte tenu des progrès sur les missiles et que le prix d’un avion piloté est considérablement plus important que celui d’un drone. Le délai entre le concept et la mise en service d'un appareil piloté est sans commune mesure avec celui d'un drone.

Rien que pour donner de l’allonge à la surveillance maritime, les drones vont très rapidement s’imposer sur les bâtiments militaires.

Il y a plusieurs gros souci a résoudre pour voir les drone plus utilisé.

- Assurer la communication

+ ca implique des rélais telcom aéroporté en plus des satellite, et donc des antenne directionnelle point a point.

+ ca implique des cryptages signature "inviolable" ainsi qu'une grande résistance au brouillage et autre deni de service.

+ ca implique en plus une discrétion EM ... pour pas éventer le raid de drone plus ou moins furtif par la simple écoute du flux de guidage.

- Assurer le ravitaillement ... drone a drone ... de préférence en mode autonome pour le drone client.

- Assurer la tolérance au panne de communication. Le drone doit etre capable de survivre a une coupure plus ou moins longue de communication, voir définitive, et doit etre capable de mettre en place une solution de sortie, retour en terrain ami, poursuite de la mission en autonome le temps de pallier au défaut ... auto-destuction.

- Etre capable de maniere indépendante de s'insérer dans le traffic aérien ... ailier, ami ... inconnu ... et ennemi.

etc.

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Effectivement, et je ne l'avais pas précisé mais il y a largement la place à bord pour les équipements, sans compter le pilotage à distance. 

Changer un BPC en Porte-Avion c'est mission impossible, mais on peut le changer en Porte-Drone (le premier au monde), avec des drones de différentes catégories et taille. Il peut rajouter ainsi une nouvelle mission à la liste de ses capacités. 

Quand on supprime les contraintes liées à la présence d'un pilote, on peut gagner en capacités de décollage court ou vertical ou par catapulte. 

Les américains ont un projet extrèmement complexe pour lancer et récupérer un drone à partir d'un sous-marin..... alors lancer un drone d'un BPC doit être un jeu d'enfant à coté ! 

ça serait aussi un bon moyen pour devenir leader sur le marché si on développe un concept de Porte-Drone avant tout le monde.

Je suis persuadé que les drones sont plus l'avenir que les PA géants !

En plus, les PA style CVN 78 "USS GERALD FORD" à 10 milliards de dollars l'exemplaire, seuls les américains peuvent se le payer !   

Quand on supprime les contraintes liées à la présence d'un pilote, on peut gagner en capacités de décollage court ou vertical ou par catapulte.  

http://www.air-defense.net/Forum_AD/index.php?topic=2159.285

Non, un pilote n'est qu'une charge de 300 kg (avec sièges, environnement, commandes et pilote) sur un objet volant.

Certes, des drones à hélices peuvent être mis en oeuvre depuis un petit porte-aéronefs de la même manière que les chasseurs à hélices de la 2 GM, ou des hélicoptères.

Simplement parce que ce sont des aéronefs lents avec une vitesse minimum basse.

Face à une aviation moderne équipée de chasseurs modernes, et en l'absence de supériorité aérienne ces drones ne sont que des cibles.Certes l'absence de pilote et leur faible coût pour les plus simples et plus légers permettrent de les sacrifier en nombre.Mais ils ne protègent pas le groupe aéronaval.

Il n'y a pas d'alternative au porte-avions (pour les moyens existants) pour sa premiere mission qui est l'obtention d'une supérorité aérienne locale (avant de mettre en oeuvre son aviation en bombardement ou en CAS) sauf par l'aviation basée à terre, si elle n'est pas trop loin (pour permettre un taux élevé de rotations et pas trop de fatigue sur les pilotes).

On pourrait certes par exemple imaginer des croiseurs furtifs équipés de missile de défense aériennes de 300 km de portée supportés par des drones furtifs catapultables à atterrissage vertical ou court, équipés de radars look down à longue portée permettant de détecter et d'engager des avions/missiles à basse altitude au delà de l'horizon de 40 km pour un radar basé sur le navire.

C'est possible, même si personne ne l'a fait.Parce que ceux qui peuvent le faire (les USA) préfèrent les PA qu'ils ont en nombre, et pour la France la simple R&D  (croiseur+drones+missiles longue portée) coûterait plus cher qu'un PA neuf.

Alors le choix est simplement de voir si on veut avoir un PA2 sans avion pour simplement combler la non disponibilité du CdG; sachant qu'on est dans un budget d'équipement serré pour la marine et les armées.

Et dépenser 3 Md'€ pour cela (plus l'équipage dédié et qui sera forcement dédié pour la partie hors groupe aviation, et coût d'utilisation annuel du PA2).Et sachant qu'on manque aussi de ravitailleurs en vol et que 14 A330-200 MRTT valent le prix d'un PA neuf conventionnel.

Un PA a 3 capacités sur une seule plateforme: obtenir la supérorité aérienne de zone ou de protection, faire du bombardement en nombre d'objectifs mobiles dans un environnement défendu, faire du bombardement en nombre d'objectifs fixes dans un environnement défendu.

Les MdC ne peuvent répondre qu'à la dernière mission.Les hélicoptères ont besoin d'une protection aérienne.Les drones de combat opérationnels style X47 n'existent pas.Les frégates AA ne font que de la défense de point à basse altitude ou de zone réduite à haute (mais rien n'empêche un avion de voler au dessous de la couverture radar au delà de son horizon).

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Un PA version "low-cost" c'est possible...(plateforme de decollage, propusion simple, autodefense courte portée "dense", systeme de combat simplifié...)?

Pour en revenir a un porte container comme le proposait BPCs, combien ça coute ce type de navire "nu"?Quelle longueur, decoller sans catapultes es ce possible?

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Un PA version "low-cost" c'est possible...(plateforme de decollage, propusion simple, autodefense courte portée "dense", systeme de combat simplifié...)?

Pour en revenir a un porte container comme le proposait BPCs, combien ça coute ce type de navire "nu"?Quelle longueur, decoller sans catapultes es ce possible?

Le PA2 est déjà low cost pour tirer les prix au plus bas et l'avoir. Mais pas tant que cela !

En fait, il est essentiellement aux normes militaires et proche en survivabilité d'un Cdg.

Ce qui est important politiquement quand on embarque des armes nucléaires.

L'ensemble des installations aviation d'un PA à 2 catapultes, 2 ascenseurs et brins d'arrêt coûte dans les 300 M€

L'ensemble du système d'arme y compris le système Aster et l'intégration dans les 300 md'€ aussi.

Il faut aussi la R&D qui peut être plus ou moins importante.Mais 200 M€ semblent un minimum.

On ne va pas/plus détailler le reste mais on peut faire un PA de 50 000 tonnes aux normes de survivabilité assez éevées et largement comparables à un BPC (mais moins que le Cdg) avec brins d'arrât et catapultes, une vitesse de 26 Knts, et assez silencieux, pour 1600 à 1800 M€ soit bien moins cher que notre PA2 actuel tout en ayant des performances en terme de nombre d'avions similaire au PAN CdG.

Mais la marine tient à un PA vrai PA en terme de survivabilité et capable d'embarquer des nukes, et il est difficile de négocier les prix avec le tandem DCNS Thales et le mode de gestion de la DGA actuel imposé partiellement par le code des marchés publics.

Entre 3 Md'€ et 1,8 Md'€, il y a 1,2 Md'€ d'écart

Un Rafale en ligne coûte 250 M€ sur 24 ans avec carburant, MCO et personnels comptés.

La différence entre les deux coûte....5 Rafale en ligne aux armées.

Le probleme n'est pas là.

Il est politique au sein des armées (justifications et arbitrages de crédits et de forces entre armées) et budgétaire vu les disponibilités de crédits d'ici 2017.

Si le CEMA disait qu'un PA2 est indispensable (et aussi le CEMM !!!), on démarrerait la construction dans deux ans!

Le problème est donc au sein des armées.

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Quand on supprime les contraintes liées à la présence d'un pilote, on peut gagner en capacités de décollage court ou vertical ou par catapulte.  

Effectivement cela ne change rien : il y a qu'à voir les projets de ZLL : zero length take off de la guerre froide avec des pilotes à bord , de même pour les décollages Jato tant pour les Jets utrefois que pour les UAV actuellement

Un PA a 3 capacités sur une seule plateforme: obtenir la supérorité aérienne de zone ou de protection, faire du bombardement en nombre d'objectifs mobiles dans un environnement défendu, faire du bombardement en nombre d'objectifs fixes dans un environnement défendu.

Les MdC ne peuvent répondre qu'à la dernière mission.Les hélicoptères ont besoin d'une protection aérienne.Les drones de combat opérationnels style X47 n'existent pas.Les frégates AA ne font que de la défense de point à basse altitude ou de zone réduite à haute (mais rien n'empêche un avion de voler au dessous de la couverture radar au delà de son horizon).

J'aurais eu tendance à séparer différemment :

Pour la couverture anti aérienne de zone

soit doter la plateforme navale Horizon  d'un drone de haute altitude type A-160 hummingbird avec fonction AEW soit sinon le BPC d'un V-22 TOSS AEW lui aussi en cours de développement.

Et financer l'Aster 30 Block II à portée étendue (ce qui serait aussi utile pour les différents projets antiballistiques de zone).

voire complètement phantasmatique actuellement une conversion BPC stobar.

Pour le bombardement d'objectif mobile de zone dans environnement défendu

Attaquer d'une part avec les strike de l'AdA version F-111 et

puis une fois l'aviation adverse mise au tapis, pousser la dotation en missile avec des delilah HL (portée 180 km , actif sur les cibles mobile) et sinon continuer le développement du missile ANL.

Et intégrer des drones type Reaper ou équivalent sur les BPC

Pour le bombardement d'objectif fixe :

MdCN et Scalp plus strike AdA

avec notamment la destruction de l'aviation adverse comme objectif principal.

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1,2 m£ d'écart c'est peu et beaucoup à la fois ça dépend du point de vu. Çà équivaut à 3 FREMM, et si on a des OPV à 200m£ ça en fait 6, et le double s'ils coûtent 100 m£ . Quand on voit l'importance de la mise en service de ces navires ce n'est pas négligeable. Après tout dépend des priorités du CEMA.

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1,2 m£ d'écart c'est peu et beaucoup à la fois ça dépend du point de vu. Çà équivaut à 3 FREMM, et si on a des OPV à 200m£ ça en fait 6, et le double s'ils coûtent 100 m£ . Quand on voit l'importance de la mise en service de ces navires ce n'est pas négligeable. Après tout dépend des priorités du CEMA.

Entre 3 Md'€ et 1,8 Md'€ il ya 1,2 Md'€ d'écart

Un Rafale en ligne coûte 250 M€ sur 24 ans avec carburant, MCO et personnels comptés.

La différence entre les deux coûtent....5 Rafale en ligne aux armées.

On peut penser que le problème n'est pas là.

Il est "politique" au sein des armées(justifications et arbitrages de crédits et de forces entre armées) et budgétaire; vu les disponibilités de crédits d'ici 2017.

Si le CEMA disait qu'un PA2 est indispensable (et aussi le CEM !!!), on démarrerait la construction dans deux ans!

Le problème est au sein des armées.

Le CEMM Forrissier est un sous-marinier, donc il va sécuriser son arme SM à contrario, de l'ancien CEMM AO2D qui lui pouvait défendre l'arme aérienne embarquée.

Maintenant, si le CEMM n'était pas capable de vouloir pour la France 2 PA/6 destroyer FDA/FREDA et FREMM 8 ASM et 6 SNA, c'est qu'il n'a aucune ambition autre que sa carrière.

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  • 7 months later...

Un nouvel avatar, low cost, de la mobile offshore base, basé sur des modules en béton armé dont la flottabilité est assurée par l'entrapement d'air :

Offshore airports, oil and gas production facilities, floating Islands, mobile offshore military bases, additional real estate for coastal cities, floating harbors, floating breakwaters, are just some of the possible uses of this new technology.

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The PSP has a number of important features:

   * It uses air movement to reduce wave loads and distribute them throughout the platform

   * It extracts energy from ocean waves that can be used to make electricity.

   * It attenuates the waves leaving a calm surface that permits adjacent ship berthing.

   * It has a relatively shallow draft and low adjustable freeboard.

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Compared to most large open-ocean platforms:

   * It has a significantly greater deck load capacity.

   * It is less costly to build and maintain.

   * Its performance improves with size.

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Advantages

Many small platforms, such as oil drilling rigs and most of the large platforms currently proposed for the open ocean, are based on the semisubmersible hull technology in which the buoyancy is provided by closed chambers below the sea surface. These chambers provide a base for columns that penetrate the water surface and support the platform deck(s). The pneumatically stabilized platform (PSP) is supported on air trapped in its open ended vertical cylinders. The structure derives its buoyancy from the air pressure acting on the underside of the deck.

Image IPB

The PSP offers a number of advantages over semisubmersibles:

   * The ability of the PSP to handle varying live loads is superior to that of the semisubmersible. Increasing the air pressure supporting the PSP increases the load it can carry.

   * The semisubmersible works very well as a small platform, but encounters structural difficulties as its size is increased. The PSP's performance improves as its size increases. This is due to the attenuation of wave action in the cylinders close to its perimeter. There is virtually no limit to its size.

   * It is not practical to dock a ship at a semisubmersible since the ship motion and platform motion are very different in most sea states. The wave attenuation properties of the PSP permits ship berthing on the down wave side of the platform.

   * The PSP has a low freeboard making ship access comparable to a normal harbor.

   * PSPs normally have a substantially shallower draft than semisubmersibles.

   * The cost per square foot of a PSP is expected to be significantly less than for an equal size semisubmersible.

   * Most semisubmersibles are constructed of steel. The PSP is constructed of concrete, which means it will have a longer life and require less maintenance.

   * The PSP, consisting of modules, is easy to assemble. A platform can be configured according to needs and modified relatively easily as needs change.

   * It is capable of generating power from the waves it is attenuating.

   DARPA Contract

In January 1993, The Naval Surface Warfare Center, Carderock Division, took an interest in the PSP's potential to serve as a floating military base (See DARPA Contract on the "How it works" page). Float's proposal was for a three phase effort to construct a 100 x 300 foot prototype that would be deployed off the coast of San Diego, California, to demonstrate the PSP technology. When it became clear that it would not be possible to obtain sufficiently firm estimates for the costs of construction and deployment without completing the phase I & II research and design effort, the Defense Advanced Research Project Agency (DARPA) elected to proceed with the first two phases, deferring the third until their completion. DARPA awarded Float a contract as part of their Maritime Platform Technologies program. This contract, for $1.5 million, was funded in August 1995.

Phase I was conducted between August 1995 and December 1996. The first task was the development of the hydrodynamic and structural computer models needed for the design of the prototype platform. Next, a 1:22.85 physical scale model of the prototype was designed, built, and tested at the Offshore Model Basin wave tank in Escondido, California.

As it was not practical to fully scale air pressure, the first test model, which was comprised of 75 cylinders, was designed to have only five active cylinders. Consequently, the Phase I model tests were limited to confirming the computer models' prediction for the compliance of the air contained in the five cylinders (the "air pocket factor") and the platform's motion in a seaway.

Early in 1997, following a revision in DARPA's objectives Float's effort was transferred to the Office of Naval Research (ONR) for inclusion in their newly formed Mobile Offshore Base (MOB) program. Work was suspended during this change of administration, thus phase II did not commence until August 1997. The shift necessitated several changes in the direction of the research effort. Most important was the replacement of the 100 x 300 foot prototype demonstration platform with a 500 x 5000 foot platform as the principal study objective. Further, Float was requested to examine the application of the PSP technology to a variety of smaller ancillary support platforms.

Extensive model tests were conducted at the Offshore Model Basin in Escondido, California during June and July of 1998. A scale of 1/48.73 was selected and models representing platforms of 600 x 400 and 200 x 1200 feet in prototype scale were constructed. Tests were conducted with the models constrained (fixed to a truss spanning the basin) and free floating. Several air exchange (manifold) configurations were studied. 30 wave sets, with periods from 6 to 20 seconds, wave lengths from 180 to 2050 feet and wave heights from 3.5 to 68 feet, all in prototype scale, were used. Installed sensors measured cylinder air pressure, water pressure at the base of the model, wave height within the cylinders, motion of the models in 6-degrees of freedom and the forces exerted by the model on the supporting truss.

Image IPB

Although the air pressure was not scaled, these tests were designed to study the performance of a PSP when all cylinders were active, i.e., able to exchange air. The test data showed the wave attenuation to be very rapid; the height of the waves being significantly reduced after passing but a few cylinders. Further, the data clearly established the relationship between the air distribution, wave attenuation and platform motion.

The rapid attenuation indicates that the largest hydrodynamic loads will be confined to areas near the perimeter of the platform, which is expected to ease its structural requirements. It also suggests that the focus on air handling and energy conversion will be in cylinders near the perimeter of the platform and that the central areas of large platforms can be constructed more economically.

Image IPBThe runways rotate by power propellers turning the runways into the wind direction.

http://www.noort-innovations.nl/RFAindex.htm

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En général on craint les mouvements des surface libre - transfert de masse, ca peut etre controlé par des amortisseurs de flux m'enfin ... - et la fiabilité du circuit pneumatique.

Quant au cout ... je vois pas trop pourquoi des flotteurs ouvert serait bien moins cher que des flotteur fermé a techno équivalente ... on construit des flotteur béton depuis des dizaine d'année sans souci, simplement c'est plus facile d'assembler de la férraille en travaux maritime, donc on garde la construction béton pour les gros modele, quand le béton devient plus rentable malgré les problemes d'étanchétité - lié a la fissuration -.

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pour pousser le bouchon encore plus loin : =D

"Unsinkable aircraft carrier"

From Wikipedia, the free encyclopedia

Aerial view of the American airstrip on Enewetak atoll, a quintessential "unsinkable aircraft carrier".

An unsinkable aircraft carrier is a term sometimes used to refer to a geographical or political island that is utilized to extend the power projection of a military force. Because such an entity is capable of acting as an airbase and is a physical landmass incapable of being destroyed, it is, in effect, an aircraft carrier that cannot be sunk.

Image IPB

The term unsinkable aircraft carrier first arose during World War II, to describe the islands and atolls in the Pacific Ocean which became strategically important as potential airstrips for American bombers in their transoceanic war against Japan. To this end, the U.S. military engaged in numerous island hopping operations to oust the occupying Japanese forces from such islands; afterwards the U.S. Navy Seabees would often have to construct airstrips there from scratch - sometimes over entire atolls - quickly, in order to support the air operations against Japan.

The British Isles during World War II, Taiwan since the Chinese Civil War, and Japan during the Cold War have all been considered unsinkable aircraft carriers in regards to United States military forces.[1][2] In 1983, Japanese Prime Minister Yasuhiro Nakasone pledged to make Japan an "unsinkable aircraft carrier in the Pacific", assisting the U.S. in defending against the threat of Soviet bombers.[3][4]

En poussant la métaphore : un ilot artificiel comme Eden Island, bati sur des comblements au large de l'ile de Mahé, Seychelles, pourrait être une forme moderne de "PA incoulable".

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En général on craint les mouvements des surface libre - transfert de masse, ca peut etre controlé par des amortisseurs de flux m'enfin ... - et la fiabilité du circuit pneumatique.

Quant au cout ... je vois pas trop pourquoi des flotteurs ouvert serait bien moins cher que des flotteur fermé a techno équivalente ... on construit des flotteur béton depuis des dizaine d'année sans souci, simplement c'est plus facile d'assembler de la férraille en travaux maritime, donc on garde la construction béton pour les gros modele, quand le béton devient plus rentable malgré les problemes d'étanchétité - lié a la fissuration -.

Vu la vitesse de déplacement de mes PSP en béton armé je préfère alors faire du surf avec mes plateformes semi submersible en mode catamaran ... en plus yen a plein de braderie dans le golfe du mexique...

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  • 2 months later...

Les nouveaux pontons pour les fremm donnent une idée du coût réduit des flotteurs en béton puisqu'on arrive à 168 m€ pour une structure de 12 pontons pour une surface de 640m  x 51 m

Combien de nouveaux pontons ?

Au nombre de deux, réalisées en béton armé, les nouvelles lignes d'accostage consisteront chacune en un ponton unique de 160 mètres de long sur 17 de large, d'un déplacement de 8 500 t, amarré par huit chaînes, d'une part au quai des Flottilles, d'autre part à un caisson-musoir de 14 m de diamètre reposant au fond de l'eau et positionné côté rade.

Qui les réalisera ?

Le contrat d'un montant de 28 millions d'euros a été confié à un groupement d'entreprises réunissant les sociétés de travaux publics Charier, Semen TP, Demathieu et Bard, le bureau d'étude Ingerop et DCNS pour la partie maintenance. Chargé de conduire le projet, le Service des infrastructures de la Défense (ex-Travaux maritimes) avait lancé une procédure d'achat innovante. Les entreprises devaient proposer des solutions techniques permettant de répondre au mieux au besoin exprimé.

Qu'ont-ils d'original ?

Les nouveaux appontements présentent une conception originale. Ils auront deux niveaux. Le trafic routier et piéton transitera par le pont supérieur, accessible depuis la terre par une passerelle de 30 m. Deux poids lourds et une grue pourront stationner simultanément sur ce pont supérieur. Les lamaneurs chargés des manoeuvres d'accostage opéreront à partir du pont inférieur. C'est aussi par le pont inférieur que passeront les canalisations de fluides et les réseaux d'énergie.

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Les nouveaux pontons pour les fremm donnent une idée du coût réduit des flotteurs en béton puisqu'on arrive à 168 m€ pour une structure de 12 pontons pour une surface de 640m  x 51 m

Combien de nouveaux pontons ?

Au nombre de deux, réalisées en béton armé, les nouvelles lignes d'accostage consisteront chacune en un ponton unique de 160 mètres de long sur 17 de large, d'un déplacement de 8 500 t, amarré par huit chaînes, d'une part au quai des Flottilles, d'autre part à un caisson-musoir de 14 m de diamètre reposant au fond de l'eau et positionné côté rade.

Qui les réalisera ?

Le contrat d'un montant de 28 millions d'euros a été confié à un groupement d'entreprises réunissant les sociétés de travaux publics Charier, Semen TP, Demathieu et Bard, le bureau d'étude Ingerop et DCNS pour la partie maintenance. Chargé de conduire le projet, le Service des infrastructures de la Défense (ex-Travaux maritimes) avait lancé une procédure d'achat innovante. Les entreprises devaient proposer des solutions techniques permettant de répondre au mieux au besoin exprimé.

Qu'ont-ils d'original ?

Les nouveaux appontements présentent une conception originale. Ils auront deux niveaux. Le trafic routier et piéton transitera par le pont supérieur, accessible depuis la terre par une passerelle de 30 m. Deux poids lourds et une grue pourront stationner simultanément sur ce pont supérieur. Les lamaneurs chargés des manoeuvres d'accostage opéreront à partir du pont inférieur. C'est aussi par le pont inférieur que passeront les canalisations de fluides et les réseaux d'énergie.

Déjà posté là où ça a une raison d'être... (pas ici donc)

@+, Arka

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Déjà posté là où ça a une raison d'être... (pas ici donc)

@+, Arka

Bah ! Il faut lire avant de répondre a la va vite

"Les nouveaux pontons pour les fremm donnent une idée du coût réduit des flotteurs en béton puisqu'on arrive à 168 m€ pour une structure de 12 pontons pour une surface de 640m  x 51 m"

ce qui correspondrait à une petite Mobile Offshore Base qui serait finançable sur le budget infrastructure en plus...

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Bah ! Il faut lire avant de répondre a la va vite

"Les nouveaux pontons pour les fremm donnent une idée du coût réduit des flotteurs en béton puisqu'on arrive à 168 m€ pour une structure de 12 pontons pour une surface de 640m  x 51 m"

ce qui correspondrait à une petite Mobile Offshore Base qui serait finançable sur le budget infrastructure en plus...

AVec une explicatrion de ton propos, ça va mieux, sans ça, ça reste une news n'ayant aucun rapport avec le sujet.

Mais ces caissons ne sont pas conçus pour tenir en mer, ils restent ancrés dans un port...

@+, Arka

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Pour la construction en béton c'est pour une SEA BASE

un truc de plus de 500 000 T (je dis ça au pif)

Moins rapide qu'un GAN mais qui peut rester sur zones beaucoup plus longtemps

Sans catapultes et brins, possibilité de recevoir des A400M, A70 sylver.

Avec un radier, cela fera plusieurs missions.

Le problème c'est où construire un tel monstre (Saint-Nazaire forme d'armement 450 mX95m ) ?

Rentrerait'il  dans le port de Toulon ou de Brest ?

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Pour la construction en béton c'est pour une SEA BASE

un truc de plus de 500 000 T (je dis ça au pif)

Moins rapide qu'un GAN mais qui peut rester sur zones beaucoup plus longtemps

Sans catapultes et brins, possibilité de recevoir des A400M, A70 sylver.

Avec un radier, cela fera plusieurs missions.

Le problème c'est où construire un tel monstre (Saint-Nazaire forme d'armement 450 mX95m ) ?

Rentrerait'il  dans le port de Toulon ou de Brest ?

le seul impératif est la largeur : la mob doit être suezmax soit 70 m de large

http://fr.m.wikipedia.org/wiki/Suezmax?wasRedirected=true

concernant la longueur il s'agit d'assembler des segments

et il y a eu pas mal de papiers scientiques et d'étude sur l'accouplage d'element de mob dans les années 2001 environ, certes plus sur les mob en acier

Mais les calculs de résistance aux vagues restent valables

@arka

j'ai cité ces caissons pour Fremm afin d'avoir un exemple de prix de structure en béton

Pour le grand large , on partirait davantage sur une structure de type terminal gazier flottant en béton :

concrete floating LNG FRSU pour les accros de google

et si vraiment mes éléments unitaires pneumatiques PSP ci dessous ne vous plaisent pas :

pourtant un projet prévoyait de les utiliser en merdu nord pour faire un aéroport flottant : pas si mal que cela comme résistance à la mauvaise mer...

Par contre si on le fait financer sur le budget infrastructure comme une vulgaire base en béton, il est hors de question de lui faire faire la tournée des ports comme un vulgaire

navire...

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  • 2 months later...

Selon certaines sources, la compagnie française aurait vendu les porte-conteneurs CMA CGM Bizet, CMA CGM Debussy et CMA CGM Ravel. Ces navires auraient été cédés à l'armateur Embirikos pour 35 millions de dollars chacun. Construits en 2001, les Bizet et Debussy mesurent 300 mètres de long et affichent une capacité de 6627 EVP.

35 m$ la coque de 300 m de long sur 40 env de large âgée de 9 ans

cela ne fait pas cher la base de travail...

Voire que les très grande coques autour de 360-400 m seront autour de 50 m$ en occaz bientôt ...

Image IPB

ensuite yapluska raboter le château pour avoir un pont continu de 360 -400 m

Si on a 250 m$ de coques+modif , cela laisse de la marge pour une électronique de combat à intégrer... ;)

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http://www.marine-marchande.net/Flotte/A-E/CMACGM-Bizet.htm

CMA CGM BIZET

Port en lourd 80.250 t

Longueur 300,25 m

Vitesse : 25,9 nds

Largeur 40,30 m

Le CDG

Dimensions

Longueur h.t. : 261,5 m

Largeur : 64,36 m

Déplacement : 42 500 tonnes pleine charge

Déplac. moyen : 40 000 t

c'est une bonne base de travail mais le plus cher c'est l'équipement  pour un PA

ou une seaBase

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Hé hé hé

on mettra quoi dessus ?

des MV 22, des EH 101, des CH 53 K et last but not least des F 35 B

si on a pas de ronds on mettra des NH 90 et des Tigre voir des Pumas

Un groupe aérien embarqué = le "prix" du PA

Dans le cas qui VOUS occupe c'est de l'ordre de 4 à 6 fois le prix du porteur

Donc à vos 250 patates vous êtes priés de rajouter le prix des jouets qui vont dessus, si c'est pour accueillir ce que l'on a déjà le Mistral fait çà très bien

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