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de charybide en scylla...du cancer au sida ils sont totalement suicidaires ces dirigeants d'entreprise, le coup des copeaux de titane laissés à côté des cablages NON MAIS ALLO QUOI. Virez moi toute cette équipe sans indemnité et engagez des gens compétents

à moins que ce soit un coup des russes ou des iraniens sait-on jamais

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Il y a 1 heure, kalligator a dit :

à moins que ce soit un coup des russes ou des iraniens sait-on jamais

Ou des chinois?
Ou du deep state?
Ou simplement des élites "naturelles" américaines qui depuis des décennies ne savent rien faire à part de la merde, par avarice et règne sans partage du pognon dans un pays qui pourtant n'a jamais été aussi bien portant que quand il taxait les riches à 90%?

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Il y a 2 heures, Patrick a dit :

Ou des chinois?
Ou du deep state?
Ou simplement des élites "naturelles" américaines qui depuis des décennies ne savent rien faire à part de la merde, par avarice et règne sans partage du pognon dans un pays qui pourtant n'a jamais été aussi bien portant que quand il taxait les riches à 90%?

Ca tiendra tant que les élites us peuvent racketer le reste du monde grâce au dollar. Si celui-ci flanche il faudra racketer leur classe moyenne.

Modifié par herciv
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Le Boeing 737 MAX entrevoit le bout du tunnel

https://www.lepoint.fr/economie/le-boeing-737-max-entrevoit-le-bout-du-tunnel-18-11-2019-2348085_28.php

Citation

 

Boeing a voulu éviter à tout prix l'arrêt, même temporaire, de la production du 737 MAX, car cela aurait été une mise à mort de certains fournisseurs qui n'ont pas la trésorerie disponible pour résister à un tel séisme. Outre la crise de confiance, le redémarrage ultérieur de la ligne de production aurait été très long, voire impossible.

Pour dégager de la place (et des dollars), Boeing aimerait bien être autorisé dans un premier temps à livrer les compagnies aériennes, ce qui n'est pas synonyme de remise en vol commercial. Cela permettrait de délocaliser les opérations techniques nécessaires avant la remise en service sur les aéroports des hubs des clients pour éviter une concentration sur l'État de Washington autour des usines Boeing. En même temps, la livraison est synonyme de transfert de propriété, donc de paiement du solde du prix…

 

 

Comment un passager peut-il identifier un Boeing 737 MAX ?

https://www.lepoint.fr/economie/comment-un-passager-peut-il-identifier-un-boeing-737-max-13-03-2019-2300406_28.php

Citation

 

On peut éviter de voler en Boeing 737 MAX, déjà en recherchant dans les horaires d'avion et sur les sites de vente des compagnies aériennes quel modèle d'avion est proposé. C'est rarement inscrit en clair, mais voici les codes OACI et IATA qui permettent de les identifier. Le code OACI (aviation civile internationale) est utilisé essentiellement pour les opérations aériennes (plan de vol, circulation aérienne), mais aussi sur le site flightradar de suivi des vols alors que le code IATA (association des compagnies aériennes) apparaît dans les transactions commerciales.

Dans l'ordre, nom donné par le constructeur, code OACI, code IATA :

Boeing 737 MAX 7; B37M; 7M7

Boeing 737 MAX 8, B38M, 7M8

Boeing 737 MAX 9, B39M, 7M9

Boeing 737 MAX 10, B3JM, 7MJ

 

 

Modifié par Picdelamirand-oil
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FAA engineers objected to Boeing's removal of some 787 lightning protection measures

FAA managers approved removal of a feature in the Boeing Dreamliner's wings that was designed to protect the jet from lightning, despite objection from within the agency. How that happened will be scrutinized Wednesday as the FAA chief testifies before a House panel also examining the agency's regulatory performance regarding the 737 MAX.

Modifié par Picdelamirand-oil
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Boeing Slides After FAA Chief Says 737 MAX Won't Return This Year

Traduit avec www.DeepL.com/Translator (version gratuite)

https://www.zerohedge.com/health/boeing-slides-after-faa-chief-says-737-max-wont-return-year

Il y a exactement un mois, l'action de Boeing a grimpé en flèche en dépit des bénéfices lamentables de l'entreprise parce qu'elle prétendait que les livraisons de 737 MAX "pouvaient" reprendre en décembre. Nous nous sommes moqués du faux grand titre de l'époque pour la simple raison que non seulement la MAX ne reviendrait pas cette année, mais qu'il ne reviendra peut-être jamais maintenant que Boeing a vu la confiance des consommateurs anéantie après qu'ils eurent constatés qu'il avait fait passer le résultat net avant la sécurité des passagers.

Eh bien, il y a quelques instants, l'indice Dow Jones a chuté lorsque les actions de Boeing - de loin son membre le plus influent - ont chuté de 1 % après que l'administrateur de la FAA, Stephen Dickson, eut déclaré à CNBC que le calendrier de Boeing n'était pas celui de la FAA et que la certification MAX serait prolongée en 2020, de sorte que l'avion ne serait pas remis en service cette année.

Comme on pouvait s'y attendre, l'action BA s'est effondrée même si le mouvement a été beaucoup moins important que son bond du 11 novembre sur la rumeur maintenant réfutée que le MAX allait revenir.

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Il y a une raison à la prudence de la FAA : plus tôt aujourd'hui, le WSJ a rapporté que les régulateurs américains ont décidé de permettre au 737 MAX de continuer à voler après son premier accident mortel l'automne dernier, malgré leur propre analyse " indiquant qu'il pourrait devenir l'un des avions de ligne les plus sujets aux accidents depuis des décennies sans changement de conception ".

L'analyse interne de la Federal Aviation Administration de novembre 2018, qui devrait être publiée mercredi lors d'une audience d'un comité de la Chambre, révèle que sans l'intervention de l'agence, le MAX aurait pu avoir un accident mortel en moyenne tous les deux ou trois ans environ, selon les représentants de l'industrie et les autorités réglementaires. Cela représente un risque pour la sécurité beaucoup plus grand que celui que Boeing Co. ou l'agence avait indiqué publiquement à l'époque.

L'évaluation et les documents connexes soulèvent de nouvelles questions sur la prise de décision de la FAA à la suite de l'écrasement de Lion Air en Indonésie, ainsi que sur ce qui s'est avéré être des hypothèses erronées de l'agence sur les moyens de réduire les dangers.

L'intervention de la FAA s'est avérée inadéquate après un second accident MAX mortel, cette fois en Éthiopie, qui a mis la flotte mondiale au sol et déclenché une controverse internationale sur la surveillance de la sécurité par l'agence.

Et comme l'indignation du public ne manquera pas de revenir à la FAA et à Boeing, on peut oublier la remise en service du 737 MAX rapidement, et peut-être même à tout moment.

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Il y a 2 heures, Picdelamirand-oil a dit :

Boeing Slides After FAA Chief Says 737 MAX Won't Return This Year

Traduit avec www.DeepL.com/Translator (version gratuite)

https://www.zerohedge.com/health/boeing-slides-after-faa-chief-says-737-max-wont-return-year

Comme on pouvait s'y attendre, l'action BA s'est effondrée même si le mouvement a été beaucoup moins important que son bond du 11 novembre sur la rumeur maintenant réfutée que le MAX allait revenir.

BA%2012.11.jpg?itok=qcR9XKzS

 

Je n’ai pas l’information et je ne vais pas aller la chercher, mais en matière de bourse, je suis toujours aussi surpris de voir que l’on donne toujours une cotation mais jamais le volume des titres échangés.
Or, c’est la seule façon de savoir s’il s’agit d’un mouvement de fond ou bien juste d’un soubresaut passager avec très peu d’échanges d’actions.

La seule valeur de la hausse ou de la baisse est nécessaire mais non suffisante pour commencer l’analyse d’un mouvement boursier.

Modifié par TarpTent
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LES PASSAGERS NE SONT PAS ENCORE PRÊTS À EMBARQUER DANS UN BOEING 737 MAX

https://www.capital.fr/entreprises-marches/les-passagers-ne-sont-pas-encore-prets-a-embarquer-dans-un-boeing-737-max-1357752

Citation

Le chemin est encore long pour Boeing afin de regagner la confiance des passagers. D'après une enquête menée par Bank of America, seulement 20% des consommateurs estiment que le 737 MAX est sans danger. Environ 20% des 2.135 personnes interrogées seraient prêtes à prendre l'avion dès qu'il sera de nouveau autorisé à voler, tandis qu'environ 60% des gens prenant l'avion préféreraient attendre au moins six mois avant d'embarquer dans l'appareil, détaille le document consulté par l'AFP.

 

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Imminent shutdown is tough news for Boeing's Renton workforce

A person close to Boeing's top management says the company will transfer some of the people who work in Renton to other production facilities in the region. However, the other facilities don't have the capacity to absorb all the Renton workers, and thousands of layoffs are likely.

 

J'ai utilisé tous mes droits à lecture gratuite et donc je n'ai plus accès à l'article complet

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il y a 9 minutes, Picdelamirand-oil a dit :

Imminent shutdown is tough news for Boeing's Renton workforce

A person close to Boeing's top management says the company will transfer some of the people who work in Renton to other production facilities in the region. However, the other facilities don't have the capacity to absorb all the Renton workers, and thousands of layoffs are likely.

 

J'ai utilisé tous mes droits à lecture gratuite et donc je n'ai plus accès à l'article complet

I got you sir!

 

Shutdown likely at Boeing Renton as 737 MAX crisis extends

Dec. 15, 2019 at 4:29 pm Updated Dec. 15, 2019 at 6:59 pm

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Ahead of the Christmas break, the imminent shutdown is tough news for Boeing’s workforce at Renton, the final assembly facility for all Boeing... (Mike Siegel / The Seattle Times) More 

 

 By Dominic Gates 

Seattle Times aerospace reporter

 

The Boeing board is weighing a proposal from top management to temporarily shut down 737 production in Renton, with an announcement likely either after the financial markets close Monday or early Tuesday, according to a person close to the decision makers, who are meeting Sunday and Monday in Chicago.

It’s likely Boeing will stop 737 MAX production this week or next and keep the assembly lines closed until the Federal Aviation Administration (FAA) clears the jet to return to commercial service, which is currently expected around mid-February or early March, the person said.

“It depends on the return to service. How long is that going to take? Is it 60 days? Probably,” the person said. “You can only build them for so long without delivering.”

Ahead of the Christmas break, the imminent shutdown is tough news for Boeing’s Renton workforce, though not unexpected nine months into the grounding of the MAX and shortly after government officials telegraphed that it’s likely to extend to almost a year.

The person close to the discussions said Boeing intends to do what it can to have “as little impact on employees as possible.” He said the company will transfer some of the roughly 12,000 people who work in Renton to other production facilities in the region, including the Auburn parts plant and the Everett widebody jet plant.

However, the other facilities don’t have the capacity to absorb all of the Renton workers, and a substantial number of furloughs are likely, though perhaps beginning only after the normal holiday break for Christmas and New Year’s, which typically runs from Christmas Eve through New Year’s Day.

 

Last week, FAA Administrator Steve Dickson pushed out approval for the MAX to fly passengers again into next year, and then told Boeing CEO Dennis Muilenburg in a meeting in Washington, D.C., to dial down public statements suggesting a return to service was imminent.

Privately, officials identified mid-February as the new target for FAA clearance, assuming no further slips in the schedule.

The safety agency has not yet completed its review of the software fix Boeing developed for the new flight control system that activated erroneously on the two MAX crash flights and repeatedly forced the down the nose of each of the jets.

In addition, both the FAA and foreign regulators are assessing how pilots will handle the changes to the flight control systems and what training will be required before a pilot can fly the jet with passengers aboard.

Muilenburg had said in October that a production stoppage or a further cut in the production rate could be necessary if the FAA approval process for a return to service extended into 2020.

More than 800 MAX aircraft are now grounded worldwide. About 500 of those built since the grounding are parked around the Seattle area and at Moses Lake in Eastern Washington, undeliverable for now.

 

It’s unclear if Boeing will continue production of the 737-based Navy anti-submarine plane, the P-8, which is built on a separate assembly line in Renton and based on a model preceding the MAX. However, that is a low-production line, rolling out just one or two planes a month.

The MAX had been produced at a rate of 52 jets per month until the plane was grounded, and since then was cut back to 42 jets per month.

The impact of a MAX shutdown would  ripple out through Boeing’s 737 supply chain and would idle aerospace workers across the nation and internationally.

Among the most affected suppliers is Spirit AeroSystems of Wichita, Kansas, which assembles the MAX fuselages and sends them to Renton by train.

Once production is slowed or stopped, it’s not easy to ramp up again. For that reason, since the grounding in March, Spirit has continued to maintain the pregrounding build rate of 52 fuselages a month even though Boeing was accepting only 42 per month.

That has meant fuselages stacking up in Wichita even as completed jets stacked up in Washington state. A complete halt in Renton will likely force a halt in Wichita.

Another big supplier is CFM International, a joint venture between GE and Safran of France, which builds the jet’s new LEAP engines at facilities around the U.S.

Smaller suppliers could potentially be even more affected.

In the currently booming U.S. job market, a small supplier that has to lay off workers for as long as 60 days is likely to lose those employees as they find work elsewhere. That means hiring and training new people in order to bring production back up.

A shutdown would also amplify the financial impact of the grounding on Boeing.

 

While production is stopped, many fixed overhead costs continue. Because Boeing’s costs during any shutdown period will be spread over many fewer aircraft than previously projected, it’s likely the company would have to announce another big accounting write-off when it reports its quarterly earnings in January.

Through October, Boeing had already projected $2.7 billion in extra costs due to the previous 20% production cut, in addition to a $5.6 billion write-off to cover compensation to suppliers and customers.

Even though a shutdown was somewhat anticipated, the stock may take a hit on Monday.

 

There are also broader impacts: Boeing is the country’s largest exporter, and the inability to deliver 737 MAXs to overseas airlines has already widened the 2019 trade deficit. As the U.S. heads into a presidential election year, job losses from a production shutdown will heighten political concern and  possibly add to pressure on the FAA to speed up its review of the MAX.

The current discussions around weighing a Renton shutdown were first reported Sunday by the Wall Street Journal.

Boeing had no comment Sunday, and simply repeated a statement sent out Thursday that “we will continue to assess production decisions based on the timing and conditions of return to service.”

 

Dominic Gates: 206-464-2963 or dgates@seattletimes.com; on Twitter: @dominicgates.

Modifié par Patrick
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Arrêt probable chez Boeing Renton en raison de la prolongation de la crise du 737 MAX

Mise à jour 15 déc. 2019 à 18 h 59

Avant la pause de Noël, la fermeture imminente est une dure nouvelle pour les employés de Boeing à Renton, l'usine d'assemblage final de tous les Boeing.... (Mike Siegel / The Seattle Times) 

Par Dominic Gates  (Le journaliste du Seattle Times sur l'aérospatiale)

Le conseil d'administration de Boeing évalue une proposition de la haute direction d'arrêter temporairement la production du 737 à Renton, avec une annonce probable après la fermeture des marchés financiers lundi ou mardi matin, selon une personne proche des décideurs, qui se réunissent dimanche et lundi à Chicago.

Il est probable que Boeing arrêtera la production du 737 MAX cette semaine ou la semaine prochaine et maintiendra les chaînes de montage fermées jusqu'à ce que la Federal Aviation Administration (FAA) autorise le retour en service commercial de l'avion, qui est actuellement prévu vers la mi-février ou début mars, selon la personne.

"Cela dépend de la remise en service. Combien de temps ça va prendre ? C'est 60 jours ? Probablement," dit la personne. "On ne peut pas les construire si longtemps sans les livrer."

Avant la pause de Noël, la fermeture imminente est une dure nouvelle pour le personnel de Boeing Renton, même si elle n'est pas inattendue neuf mois après l'échouement de la MAX et peu après que les représentants du gouvernement aient télégraphié qu'elle pourrait se prolonger jusqu'à presque un an.

La personne proche des discussions a déclaré que Boeing a l'intention de faire ce qu'elle peut pour avoir "le moins d'impact possible sur les employés". Il a indiqué que l'entreprise transférera une partie des quelque 12 000 personnes qui travaillent à Renton vers d'autres installations de production de la région, y compris l'usine de pièces d'Auburn et l'usine d'avions à réaction Everett.

Cependant, les autres installations n'ont pas la capacité d'absorber tous les travailleurs de Renton, et il est probable qu'un nombre important de congés soient pris, bien qu'ils ne commencent peut-être qu'après les vacances normales de Noël et du Nouvel An, qui vont généralement de la veille de Noël au jour de l'An.

La semaine dernière, l'administrateur de la FAA, Steve Dickson, a poussé l'approbation pour que le MAX puisse de nouveau transporter des passagers l'an prochain, puis a dit au PDG de Boeing, Dennis Muilenburg, lors d'une réunion à Washington, d'annuler les déclarations publiques indiquant qu'un retour en service était imminent.

Dans le secteur privé, les fonctionnaires ont désigné la mi-février comme la nouvelle cible pour l'autorisation de la FAA, en supposant qu'il n'y ait pas d'autres retards dans le calendrier.

L'agence de sécurité n'a pas encore terminé son examen du correctif logiciel que Boeing a mis au point pour le nouveau système de commandes de vol qui s'est déclenché par erreur lors des deux vols d'écrasement MAX et qui a fait descendre le nez de chacun des jets à plusieurs reprises.

De plus, la FAA et les organismes de réglementation étrangers évaluent la façon dont les pilotes réagiront aux changements apportés aux systèmes de commandes de vol et la formation requise avant qu'un pilote puisse piloter le jet avec des passagers à son bord.

Muilenburg avait déclaré en octobre qu'un arrêt de production ou une nouvelle réduction du taux de production pourrait être nécessaire si le processus d'approbation de la FAA pour une remise en service se prolongeait jusqu'en 2020.

Plus de 800 avions MAX sont maintenant cloués au sol dans le monde entier. Environ 500 de ceux qui ont été construits depuis l'échouement sont stationnés dans la région de Seattle et au lac Moses, dans l'est de l'État de Washington, et ne peuvent être livrés pour le moment.

Il n'est pas certain que Boeing poursuivra la production de l'avion anti-sous-marin de la Marine basé au 737, le P-8, qui est construit sur une chaîne de montage séparée à Renton et basé sur un modèle précédent le MAX. Cependant, il s'agit d'une ligne à faible production, qui ne déploie qu'un ou deux avions par mois.

Le MAX avait été produit à un rythme de 52 jets par mois jusqu'à ce que l'avion soit immobilisé au sol, et depuis, il a été réduit à 42 jets par mois.

L'impact d'un arrêt MAX se répercuterait sur la chaîne d'approvisionnement du 737 de Boeing et ralentirait les travailleurs de l'aérospatiale à l'échelle nationale et internationale.

Parmi les fournisseurs les plus touchés figure Spirit AeroSystems de Wichita, au Kansas, qui assemble les fuselages MAX et les envoie à Renton par train.

Une fois que la production est ralentie ou arrêtée, il n'est pas facile de la reprendre. Pour cette raison, depuis l'échouement en mars, Spirit a continué de maintenir le taux de construction de 52 fuselages par mois, alors que Boeing n'en acceptait que 42 par mois.

Cela signifie que les fuselages se sont empilés à Wichita alors même que les avions à réaction ont été empilés dans l'État de Washington. Un arrêt complet à Renton forcera probablement un arrêt à Wichita.

Un autre gros fournisseur est CFM International, une joint-venture entre GE et Safran (France), qui construit les nouveaux moteurs LEAP de l'avion dans des installations situées aux États-Unis.

Les petits fournisseurs pourraient être encore plus touchés.

Dans le marché de l'emploi américain, qui est actuellement en plein essor, un petit fournisseur qui doit licencier des travailleurs pour une période pouvant aller jusqu'à 60 jours risque de perdre ces employés alors qu'ils trouvent du travail ailleurs. Cela signifie qu'il faut embaucher et former de nouvelles personnes afin de relancer la production.

Un arrêt d'exploitation amplifierait également l'impact financier de l'échouement sur Boeing.

Pendant que la production est arrêtée, de nombreux frais généraux fixes persistent. Étant donné que les coûts de Boeing au cours de toute période d'arrêt seront répartis sur beaucoup moins d'appareils que prévu, il est probable que l'entreprise devra annoncer une autre importante radiation comptable lorsqu'elle présentera ses résultats trimestriels en janvier.

Jusqu'en octobre, Boeing avait déjà prévu des coûts supplémentaires de 2,7 milliards de dollars en raison de la réduction précédente de 20 % de la production, en plus d'une radiation de 5,6 milliards de dollars pour couvrir les indemnités versées aux fournisseurs et clients.

Même si une fermeture était quelque peu anticipée, le titre pourrait être touché lundi.

Il y a aussi des impacts plus larges : Boeing est le plus grand exportateur du pays, et l'incapacité de livrer 737 MAX aux compagnies aériennes étrangères a déjà creusé le déficit commercial de 2019. Alors que les États-Unis s'apprêtent à entrer dans une année d'élections présidentielles, les pertes d'emplois dues à l'arrêt de la production vont exacerber les préoccupations politiques et peut-être accroître la pression sur la FAA pour accélérer son examen de la MAX.

Les discussions actuelles sur la pesée d'une fermeture de Renton ont d'abord été rapportées dimanche par le Wall Street Journal.

Boeing n'a fait aucun commentaire dimanche, et a simplement répété une déclaration envoyée jeudi que "nous continuerons à évaluer les décisions de production en fonction du calendrier et des conditions de remise en service".

Traduit avec www.DeepL.com/Translator (version gratuite)


 

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il y a une heure, Picdelamirand-oil a dit :

les pertes d'emplois dues à l'arrêt de la production vont exacerber les préoccupations politiques et peut-être accroître la pression sur la FAA pour accélérer son examen de la MAX.

Oui mais si la FAA ne rejete pas ces pression ce sont les régulateurs internationaux qui prendront la relève. Et la FAA prendra le statut de vilain petit canard non fiable.

Donc j'y crois pas trop.

C'est le premier article vraiment alarmiste sur les conséquence d'un arrêt de la production du MAX pour Boeing avec en plus des conséquences pour le P-8 !!!!

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