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il y a 3 minutes, Patrick a dit :

Je les avais oubliés. Pourquoi penses-tu à eux? Qu'ont-ils de plus que les autres?

La volonté stratégique. BAE a besoin de consolider ses positions aux US voir de redéployer totalement ses moyens là-bas.

Sans parler de l'acquisition d'un BE performant pour le tempest.

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il y a 1 minute, kender79 a dit :

Pourquoi berkshire hathaway?

ils ont du cash, ils aiment les boites avec une vrai expertise métier.

par contre le management prendra cher.

S'ils acquièrent Boieng pour au moins 60 mds de U $, ce sera la plus grosse transaction de leur histoire (44mds $ pour la dernière) et peut-être la seule de l'année, en laissant échapper plein d'autres opportunités peut-être plus rentables.

=>2018 

Valorisation 525,03 milliards US$ 

Fonds propres 239,085  milliards US$ 

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il y a 15 minutes, kender79 a dit :

Pourquoi berkshire hathaway?

ils ont du cash, ils aiment les boites avec une vrai expertise métier.

par contre le management prendra cher.

Oui mais Boeing reste une société stratégique pour les US. Je pense que le gvt US prefèrera l'adosser à une autre société du secteur. BAE présente l'intérêt d'avoir un pied en Europe et d'être sur le développement d'une alternative 6 gen à ce que pourra présenter LM. Bref l'éternelle concurrence LM/BOEING sera maintenu.

il y a 18 minutes, Benoitleg a dit :

S'ils acquièrent Boieng pour au moins 60 mds de U $, ce sera la plus grosse transaction de leur histoire (44mds $ pour la dernière) et peut-être la seule de l'année, en laissant échapper plein d'autres opportunités peut-être plus rentables.

Encore une fois acquérir BOEING sans injecter 60 milliard en plus ça sert à rien. EN gros il faut que tu disposes de 74 (valorisation actuelle) + 60 milliard à injecter. C'est pas donner à tout le monde donc normalement tu vas chercher un tour de table avec des partenaires qui vont te demander un retour sur investissment via des synergies et là tu reviens à ce que je disais avant. BOEING va chercher un partenaire sur un de ses métiers. A mon avis la défense. Prèt à lui racheter cette activité pour au minimum 30 milliard. Ces trentes milliard permettant ensuite d'obtenir un financement facile de 30 à 60 milliard par les banques qui vont demander les 30 milliard obtenu de la vente de l'activité défense en garantit.

Modifié par herciv
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Il y a 5 heures, herciv a dit :

BAE pour moi c'est à peu prêt la seule possibilité actuellement

perso je n'y croit pas une seconde, et cela au moins pour 3 raisons :

  1. le risque de se prendre un tas de plaintes d'usagers et de syndicats, comme nos amis chimistes allemands, avec des montants astronomiques
  2. le risque de se trouver sous sanctions et chantage américain de façon permanentes. De plus la technologie et le matériel qui sortira de chez Boing sera... américain donc soumis à restrictions au bon vouloir du Tocard des 2tats Unis
  3. le coté stratégique que représente Boing pour ce pays : satellites, tanker, chasseurs, équipements, ...
Modifié par rendbo
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Boeing plans 737 MAX production restart by May


Traduit avec www.DeepL.com/Translator (version gratuite)

Boeing prévoit de relancer la production du 737 MAX d'ici mai 

SEATTLE (Reuters) - Boeing Co <BA.N> prévoit de redémarrer la production du 737 MAX d'ici mai, mettant fin à un arrêt de plusieurs mois déclenché par une interdiction de sécurité de son avion à réaction le plus vendu après des accidents mortels, ont déclaré mardi des personnes connaissant bien le sujet.

La planification de Boeing dépend de l'ampleur des perturbations dues au coronavirus qui se propage rapidement, et des autorités américaines qui autorisent la remise en service du 737 MAX, une étape importante que Boeing prévoit toujours d'atteindre à la mi-2020.

Selon une source industrielle, Boeing a demandé à certains fournisseurs d'être prêts à livrer des pièces pour le 737 en avril. Une autre personne a déclaré que la production devait redémarrer en mai. Une troisième personne a dit que le coronavirus mettait un frein aux plans de Boeing - ils avaient initialement espéré pour avril, mais cela est tombé en mai.

"Ce sera une approche très lente, méthodique et systématique pour réchauffer la ligne et remettre les équipages en place", a déclaré Greg Smith, directeur financier de Boeing, à Reuters mardi, lorsqu'il a été interrogé sur l'objectif de redémarrage en mai.

"La priorité numéro 1 est de remettre en service les flottes des clients", a déclaré M. Smith, ajoutant qu'une augmentation de la production sera associée à l'élimination du retard de production MAX. "Nous ne voulons pas augmenter les stocks."

Boeing a arrêté la production de l'avion en janvier alors qu'il luttait pour obtenir les autorisations réglementaires et accumulait un arriéré de 400 avions non livrés.

La pandémie de coronavirus a fait voler en éclats la demande mondiale de voyages, a coûté la vie à des millions de personnes et a réduit la valeur marchande de Boeing de plusieurs milliards, aggravant une crise qui dure depuis un an à cause de l'immobilisation au sol du 737 MAX après les crashs en Éthiopie et en Indonésie qui ont fait 346 morts.

Boeing a déclaré lundi qu'il arrêterait la production dans ses installations de l'État de Washington, à partir de mercredi, pour réduire les risques de coronavirus.

Boeing a signalé des dizaines de cas dans ses installations de la région de Seattle, dont un grand nombre dans son hub d'Everett, au nord de Seattle. Un travailleur est mort du coronavirus, selon l'hommage rendu lundi par un ami sur Facebook.

Boeing a demandé à ses fournisseurs d'arrêter les expéditions vers ses installations de la région de Seattle et a gelé les embauches, entre autres mesures d'économie.

Boeing cherche à obtenir 60 milliards de dollars d'aide du gouvernement américain pour soutenir ses finances et la chaîne d'approvisionnement aérospatiale américaine en difficulté.

Boeing a profité de l'accalmie de la production pour réduire les inefficacités, améliorer la qualité et faciliter le retour de l'avion sur le marché.

 

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il y a 44 minutes, Picdelamirand-oil a dit :

Ouaip, action Boeing étant passée en une semaine ouvrée de 90 $ à 160 $ ... Tu as accès au contenu de l'article ? Parce que moi non...

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Révélation

Boeing to Emerge as Big Stimulus Winner

Aerospace giant’s customers and suppliers stand to benefit from government aid, even if Boeing declines direct taxpayer help

By Andrew Tangel and Doug Cameron

Updated March 27, 2020 5:54 pm

Boeing Co. is set to emerge as a big winner of the coronavirus stimulus package, even if the aerospace giant declines to seek direct taxpayer help. The company had lobbied for at least $60 billion for itself and its vast supplier network to blunt the blow of the pandemic that has paralyzed global airline travel and reduced demand for passenger aircraft. The prospect of canceled orders and airlines unable to take new planes added to the pressure on Boeing from the continuing crisis around the grounding since last year of its 737 MAX jets, which has already sent its debt soaring as it borrowed to compensate customers and support suppliers. The $2 trillion stimulus bill approved by Congress includes much of what it wanted: billions of dollars available for it and its supply chain, and billions more to its struggling airline customers to stay in business. “It’s important that the supply chain gets relief,” said Eric Fanning, chief executive of the Aerospace Industries Association, a trade group that counts Boeing among its members. “The most effective way to inject support is through its customers.” Whether Boeing will tap into stimulus money directly remains to be seen. Lawmakers set aside $17 billion in loans and loan guarantees directed at companies deemed essential to national security. Congressional officials and a senior U.S. aviation industry executive said the carve-out was partly aimed at Boeing.

Tapping that $17 billion pot would come with strings that Boeing Chief Executive David Calhoun has rejected. In particular, the loans would come with a condition that the U.S. government take an equity stake or warrants for shares in loan recipients. The government could instead take a senior debt position in recipients. “Right now, Boeing is saying they don’t need it,” U.S. Treasury Secretary Steven Mnuchin said Friday on Fox Business Network. He added: “I appreciate the fact that Boeing thinks they can operate on their own—that’s what we want them to do.” Earlier this week, Mr. Calhoun told the television network Boeing would rather secure private financing than give the government an equity stake. “If they forced it, we’d just look at all the other options, and we have got plenty,” he said. Mr. Calhoun said this week that Boeing had $15 billion in cash, and it still has access to a $9.6 billion loan facility.

A Boeing spokesman said Friday the company was considering all options for government aid, including a share of $454 billion of stimulus funds available to businesses across industries that don’t require the government taking an equity stake. U.S. Rep. Rick Larsen (D., Wash.), whose district includes Boeing’s Seattle-area operations, said the plane maker had lobbied against the equity-stake requirement, but lawmakers wanted to protect taxpayers. “If Boeing does take advantage of the program, it does help the workers and supplier network quite a bit,” said Mr. Larsen, who heads a key House aviation panel. Boeing shares, which had doubled this week, dropped 7% on Friday. Shares in its suppliers and U.S. airlines also fell sharply. The declines reverse gains earlier this week following the Senate’s passage of its stimulus plan. Whatever help Boeing might wind up seeking, President Trump has vowed to protect the Chicago-based manufacturer. It is widely regarded as too important to the nation’s economy and national defense for the government to allow it to fail. Boeing is the nation’s largest exporter and second-largest defense contractor. It supports thousands of smaller businesses that supply everything from aircraft fuselages and wings to cockpit electronics.

The company has declined to detail the components of the $60 billion it has been seeking. After the Senate passed its stimulus bill late Wednesday, Boeing praised the package, saying its liquidity boost was “critical for airlines, airports, suppliers, and manufacturers to bridge to recovery.” Faced with mounting financial strain, Boeing has suspended its dividend and has been considering potential layoffs. Executives have said they were working to avoid cutting or furloughing employees from its 65,000-worker commercial arm. Under the proposed stimulus plan, certain loan recipients must maintain at least 90% of their current workforce through Sept. 30, among other worker protections, eliciting praise from the International Association of Machinists and Aerospace Workers, which represents Boeing factory workers in the Seattle area.

Lindsay Wise and Siobhan Hughes contributed to this article.

 

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Opinion: Boeing’s 737 MAX problem is a symptom of another widespread illness plaguing Wall Street

Traduit avec www.DeepL.com/Translator (version gratuite)

Opinion : Le problème du Boeing 737 MAX est le symptôme d'une autre maladie répandue qui sévit à Wall Street

Les actions de Boeing ont presque doublé en quelques jours. Mais les actionnaires doivent encore faire face à la culture d'entreprise douteuse du géant de l'aérospatiale.

La BA de Boeing, -10,27% de culture interne a contribué au développement défectueux de ses 737 MAX (dont un s'est écrasé en décembre 2018 et un second en mars 2019). Beaucoup ont affirmé que la culture de Boeing a évolué, passant d'une culture dirigée par des ingénieurs soucieux de la sécurité à une culture dominée par des MBA dont l'objectif premier était l'ingénierie financière.

Pour cette chronique, je m'intéresse davantage aux raisons pour lesquelles la culture de Boeing a pu évoluer de cette manière. Bien que la plupart des gens reprochent aux dirigeants de Boeing d'en faire la promotion ou de laisser faire, ce n'est qu'une partie de l'histoire. La responsabilité incombe également à une communauté d'investisseurs de Wall Street qui exige une hausse rapide du cours de l'action avec une volatilité minimale.

L'ingénierie financière est le résultat naturel de la réponse à cette demande. Si nous attendons sérieusement des entreprises qu'elles ne privilégient pas les résultats à court terme au détriment de considérations à plus long terme comme la sécurité des avions de ligne, nous devons alors nous orienter moins vers le court terme. Nous devons donner aux entreprises une plus grande latitude pour se concentrer sur la maximisation de la valeur à long terme, même si cela implique de renoncer en cours de route à des résultats à court terme.

Si les actionnaires ne sont pas disposés à donner aux entreprises une plus grande marge de manœuvre, alors les entreprises ont besoin de structures de gouvernance qui leur permettent de résister aux exigences de Wall Street. Pourtant, ces structures sont souvent en contradiction avec ce qui permet à une entreprise d'obtenir une bonne note de "gouvernance" de la part des sociétés qui établissent les notations ESG. (Ces notations font référence aux performances des entreprises selon les dimensions de l'environnement, du social et de la gouvernance).

C'est parce que ces notations considèrent la réactivité aux actionnaires comme une vertu. Définir la bonne gouvernance de cette manière remonte au moins à un article désormais célèbre de 1986 du professeur Michael Jensen de la Harvard Business School, qui se concentrait sur le conflit d'intérêt fondamental entre les dirigeants d'entreprise et les actionnaires. Jensen affirmait que les dirigeants ont intérêt à ne pas verser de liquidités aux actionnaires, car cela "réduirait les ressources sous le contrôle des dirigeants, et donc leur pouvoir".

M. Jensen a favorisé des structures de gouvernance qui motivent les gestionnaires à "dégorger l'argent" des actionnaires, les propriétaires légitimes de cet argent. Le boom des rachats d'actions au cours des dernières décennies est en partie la conséquence de l'attention croissante portée aux droits des actionnaires et à la gouvernance d'entreprise.

À bien des égards, Boeing s'est comporté comme Wall Street le souhaitait.

C'est pourquoi il est injuste de blâmer exclusivement Boeing pour son changement de culture au cours des dernières décennies. À bien des égards, Boeing s'est comporté comme Wall Street le souhaitait. Il est facile de se moquer de la compagnie pour avoir décidé, six semaines seulement après le premier des deux crashs du 737 MAX, d'augmenter son dividende de 20 % et de porter son programme d'achat d'actions à 20 milliards de dollars. Mais ne faudrait-il pas aussi faire preuve de mépris envers les actionnaires qui voulaient un cours de bourse plus performant et la conviction que la réactivité envers les actionnaires est une marque de bonne gouvernance d'entreprise ?

Permettez-moi de souligner que je ne dispense pas les dirigeants de Boeing de leur responsabilité, qui est énorme. Mais nous ne pouvons pas espérer prévenir de futures tragédies si nous avons une mauvaise évaluation des causes sous-jacentes.

L'échec de la partie "G" des notations ESG

Cette discussion remet à son tour sérieusement en question la partie "G" des notations ESG. Dans les années qui ont précédé les crashs des avions à réaction 737 MAX, les agences de notation ESG ont pour la plupart donné à Boeing une note moyenne ou supérieure en matière de gouvernance d'entreprise. Aucun signal d'alarme n'a été émis concernant une culture d'entreprise qui pourrait privilégier les gains à court terme au détriment des préoccupations à plus long terme.

Gilbert Hedstrom n'est pas surpris. Il est propriétaire et fondateur de Hedstrom Associates, une entreprise qui consulte les dirigeants et les conseils d'administration des entreprises sur les questions de durabilité. Dans une interview, il m'a dit qu'il accordait "une confiance nulle à la partie G des notations ESG". En fait, a-t-il ajouté, ils devraient vraiment s'appeler des notations "ES" parce que, bien qu'ils fassent un travail décent en évaluant les aspects environnementaux et sociaux des actions d'une entreprise, ces notations "font juste un travail minable sur la gouvernance".

L'une des principales raisons de cette situation, selon M. Hedstrom, est qu'il est presque impossible pour des personnes extérieures de quantifier ce qui est vraiment important dans la gouvernance interne d'une entreprise. "Il n'y a que quelques éléments de gouvernance sur lesquels les évaluateurs posent des questions et obtiennent des données (par exemple, la diversité du conseil d'administration)", a-t-il écrit dans un courriel, "mais la grande majorité des informations pertinentes sur la gouvernance et la stratégie ne se prêtent pas à des données. Et les ESG Raters sont presque entièrement intéressés par les données".

Obtenir une note ESG élevée est devenu un jeu auquel jouent les entreprises.

Un problème connexe est que l'obtention d'une note ESG élevée est devenue un jeu auquel les entreprises jouent. Selon la Global Sustainable Investment Alliance, plus de 30 000 milliards de dollars d'actifs dans le monde sont désormais investis en fonction de facteurs ESG. En conséquence, selon Hedstrom, "les entreprises publiques du monde entier sont engagées dans une poursuite presque implacable de notations ESG fortes, en les considérant comme nécessaires".

Il est étonnamment facile pour les entreprises de jouer à ce jeu lorsqu'il s'agit de leur score de gouvernance, qui est largement basé sur des données accessibles au public ou sur les réponses données à un questionnaire. Et "la façon dont les évaluateurs demandent les informations est telle que les entreprises répondront pratiquement toujours de la façon la plus positive", selon Hedstrom. Il n'est donc pas surprenant que la réalité soit généralement très différente de ce que ces évaluations ESG dépeignent.

(Pour mémoire, Hedstrom parle de son expérience de travail avec de nombreuses grandes entreprises au cours des trois dernières décennies ; il ne fait pas de commentaires sur Boeing en particulier).

Le résultat final ? Pour vraiment découvrir la gouvernance et la culture interne d'une entreprise, il faut regarder ailleurs que dans les notes de gouvernance qui font partie des notations ESG. Une façon d'envisager votre tâche est de vous imaginer dans la peau de Warren Buffett, PDG et président de Berkshire Hathaway.

Comme il l'a rappelé une fois de plus aux investisseurs dans sa dernière lettre annuelle aux actionnaires, publiée fin février, sa période de détention idéale pour un investissement est éternelle. Une telle focalisation recadre votre prise de décision bien différemment que lorsque vous sélectionnez des actions dans le cadre d'une transaction à court terme.

Il est indéniable que cela implique beaucoup de travail d'investigation et d'analyse. Mais comme l'illustre le parcours de M. Buffett sur le long terme, les récompenses sont considérables.

 

 

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Il y a 11 heures, Skw a dit :

Ouaip, action Boeing étant passée en une semaine ouvrée de 90 $ à 160 $ ... Tu as accès au contenu de l'article ? Parce que moi non...

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Boeing to Emerge as Big Stimulus Winner

 

Boeing, grand vainqueur de la campagne de stimulation

Les clients et les fournisseurs du géant de l'aérospatiale devraient bénéficier d'une aide publique, même si Boeing refuse l'aide directe des contribuables

Par Andrew Tangel et Doug Cameron

Mis à jour le 27 mars 2020 17h54

Boeing Co. est sur le point de devenir un grand gagnant du plan de relance contre les coronavirus, même si le géant de l'aérospatiale refuse de demander l'aide directe des contribuables. L'entreprise avait fait pression pour obtenir au moins 60 milliards de dollars pour elle-même et son vaste réseau de fournisseurs afin d'atténuer le coup de la pandémie qui a paralysé les voyages aériens mondiaux et réduit la demande d'avions de ligne. La perspective de l'annulation de commandes et de l'incapacité des compagnies aériennes à prendre de nouveaux avions a ajouté à la pression exercée sur Boeing par la crise persistante autour de l'immobilisation au sol depuis l'année dernière de ses 737 MAX, qui a déjà fait grimper en flèche sa dette en empruntant pour indemniser ses clients et soutenir ses fournisseurs. Le projet de loi de relance de 2 000 milliards de dollars approuvé par le Congrès comprend une grande partie de ce qu'il voulait : des milliards de dollars à sa disposition et à celle de sa chaîne d'approvisionnement, et des milliards de plus à ses clients des compagnies aériennes en difficulté pour rester en activité. "Il est important que la chaîne d'approvisionnement soit soulagée", a déclaré Eric Fanning, directeur général de l'Association des industries aérospatiales, un groupe commercial qui compte Boeing parmi ses membres. "La manière la plus efficace d'injecter de l'aide est par l'intermédiaire de ses clients". Il reste à voir si Boeing va directement puiser dans les fonds de relance. Les législateurs ont prévu 17 milliards de dollars de prêts et de garanties de prêts destinés aux entreprises jugées essentielles à la sécurité nationale. Des représentants du Congrès et un haut dirigeant de l'industrie aéronautique américaine ont déclaré que l'exclusion visait en partie Boeing.

L'exploitation de ce pot de 17 milliards de dollars serait assortie de conditions que le directeur général de Boeing, David Calhoun, a rejetées. En particulier, les prêts seraient assortis d'une condition selon laquelle le gouvernement américain prendrait une participation au capital ou des bons de souscription d'actions dans les bénéficiaires des prêts. Le gouvernement pourrait au contraire prendre une position de dette senior dans les bénéficiaires. "En ce moment, Boeing dit qu'ils n'en ont pas besoin", a déclaré vendredi le secrétaire américain au Trésor Steven Mnuchin sur la chaîne Fox Business Network. Il a ajouté : "J'apprécie le fait que Boeing pense qu'ils peuvent fonctionner seuls - c'est ce que nous voulons qu'ils fassent." En début de semaine, M. Calhoun a déclaré à la chaîne de télévision Boeing qu'il préférait obtenir un financement privé plutôt que de donner au gouvernement une participation au capital. "S'ils nous forçaient à le faire, nous examinerions toutes les autres options, et nous en avons plein", a-t-il déclaré. M. Calhoun a déclaré cette semaine que Boeing disposait de 15 milliards de dollars en espèces, et qu'il avait toujours accès à une facilité de prêt de 9,6 milliards de dollars.

Un porte-parole de Boeing a déclaré vendredi que la compagnie envisageait toutes les options d'aide gouvernementale, y compris une part de 454 milliards de dollars de fonds de relance disponibles pour les entreprises de tous les secteurs qui ne nécessitent pas de prise de participation de l'État. Le représentant américain Rick Larsen (D., Wash.), dont le district comprend les opérations de Boeing dans la région de Seattle, a déclaré que le constructeur d'avions avait fait pression contre l'exigence de prise de participation, mais que les législateurs voulaient protéger les contribuables. "Si Boeing profite du programme, cela aide beaucoup les travailleurs et le réseau de fournisseurs", a déclaré M. Larsen, qui dirige un important groupe d'experts en aviation de la Chambre. Les actions de Boeing, qui avaient doublé cette semaine, ont chuté de 7 % vendredi. Les actions de ses fournisseurs et des compagnies aériennes américaines ont également fortement chuté. Ces baisses ont inversé les gains réalisés en début de semaine suite à l'adoption par le Sénat de son plan de relance. Quelle que soit l'aide que Boeing pourrait chercher, le président Trump s'est engagé à protéger le constructeur basé à Chicago. Il est largement considéré comme trop important pour l'économie et la défense nationale pour que le gouvernement lui permette d'échouer. Boeing est le plus grand exportateur du pays et le deuxième plus grand entrepreneur de défense. Il soutient des milliers de petites entreprises qui fournissent tout, des fuselages et des ailes d'avions aux systèmes électroniques de cockpit.

La société a refusé de préciser les composants des 60 milliards de dollars qu'elle recherche. Après l'adoption par le Sénat de son projet de loi de relance mercredi dernier, Boeing a fait l'éloge de ce plan, déclarant que son injection de liquidités était "essentielle pour les compagnies aériennes, les aéroports, les fournisseurs et les fabricants pour faire la transition vers la reprise". Face à une pression financière croissante, Boeing a suspendu son dividende et a envisagé des licenciements potentiels. Les dirigeants ont déclaré qu'ils s'efforçaient d'éviter de licencier ou de mettre à pied les employés de sa branche commerciale de 65 000 travailleurs. Dans le cadre du plan de relance proposé, certains bénéficiaires de prêts doivent maintenir au moins 90 % de leurs effectifs actuels jusqu'au 30 septembre, entre autres protections des travailleurs, ce qui a suscité les éloges de l'Association internationale des machinistes et des travailleurs de l'aérospatiale, qui représente les travailleurs des usines Boeing dans la région de Seattle.

 

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U.S. Air Force finds additional deficiency in Boeing's aerial fuel system

Traduit avec www.DeepL.com/Translator (version gratuite)

L'U.S. Air Force constate une déficience supplémentaire dans le système de carburant aérien de Boeing

(Reuters) - L'armée de l'air américaine a annoncé lundi une déficience supplémentaire dans le système de carburant aérien du Pegasus KC-46 construit par Boeing (BA.N), le classant au niveau de la catégorie I, ce qui signifie qu'il s'agit d'un problème technique majeur qui peut mettre en danger l'équipage et l'avion.

Boeing est contractuellement obligé de remédier à cette déficience sans coût supplémentaire pour le gouvernement, a déclaré l'armée de l'air dans un communiqué.

"Le bureau du programme KC-46 du Service a identifié pour la première fois des fuites excessives de carburant en juillet 2019 après un test de ravitaillement en vol", a déclaré l'armée de l'air, ajoutant qu'elle travaille avec Boeing pour déterminer la cause profonde du problème et prendre des mesures correctives.

Il s'agit du dernier problème en date pour Boeing, qui s'efforce de faire voler à nouveau ses 737 MAX après deux crashs mortels en 2018 et 2019.

 

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https://aviationweek.com/defense-space/aircraft-propulsion/usaf-announces-new-major-deficiency-kc-46?elq2=6150755eddac4a01b83a2213963966d7

Citation

The U.S. Air Force has upgraded an existing deficiency for the KC-46A Pegasus fuel system to Category 1.

The service’s program office first identified “excessive fuel leaks” in July after an air refueling test. The Air Force and Boeing are working together to determine the root cause and implement corrective actions. A Category 1 deficiency means the government has identified a risk that jeopardizes lives or critical assets.

“The KC-46 Program Office continues to monitor the entire KC-46 fleet and is enhancing acceptance testing of the fuel system to identify potential leaks at the factory where they can be repaired prior to delivery,” according to an Air Force statement.

Boeing is contractually obligated to rectify this deficiency at no additional cost to the Air Force.
“We are disappointed to learn of this development and are already implementing assembly and installation improvements to correct the issue,” Boeing spokesman Larry Chambers said in a statement to Aerospace DAILY. “We have repaired several of the airplanes and will continue to implement repairs as needed. Boeing is working with urgency to address this issue.”

The Air Force discovered several required fuel-system repairs, Chambers said. The fuel system is equipped with redundant protection for fuel containment. 

“In some cases with this issue, aircraft maintenance crews are finding fuel between the primary and secondary fuel barriers within the system,” Chambers said.

The KC-46A program still faces other unresolved Category 1deficiencies that surround the Remote Vision System (RVS) and the boom telescope actuator. The problem with the RVS is what the Air Force calls a “rubber sheet” effect that distorts the image on the visual display used by the boom operator during refueling operations. The actuator on the boom needs to be more sensitive to smaller receiver aircraft, such as A-10s and F-16s. Boeing has agreed to pay for the RVS design fix, while the Air Force will finance the design change to the actuator.

“There’s profound problems with the system,” Air Force Chief of Staff Gen. David Goldfein said March 3 during a Senate Armed Services Committee hearing. 

The service is in the process of certifying the aircraft to conduct airlift and medical evacuation missions. The plan is for the Air Force to employ the KC-46 in those roles while a long-term fix is being worked, Goldfein said.

Goldfein told new Boeing CEO Dave Calhoun to focus on the KC-46 program, even as it is fixing the 737 MAX. Calhoun said the KC-46 is his top military priority.

“I have seen a change in the behavior of that company since he took over, and so that’s why we’re more confident sitting here today that we have a serious fix on the table,” Goldfein said. “We’re in final negotiations, so we can’t go into any more detail than that. But I will say that it’s looking better today than it was even six months ago.” 

 

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Le 07/01/2020 à 21:09, clem200 a dit :

Moi je sous entend que personne n'a le choix :happy: Boeing ne peut survivre sans cet avion et les compagnies ne peuvent survivre sans lui. 

La demande mondiale est bien trop forte pour que Airbus rafle tout 

J'ai entendu dire que la demande mondiale avait baissé.

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Le 07/01/2020 à 21:09, clem200 a dit :

Moi je sous entend que personne n'a le choix :happy: Boeing ne peut survivre sans cet avion et les compagnies ne peuvent survivre sans lui. 

La demande mondiale est bien trop forte pour que Airbus rafle tout 

 

Il y a 8 heures, Picdelamirand-oil a dit :

J'ai entendu dire que la demande mondiale avait baissé.

C'est une réplique déjà virale, ou je ne m'y connais pas :dry:

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Le billet est intéressant. On n'est pas forcément obligé de suivre son avis, même si la multiplication de ce genre d'avis est parlante en soi. En revanche, il mobilise des chiffres et éléments intéressants dans son analyse, qui sont d'ailleurs loin de concernés seulement Boeing.

Citation

Non, nous ne devrions pas renflouer Boeing - Les sauvetages ne devraient pas aller aux entreprises qui placent leurs profits, leurs cadres et leurs actionnaires avant la sécurité publique

PAR MANDY SMITHBERGER & RYAN SUMMERS | LE 31 MARS 2020
 

L'épidémie de coronavirus a déjà transformé le pays, perturbant les industries dans tout le pays et faisant perdre leur emploi à des milliers d'Américains. Le Congrès a récemment approuvé des dépenses de plus de 2 000 milliards de dollars pour aider les entreprises, grandes et petites, et les familles à faire face à cette crise. Mais ce niveau de dépenses attire également les profiteurs. Parmi les industries prêtes à encaisser, on trouve les entrepreneurs du Pentagone, qui sont déjà les principaux bénéficiaires des largesses du gouvernement en matière de dépenses, tout en démontrant un passé de mauvaise utilisation et de gaspillage de ces fonds.

La demande de Boeing pour un renflouement de 60 milliards de dollars est une étude de cas instructive. L'orgueil de demander autant aux contribuables est particulièrement exaspérant lorsque la société a donné la priorité aux actionnaires pour le rachat d'actions de 43 milliards de dollars depuis 2009, et la mauvaise gestion du programme 737 Max qui a tué 346 personnes en cinq mois. Boeing a tenté d'atténuer les inquiétudes du public, qui craignait que cet argent ne serve qu'à des activités lucratives supplémentaires, en promettant de renoncer à la rémunération du PDG et du président du conseil d'administration et de suspendre les dividendes, mais ce n'est encore qu'une goutte d'eau dans l'océan par rapport à ce que la société demande aux contribuables pour l'instant. Et malheureusement, le Congrès a au moins partiellement acquiescé à la demande de Boeing, en dégageant 17 milliards de dollars de fonds qui semblent destinés à profiter à la compagnie et à d'autres entreprises du même type.

Le comportement de Boeing n'est pas rare parmi les sociétés de défense cotées en bourse. Une enquête menée en 2017 par le Providence Journal a révélé que les cinq principaux fournisseurs de la défense ont dépensé plus de 114 milliards de dollars en rachats d'actions entre 2005 et le premier semestre de 2017. Boeing était en tête de liste. William Lazonick, un économiste de l'Université du Massachusetts Lowell qui étudie les rachats d'actions, a déclaré au Journal que cette pratique profite aux actionnaires et aux dirigeants, dont la rémunération comprend souvent des actions, en augmentant la valeur des actions. Elle peut en même temps nuire aux employés en prélevant de l'argent sur les salaires et les pensions. Les problèmes financiers de Boeing sont de leur propre fait, et les contribuables ne devraient pas avoir à renflouer une entreprise qui a fait preuve d'un si faible souci de la sécurité publique.

Les contribuables ont déjà assuré la sécurité financière de l'industrie de la défense de plusieurs manières. Rien que l'année dernière, les 20 plus grandes entreprises de défense ont reçu 200 milliards de dollars en contrats. De plus, le rapport "Good Jobs First's Subsidiary Tracker" indique que l'industrie de la défense et de l'aérospatiale a reçu, pour la seule année fiscale 2019, environ 808 millions de dollars de subventions fédérales et 68,7 millions de dollars de prêts de sauvetage fédéraux.

Il est presque impossible de surestimer le degré d'écoute des fonctionnaires du Pentagone à l'égard de l'industrie de la défense. Avant la présentation du budget au début de l'année, un certain nombre de hauts fonctionnaires du Pentagone ont rencontré les PDG des entreprises de défense, et le secrétaire à la Défense a tweeté une photo de la réunion. Alors que la crise du coronavirus s'intensifiait, la principale responsable des acquisitions du Pentagone, Ellen Lord, a récemment instauré des appels téléphoniques quotidiens avec la Chambre de commerce non gouvernementale, le Conseil des services professionnels et l'Association industrielle de la défense nationale, ainsi qu'avec d'autres groupes de pression importants du secteur de la défense. L'une des principales demandes de l'Association des industries aérospatiales auprès du Pentagone était que l'industrie de la défense soit déclarée "infrastructure critique", afin que les entreprises puissent forcer leurs employés à continuer à venir travailler. La National Defense Industrial Association et d'autres ont également demandé au ministère de la Défense "d'envisager une accélération de la passation des marchés et du décaissement des quelque 160 milliards de dollars de fonds non engagés sous le contrôle du ministère". Ces appels semblent avoir déjà porté leurs fruits : Le 20 mars, Lord a publié un mémo donnant aux entreprises la désignation qu'elles recherchaient, et a annoncé que le Pentagone augmentait le montant des sommes versées aux entrepreneurs.

Frank Kendall, qui occupait la position de Lord sous l'administration Obama, a critiqué les directives qui donnaient aux entreprises la "licence" de dire aux travailleurs qu'ils n'avaient pas d'autre choix que de venir travailler et risquer de propager ou de contracter le virus. "Ce qui est vraiment crucial pour la sécurité nationale en général, ce n'est pas la livraison à temps des produits et des services, mais les personnes qui fournissent ces produits et services", a-t-il écrit dans une colonne de Forbes. Il a noté que le Pentagone a déjà mis en place un certain nombre de mécanismes contractuels pour tenir compte de l'impact perturbateur du virus sans mettre les employés en danger.

Contrairement à de nombreux cadres et lobbyistes, beaucoup de ces employés qui construisent et entretiennent des systèmes d'armes ne peuvent pas télétravailler. Le Washington Post a rapporté que les dirigeants syndicaux des employés des entreprises de défense ont également commencé à critiquer les décisions des entreprises de mettre en danger leurs travailleurs. Les représentants des employés de Bath Iron Works, exploité par General Dynamics, se sont plaints que les travailleurs étaient des "agneaux sacrifiés pour répondre aux besoins de notre client".

Cela dit, il y a des cas où les entreprises agissent de manière responsable dans les zones les plus touchées. Boeing a annoncé qu'il fermait temporairement ses installations à Seattle. Lockheed Martin a temporairement fermé les usines de F-35 au Japon et en Italie, mais les a ensuite rapidement rouvertes, même si l'Italie reste l'un des pays les plus touchés par le virus.

La familiarité de Lord avec l'industrie, en tant qu'ancienne cadre de Textron elle-même, signifie qu'elle ne semble même pas contester les arguments des entrepreneurs de la défense. Lorsqu'il était encore au ministère de la Défense, l'ancien tsar des prix du Pentagone, Shay Assad, avait initialement convaincu Lord que le Pentagone devait réduire, et non pas augmenter, les paiements aux entrepreneurs. Assad, qui a servi dans les deux administrations Trump et Obama, a déclaré à Bloomberg que le plan mis en place actuellement pour augmenter les paiements des entrepreneurs est une "escroquerie du contribuable", estimant que les cinq principaux entrepreneurs ont racheté pour 90,5 milliards de dollars de leurs propres stocks de 2012 à 2017. Et avec des taux d'intérêt aussi bas qu'ils le sont, "les grandes entreprises sont plus que capables d'utiliser leurs propres liquidités ou d'emprunter à des taux d'intérêt minimaux", a-t-il déclaré.

Ces paiements anticipés semblent profiter aux petits fournisseurs, mais dans une déclaration partagée avec POGO par courriel, M. Assad a souligné que, dans le cadre des pratiques actuelles, les grands entrepreneurs de défense sont déjà bien placés pour couvrir les coûts. "En vertu de la réglementation actuelle, les grandes entreprises sont déjà remboursées à 100 % (et non à 80 % ou 90 %) du financement des contrats qu'elles fournissent à leurs sous-traitants", a-t-il écrit. "En outre, en vertu de la réglementation actuelle, les maîtres d'œuvre sont remboursés pour les factures soumises par leurs sous-traitants avant qu'ils ne les paient". Cet arrangement soulève de sérieuses questions quant à savoir si la générosité du ministère profitera réellement aux petites entreprises avec la rapidité dont elles ont besoin.

Le gouvernement doit apporter une aide aux Américains qui sont les plus touchés par cette crise. Et le comportement des principaux entrepreneurs de la défense, y compris le lobbying pour des politiques qui mettraient en danger leurs employés, montre que le sauvetage de leurs dirigeants et de leurs conseils d'administration devrait être notre dernière priorité.

https://www.pogo.org/analysis/2020/03/no-we-shouldnt-bail-out-boeing/

 

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Plan de départ volontaire à cause du covid (je sais, je sais il a bon dos)

https://www.latribune.fr/entreprises-finance/industrie/aeronautique-defense/boeing-lance-un-plan-de-departs-volontaires-pour-passer-la-crise-du-coronavirus-844198.html

Ca veut dire quoi : "Ces mesures vont nous mener jusqu'à la reprise à condition que nous ne soyons pas confrontés à d'autres défis". Il attend d'autres blagues et prépare ses troupes à un départ massif ?

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Il faut plutôt voir ça comme une prudence vis a vis des conditions de marché a venir, du développement de la pandémie aux US et dans le monde  et de ses conséquences. 

Sa communication en entier ne donne pas vraiment sujet à débat, c'est plutôt honnête de ça part de dire qu'il peut encore y a voir de mauvaises nouvelles.

Citation

Team:

Across Boeing, we’re focused on keeping one another and our communities safe as the COVID-19 pandemic reaches every corner of the globe. Our first priority is and will continue to be protecting the health and safety of our people, their families and the stakeholders we touch. We’re assessing and enhancing the safety of every one of our sites on a daily basis. 

We’re also doing everything we can to protect the future of our business. That means continuing to deliver for our commercial and services customers, even as their own businesses slow to a trickle. It means working hard to meet commitments to our defense and space customers. And it means maintaining the stability of our supply chain so we’re ready to ramp up again when the pandemic is over.

Most importantly, it means doing everything possible to keep this team intact. We can’t get back to regular operations again after the crisis if we don’t have the people and skills to make that happen.

But one thing is already clear: It will take time for the aerospace industry to recover from the crisis. When the world emerges from the pandemic, the size of the commercial market and the types of products and services our customers want and need will likely be different. We will need to balance the supply and demand accordingly as the industry goes through the recovery process for years to come. 

It’s important we start adjusting to our new reality now. 

We want to address it through natural turnover and voluntary employment actions to the extent we responsibly can. To that end, we are initiating a voluntary layoff (VLO) plan that allows eligible employees who want to exit the company to do so with a pay and benefits package. This move aims to reduce the need for other workforce actions.
 
Of course, as we do this, we’ll continue to recruit in certain areas to ensure we’re able to meet our customer commitments now and in the future. And our businesses and functions will continue adjusting to the changing size and needs of our markets as they always do.  

More information on the VLO benefits, who is eligible and how the program works will be on its way to you in three to four weeks.  

In the meantime, I promised I would be very transparent with you. We’re in uncharted waters. We’re taking actions — including offering this VLO plan — based on what we know today. They will bridge us to recovery as long as we’re not confronted with more unexpected challenges. I can’t predict with certainty what the next few months will bring, but I can commit to being honest about what’s happening and doing everything we can to protect our people and our business through this crisis. 

We’ll continue to deliver on commercial, defense and space, and services programs. We’ll continue to drive the safe return to service of the 737 MAX. We’ll continue to keep programs going wherever we can do so virtually and with confidence that we can keep you safe and healthy. And I will continue to be supremely confident that Boeing will not just emerge from the crisis but thrive again as the leader of our industry.

I’ll keep you posted often. In the meantime, thank you for your dedication, resilience and courage during these challenging days and weeks. 

Dave

 

Modifié par Castor
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