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Les commémorations du D-Day


pascal
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Effectivement,Roosevelt n'aiment pas les pays colonialistes mais je ne pensent pas que s'était par compassion envers les colonisés.

je pense plutôt qu'il connaissait le potentiel de puissance de son pays dans le futur .

et évincé les concurrents sa faisait aussi parti du plan .

lui voulait la guerre alors que les citoyens US visé plus tôt de resté isolé.

certes en Europe on était pas parfait du point de vue la moralité mais le patron des USA non plus .

enfin je parle du colonialisme si tenté qu'on puisse juger celui-ci .

bien ou mal je n'en sais rien mais dans l'évolution du monde il a fait indirectement du bon et du mauvais .

remplacé par un autre système mais sa ne change rien sur le fond .

en fait on pourrait ouvrir un file sur la politique étrangère américaine des années 30 jusqu'au année 50 .

de toute façon avec l' affaire de suez on avait bien comprit qu'on ne voulait plus du retour de la GB et de la France.

Et encore, il semblait détester davantage encore le système colonial britannique.

je pense que s'est surtout par ce que se système était plus axé sur l' économie que le système colonial français.

les britanniques avaient un contrôle sur pas mal de choses à se niveau .

Modifié par gibbs
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Pour information =

Les publications de Pierre Clostermann

 

Feux du ciel, Ré-éditions chez Ananke/Lefrancq 2001

Cet ouvrage traite de plusieurs théâtres d’opération avec un type d’avion caractéristique et un pilote par théâtre d’opération.

 

Le grand cirque 2000 : mémoires d'un pilote de chasse FFL dans la RAF, Flammarion 2001

Cet ouvrage est la réédition de 1948 avec en sus l’essentiel de l’ouvrage de Appui-feu sur l'oued Hallaïl (Algérie), avec des notes récentes sur plusieurs pilotes internationaux ayant combattus en 1939-1945 amis et ex-ennemis.

 

 

Une sacrée guerre Flammarion1990

Cet ouvrage relate les anecdotes sur la guerre dont l’auteur à été partie prenante.

 

> L’histoire vécue Flammarion 1998

Cet ouvrage relate les rencontres direct ou indirect de l’auteur avec Guevara, Churchill, de Gaulle, Mitterrand, Salazar, Rommel, Allende.

 

> Une vie pas comme les autres, Mémoires Flammarion 2005

Ce livre retrace la vie de l’auteur hors guerre.

 

.Il est de plus l'auteur de nombreuses préfaces : Pilote de Stukas, les Éperviers de la mer, Roland Garros, Le Temps des Partisans, Le Temps des Aigles, La Dernière Tempête, Dictionnaire universel de l'aviation, Paul Lengellé : "l'un des peintres les plus marquants de l'histoire de l'aviation", Les Insignes de l'Aéronautique Militaire Française jusqu'en 1918, Briseurs de Barrages, Chemins D'Ecume, La Pêche en Bord de Mer, La pêche à la traîne, etc.

Modifié par Janmary
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Les publications de Pierre Clostermann

 

Feux du ciel, Ré-éditions chez Ananke/Lefrancq 2001

Cet ouvrage traite de plusieurs théâtres d’opération avec un type d’avion caractéristique et un pilote par théâtre d’opération.

 

Le grand cirque 2000 : mémoires d'un pilote de chasse FFL dans la RAF, Flammarion 2001

Cet ouvrage est la réédition de 1948 avec en sus l’essentiel de l’ouvrage de Appui-feu sur l'oued Hallaïl (Algérie), avec des notes récentes sur plusieurs pilotes internationaux ayant combattus en 1939-1945 amis et ex-ennemis.

 

 

Une sacrée guerre Flammarion1990

Cet ouvrage relate les anecdotes sur la guerre dont l’auteur à été partie prenante.

 

> L’histoire vécue Flammarion 1998

Cet ouvrage relate les rencontres direct ou indirect de l’auteur avec Guevara, Churchill, de Gaulle, Mitterrand, Salazar, Rommel, Allende.

 

> Une vie pas comme les autres, Mémoires Flammarion 2005

Ce livre retrace la vie de l’auteur hors guerre.

 

.Il est de plus l'auteur de nombreuses préfaces : Pilote de Stukas, les Éperviers de la mer, Roland Garros, Le Temps des Partisans, Le Temps des Aigles, La Dernière Tempête, Dictionnaire universel de l'aviation, Paul Lengellé : "l'un des peintres les plus marquants de l'histoire de l'aviation", Les Insignes de l'Aéronautique Militaire Française jusqu'en 1918, Briseurs de Barrages, Chemins D'Ecume, La Pêche en Bord de Mer, La pêche à la traîne, etc.

merci .

 

le grand cirque que j'ai en ma possession date de 1948 .

 

je ne suis pas prêt de m'en séparé  =)

 

 

sur la défaite en 1940 ,un lien intéressant du blog du colonel Goya .

 

http://lavoiedelepee.blogspot.fr/2014/06/comment-fossiliser-une-grande-armee.html?spref=fb

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Juste au passage; j'étais sur les plages normandes et l'arrière pays les 5 et 6 juin (de cette année  ;)) sur l'invitation d'un pote qui à une Jeep et un Dodge et qui habite à Vierville sur mer.

Et bien ça vaut vraiment le coup de voir ça une fois dans sa vie!

 

Des centaines de véhicules d'époque de partout, en bord de plages, sur les petites routes de l'arrière pays qu'on croise au hasard ou en défilé....

Des gars en uniformes d'époque qui jouent le jeu, les villages historiques qui ont sortis leurs reliques et font des expos, des vétérans à qui on peut parler, des GIs contemporains qui vont rendre les honneurs devant un petit monuments aux morts d'un village, des véhicules d'époques très rares, des camps US d'époque ici ou là, des collectionneurs venus de toute l'Europe, 24 feux d'artifices synchronisés sur les plages du débarquement le soir du 5 juin, ect....bref, le Disney land du D Day!

Et le tout avec le beau temps, une ambiance très pacifique, quasi fraternelle entre tout le monde.

 

Ça fait du bien au moral une commémoration comme ça!

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Nous  ne pouvons que souscrire à votre post, syntaxerror9.

 

Tous les 10 ans environ, nous avons ces manifestations remarquables pour la mémoire et le contact avec un morceau de notre histoire. La dernière fois ou je suis allé comme tel était  pour le cinquantenaire (1994). Je m’étais entretenu avec un « béret vert » des commandos Britannique de Lord Lovat et cet homme était d’une attitude qui forçait le respect. J’avais appris beaucoup de choses sur l’entrainement et les missions de ce commando.

 

Ce qui passionnant et ce que j’ai pu faire en allant chaque année aux manifestations ou en dehors des commémorations, c’est d’apprendre l’histoire du débarquement à mes enfants en allant sur place. Bien assisté par un auteur d’ouvrages sur la Normandie et du débarquement et ami qui travaillait aux éditions Heimdal, nous avons pu suivre au fur des années, l’étude du champ de bataille....et de la Normandie.

 

Nous avons pu ainsi visiter, munis de torche, et après  déclaration à la gendarmerie pour sécurité, les fortifications du mont Canisy. Après passage des Alliés, les stocks d’armes et de munitions furent tout simplement murés par les autorités locales. Il ne faut pas être claustrophobe pour se mouvoir  dans les longs couloirs et salles diverses et faire confiance au guide de circonstance, qui était réjouit de notre implication.

 

Nous avons également retrouvés des cartouches au pied d’un arbre sur lequel était installé une petite plate-forme pour un tireur Allemand, le tout en bordure d’un champs. Nous avons tout laissé en état.

 

Aujourd’hui, un certain de choses ont  évolués avec de nouveaux musées, une nouvelle aile  pour le musée de Caen, bref tout une remise à niveau historique pour le  70° anniversaire qui ne pourra plus être ce qui l’à été avec la venue des vétérans. Je n’ai pas pu assister cette année mais je pense aller quand même revisiter les principaux musées en septembre.

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Effectivement, Roosevelt n'aiment pas les pays colonialistes mais je ne pensent pas que s'était par compassion envers les colonisés.

 

F.D. Roosevelt a par exemple montré publiquement une certaine attention à la cause des noirs américains. Néanmoins, il ne s'est jamais vraiment opposé aux groupes suprématistes sudistes. Ainsi, ce fut sous ses mandats que les écarts de richesses entre noirs et blancs explosèrent, ce fut également sous ses mandats que la ségrégation racio-spatiale se radicalisa fortement. Il y avait quelques ghettos noirs qui s'étaient façonnés au début du vingtième siècle, mais ces ghettos ont explosé en nombre à partir de la seconde moitié de la décennie 1930. Il y a des travaux statistiques très sérieux en la matière. La politique du logement menée par l’administration lors du New Deal a favorisé les propriétaires, essentiellement blancs, au détriment des locataires, essentiellement noirs. Les politiques de crédit et de rachat de prêts hypothécaires ont par exemple largement radicalisé le gap qui pouvait exister entre blancs et noirs. Et l'on se demande comment ces politiques auraient pu ne pas avoir été menées consciemment par l'administration Roosevelt. Eleonor Roosevelt, la femme du président regretta d'ailleurs le peu d'effort que son mari avait pu faire pour la condition des populations afro-américaines. Celles-ci devaient selon les textes bénéficier de droits et de libertés supérieurs à ceux des populations colonisées, mais dans les faits, notamment dans le Sud, les conditions n'étaient pas si différentes que cela. En certains aspects, la condition des noirs américains à cette période était même sans doute moins appréciable encore.

 

 

Je pense plutôt qu'il connaissait le potentiel de puissance de son pays dans le futur. Et évincer les concurrents sa faisait aussi parti du plan [...] De toute façon avec l' affaire de suez on avait bien comprit qu'on ne voulait plus du retour de la GB et de la France. Je pense que s'est surtout par ce que se système était plus axé sur l' économie que le système colonial français. Les britanniques avaient un contrôle sur pas mal de choses à se niveau .

 

Oui, on a d'ailleurs des propos de Roosevelt, qui doivent dater de la fin de la décennie 1940 si je me souviens bien, où il explique que le colonialisme est critiquable entre autres parce qu'il est une entrave au marché commercial. Tout au long de son propos, on saisit bien que la dimension commerciale de l'empire colonial britannique le dérange grandement... les points de critique qu'il avance semblent taper bien davantage sur le système britannique que sur le système français... peut-être aussi parce que la situation française était encore pire que la situation britannique. A voir si le propos n'était pas adapté à la situation géopolitique et aux ambitions en la matière. Autrement dit, cette question du libre-marché - entendre Roosevelt parler de libre-marché, elle est bien bonne ! - a peut-être été mise en avant en fonction de l'empire colonial à menacer en priorité. Si jamais, c'est l'empire français qui avait constitué une menace, peut-être Roosevelt aurait axé son propos autrement.

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Tous les 10 ans environ, nous avons ces manifestations remarquables pour la mémoire et le contact avec un morceau de notre histoire. La dernière fois ou je suis allé comme tel était  pour le cinquantenaire (1994). Je m’étais entretenu avec un « béret vert » des commandos Britannique de Lord Lovat et cet homme était d’une attitude qui forçait le respect. J’avais appris beaucoup de choses sur l’entrainement et les missions de ce commando.

 

Ce qui passionnant et ce que j’ai pu faire en allant chaque année aux manifestations ou en dehors des commémorations, c’est d’apprendre l’histoire du débarquement à mes enfants en allant sur place. Bien assisté par un auteur d’ouvrages sur la Normandie et du débarquement et ami qui travaillait aux éditions Heimdal, nous avons pu suivre au fur des années, l’étude du champ de bataille....et de la Normandie.

 

Nous avons pu ainsi visiter, munis de torche, et après  déclaration à la gendarmerie pour sécurité, les fortifications du mont Canisy. Après passage des Alliés, les stocks d’armes et de munitions furent tout simplement murés par les autorités locales. Il ne faut pas être claustrophobe pour se mouvoir  dans les longs couloirs et salles diverses et faire confiance au guide de circonstance, qui était réjouit de notre implication.

 

Nous avons également retrouvés des cartouches au pied d’un arbre sur lequel était installé une petite plate-forme pour un tireur Allemand, le tout en bordure d’un champs. Nous avons tout laissé en état.

 

Aujourd’hui, un certain de choses ont  évolués avec de nouveaux musées, une nouvelle aile  pour le musée de Caen, bref tout une remise à niveau historique pour le  70° anniversaire qui ne pourra plus être ce qui l’à été avec la venue des vétérans. Je n’ai pas pu assister cette année mais je pense aller quand même revisiter les principaux musées en septembre.

effectivement sa vaut le coup j'ai eu l' occase avec l'armée lors d' un raid pour élève grade (CME ).

étant instructeur ,notre chef de section était un fana d'histoire .

on a put voir pas mal de chose .

sur potigny ou nous étions logé on a rencontré un ancien du village ,d'origine polonaise (il y avait beaucoup d'immigrés polonais ,des mineurs à potigny avant guerre )et qui avait rejoint la GB pour servir dans la brigade blindés Polonaise .

il était pilote de shermann et fut blessé durant la bataille de Normandie .

je suis preneur d'infos en se qui concerne ta rencontre avec cet ancien des commandos britannique.

F.D. Roosevelt a par exemple montré publiquement une certaine attention à la cause des noirs américains. Néanmoins, il ne s'est jamais vraiment opposé aux groupes suprématistes sudistes. Ainsi, ce fut sous ses mandats que les écarts de richesses entre noirs et blancs explosèrent, ce fut également sous ses mandats que la ségrégation racio-spatiale se radicalisa fortement. Il y avait quelques ghettos noirs qui s'étaient façonnés au début du vingtième siècle, mais ces ghettos ont explosé en nombre à partir de la seconde moitié de la décennie 1930. Il y a des travaux statistiques très sérieux en la matière. La politique du logement menée par l’administration lors du New Deal a favorisé les propriétaires, essentiellement blancs, au détriment des locataires, essentiellement noirs. Les politiques de crédit et de rachat de prêts hypothécaires ont par exemple largement radicalisé le gap qui pouvait exister entre blancs et noirs. Et l'on se demande comment ces politiques auraient pu ne pas avoir été menées consciemment par l'administration Roosevelt. Eleonor Roosevelt, la femme du président regretta d'ailleurs le peu d'effort que son mari avait pu faire pour la condition des populations afro-américaines. Celles-ci devaient selon les textes bénéficier de droits et de libertés supérieurs à ceux des populations colonisées, mais dans les faits, notamment dans le Sud, les conditions n'étaient pas si différentes que cela. En certains aspects, la condition des noirs américains à cette période était même sans doute moins appréciable encore.

 

 

 

Oui, on a d'ailleurs des propos de Roosevelt, qui doivent dater de la fin de la décennie 1940 si je me souviens bien, où il explique que le colonialisme est critiquable entre autres parce qu'il est une entrave au marché commercial. Tout au long de son propos, on saisit bien que la dimension commerciale de l'empire colonial britannique le dérange grandement... les points de critique qu'il avance semblent taper bien davantage sur le système britannique que sur le système français... peut-être aussi parce que la situation française était encore pire que la situation britannique. A voir si le propos n'était pas adapté à la situation géopolitique et aux ambitions en la matière. Autrement dit, cette question du libre-marché - entendre Roosevelt parler de libre-marché, elle est bien bonne ! - a peut-être été mise en avant en fonction de l'empire colonial à menacer en priorité. Si jamais, c'est l'empire français qui avait constitué une menace, peut-être Roosevelt aurait axé son propos autrement.

F.D. Roosevelt a par exemple montré publiquement une certaine attention à la cause des noirs américains. Néanmoins, il ne s'est jamais vraiment opposé aux groupes suprématistes sudistes. Ainsi, ce fut sous ses mandats que les écarts de richesses entre noirs et blancs explosèrent, ce fut également sous ses mandats que la ségrégation racio-spatiale se radicalisa fortement. Il y avait quelques ghettos noirs qui s'étaient façonnés au début du vingtième siècle, mais ces ghettos ont explosé en nombre à partir de la seconde moitié de la décennie 1930. Il y a des travaux statistiques très sérieux en la matière. La politique du logement menée par l’administration lors du New Deal a favorisé les propriétaires, essentiellement blancs, au détriment des locataires, essentiellement noirs. Les politiques de crédit et de rachat de prêts hypothécaires ont par exemple largement radicalisé le gap qui pouvait exister entre blancs et noirs. Et l'on se demande comment ces politiques auraient pu ne pas avoir été menées consciemment par l'administration Roosevelt. Eleonor Roosevelt, la femme du président regretta d'ailleurs le peu d'effort que son mari avait pu faire pour la condition des populations afro-américaines. Celles-ci devaient selon les textes bénéficier de droits et de libertés supérieurs à ceux des populations colonisées, mais dans les faits, notamment dans le Sud, les conditions n'étaient pas si différentes que cela. En certains aspects, la condition des noirs américains à cette période était même sans doute moins appréciable encore.

 

 

 

Oui, on a d'ailleurs des propos de Roosevelt, qui doivent dater de la fin de la décennie 1940 si je me souviens bien, où il explique que le colonialisme est critiquable entre autres parce qu'il est une entrave au marché commercial. Tout au long de son propos, on saisit bien que la dimension commerciale de l'empire colonial britannique le dérange grandement... les points de critique qu'il avance semblent taper bien davantage sur le système britannique que sur le système français... peut-être aussi parce que la situation française était encore pire que la situation britannique. A voir si le propos n'était pas adapté à la situation géopolitique et aux ambitions en la matière. Autrement dit, cette question du libre-marché - entendre Roosevelt parler de libre-marché, elle est bien bonne ! - a peut-être été mise en avant en fonction de l'empire colonial à menacer en priorité. Si jamais, c'est l'empire français qui avait constitué une menace, peut-être Roosevelt aurait axé son propos autrement.

très intéressant et détaillée ton post .
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Bonjour gibbs. Bonjour à tous.

 

En effet, ce commando Britannique m’avait assez impressionné à l’époque avec son béret vert et ses décorations.

 

> La discussion avait porté sur l’entrainement quasiment démentiel – comme pour les parachutistes – au même titre que les commandos marines Français actuellement qui se sont inspirés du « modèle » Britannique.

 

> L’autre partie de l’entretien avait porté sur la guerre en général et le débarquement. L’humour était au rendez-vous et l’aide de mon épouse qui avait passée deux années en école en Grande-Bretagne (pour un Power et un Proficiency) avait été utile.

 

§ D’après ses dires (je résume d’après mes souvenirs et des notes que j'avais prise), l’Allemagne nazie et son chef, Hitler, avait été inconscient de s’attaquer à la Grande-Bretagne, car elle ne  ne pouvait pas gagner la guerre.

§ D’abord, parce que c’était la première puissance navale.

§ Que notre pays possédait des colonies composées de grandes puissances, Australie, Nouvelle-Zélande, Afrique du Sud, Canada, et Inde de surcroit.

§ Que les Britanniques avaient acquises ces possessions par le combat et que l’Empire représentait une force combative des plus importantes et efficace.

§ Ensuite que la RAF était la meilleure arme aérienne au monde, la preuve en est par la bataille d’Angleterre gagnée et par les bombardements continuels sur l’Allemagne qui n’à rien pu stoppée.

 

Bref dans ce combat, les nazis avaient été complètement fous de se lancer dans cette guerre et sans aucun réalisme bien que les forces Allemandes furent des combattants de très haut niveau technique et d’une grande combativité.

 

Les combats avaient été d’une grande férocité sur tous les fronts, en Libye, en Italie et en Normandie. Partout les forces de l’Empire avaient emportés la décision au final.

 

Ce qui m’avait impressionné, c’est le calme et aucune arrogance avec cet esprit d’avoir (sinon joué) du moins combattu « collectif » en particulier quand il évoquait la brigade de Lord Lovat et ses compagnons d’armes.

 

L’impression générale était « Vous voyez, nous l’avons fait » !

CQFD (Ce Qu’il Fallait Démontrer).

 

C’est vrai que Sir Winston Churchill aurait pu prendre les offres de Paix de Hitler – au moins pour un temps pour souffler – et c’est à l’honneur de la Grande-Bretagne que d’avoir refusée et d’accepter de prendre des coups et de se comporter comme un Bulldog ! Chapeau les commandos et les Britanniques en général, militaires et civils confondus.

Modifié par Janmary
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Oui, on a d'ailleurs des propos de Roosevelt, qui doivent dater de la fin de la décennie 1940 si je me souviens bien, où il explique que le colonialisme est critiquable entre autres parce qu'il est une entrave au marché commercial.

 

En relisant mes écrits cités dans le post de Gibbs, je m'aperçois que ceux-là peuvent porter à confusion : ce sont les propos rendus publics, jadis adressés à un journaliste américain ou l'un des ses fils (je ne me souviens plus bien), qui doivent dater de la fin de la décennie 1940. Roosevelt est décédé en 1945. Par contre, je ne me souviens plus de quand datent les propos originaux. Si j'ai un peu de temps, j'essaierai de retrouver ça.

Modifié par Skw
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En relisant mes écrits cités dans le post de Gibbs, je m'aperçois que ceux-là peuvent porter à confusion : ce sont les propos rendus publics, jadis adressés à un journaliste américain ou l'un des ses fils (je ne me souviens plus bien), qui doivent dater de la fin de la décennie 1940. Roosevelt est décédé en 1945. Par contre, je ne me souviens plus de quand datent les propos originaux. Si j'ai un peu de temps, j'essaierai de retrouver ça.

 

Ci-dessous, un extrait de "As he saw it", un ouvrage publié par Elliott Roosevelt en 1946 dans lequel il rapport certains propos et échanges de son père. Il me semble que les propos rapportés datent de 1941 : http://www.shafr.org/classroom_documents/Roosevelt%2CAsHeSawIt%2C1946.pdf

 

PS : En fait, ce n'est pas les propos que je cherchais, mais on y voit bien néanmoins la volonté de faire tomber les barrières commerciales du côté de l'Empire colonial britannique. 

Modifié par Skw
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Bonjour Skw

 

A ma connaissance, Elliott Roosevelt à accompagné le Président des Etats-Unis, Franklin Roosevelt  à la conférence de Casablanca de 1943 et la Conférence du Caire-Téhéran de 1944.

 

Le livre d’Elliot Roosevelt que vous citez Skw – et que je ne connaissais pas sous ce titre de « Has he saw it » – mais sous le titre de « My father Told Me » (Mon père m’à dit), [Pourquoi ce titre ?], présenté ainsi à la presse américaine après guerre en 1945 [Dans la revue VOIR édité en Français] et préfacé par sa mère Eleanor Roosevelt qui à défendu et son fils et ce livre. Car cet ouvrage fut  l’objet d’une dure critique par les médias Américains, du fait de l’angélisme de l’auteur concernant  l’Union Soviétique.

 

Merci pour le fichier en pdf de l’ouvrage que vous citez.

 

Cordialement à vous.

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Le livre d’Elliot Roosevelt que vous citez Skw – et que je ne connaissais pas sous ce titre de « Has he saw it » – mais sous le titre de « My father Told Me » (Mon père m’à dit), [Pourquoi ce titre ?], présenté ainsi à la presse américaine après guerre en 1945 [Dans la revue VOIR édité en Français] et préfacé par sa mère Eleanor Roosevelt qui à défendu et son fils et ce livre. Car cet ouvrage fut  l’objet d’une dure critique par les médias Américains, du fait de l’angélisme de l’auteur concernant  l’Union Soviétique.

 

En anglais, il me semble que le titre a toujours été "As he saw it". "My father told me" est probablement la traduction littérale du titre de l'ouvrage en français. Ensuite, je ne crois avoir lu l'ouvrage qu'en diagonal et j'aurais donc bien du mal à avoir une position sur le discours tenu par Elliott Roosevelt quant à l'URSS. En revanche, en 1946, bien qu'on ne soit pas encore dans la "période maccarthyste" à proprement parlé, on commence déjà à mener la chasse aux sorcières. Certains sénateurs américains, parmi lesquels Maccarthy, accusent déjà l'administration Truman de complaisance envers les thèses communistes et certains de leurs membres d'être des communistes. Cela peut peut-être expliquer pour partie la réception de l'ouvrage côté des médias.

 

Sinon, il est à noter que si le livre a été publié peu après la mort de Franklin Delano Roosevelt, bien des protagonistes - des différentes parties - étaient encore vivants et auraient été en mesure de réfuter la retranscription de certains échanges si jamais ceux-là avaient été faux. On a donc un document qui présente un angle de vue bien évidemment, mais qui doit relater les faits avec une certaine fidélité.

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  • 4 months later...

http://www.tendanceouest.com/actualite-83149-a-ouistreham-leon-gautier-refuse-lhommage-en-son-nom.html

 

 

 

Vendredi 31 octobre, Ouistreham rendait hommage à l’un de ses plus illustres habitants : Léon Gautier, 92 ans le 27 octobre dernier.

Une promenade de la cité balnéaire devait prendre le nom de ce vétéran du commando Kieffer, qui débarqua sur notre littoral au matin du 6 juin 1944. Contre toutes attentes, il a finalement fait savoir qu’il souhaitait que l’axe porte le nom de “promenade n°4 commando” , afin de rendre hommage à ses frères d’armes, tombés ou “souffrant encore dans leur chair”.

 

 

Léon Gautier est un des commandos français qui a débarqué le 6 juin 944 .

http://france3-regions.francetvinfo.fr/basse-normandie/2014/08/23/leon-gautier-decore-de-la-legion-d-honneur-par-manuel-valls-536492.html

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