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Monnaies virtuelles


stormshadow
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5 minutes ago, WizardOfLinn said:

 

Nouvelle tendance : l'immobilier numérique.

https://www.boursorama.com/actualite-economique/actualites/dans-le-metavers-le-marche-immobilier-a-la-cote-f08993db9ef522c9d35178941945bb73

Gros potentiel de développement, on va voir arriver des start-up d'agences immobilières et toutes sortes de services autour de ces biens virtuels :tongue:

Tant qu'il y a des vrais dollars à faire :bloblaugh:

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  • 4 weeks later...
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NFT : quelles opportunités marketing pour les marques ?

Alors que les cours des crypto-monnaies sont au plus haut, les ventes records de NFT ("Non-Fungible Token" ou jeton non fongible en français) font désormais la une des journaux télévisés. La vente par Christie's en mars dernier de l'œuvre en format JPG de l'artiste américain Beeple pour 69 millions de dollars a ouvert les yeux du grand public sur le poids pris par les NFT dans le marché de l'art. Nous pouvons également citer les précurseurs CryptoPunks, commercialisés dès 2017, dont le prix des figurines virtuelles les moins chères de la collection s’élève aujourd’hui à plus de 400 000 euros et dont Visa a, cet été, fait l'acquisition de l’un d’entre eux pour matérialiser sa foi en l’avenir des NFT. Bien que l’apparition des NFT remonte à plusieurs années, 2021 marque l'accélération de l’intérêt des marques pour les NFT.

Quels enjeux pour le marketing ?

Face aux importants gains financiers que peuvent représenter les NFT, les marques ne doivent pas perdre de vue les fondamentaux du marketing lorsqu’il s’agit de préparer un lancement. Il convient, comme pour tout levier, de définir précisément l’utilisation qu’elles souhaitent en faire et les objectifs qu’elles souhaitent atteindre. Voici quelques cas d’usage pouvant marquer les premiers pas vers ce nouvel univers.

Construire sa future base de clients

Le succès de Taco Bell repose en grande partie sur la capacité de la marque à rester dans l’ère du temps. Taco Bell a poussé encore plus loin cet ancrage dans la jeunesse en mettant sur le marché des GIFs de tacos. Les NFT constituent en effet une opportunité de s’adresser à une clientèle plus jeune afin de construire une future base de clients. De nombreuses marques commercialisant des produits iconiques pourraient suivre cet exemple.

Fidéliser

Si l’acquisition de nouveaux clients constitue l’une des opportunités ouvertes par les NFT, ce n’est pas la seule. Les NFT peuvent tout à fait être utilisés comme levier de fidélisation. C’est l’opportunité sur laquelle Burger King a judicieusement sauté. Pour cela, l’enseigne de restauration rapide a placé plus de 6 millions de QR codes sur les emballages de ses célèbres sandwichs. Un partenariat avec la plateforme de trading NFT Sweet permet aux consommateurs scannant ces QR codes de collectionner et d'échanger des NFT. Le 4ème obtenu peut débloquer des récompenses telles qu’un approvisionnement gratuit d’un an en Whopper ou un appel avec l’un des artistes partenaires de l’opération.

Soutenir une démarche RSE

La RSE figure incontestablement parmi les grands enjeux des marques. C’est dans ce contexte que Charmin, marque de papier hygiénique de Procter & Gamble, a décidé de tirer bénéfice des NFT. Procter & Gamble a ainsi créé 3 œuvres numériques dont les fonds récoltés grâce à la revente doivent être reversés à l’organisation humanitaire Direct Relief. Si la démarche de la marque est louable, elle permet également d’amener des biens de consommation courante sur le terrain de la rareté, voire de l’exclusivité, une démarche s'apparentant dans le monde physique aux mécaniques des marchés du luxe pour un produit qui en est bien loin.

Ouvrir de nouvelles sources de revenu

Les NFT constituent enfin non seulement un moyen d’amplifier la résonance d’offres et produits existants mais ouvrent également de nouvelles sources de revenu. L’exemple de RTFKT Studios est en ce sens frappant. La néo-marque, qui ne commercialise aucun produit physique, est parvenue à vendre 600 paires de sneakers virtuelles en seulement 7 minutes. Les acheteurs ont pu depuis recevoir une paire physique mais leur valeur est bien moindre que leur équivalent digital. La marque a par la suite capitalisé sur cette réussite et mis sur le marché de nouvelles sneakers pouvant être portées dans les jeux vidéo de l’éditeur Atari (et peut-être demain dans des métavers). Ce cas d’usage, dont l’adoption est croissante, montre que nous serions ainsi face à des stratégies d’entreprise de type “océan bleu” visant à s’écarter de marchés ultra-concurrentiels pour rechercher des relais de croissance dont la rentabilité est plus élevée, les perspectives de croissance plus fortes et la pression concurrentielle moindre.

Source : Journal Du Net

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Huit questions sur les NTF.

1. Que signifie NFT ?

En langue anglaise « Non fungible token », signifie un « jeton non fongible ». Plus précisément, les NFT correspondent à une sorte de crypto-monnaie et elles ont servi récemment des transactions de plusieurs millions de dollars notamment dans le domaine de l’art. S’il s’agit bien d’une cryptomonnaie, celle-ci est différente, par exemple, du bitcoin, dans la mesure où chaque bitcoin est identique et peut servir lors d’une transaction, s’échanger. Le NFT, quant à lui, est un patrimoine unique, non démultiplié comme l’est une monnaie. Cette technologie date de 2017.

2. A quoi cela sert-il ?

Par le biais de la blockchain (technique de stockage et de transmission de l’information), les NFT vont permettre d’authentifier et de garantir la propriété d’un objet numérique et notamment d’une œuvre d’art. Il s’agit donc d’un registre ultra-sécurisé authentifiant un titre de propriété, à un certificat attestant des droits du propriétaire. Surtout le NFT garantit que l’œuvre créée par un artiste est unique, même si elle peut être vue de tous.

3. Quelles sont les illustrations de ces principes ?

L’artiste américain Beeple, de son vrai nom Mike Winkelmann, a vendu aux enchères par l’intermédiaire de Christie’s le 11 mars 2021, une œuvre numérique correspondant à des collages virtuels pour un montant de 69,3 millions de dollars. Cependant, mis à part les créations artistiques, certains « objets numériques » sont susceptibles de devenir des pièces de collection par leur symbolique, comme par exemple un vieux manuscrit original, une robe de Marilyn, le premier tweet de Jack Dorsey le fondateur de Twitter…

4. A quoi peut-on comparer un NFT ?

Le site lebigdata répond à cette question : « On peut comparer un NFT à une carte à collectionner unique en son genre, disposée dans une vitrine ouverte et que tout le monde peut admirer. La seule spécificité est qu’il appartient à une seule et unique personne à un moment donné. Dans la pratique, il peut se représenter à travers une œuvre d’art numérique, une image. En soi, c’est l’existence même en tant qu’objet numérique dans la blockchain qui rend un NFT unique ».

5. Quel est l’intérêt d’un NFT ?

Le titulaire du NFT est le seul à être titulaire du droit de propriété sur l’œuvre, c’est le plaisir d’être propriétaire d’une œuvre unique.

6. L’œuvre d’art dont l’authenticité est garantie par un NFT est-elle susceptible de copie ?

Toute œuvre artistique est susceptible d’être copiée et les textes du droit commun s’appliqueront. En tout état de cause, le demandeur devra prouver :
 La titularité de ses droits ;  L’originalité de l’œuvre invoquée ;  La contrefaçon, et donc le caractère illicite de la reproduction ;  Son préjudice tant matériel que moral.

7. Que serait une contrefaçon du titre de propriété représenté par un NFT ?

La contrefaçon matérielle d’un NFT serait établie par une copie illicite du titre de propriété. En pratique, il pourrait s’agir d’une vente illicite d’un NFT par une personne qui n’en serait pas titulaire et donc de l’utilisation d’un faux titre de propriété. Une telle copie pourrait entraîner la qualité de faux, et donc des poursuites au niveau pénal.

8. Quels sont les textes applicables ?

Si le titre garanti par le NFT désigne un droit d’auteur, les textes applicables sont ceux qui s’appliquent aux droits d’auteur de façon générale. Pour le reste, les textes de droit commun devraient trouver application, et notamment les textes relatifs au faux et usage de faux, voire escroquerie, prévus par le Code pénal. Il n’existe toutefois aucun texte spécifique à ce jour. Des poursuites pénales ou civiles pourraient donc être lancées en invoquant les textes existant, et en matière de droit d’auteur, les articles L335-2 et suivants du Code de la propriété intellectuelle. L’art numérique constitue un domaine de prédilection des NFT. Cependant, cette crypto monnaie devrait pouvoir s’appliquer à bien d’autres domaines à l’avenir au-delà de l’œuvre d’art.

 

Source : Village de la justice

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Quel modèle économique choisir en 2021 ? Exemples de stratégies gagnantes

L’exemple de modèle économique en 2021 : la virtualisation

Parce qu’il nous a été littéralement impossible de nous rencontrer dans le monde physique pendant plusieurs mois, les espaces virtuels ont pris une place grandissante dans notre quotidien. Le modèle économique de virtualisation répond précisément à cette transition du réel au digital. Il décrit l’imitation d’une activité traditionnellement physique dans un environnement virtuel. L’avantage pour l’utilisateur est la possibilité de pouvoir interagir avec un bien ou un service, peu importe où il se trouve. C’est le cas par exemple des espaces de travail en ligne. En échange de cet accès dématérialisé, l’utilisateur paie un abonnement (le plus souvent sur le modèle freemium, que l’on détaillera par la suite). La généralisation du travail à distance et les difficultés rencontrées pour voyager ont ainsi permis à des outils de collaboration comme Zoom de dépasser les 300 millions d’utilisateurs. Idem pour les plateformes dédiées à l’organisation d’évènements digitaux, et notamment de webinars (comme Demio et WebinarNinja). Sans oublier les nouveaux acteurs du tourisme virtuel, tels que National Geographic Explore VR.

Le modèle Freemium

C’est certainement l’un des modèles économiques les plus employés par les entreprises. Le Freemium consiste à offrir un produit ou un service “basique” gratuitement, et de ne faire payer que les fonctions premium. Idéal pour faire grimper rapidement son nombre d’utilisateurs (et donc hautement scalable), il permet surtout de créer une habitude chez le consommateur. Et ce faisant, de l’inciter plus efficacement à se convertir en client payant. Ce modèle est particulièrement adapté pour les produits ou services présentant des coûts marginaux faibles. Ou pour lesquels les dépenses en marketing et information client ont une valeur supérieure aux coûts d’exploitation. La clé du freemium est également la conversion. Pour fonctionner, les entreprises doivent trouver une solution gratuite qui soit suffisamment attractive pour le client. Mais pas complètement satisfaisante, afin de le convaincre de sauter le pas. Par exemple, en intégrant des publicités en version gratuite, ou en limitant d’une manière ou d’une autre l’accès aux fonctionnalités. Parmi les entreprises qui ont misé sur ce modèle, on peut bien sûr citer des plateformes comme Spotify, Canva, ou encore Mailchimp. Google est également un excellent exemple de service freemium. Le leader de la recherche en ligne propose en effet sa technologie gratuitement, tout en faisant payer les annonceurs via Adwords et AdSense. MySQL utilise quant à elle le modèle de double licence, soit une sorte de freemium inversé. Ses clients paient pour le produit de base. Mais ils peuvent utiliser certains services gratuitement, sous certaines conditions.

Le modèle par abonnement

Autre exemple de modèle économique très populaire, l’abonnement consiste à faire payer des frais réguliers au client pour l’accès à un service ou à un produit, généralement sur une base mensuelle ou annuelle. Une formule gagnante pour les deux parties, puisque le client bénéficie de coûts d’utilisation inférieurs et d’une plus grande disponibilité. L’entreprise, quant à elle, s’assure un flux de revenu plus stable. La raison du succès de ce modèle commercial est que tout peut devenir un service. L’abonnement réduit la barrière à l’entrée en proposant des Solutions as a Service (ou SAAS) qui permettent de transformer les dépenses en capital en dépenses opérationnelles. C’est le cas pour Slack, Shopify ou encore Hubspot, qui rendent leurs logiciels accessibles sans que les utilisateurs aient à investir de grosses sommes d’argent au départ. L’explosion du streaming dans le secteur du divertissement s’est également reposée sur ce business model, par le biais d’acteurs comme Netflix ou Disney +.

Le bundling

Le modèle économique de bundling (ou “regroupement” en français) consiste justement à regrouper des produits ou services complémentaires en une seule et même offre. Une stratégie qui n’a rien de nouveau, puisqu’elle est utilisée par Microsoft Office, ou encore les grandes compagnies d’assurance. Mais le bundling ne se limite pas aux organisations individuelles. Deux entreprises peuvent former un partenariat et se baser sur ce modèle pour fournir des produits ou services complémentaires. La numérisation offre encore plus de possibilités de bundling. De nombreuses opportunités existent dans les domaines de la data ou du support après-vente. Attention cependant à bien en comprendre les risques. Le regroupement peut en effet nuire à la vente de produits ou de services séparément en modifiant la perception qu’ont les clients de leur valeur unique. Et bien que la digitalisation facilite le conditionnement et la commercialisation d’offres groupées, elle donne également aux clients la possibilité de casser ces derniers pour éliminer les éléments sans valeur ajoutée.

Le modèle économique de la localisation

La pandémie ayant représenté un sérieux revers pour la mondialisation, et un agent perturbateur pour les réseaux de production mondiaux, le modèle commercial de la localisation a de grandes chances de s’imposer en 2021. Il décrit une vision holistique de la manière dont une entreprise, ou un écosystème circulaire, sont intégrés dans leur environnement géographique. L’utilisation de ressources locales dans une zone limitée réduit les impacts environnementaux négatifs (résultant de la consommation d’énergie pour leur transport). Mais elle offre surtout à l’entreprise la possibilité d’accroître la maîtrise de sa chaîne d’approvisionnement. Ce modèle économique fait office d’exemple dans l’industrie alimentaire. C’est le cas par exemple d’inFarm, une entreprise d’agriculture urbaine qui intègre des unités de culture en intérieur dans les rayons légumes des supermarchés. Mais aussi dans le textile, avec des marques comme Veja.

Exemple de modèle économique : le Long Trail

Le modèle économique Long Trail consiste à passer d’une proposition de valeur ciblant uniquement les clients les plus rentables, à une proposition de valeur supplémentaire s’adressant à la fois aux consommateurs de produits populaires et à ceux de niche. L’idée est de miser sur les produits à faible demande ou à faible volume de vente. Ces derniers peuvent en effet constituer, de manière collective, une part de marché qui rivalise ou dépasse les quelques best-sellers d’une entreprise. A condition que son canal de distribution soit suffisamment important. Le modèle Long Trail fonctionne donc tout particulièrement pour le secteur de la vente au détail en ligne. Mais aussi auprès des plateformes et médias de divertissement, auxquels il permet d’offrir plus de valeur via une offre plus inclusive. C’est-à-dire, qui ne se base pas uniquement sur ce qui marche pour le plus grand nombre. Ce modèle a le mérite d’augmenter les revenus de l’entreprise à moindre coût. Mais aussi d’améliorer son marketing et de compenser une éventuelle mauvaise compréhension des attentes de son marché. Une stratégie adoptée par exemple par Ebay ou Amazon, qui réalise la moitié de ses ventes en dehors de ses 130 000 bestsellers. Idem pour des services de VOD comme Netflix, qui a évolué vers l’octroi de licences pour un grand nombre de films de niche.

Les Digital Native Vertical Brands

Les Digital Native Vertical Brands (aussi appelées Direct to Consumer brands) sont à la mode ces dernières années. Elles s’inscrivent dans un modèle économique reposant sur la suppression des intermédiaires, de la fabrication du produit à sa distribution. Au croisement entre innovation technologique et nouveau modèle commercial, ces entreprises ont un énorme potentiel de croissance. Notamment parce que leur activité est presque entièrement pilotée par la data. Créés en ligne, les DNVB développent leur univers de marque, interagissent avec leurs clients et vendent leurs produits via Internet. Leur succès dépend également d’une attention quasi obsessionnelle à l’expérience client. Mais aussi de la création d’un lien émotionnel très fort avec leur communauté. Et ce même lorsqu’elles passent du virtuel aux points de vente physiques. Elles continuent en effet de proposer une expérience de marque personnalisée à travers leurs réseaux, ou des partenariats sélectifs qui leur permettent de contrôler leur canal de distribution. Initié aux Etats-Unis (avec des marques pionnières comme NastyGal ou Glossier) ce modèle économique a également essaimé en France et à l’étranger. On peut citer des DNVB comme Sézane, Yse ou Gemmyo dans l’hexagone, ou encore Quay en Australie.

 

Source : EDHC

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  • 2 weeks later...

Disons que là tu as une chute vertigineuse et c'est le cas sur toute les cryptos

https://coinmarketcap.com/currencies/bitcoin/?period=7d

 

Perso je n'ai pas de bitcoin, mais les autres monnaies suivent la même courbe.

En réalité je ne suis pas inquiet, c'est peut être même le bon moment de remettre un billet dessus :rolleyes:

 

 

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  • 2 weeks later...

Fin de partie pour le diem/libra, le projet de cryptomonnaie de Facebook, qui avait été attaqué par tous les régulateurs bancaires occidentaux...
(ce qui a déclenché le lancement de leurs propres projets de devise numérique souveraine ... sous le contrôle de leur banque centrale)

https://www.numerama.com/tech/838501-diem-la-crytomonnaie-de-facebook-est-officiellement-morte.html

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Et de deux !

Après le Salvador, la République centrafricaine décide de rendre obligatoire à tous les agents économiques d'accepter le bitcoin en mode de règlement des transactions (même si ça ne se fera pas tout de suite, la décision est prise, l'organisation pas encore définie)

(...) Selon le ministre de l’Économie numérique, des Postes et Télécommunications, Justin Gourna Zacko, l’objectif est d’abord de définir un cadre légal pour la cryptomonnaie. Mais au delà, il souhaite la mise en place d’un environnement favorable au secteur financier. Les contributions fiscales pourront être payées en cryptomonnaies à travers les plates-formes reconnues et autorisées par le Gouvernement. De plus, tout agent économique est tenu d’accepter les cryptomonnaies comme forme de paiement lorsqu’elles sont proposées pour l’achat ou la vente d’un bien ou d’un service.

(...) Pour l’instant, il s’agit d’un simple projet de loi qui a été adopté. Il est encore trop tôt pour en confirmer son application effective et en mesurer les effets concrets dans la vie du pays. Une affaire à suivre donc…

Plus que 195 pays membres de l'ONU qui restent à l'écart :happy: ...

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Il y a 23 heures, g4lly a dit :

C'est quand même assez spécial de choisir le BT comme monnaie commune ?!

L'avantage est de ne pas dépendre d'un autre Etat. Quand on voit les seaux de merde qu'on se prend pour le CFA ou les difficultés qu'ont certains pays qui utilisent le dollar comme monnaie officielle sans pouvoir en créer eux-mêmes (le Monténégro utilise l'euro, par exemple), choisir le Bitcoin comme monnaie permet de ne dépendre que du marché mondial, et pas des variations d'autres monnaies.

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37 minutes ago, Heorl said:

L'avantage est de ne pas dépendre d'un autre Etat. Quand on voit les seaux de merde qu'on se prend pour le CFA ou les difficultés qu'ont certains pays qui utilisent le dollar comme monnaie officielle sans pouvoir en créer eux-mêmes (le Monténégro utilise l'euro, par exemple), choisir le Bitcoin comme monnaie permet de ne dépendre que du marché mondial, et pas des variations d'autres monnaies.

A la place de dépendre d'un état ... tu dépends de n'importe qui ...

... et accessoirement le rôle de la monnaie est avant tout politique ... qu'il y ait un état - ou du moins une instance étatique, si c'est une zone monétaire - aux commandes de la monnaie en question permet justement ces ajustements politiques - et fiscaux -, sans quoi la zone est non viable.

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il y a 5 minutes, g4lly a dit :

A la place de dépendre d'un état ... tu dépends de n'importe qui ...

... et accessoirement le rôle de la monnaie est avant tout politique ... qu'il y ait un état - ou du moins une instance étatique, si c'est une zone monétaire - aux commandes de la monnaie en question permet justement ces ajustements politiques - et fiscaux -, sans quoi la zone est non viable.

Oui, ça n'a pas que des avantages, surtout quand on voit le yoyo que le Bitcoin fait depuis plusieurs années.

Mais la monnaie n'est pas que politique, ça c'est quelque chose qui se surajoute sur elle, dans les faits n'importe qui peut créer une monnaie. Il faut juste remplir trois caractéristiques : unité de compte, réserve de valeur et intermédiaire des échanges. Le Bitcoin remplit ces critères.

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  • 3 weeks later...

La déroute de TerraUSD se poursuit, Terra (LUNA) a perdu plus de 99% de sa valeur

https://fr.investing.com/news/cryptocurrency-news/chute-catastrophique-de-95-en-7-jours-pour-la-crypto-terra-luna--fin-du-projet--2089515

 

Inutile de vous dire que je fais partie des victimes, mes 850 euros de LUNA transformés en 38 centimes,

mais je le vis bien

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7 hours ago, Banzinou said:

Inutile de vous dire que je fais partie des victimes, mes 850 euros de LUNA transformés en 38 centimes,

C'était quoi la démarche qui t'a amener à acheter cette "valeur"? La même que celle qui t’amène à jouer à l'euromillion?

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C'était dans le top 10 des cryptos sur le marché, c'était un projet nouveau et novateur.

Après en soi la perte je relativise, je n'ai mis que de l'argent que je pouvais perdre, mais je me dis qu'un mec qui avait 1 million, ça s'est transformé en 500 euros.

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12 hours ago, Banzinou said:

C'était dans le top 10 des cryptos sur le marché, c'était un projet nouveau et novateur.

Après en soi la perte je relativise, je n'ai mis que de l'argent que je pouvais perdre, mais je me dis qu'un mec qui avait 1 million, ça s'est transformé en 500 euros.

La question c'est surtout quel est l'objectif d'investir dans un produit qui est sensé être un tracker du dollars? Ou du moins de traquer un tracker du dollar?

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Il y a 9 heures, g4lly a dit :

La question c'est surtout quel est l'objectif d'investir dans un produit qui est sensé être un tracker du dollars? Ou du moins de traquer un tracker du dollar?

Si j'ai bien suivi, Banzinou n'a pas acquis de Terra USD (le jeton tracker du dollar US) mais des Luna (le jeton, spéculatif pour le coup, permettant d'assurer de manière algorithmique la stabilité du Terra). Les deux jetons sont liés : l'investissement dans le Luna devait assurer - cela était du moins vendu ainsi - la stabilité du Terra.

Modifié par Skw
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14 hours ago, Skw said:

Si j'ai bien suivi, Banzinou n'a pas acquis de Terra USD (le jeton tracker du dollar US) mais des Luna (le jeton, spéculatif pour le coup, permettant d'assurer de manière algorithmique la stabilité du Terra). Les deux jetons sont liés : l'investissement dans le Luna devait assurer - cela était du moins vendu ainsi - la stabilité du Terra.

Oui c'était un monnaie un peu volatile qui absorbait la volatilité USD<->USDT mais ce n'était pas sensé être un produit particulièrement volatile ni particulièrement haussière. C'était avant tout un intermédiaire de minage intéressant pour les mineurs et ceux qui gère des nœuds de transaction.

J'ai du mal à comprendre en quoi le joueur de loto pouvait s'y intéresser particulièrement.

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il y a 11 minutes, g4lly a dit :

Oui c'était un monnaie un peu volatile qui absorbait la volatilité USD<->USDT mais ce n'était pas sensé être un produit particulièrement volatile ni particulièrement haussière. C'était avant tout un intermédiaire de minage intéressant pour les mineurs et ceux qui gère des nœuds de transaction. J'ai du mal à comprendre en quoi le joueur de loto pouvait s'y intéresser particulièrement.

Alors que l'on avait originellement des personnes qui cherchaient une manière alternative de penser/frapper/gouverner la monnaie et par la même les transactions, j'ai bien l'impression que la très grande majorité (> 99 %) de ceux qui créent de nouvelles monnaies ou investissent dans de nouvelles monnaies actuellement n'ont pas d'intérêt profond pour les services spécifiques que peut offrir la monnaie dans laquelle ils investissent.

Je serais bien curieux de savoir combien d'investisseurs dans les cryptomonnaies se sont réellement penchés sur la théorie monétaire. Cela me fait d'ailleurs toujours rires de lire/entendre des personnes se vendant comme experts des cryptomonnaies expliquer qu'ils en sont venus à celles-ci par intérêt pour les nouvelles technologies et la blockchain. Admettons qu'ils aient une réelle compréhension de la dimension technologique. En revanche, j'ai l'impression que la plupart d'entre eux ne comprennent pas grand chose à la question monétaire. Du moins, pas plus que moi... et ce n'est pas rassurant pour eux !

Il est vrai qu'on a également une tonne d'actionnaires qui investissent dans des boîtes dont ils ne comprennent pas vraiment le cœur de métier et la structuration du marché dans lequel elles œuvrent sans que cela n’émeuve personne.

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Il y a 5 heures, g4lly a dit :

Oui c'était un monnaie un peu volatile qui absorbait la volatilité USD<->USDT mais ce n'était pas sensé être un produit particulièrement volatile ni particulièrement haussière. C'était avant tout un intermédiaire de minage intéressant pour les mineurs et ceux qui gère des nœuds de transaction.

J'ai du mal à comprendre en quoi le joueur de loto pouvait s'y intéresser particulièrement.

Mais le plus drôle dns tout ça, c'est que si tu posais un billet, allez, on va dire 100 dollars sur le LUNA hier à 16 h à son plus bas niveau....

Tu te retrouvais avec 80 000 dollars en début d'après midi aujourd'hui, certains ont fait un x800 (voir plus) :bloblaugh:

 

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