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Crise grecque, crise européenne ?


Alexis
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Mouais avec des Wolfang Schlauble ..( ce gars déshonore son illustre prénom),  le seul choix qui restera aux pauvres c'est de tendre la main droite ou la main gauche .... ou de prendre un contrat de travail à 1 € de l'Heure ... idée généreuse de la Grande Allemagne qui souhaite la voir appliquée  à toute l'Europe .. donc retour au XIX siècle et à Zola.... Nous Français avons voté pour cet idéal Européen ? rassurez moi .....

 

Quand aux Vrais Finlandais qui veulent quitter l'Euro et voir les Grecs quitter l'Euro ... bref ces gars ils ne connaissent que le mot quitter -  ... C'est comme si c'était un diktat de Marine le Pen dans une grande coalition  UMP-FN...... "povre de nous !"...accepté par Bruxelles

Comme quoi l'histoire a de fâcheuses tendances à rapprocher toujours les mêmes......

 

Si les Grecs quittent l'Euro  je leur conseille aussi de quitter l'Union Européenne et de rentrer dans le giron Russo-Chinois .. au moins ils auront de bonnes raisons d'être  mis à l'Index... et en ce qui les concerne de nous tendre fierement leur  majeur en un magnifique doigt d'honneur qui signera la fin de l'Europe-  et je suis persuadé qu'un tel tremblement de terre donnera à réfléchir ! On pourra bientot faire pareil aussi  puisqu'on serait le prochain ;;;; sur la liste de Wolfgang S. 

 

PS la fusion avec l'Allemagne etait possible ..a 2-3  avec la Belgique ont aurait pu faire un coeur d'Europe en une 20 aine d'année la chose était entendu. on serait bilingue  - les Belges le sont déjà pour certains d'entres eux et les Suisses aussi. On pouvait harmoniser tout le reste sans problème (éducation, justice, taxe et impôts) ...chacun mettant de l'eau dans son vin et la motivation en sus,  on aurait été une puissance mondiale respectée ......Merkel a préféré la jouer solo... et se tourner vers l'Est avec les neo -junker....

Modifié par Zarth Arn
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Je reste possitif car l'Europe à toujours grandit dans la douleur

 

Avec cette crise on peut voir les personnes irresponsables, bornés.

Il faudra bien réorgnaniser la dette Grec même le FMI le pense et même réorganiser celle d'autre pays.

 

Ce Wolfang Schlauble est le parfait prototype du technocrate européen.

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Grexit ou pas : la zone euro s'affronte à Bruxelles

Bruxelles - Les dirigeants de la zone euro devaient décider dimanche à Bruxelles du sort de la Grèce et s'affrontaient entre ceux qui ne veulent pas d'un accord à tout prix et ceux qui refusent au contraire une sortie de la Grèce de l'union monétaire, symbole pour eux d'un échec du projet européen.

Leader du camp des durs, la chancelière allemande Angela Merkel a affirmé qu'il n'y aura(it) pas d'accord à n'importe quel prix pour sauver la Grèce, en arrivant dimanche au sommet des chefs d'Etat et de gouvernement de la zone euro à Bruxelles.

La valeur la plus importante, à savoir la confiance et la fiabilité, a été perdue avec Athènes, a ajouté la chancelière qui a promis des négociations ardues.

Elle est rejointe sur cette ligne par plusieurs pays dont Malte. Le Premier ministre, Joseph Muscat, a estimé qu'il y a une limite à tout chose, laissant entendre qu'il faut laisser le pays sortir de l'euro. Nous discutons de toutes les options possibles, a-t-il insisté, même s'il a dit espérer un accord.

En face, la France oeuvre pour que la Grèce reste dans la zone euro. L'enjeu, c'est de savoir si la Grèce sera demain dans la zone euro, et l'enjeu c'est l'Europe. (...) La France va tout faire pour trouver un accord ce soir, permettant à la Grèce, si les conditions sont remplies, de rester dans la zone euro et permettant à l'Europe d'avancer, a déclaré le président François Hollande.

Très impliqué dans ces négociations de la dernière chance, le président de la Commission européenne, Jean-Claude Juncker, a promis de se battre jusqu'à la dernière milliseconde pour avoir un accord, en arrivant au sommet à Bruxelles.

Il ne s'agit pas d'un accord, mais de la cohésion de l'Europe, a renchéri le président du Parlement européen, l'Allemand Martin Schulz. C'est la responsabilité de tous, a-t-il insisté.

D'autres dirigeants sont plus partagés à l'instar du Luxembourgeois Xavier Bettel. Notre but est de garder la Grèce dans la zone euro mais il y a des conditions. Nous espérons avoir des résultats aujourd'hui (dimanche), a-t-il affirmé.

Ce que je vois dans ces négociations est un manque de confiance dans le gouvernement grec, a souligné de son côté le Slovène Miro Cerar. J'espère qu'on pourra rebâtir cette confiance d'une façon ou d'une autre, a-t-il souligné, mais c'est aux Grecs de prouver qu'ils sont dignes de confiance.

(©AFP / 12 juillet 2015 16h22)

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Fin de l'Eurogroupe, la Grèce doit voter des lois d'ici mercredi

Les ministres des Finances de la zone euro ont donné à la Grèce jusqu'à mercredi pour faire voter des lois et des réformes.C'est la condition préalable à l'ouverture de négociations sur un nouveau plan d'aide, a annoncé dimanche le ministre finlandais Alexander Stubb.

L'Eurogroupe a pris fin en s'accordant sur un texte commun qui va désormais être examiné par les chefs d'Etat et de gouvernement, également réunis à Bruxelles.

"Il y a une très bonne proposition sur la table (...) mais qui a une conditionnalité élevée, sur trois points", a dit le ministre finlandais. "Un, l'adoption de lois d'ici le 15 juillet. Deux, des conditions dures sur par exemple les réformes du marché du travail ou des retraites, la TVA ou les impôts. Trois, des mesures sévères aussi sur par exemple les privatisations.

"Ce paquet de mesures devra être approuvé par le gouvernement grec et par le Parlement grec, et alors on pourra regarder (pour ouvrir des négociations sur un plan d'aide)", a ajouté Alexander Stubb.

Jeroen Dijsselbloem, le président de l'Eurogroupe, a confirmé qu'une proposition serait soumise aux chefs d'Etat et de gouvernement. "Nous avons fait un long chemin mais il reste quelques problèmes importants à régler, ce sera aux chefs de gouvernement de décider", a-t-il dit à la sortie de la réunion.

"Il y a eu des progrès aujourd'hui, même si des divergences de points de vue demeurent. C'est maintenant aux chefs d'Etat ou de gouvernement de trouver une solution", a renchéri le commissaire européen Pierre Moscovici.

(ats / 12.07.2015 16h52)

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Je pense que il faudrait faire tomber Schlaube de son siège handicapé ....   il touchera du doigt ce que ça fait que de devoir ramper   à cause des mesures d'autérité qu'il veut voir imposer au autres.....et il reviendra vite à la raison.

 

Mais bon plus il y a de SSchlaube en Prusse et moins je suis Européens.... (en plus ce Prussien il est né à Fribourg ....)

 

Merci pour le poème de Musset, que je ne connaissais pas :)

 

Pour le reste, je crois qu'il est préférable de ne pas personnaliser exagérément les politiques. Il est clair que Schaüble défend fermement la politique consistant à maltraiter et humilier la Grèce afin de renforcer le pouvoir allemand sur le système de l'eurozone. Cela dit, ce n'est pas le seul à vouloir appliquer cette politique, et il n'est même pas le décisionnaire principal. La chancelière qui peut bien utiliser tel ministre pour éviter de se salir les mains et protéger son image, mais c'est bien elle qui dirige.

 

Je distingue deux problèmes :

 

- Le plus évident est que le gouvernement allemand se comporte mal. Ce n'est pas le fait qu'il défende une politique faillie qui est le cœur du problème. Ni qu'il défende une politique égoïste et à courte vue.

 

Non, le problème ce sont les moyens choisis pour défendre cette politique. L'étouffement économique avec une véritable guerre financière - par l'intermédiaire de la BCE, l'attaque contre la démocratie - un gouvernement régulièrement élu que l'on cherche à renverser, et par-dessus le marché le mépris et les moqueries.

 

Ce problème est bien réel, il n'est pas question de le nier. Je regrette vivement - et pour tout dire j'ai honte - que notre président soit si vite revenu en mode Flamby, demandant gentiment au gouvernement Merkel de bien vouloir être un peu plus raisonnable, plutôt que de lui intimer d'avoir à changer son comportement. La bonne réponse serait de rappeler au gouvernement allemand que s'il a envie de jouer, la France aussi va se mettre à jouer, et qu'il risque de ne pas être déçu du voyage.

 

Aussi irritant ce problème soit-il, ce n'est cependant qu'un problème conjoncturel.

 

- Le plus fondamental est le problème des institutions européennes, d'abord de l'euro puis des règles qui gouvernent sa gestion.

 

Il est fondamental parce que c'est le fait de partager la même monnaie qui force les pays européens à avoir à la place de politiques monétaires, budgétaires et économiques diversifiées correspondant à leurs besoins particuliers, une politique unique qui est au fond pour tous - même pour l'Allemagne - une inconfortable cote mal taillée.

 

L'augmentation continue dans les dernières années des sujets de mésentente, puis de discorde, entre pays de l'eurozone, découle de là. Vous pouvez vous entendre parfaitement avec vos voisins, mais si vous décidez d'habiter tous dans la même grande maison, de partager portefeuille et cuisine et de tout gérer ensemble, vous ne tarderez pas à vous disputer.

 

Alors le facteur de force redeviendra central, car quand chacun tente de tirer la politique unique dans le sens favorable à ses intérêts, c'est le plus fort qui l'emporte. Et s'il faut pour cela écraser quelques orteils, voire casser un bras ou deux, eh bien il s'y résoudra tôt ou tard.

 

C'est là un problème structurel.

 

 

 

Ce que beaucoup de gens n'ont pas encore vu, c'est que les souverainistes sont les seuls à défendre l'avenir de la bonne entente entre pays européens. Tant que le projet européen n'aura pas été réduit au strict minimum confortable pour tous, cette entente ne cessera pas de se dégrader.

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De mémoire, c'est un ministre d'un gouvernement issu d'un Parlement démocratiquement élu. À la proportionnel pure.

Il n'est donc en rien "technocrate".

Mouais, un gouvernement elu qui a des liens tres etroit avec l'eurogroupe et qui a decide qu'il etait temps de tuer un otage pour montrer qu'ils (l'Allemagne ou l'eurogroupe, je vous laisse choisir) ne plaisantaient pas. Obama a bien passe un coup de fil a Tsypras pour lui faire comprendre ou etait la raison, avec Merkel il a pas besoin, elle est deja d'accord: keine Einigung um jeden Preis! n'importe comment les grecs vont saigner...

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Espagne, Portugal, Italie : ce que l’austérité a vraiment produit comme résultat sur les autres économies du sud de l’Europe

L'austérité n'a pas eu les effets escomptés en Grèce, mais des pays comme l'Italie, l'Espagne et le Portugal en ont peut-être retiré plus de bénéfices. Analyse des reformes économiques de ces trois pays du sud de l'Europe.

Read more at http://www.atlantico.fr/decryptage/espagne-portugal-italie-que-austerite-vraiment-produit-comme-resultat-autres-economies-sud-europe-mathieu-mucherie-2228530.html#C3yQ2pjxe3AiWotu.99

 

 

 

 

Cet étrange faisceau d’indices qui peut laisser penser que les Grecs seraient en fait en train de tout mettre en oeuvre pour sortir à terme de la zone euro

Plusieurs indices portent à croire que la Grèce aurait organisé sa banqueroute. À défaut de pouvoir se sortir d'une crise dans laquelle elle s'est empêtrée, la Grèce a beaucoup à gagner (quelques 300 milliards d'euros...) à sortir de la zone euro, sitôt qu'elle aura fait défaut. Analyse de cette sortie de théâtre par Charles Gave.

Read more at http://www.atlantico.fr/decryptage/cet-etrange-faisceau-indices-qui-peut-laisser-penser-que-grecs-seraient-en-fait-en-train-tout-mettre-en-oeuvre-pour-sortir-terme-2232423.html#mgxERVfoPoro6fh0.99

 

 

 

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Ce qui est "marrant" dans cette histoire c'est le grand retour du cash en Grèce (et pas qu'au niveau des particuliers), qu'on essai de flinguer depuis qq années en Occident.

Modifié par Tonton Flingueur
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Mouais, un gouvernement elu qui a des liens tres etroit avec l'eurogroupe et qui a decide qu'il etait temps de tuer un otage pour montrer qu'ils (l'Allemagne ou l'eurogroupe, je vous laisse choisir) ne plaisantaient pas. Obama a bien passe un coup de fil a Tsypras pour lui faire comprendre ou etait la raison, avec Merkel il a pas besoin, elle est deja d'accord: keine Einigung um jeden Preis! n'importe comment les grecs vont saigner...

 

Comme tous les membres de l'eurozone...  =D  Et c'est heureux, l'eurogroupe c'est le conseil de ministres des finances des pays de la zone euro. 

 

Alexis, un minimum d’honnêteté serait de reconnaître que les problèmes de liquidités des banques grecques, c'est d'abord et avant tout dû au fait que les grecs ont vidé leurs comptes en banque, des grands qui les ont envoyé à l'étranger aux petits qui thésaurisent à la maison, par ce qu'on ne sait jamais. 

La BCE,  est allée aux limites de son mandat, en achetant des bons du trésor aux banques grecques, ce qui permettait à celles-ci de fournir le cash au gouvernement (opération neutre pour le gouv grec, puisque les bénéfices sont versés à la banque centrale grecque...) tout comme l'apport en liquidités, sur une si longue durée, est  aux limites du mandant, ...

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Cet étrange faisceau d’indices qui peut laisser penser que les Grecs seraient en fait en train de tout mettre en oeuvre pour sortir à terme de la zone euro

Plusieurs indices portent à croire que la Grèce aurait organisé sa banqueroute. À défaut de pouvoir se sortir d'une crise dans laquelle elle s'est empêtrée, la Grèce a beaucoup à gagner (quelques 300 milliards d'euros...) à sortir de la zone euro, sitôt qu'elle aura fait défaut. Analyse de cette sortie de théâtre par Charles Gave.

Read more at http://www.atlantico.fr/decryptage/cet-etrange-faisceau-indices-qui-peut-laisser-penser-que-grecs-seraient-en-fait-en-train-tout-mettre-en-oeuvre-pour-sortir-terme-2232423.html#mgxERVfoPoro6fh0.99

 

 

Le grand "défaut" de beaucoup de commentateurs,  c'est de tenter de "rationaliser"  un système qui n'est pas forcement le fruit d'une décision rationnelle ni même pensé à l'avance...  

On peut penser que "l'inconscient" de Varoufakis l'a conduit  vers une impasse ou dans une stratégie qui conduisait à l'impasse.  (ça, je peux penser que c'est  assez vrai) ça ne veut pas  dire que c'est, ou était, un projet  du gouv grec...  

 

Au passage, un "défaut" sur la dette n'efface pas la dette... 

Modifié par Fusilier
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Truc qu'il faut éviter de faire,  il faut toujours penser à l'utilisation après JO, les anglais ont bien réintégré leur installation après 2012

 

Les JO qui ont plombé la dette grecque : 13 milliards d'euros en ruine

 

voir diaporama

 

http://www.lefigaro.fr/conjoncture/2015/07/11/20002-20150711ARTFIG00006-les-jo-qui-ont-plombe-la-dette-grecque-13-milliards-d-euros-en-ruine.php

Modifié par zx
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A prendre avec prudence en attendant une version confirmée, mais selon Politico Europe, voici la liste des réformes que la Grèce doit mettre en oeuvre au plus tard mercredi 15 juillet comme condition à la discussion d'un éventuel plan de sauvetage.

 

- Une rationalisation de la TVA

- Un élargissement de l'assiette fiscale
- Un système de retraite durable
- Adopter un code de procédure civile, rassemblant toutes les règles de procédure
- Une meilleure surveillance sur la sauvegarde de l'indépendance judiciaire en Grèce
- Une complète mise en oeuvre des réductions de dépenses
- Travailler pour le redressement des banques
- Privatiser la grille de transmission électrique
- Prendre des actions sur les prêts non concluant
- Assurer une indépendance totale des privatisations
- Dépolitiser l'administration grecque
- Le retour de la Troïka (Union européenne, BCE, FMI) à Athènes

 

 

Si cette version est effectivement confirmée, alors une seule interprétation est possible : l'objectif de l'Eurogroupe mené par l'Allemagne et les pays suivistes - y compris la France donc - n'est pas d'humilier la Grèce, mais de l'expulser.

 

Indépendamment de savoir si elle est souhaitable, cette liste de réformes est absolument impossible à mettre en place en trois jours.

Modifié par Alexis
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Information similaire sur Le Monde

 

Le document de l'Eurogroupe confirme ce qu'avait annoncé le ministre des finances finlandais un peu plus tôt dans la journée : les ministres sont tombés d'accord sur des prérequis à tout déblocage d'une nouvelle aide financière par l'intermédiaire du Mécanisme européen de stabilité. Celles-ci impliquent l'adoption d'ici au 15 juillet de mesures par le Parlement grec.

Celles-ci comprennent, entre autres :

- Une modernisation de la TVA et un élargissement de la base de collecte de l'impôt
- Une réforme du système des retraites
- L'adoption d'un code de procédure civile, en vue d'améliorer le système judiciaire et de rationaliser ses coûts
- la préservation de l'indépendance de l'ELSTAT, l'agence grecque de la statistique
 
 
Il y a quelques jours, j'estimais assez hautes les chances de succès d'un accord, à 30 ou 40%
 
Maintenant, la seule possibilité restante pour un accord est une réaction forte de François Hollande ce soir-même - car il semble que le sommet ne soit pas achevé, il reprend. Sans être pessimiste, les probabilités sont plus basses qu'avant...
Modifié par Alexis
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sous 3 jours ..... Ridicule ...

 

Je sens que l''Europe aura du mal assumer le futur de la Grèce ... voir la Somalie au coeur de l'Europe  à cause de l'égoisme intransigeant de quelque uns... et appeler ces derniers "nos amis"  ça va être spectaculaire ! 

Les touristes allemands aussi ont 3 jours pour quitter la Grèce et ne jamais y revenir... après on ne répond plus de rien. 

Modifié par Zarth Arn
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 Une modernisation de la TVA et un élargissement de la base de collecte de l'impôt
- Une réforme du système des retraites
- L'adoption d'un code de procédure civile, en vue d'améliorer le système judiciaire et de rationaliser ses coûts
- la préservation de l'indépendance de l'ELSTAT, l'agence grecque de la statistique
 
Reprenons point par point, à supposer que ce soit cette liste en final.
 
La TVA et l’assiette de l'impôt. C'est dans la liste de réformes et ce n'est pas si compliqué à pondre.  
Réforme du système de retraites.  C'est aussi dans la liste de Tsipras, il suffit de passer à l'acte, quitté à pondre des décrets d'application détaillés par la suite.
La préservation de l'indépendance de l'ELSAT.  Ca ne mange pas de pain et c'est bien de disposer d'une source indépendante. 
 
Le code procédure civile. Là j'avoue que ça m'étonne un peu, c'est pas un truc que l'on peut pondre en 3 jours Ou alors ce code est prêt (travail de la task force avec les services du précèdent gouvernement)  et il suffit de voter. 
 
Bref, le fond de l'affaire, c'est vérifier la volonté et surtout qu'il y a une majorité au parlement grec pour ce faire. 
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Nan mais tu ne dépolitises pas une administration en trois jours (faut voir ce que cette phrase veut dire déjà, est-ce une loi ou sa mise en oeuvre pure et simple sous trois jours sous peine de porter atteinte au principe de continuité ?), tu ne privatises pas une grille de distribution électrique en trois jours et tu n'assures pas une indépendance totale des privatisations en trois jours (à moins de faire une braderie digne de la chute de l'URSS).

 

Un Code de procédure civile idem. Soit c'est déjà en cours comme tu dis soit cela va être une compilation infâme et illisible.

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Des nouvelles du front. Je suis remonté au compte twitter à partir du lien donné par Alexis. La traduction du Figaro sur certains points est assez singulière notamment celle sur le redressement des banques. Si je suis Politico il s'agit de transposer une directive ce qui signifie... faire ce que le gouvernement grec est supposé faire.   

 

On closer scrutiny only first 7 measures have to be approved by Wed the other 5 "within a satisfactory" timetable pic.twitter.com/u9LdGXROLN

— Tara Palmeri (@tarapalmeri)

July 12, 2015
Modifié par Chronos
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Nan mais tu ne dépolitises pas une administration en trois jours (faut voir ce que cette phrase veut dire déjà, est-ce une loi ou sa mise en oeuvre pure et simple sous trois jours sous peine de porter atteinte au principe de continuité ?), tu ne privatises pas une grille de distribution électrique en trois jours et tu n'assures pas une indépendance totale des privatisations en trois jours (à moins de faire une braderie digne de la chute de l'URSS).

 

Un Code de procédure civile idem. Soit c'est déjà en cours comme tu dis soit cela va être une compilation infâme et illisible.

 

 

Je ne suis pas sur, mais je crois que l'ELSAT est déjà indépendant, fruit du boulot de la task force, s'il ne s'agit que de garantir son statut actuel , ce n'est pas si problématique. 

 

Aux dernières nouvelles, c'est trois (3) mesures à voter. Actuellement, après la réunion de l'eurogroupe, il y a une réunion à trois: grecs, allemands et français; préparation de la réunion  du conseil des chefs de gouvernement...

Modifié par Fusilier
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Je ne suis pas sur, mais je crois que l'ELSAT est déjà indépendant, fruit du boulot de la task force, s'il ne s'agit que de garantir son statut actuel , ce n'est pas si problématique. 

 

Aux dernières nouvelles, c'est trois (3) mesures à voter. Actuellement, après la réunion de l'eurogroupe, il y a une réunion à trois: grecs, allemands et français; préparation de la réunion  du conseil des chefs de gouvernement...

 

Je ne réagissais pas par rapport à l'ELSAT mais plus par rapport à la dépolitisation de l'administration publique, soit toute l'administration.

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Je ne réagissais pas par rapport à l'ELSAT mais plus par rapport à la dépolitisation de l'administration publique, soit toute l'administration.

 

C'est évident qu'un vote ne changerait rien à l'affaire et personne ne peut le demander ou le croire sérieusement...

Attendons pour voir. Mais, je crois qu'il s'agit surtout de mettre la mécanique en route, de montrer que...

C'est ce dont le gouvernement allemand (et pas que lui)  a besoin pour l'emporter dans son parlement.    

Modifié par Fusilier
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Le grand "défaut" de beaucoup de commentateurs, c'est de tenter de "rationaliser" un système qui n'est pas forcement le fruit d'une décision rationnelle ni même pensé à l'avance...

On peut penser que "l'inconscient" de Varoufakis l'a conduit vers une impasse ou dans une stratégie qui conduisait à l'impasse. (ça, je peux penser que c'est assez vrai) ça ne veut pas dire que c'est, ou était, un projet du gouv grec...

Au passage, un "défaut" sur la dette n'efface pas la dette...

Sauf que c'est ce qui se passe. La Grèce siphonne de l'Euro. Et cela ne s'arrêtera qu'avec sa sortie.

Et pour le défaut, c'est ce qu'il précise.

C'est évident qu'un vote ne changerait rien à l'affaire et personne ne peut le demander ou le croire sérieusement...

Attendons pour voir. Mais, je crois qu'il s'agit surtout de mettre la mécanique en route, de montrer que...

C'est ce dont le gouvernement allemand (et pas que lui) a besoin pour l'emporter dans son parlement.

Rappelons que l'enjeu n'est pas de remporter un vote. Il est d'assainir une situation d'effondrement, rendre viable un système.

Il fallait écouter l'émission spéciale de BFM Business ce soir. Les éléments des journalistes sur place sont assez effarents et montrent combien on se fout de nous en disant qu'avec un vote tous serait régler.

Le fond de garanti est d'une naïveté confondante : les biens sont grecs et en Grèce. En cas de non paiement, comment va-t-on les récupérer ? En envoyant des chars ?

On nous prend pour des cons depuis le début.

Modifié par Serge
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