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[Chine] J-20


Henri K.
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Invité Dorfmeister
Il y a 4 heures, Henri K. a dit :

Elle confirme bien ce que je disais depuis le début, le J-20 est plus petit qu'un Soukhoï-like.

Les Su-27 et dérivés ont toujours été des appareils "lourds" et de grand gabarit; ce n'est pas une nouveauté en tant que telle (même si beaucoup l'oublient de nos jours). Ca répond à un besoin, mais bon ça c'est un autre débat.

Après je ne m'immisce pas dans les discussions taille et ingénierie: chacun ses perversions. :happy:

Modifié par Dorfmeister
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il y a 4 minutes, prof.566 a dit :

Ah je savais bien qu'il y avait une raison...

De mémoire ils ont tenté de gérer l'interférence de 4 vortex - pointe avant, canard, LERX et voilure, mais à confirmer.

il y a 2 minutes, Dorfmeister a dit :

Les Su-27 et dérivés ont toujours été des appareils "lourds" et de grand gabarit; ce n'est pas une nouveauté en tant que telle (même si beaucoup l'oublient de nos jours). Ca répond à un besoin, mais bon ça c'est un autre débat.

Après je ne m'immisce pas dans les discussions taille et ingénierie: chacun ses perversions. :happy:

Dans nos jours où le cerveau pousse au niveau des fesses et les yeux à la place du cerveau, ce n'est pas étonnant.

Couplé avec le fait qu'après la génération Y vient la génération A, A pour assistanat, on n'est pas sorti de l'auberge...

Henri K.

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Invité Dorfmeister
il y a 6 minutes, Henri K. a dit :

Dans nos jours où le cerveau pousse au niveau des fesses et les yeux à la place du cerveau, ce n'est pas étonnant.

Couplé avec le fait qu'après la génération Y vient la génération A, A pour assistanat, on n'est pas sorti de l'auberge...

Fais quand même gaffe de ne pas être trop aigri, tu vas finir avec un ulcère :tongue:

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@Henri K. : logique.

La prise de vue n'est pas isotrope. Il faut calibrer la déformation de l'image liée aux angles et au fait que les coins sont plus loin de l'objectif que le centre de la photo (et que l'on ne sait pas si elle n'a pas été recentrée par rapport à la prise de vue réelle, ce qui change encore tout).

L'idéal, c'est de connaître les dimensions des dalles de la piste, à supposer qu'elles soient constantes.

Il sera alors possible de voir la déformation de ces dalles à proximité de chacun des appareils pour pouvoir mesurer précisément les dimensions de ceux-ci (le tout avec le bruit jpeg d'une compression destructive et dégueulasse, d'où l'italique de précisément).

Modifié par FATac
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Le J-16 a l'air d'être complètement ignoré de notre Forum ( fonction de recherche ) ! Etonnant: ce J-11BS évolué renforcé ... apparemment "wild weasel" à la chinoise, pour faire le pendant au F-15E Strike Eagle , qui serait déjà équipant un régiment chinois entier !

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Peut-être justement parce qu'on ne sait rien ou presque du programme J-16, que l'idée d'en faire un Wild Weasel tient surtout à une seule photographie et que je ne suis pas convaincu qu'il existe déjà un régiment entier de J-16 déjà opérationnels.

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Il y a 6 heures, Ciders a dit :

Peut-être justement parce qu'on ne sait rien ou presque du programme J-16, que l'idée d'en faire un Wild Weasel tient surtout à une seule photographie et que je ne suis pas convaincu qu'il existe déjà un régiment entier de J-16 déjà opérationnels.

Opérationnel peut-être pas, mais produit il y a des chances.

Niveau performance aérodynamique, c.f. Su-30MKK/MK2, avec deux moteurs chinois WS-10.

Niveau avionique, un nouveau radar à antenne AESA de l'Institut 607 d'AVIC, une nouvelle suite "Made in China" pour les armements locaux, et au moins on sait qu'il a un mono-écran tactile, c'est un peu près tout.

14Rwk2E.jpg

Et il existe une variante EW pour la guerre électronique

6M8dwSh.jpg

Henri K.

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Invité Dorfmeister

Il n'en parle pas parce qu' @Henri K. est un gros raciste anti avions Russes et assimilés; "ça manque de saveur" dixit l'intéressé. Sois honnête, t'es juste une grosse feignasse qui n'y connaît rien ouais! :tongue::tongue:

Plus sérieusement, ce que j'ai encadré en rouge est un radar latéral, non? :happy:

171103093243803474.jpg

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Il y a 1 heure, Henri K. a dit :

Pour beaucoup, la "bataille" n'est toujours pas finie...

Henri K.

Tant qu'il n'a pas démontré que ses pixels étaient isotropes et couvraient la même distance (secteur angulaire couvert et distance à l'objectif), ses mesures ne valent rien.

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Il y a 2 heures, FATac a dit :

Tant qu'il n'a pas démontré que ses pixels étaient isotropes et couvraient la même distance (secteur angulaire couvert et distance à l'objectif), ses mesures ne valent rien.

J’ai la même approche que toi FATAC. Il manque quelques paramètres pour que ce calcul au doigt mouillé puisse dégrossir un élément de distance.

Cela dit, il me semble que pour une source photographique (satellitaire ou non), seule le registre de la photogrammétrie tridimensionnelle autorise un ensemble de résultats significativement exploitables. Hors ici-bas et sur AD, nous aurions cette ambition, non ?

Une source photo stéréoscopique (donc à seulement deux photos) est techniquement exploitable, mais sensiblement moins fiable qu’une source multiple (trois, quatre ou dix photos). Le registre satellitaire est globalement assez pauvre dans le domaine des différences de prise d’angles, même si  mathématiquement le GAP est intéressant. Ainsi l’approche photogrammétrique en source terrain est nettement plus riche, et donc par cascading plus précise (mon côté biffin peut-être ...).

Ici tout l’art de la précision des calculs réside dans quelques éléments qui seraient ;

-          La valeur de la focale de la prise de vue

-          Les aberrations de la dite focale

-          La plus haute définition de la source (donc son poids informatique de données)

-          La plus grande différence des angles de prise de vue

-          Une référence d’étalonnage

La référence d’étalonnage est cardinale (un stylo, une fenêtre, la cotation d’une dalle de béton ...). Sa plus juste précision représente à elle seule ce qui permettra d’obtenir des données dont la précision sortie des itérations est de l’ordre de six décimales après la virgule. A ce titre je recommande Rolley métric qui fournit un excellent progiciel de calculs dédiés dans le commerce. La cote étalon, ou de référence, est ce qui fait qu’un résultat est industriellement ou militairement exploitable ou fiable.

La désignation du plot manuel (pixel caractéristique de l’endroit visé) reste le facteur humain le plus touchy des approches de désignation. Tout l’art réside dans le fait d’interpréter au plus juste le point visé, et ce sur chaque prise d’angles. Ici la qualité d’un photogrammètre fait toute la différence, prenant ainsi toute sa mesure dans la chaine des calculs pour ensuite illustrer les coordonnées spatiales tant recherchées du point. Et ça ce n’est pas rien, le traitement manuel de l’imprécision.

Le nuage de points 3D dégagé peut être simplement ensuite traité sur Autocad (Creator and Co’), sans avoir forcément à passer par des progiciels d’ingénierie... Sic Catia et consort. Je fais partie de ceux qui militent toujours et encore pour la photogrammétrie tridimensionnelle, et non ceux du tout laser. L’illumination laser et son énorme nuage de points reste global, général. Son interprétation dans la singularité d’un point caractéristique reste trop difficile pour des objets (avion, bateau... etc...) et n’est finalement traitable que par calculs de surfaçage. Selon moi une cote est une cote. Seulement voilà, la vitesse de traitement des calculs et son automatisation sont séduisante pour bien du monde....

Même si la fiabilité du résultat en pâti.

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il y a 16 minutes, max a dit :

J’ai la même approche que toi FATAC. Il manque quelques paramètres pour que ce calcul au doigt mouillé puisse dégrossir un élément de distance.

Cela dit, il me semble que pour une source photographique (satellitaire ou non), seule le registre de la photogrammétrie tridimensionnelle autorise un ensemble de résultats significativement exploitables. Hors ici-bas et sur AD, nous aurions cette ambition, non ?

Une source photo stéréoscopique (donc à seulement deux photos) est techniquement exploitable, mais sensiblement moins fiable qu’une source multiple (trois, quatre ou dix photos). Le registre satellitaire est globalement assez pauvre dans le domaine des différences de prise d’angles, même si  mathématiquement le GAP est intéressant. Ainsi l’approche photogrammétrique en source terrain est nettement plus riche, et donc par cascading plus précise (mon côté biffin peut-être ...).

Ici tout l’art de la précision des calculs réside dans quelques éléments qui seraient ;

-          La valeur de la focale de la prise de vue

-          Les aberrations de la dite focale

-          La plus haute définition de la source (donc son poids informatique de données)

-          La plus grande différence des angles de prise de vue

-          Une référence d’étalonnage

La référence d’étalonnage est cardinale (un stylo, une fenêtre, la cotation d’une dalle de béton ...). Sa plus juste précision représente à elle seule ce qui permettra d’obtenir des données dont la précision sortie des itérations est de l’ordre de six décimales après la virgule. A ce titre je recommande Rolley métric qui fournit un excellent progiciel de calculs dédiés dans le commerce. La cote étalon, ou de référence, est ce qui fait qu’un résultat est industriellement ou militairement exploitable ou fiable.

La désignation du plot manuel (pixel caractéristique de l’endroit visé) reste le facteur humain le plus touchy des approches de désignation. Tout l’art réside dans le fait d’interpréter au plus juste le point visé, et ce sur chaque prise d’angles. Ici la qualité d’un photogrammètre fait toute la différence, prenant ainsi toute sa mesure dans la chaine des calculs pour ensuite illustrer les coordonnées spatiales tant recherchées du point. Et ça ce n’est pas rien, le traitement manuel de l’imprécision.

Le nuage de points 3D dégagé peut être simplement ensuite traité sur Autocad (Creator and Co’), sans avoir forcément à passer par des progiciels d’ingénierie... Sic Catia et consort. Je fais partie de ceux qui militent toujours et encore pour la photogrammétrie tridimensionnelle, et non ceux du tout laser. L’illumination laser et son énorme nuage de points reste global, général. Son interprétation dans la singularité d’un point caractéristique reste trop difficile pour des objets (avion, bateau... etc...) et n’est finalement traitable que par calculs de surfaçage. Selon moi une cote est une cote. Seulement voilà, la vitesse de traitement des calculs et son automatisation sont séduisante pour bien du monde....

Même si la fiabilité du résultat en pâti.

C'est pas faux. :wacko:

(repart illico regarder des vidéos de 3PK C-400)----------->

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Il y a 6 heures, max a dit :

J’ai la même approche que toi FATAC. Il manque quelques paramètres pour que ce calcul au doigt mouillé puisse dégrossir un élément de distance.

Cela dit, il me semble que pour une source photographique (satellitaire ou non), seule le registre de la photogrammétrie tridimensionnelle autorise un ensemble de résultats significativement exploitables. Hors ici-bas et sur AD, nous aurions cette ambition, non ?

Une source photo stéréoscopique (donc à seulement deux photos) est techniquement exploitable, mais sensiblement moins fiable qu’une source multiple (trois, quatre ou dix photos). Le registre satellitaire est globalement assez pauvre dans le domaine des différences de prise d’angles, même si  mathématiquement le GAP est intéressant. Ainsi l’approche photogrammétrique en source terrain est nettement plus riche, et donc par cascading plus précise (mon côté biffin peut-être ...).

Ici tout l’art de la précision des calculs réside dans quelques éléments qui seraient ;

-          La valeur de la focale de la prise de vue

-          Les aberrations de la dite focale

-          La plus haute définition de la source (donc son poids informatique de données)

-          La plus grande différence des angles de prise de vue

-          Une référence d’étalonnage

La référence d’étalonnage est cardinale (un stylo, une fenêtre, la cotation d’une dalle de béton ...). Sa plus juste précision représente à elle seule ce qui permettra d’obtenir des données dont la précision sortie des itérations est de l’ordre de six décimales après la virgule. A ce titre je recommande Rolley métric qui fournit un excellent progiciel de calculs dédiés dans le commerce. La cote étalon, ou de référence, est ce qui fait qu’un résultat est industriellement ou militairement exploitable ou fiable.

La désignation du plot manuel (pixel caractéristique de l’endroit visé) reste le facteur humain le plus touchy des approches de désignation. Tout l’art réside dans le fait d’interpréter au plus juste le point visé, et ce sur chaque prise d’angles. Ici la qualité d’un photogrammètre fait toute la différence, prenant ainsi toute sa mesure dans la chaine des calculs pour ensuite illustrer les coordonnées spatiales tant recherchées du point. Et ça ce n’est pas rien, le traitement manuel de l’imprécision.

Le nuage de points 3D dégagé peut être simplement ensuite traité sur Autocad (Creator and Co’), sans avoir forcément à passer par des progiciels d’ingénierie... Sic Catia et consort. Je fais partie de ceux qui militent toujours et encore pour la photogrammétrie tridimensionnelle, et non ceux du tout laser. L’illumination laser et son énorme nuage de points reste global, général. Son interprétation dans la singularité d’un point caractéristique reste trop difficile pour des objets (avion, bateau... etc...) et n’est finalement traitable que par calculs de surfaçage. Selon moi une cote est une cote. Seulement voilà, la vitesse de traitement des calculs et son automatisation sont séduisante pour bien du monde....

Même si la fiabilité du résultat en pâti.

J'aime quand j'apprend des choses. Merci.

Une petite précision, la photo viendrait d'un drone de type DJI.

==================================================

Henri K.

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10 hours ago, FATac said:

Tant qu'il n'a pas démontré que ses pixels étaient isotropes et couvraient la même distance (secteur angulaire couvert et distance à l'objectif), ses mesures ne valent rien.

Je vous trouve bien sévère ... les caractéristiques optiques et corrections - géométrie et couleur - des objectifs sont disponible partout et l'image peut être orthorectifiée assez facilement avec le dallage. Même chose avec la symétrie de l'objectif et l'image des deux jet sur l'axe horizontal. En gros difficile de ne pas mesurer les engin a 10cm près.

Pour le plan optique dans lequel se trouve les avions - en gros la différence de hauteur des trains d’atterrissage - il faudrait évidement évaluer une marge d'erreur...

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Il y a 1 heure, g4lly a dit :

... l'image peut être orthorectifiée assez facilement avec le dallage ...

Max le dit, je le disais moi-même dès le 2 novembre. A supposer que les dimensions des dalles soient constantes et connues, tout est là pour faire quelque chose d'assez bien approché.

Ce n'est pas pour autant que le twitteur qui a mesuré les photos a fait cette démarche.

Ce n'est pas de la sévérité, c'est de l'exigence. Tu verras quand tu auras un ado en classe de Terminale ... :biggrin:

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