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A t'on vraiment des spécificités dans l'armée de terre ( montagne ,amphibie ,TAP etc ... ) ?


Gibbs le Cajun
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Oui effectivement ,revenons à la base du sujet .

Effectivement ,comme le souligne colonio on est peut-être pas dans un format si mauvais , puisqu'on part de facto qu'on est une force médiane ,avec des forces qui sont en mode généraliste disposant d'expertise .

 On doit sûrement ajuster ce système en revoyant peut-être le besoin dans certains domaine comme l'aéroporté et la Montagne ( pour moi une sorte de fusion TAP/Alpin ,devenant le chaînon manquant entre régulier et monde des FS) .

En fait je pense que le médian reste notre identité , qu'il nous suffit pour assuré nos opex africaine mais qu'il peu ce glissé en mode "haute intensité" sans problème puisque nous possédons du blindé lourd et des mécanisés ,rejoint par des brigade légère qui équipé aussi d'un regiment VBCI pourrait largement comblé un battle group blindé mécanisé si un jour on doit déployé une force blindée mécanisée d'importance , cela prenant en compte qu'on devra pouvoir soit renforcé soit juste relevé des unités VBCI par d'autres unités VBCI sur une opération d'importance .

En ce qui concerne l'amphibie , le fait qu'on est dans une optique travail en mode allié , la 9°BIMa étant binômé avec la brigade commando et la 6°BLB avec l'USMC , le côté médian étant notre particularité ,apprécié par nos alliés .

Mais s'est peut-être dans la partie lien entre la Marine et l'armée de terre que devrait ce faire un travail en profondeur , bien évidemment en suivant les conseils des marins en terme d'amphibie .

En fait une plus grande symbiose .

 

 

 

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Oui normalement on occupe d'abord les points hauts de part et d'autre du col. Mais à priori les cds étaient libres de leur action sans chef pour leur ordonner de faire comme ceci ou comme celà. Maintenant des facteurs autres ont pu dicter les choix, météo, effectif,fatigue etc. Effectivement les 2 bataillons ne semblaient pas faire la même chose. Après que faire de mieux pour les unités au contact, rien de plus. Le manque d'appui tiens plus des circonstances que de la formation des hommes au combat montagne.

Après ce que dit gibbs par rapport à la taille des brigades, l'autre option pourrait être un système tournant avec des périodes ou les unités changeraient de brigade. Pour avoir toutes les étiquettes, certainement difficile et couteux. Ou des compagnies spécialisées par régiment, peu d’intérêt si la cie en question est engagée sur un autre type de terrain.

 

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Quelqu'un pense vraiment qu'on puisse développer une expertise "Alpin", Amphibie, infanterie légère, TAP ... en quelques mois? a priori ce sont des spécialités qui prennent des année a maitriser ... et ce n'est pas en conservant un petit noyau de spécialiste qu'on entretien la compétence a l'échelle d'unité complète.

On parle de préparation avant déploiement, mais même si on se prépare 6 mois on ne peut développer from scratch des compétence qui nécessite un savoir faire qui ne peut être acquis que dans la durée.

En l'absence de vrai compétence amphibie je vais mettre de coté ce probleme.

Normalement les TAP devrait développer le combat "isolé", en sous-nombre, forcément léger, le probleme numéro un quand tu te retrouves balancés - en parachute ou autrement - hors des lignes amis. C'est pas une expertise trivial.

Normalement combattre en montagne - été ou hiver le probleme ici c'est la verticalité et les technique et dépense énergétique associée - en milieu froid/polaire, de manière assez isolé - en montagne il est difficile d’être ravitaillé mécaniquement souvent -, et forcément légère - sinon on ne progresse plus, aussi bien en montagne que dans le froid -. Ça non plus ce sont pas des compétences triviales. Souvent ce sont les année d'expérience qui paye en montagne.

On a plus ou moins la meme chose a différent niveau avec les méca par exemple. L'envirronnement est moins critique a priori mais le contexte plus complexe, notament la presence d'engin lourd et puissament armés avec lesquels il faut agir intimement, c'est pas du tout le meme métier qu'un alpins qui doit nomadiser 96h a 3000m en autonomie ... et forcément ca demande des compétence probablement presque aussi pointus.

etc.

Régulièrement dans le milieu sportif je passe du temps avec des militaires, la plupart du temps des officiers, et souvent je m'étonne du faible niveau de compétence qui me semble pourtant élémentaire pour un militaire avec 10 ans d'activité ou presque, ne serait ce que dans la gestion d'activité en plein air, sécurité, bivouac etc. Alors peut être que j'ai une mauvaise évalution du niveau de compétence/expertise nécessaire a un bon militaire pour faire du bon boulot, mais a mon sens le fantassin "générique" est pas forcément super formé dans pas mal de domaine qui me semblent assez basiques pour un fantassins qui risque de passer de long moment dans des conditions pourries au milieu de nulle part.

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C'est pourtant la réalité, comment veux tu faire avec si peu d'hommes a faire tourner sur des théâtres différents, sans parler du théâtre national? Je trouve le résultat plutôt correct notamment pour une armée expéditionnaire qui doit donc par définition s'adapter sans cesse.

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Si on diminue le nombre, à mon avis on risque une baisse de la capacité de réflexion des différentes armes (artillerie, infanterie...)dans des milieux ou des situations spécifiques.

Pour le super régiment Ranger ayant la seule capacité aéroportée, il me semble que ce rôle a été tenu par le 2°REP, avec comme exemple Kolwezi où la situation nécessitait toute le panel des capacités et l'organisation d'un régiment d'infanterie parachutiste, tout en limitant l'impact médiatique des pertes, puisque la majorité des effectifs sont d'origine étrangère.

 

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Si on diminue le nombre, à mon avis on risque une baisse de la capacité de réflexion des différentes armes (artillerie, infanterie...)dans des milieux ou des situations spécifiques.

Pour le super régiment Ranger ayant la seule capacité aéroportée, il me semble que ce rôle a été tenu par le 2°REP, avec comme exemple Kolwezi où la situation nécessitait toute le panel des capacités et l'organisation d'un régiment d'infanterie parachutiste, tout en limitant l'impact médiatique des pertes, puisque la majorité des effectifs sont d'origine étrangère.

 

C'est surtout qu'à l'époque le gros des pros c'était la Légion. En 78, romains mis à part, il devait  y avoir comme unités pro, le 8 de Castres,  le 3 Rima, les Commandos Marine et de mémoire je ne vois rien d'autre, mis à part des bouts par ci par là. 

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Si on diminue le nombre, à mon avis on risque une baisse de la capacité de réflexion des différentes armes (artillerie, infanterie...)dans des milieux ou des situations spécifiques.

Pour le super régiment Ranger ayant la seule capacité aéroportée, il me semble que ce rôle a été tenu par le 2°REP, avec comme exemple Kolwezi où la situation nécessitait toute le panel des capacités et l'organisation d'un régiment d'infanterie parachutiste, tout en limitant l'impact médiatique des pertes, puisque la majorité des effectifs sont d'origine étrangère.

 

Il faut remettre l'affaire de Kolwezi dans un contexte d'une époque , il faut savoir que pendant que le 2°REP sauté sur Kolwezi le 3°RIMa qui était déjà professionnalisé monté à l'assaut au Tchad ,mais on a était discret à cette époque ,on précisé que s'était des professionnels qui étaient tombé au combat au Tchad ... 

Pour le REP , il faut savoir que s'était le 8°RPIMa qui devait sauté ,régiment  professionnalisé  mais dans un contexte ou la guerre d'Algérie s'était du récent ,l'image des appelés tués ne passé pas dans l'opinion ,pourtant le 8°RPIMa aurait put le faire puisque ayant des pros ,donc je ne sais pas comment le 8°RPIMa a pas eu cette mission ... 

Sinon :

http://www.marianne.net/blogsecretdefense/Les-Troupes-de-marine-font-la-guerre-depuis-la-fin-des-annees-60_a726.html

Actuellement tout le monde tombe au combat ,et pas que la Légion donc le côté impact médiatique plus de mise  vu que les fantômes de soldats du contingent tombé en Algérie sont loin ,et qu'actuellement on a professionnalisé .

Pour rappel ,en 1978 on voyait des marsouins pro tombé au combat : https://operationtacaud.wordpress.com/ ( sur ce lien le détail des combats et perte) .

 

C'est surtout qu'à l'époque le gros des pros c'était la Légion. En 78, romains mis à part, il devait  y avoir comme unités pro, le 8 de Castres,  le 3 Rima, les Commandos Marine et de mémoire je ne vois rien d'autre, mis à part des bouts par ci par là. 

 

En gros on avait le 2°REP ,le 2°REI ,le 1°REC  en terme d'unité Légion et côté TDM on avait le 3°RIMa , le 8°RPIMa ,le RICM  déjà pro ,le 11°RIMa était semi pro .

Donc on était kif kif entre pro Légion et pro TDM en terme de force projetable depuis la France .

Evidemment pour les unités prépositionné comme la 13°DBLE et 3°REI ,DLEM  mais leur rôle n'était pas la projection mais bien assuré les accords de défense dans les pays concernés , bon on avait le 5°RIAOM et autre régiments positionné OM mais il y avait un max de VSLOM .

Enfin voilà je faisais juste de la précision :souritc:

 

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Pour le REP , il faut savoir que s'était le 8°RPIMa qui devait sauté ,régiment  professionnalisé  mais dans un contexte ou la guerre d'Algérie s'était du récent ,l'image des appelés tués ne passé pas dans l'opinion ,pourtant le 8°RPIMa aurait put le faire puisque ayant des pros ,donc je ne sais pas comment le 8°RPIMa a pas eu cette mission ... 

 

Il m'avait été dis une fois (à prendre au conditionnel) que des personnels des RPIMa avaient formés certains katangais au cours de "DIO" avant Kolwezy. Le REP aurait joué la dessus pour se placer.

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Il m'avait été dis une fois (à prendre au conditionnel) que des personnels des RPIMa avaient formés certains katangais au cours de "DIO" avant Kolwezy. Le REP aurait joué la dessus pour se placer.

S'est peut-être une piste ,mais bon si s'est sa le REP a quand même joué sur un truc tiré par les cheveux ,tout simplement parce qu'au vu de la taille de l'opération et qu'il y n'y a pas eu beaucoup de de monde hormis des cadres pour formé des africains , je pense que cela n'aurait pas gêné les cies du 8°RPIMa pour taper sur les Katangais . 

On la fait d'autres fis d'ailleurs en Afrique ,taper sur d'anciens élèves .

Enfin voilà s'est fait mais bon quand même dommage pour le 8°RPIMa .

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En gros on avait le 2°REP ,le 2°REI ,le 1°REC  en terme d'unité Légion et côté TDM on avait le 3°RIMa , le 8°RPIMa ,le RICM  déjà pro ,le 11°RIMa était semi pro .

Donc on était kif kif entre pro Légion et pro TDM en terme de force projetable depuis la France .

Evidemment pour les unités prépositionné comme la 13°DBLE et 3°REI ,DLEM  mais leur rôle n'était pas la projection mais bien assuré les accords de défense dans les pays concernés , bon on avait le 5°RIAOM et autre régiments positionné OM mais il y avait un max de VSLOM .

En fait je n'avais oublié que le RICM pour les régiments professionnalisés. :tongue: Mais, comme tu le signales, il y avait des bouts, comme au 11 RAMa ou au 1er RPIMA (qui à l'époque devait être le régiment école des engagés paras) 

NB Il y a la publicité et le reste. Le 3e RIMa est peut-être le régiment qui a plus participé à des cognes depuis le milieu années 70 ce jusqu’à l'Astan et Sahel qui ont du rééquilibrer , quoique, comme ils y participent aussi...

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J’ai un peu lut des rapports sur la BIM je vous fais un petit résumé.  

Je vous rappelle aussi que la devise de la 27 BIM. C’est « qui tient les hauts tient les bas »

Et un des thèmes tactiques développés par l’état-major de la brigade et confirmé par l’actualité est que la montagne reste un refuge pour des unités conventionnelles on non conventionnelles. Réorganisés dans les grand maquis des alpes lors de la WW2, les BCA d’aujourd’hui sont bien placés pour le savoir et les partisans d »Al-Qaida bien retranchés dans les sanctuaires afghans en sont un témoignage vivant.  Le chasseur alpin du 21 siècle fait partie d’une troupe d’élite destinée à opère dans un milieu spécifique de la montagne et du grand froid. Cette volonté se traduit chaque année par des déploiements dans le grand nord canadien on en Norvège qui complètent les sorties dans l’arc alpins.

Les cadres de la 27 BIM sont tous formée à l’EMHM ; et sur le terrain le cadre sait qu’il est en permanence responsable de la vie de ses hommes. Un coup de brouillard peut se transformer en catastrophe. Le cheminement sur un sérac doit être minutieusement étudié à cause des chutes de pierres. Les exemples de ce type se comptent par centaines. Aux contraintes géographiques s’ajoutent bien sur la réalité militaire et les conditions très particuliers du combat en montagne qui voient les sections s’étaler ou au contraire se resserrer dans les passages obligés. Les alpins sont aussi entrainés aux tirs en montagne et aux conditions bien particuliers de visée dues à l’altitude ou aux tirs du haut vers le bas.             

La BIM aujourd’hui c’est 3 BCA à 1000 hommes, 1 régiment de cavalerie, 1 Régiment d’artillerie de montagne, le 2em régiment étranger du génie. Une compagnie de transmissions de montagne une  URU et 2 GCM sans oubliée sont états major avec sa compagnie de soutien.

Cette brigade doit fournir à l’EAM des armées dans son contrat opérationnelle  3 GTIA « combat en milieux difficile »

2 GTIA combat été sur VAB 1 GTIA en combat hiver. Sur VHM et VAC

Chaque GTIA doit être appuyé par un peloton blindée une batterie d’artillerie et une section génie.

Diriger une brigade et donc transmettre les ordres aux unités et en montagne et une missions particulièrement difficile à remplir. Les opérations sont réglé par les lois de la nature le fameux qui tient les haut peu transmettre. Mission assuré par les hommes de la 27 Compagnie de transmissions de montagne. Ces hommes   sont à la fois des techniciens qualifier et des soldats de montagne endurcis. Le vent sur un point haut peut atteindre 200km/h. Il faut pouvoir ancrer les antennes dans la neige ou les monter sur des devers impressionnant En théorie un groupe de transmetteurs reste une semaine sur un point haut avec un ravitaillement tous les 2 jours. Ce derniers peu se faire par VAC si le terrain le permet par hélico ou par cordée de ravitaillement.

Quant aux cavaliers  du 4 Chasseurs qui avec son couple ERC90 VBL peut vous bloquer une vallée en un rien de temps grâce aux techniques et tactiques propres aux milieux particuliers du combat en montagne.

La 27 BIM entend bien sûr conserver ces qualités mais le chasseur doit avant tout garder à l’esprit que la montagne est immuable bien réelle et qu’on ne triche pas avec elle.

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Question sincère  deux balles le rythme d'ascention et de pauses?

En général, ou en particulier pour les Alpins?  

Les montagnard entraînés (donc les Alpins) vont bénéficier d'un avantage physiologique tout bête, l'adaptation à l'altitude par la production de  globules rouges ou plus globalement de leur système cardio vasculaire (rappelons qu'à 4000 m on n'utilise que 70% du VO2 max défini à 100 % au niveau de la mer) 

Les deux ou trois fois ou je suis allé faire des grimpettes dans les Ecrins, j'ai vu passer des Alpins, une fois à la hauteur du Ref du Glacier Blanc 2550 m et l'autre au niveau du Ref des Ecrins 3170 m et je peux te dire qu'ils allaient vite (à l'époque je faisais beaucoup de montagne, j'avais l’œil averti) Par comparaison, plus ou moins à la même époque, j'ai vu des Paras grimper dans les Pyrénées (zone des Oulettes  / Vignemale)  et ils étaient disons plus "normaux" ...

A mon sens, aux altitudes moyennes 1500 / 2000 m les Alpins ils vont bénéficier d'un avantage physiologique et droper comme des chamois (chez nous on dit isard :tongue:  )   là où tu vas tirer la langue  

Modifié par Fusilier
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je pensais aux alpins. Je sais que le rythme d'escencion d'un randonneur des plaines non entrainé est d'environ 300m/H pauses comprises. Merdi.

Pour donner une indication. Le temps "normal"  pour une de mes ballades d'entraînement début de saison, monter dormir à En Beys (1973 m) à partir du parking (1100 m) dénivelé 850 m / 8 km (avec le dernier tiers raide)  2 heures avec un sac 2 jours et après 2 heures de bagnole depuis Toulouse ; ce qui fait un peu plus de 400 m à l'heure / 8 km ; 3 heures et des poussières chargé comme une mule, quand je montais du ravito pour le refuge (copain avec gardiens)  

Autre exemple. Parking 900 m => Port d’Orle 2300 m (frontière) => Montgarri 1645 m (4 km de distance du col)  A/ R Départ 7 h , retour parking 17 h, sans forcer, sac journée, mais descente «façon chamois»  (1/2 heure d’arrêt au col et autant à Montgarri) 

Je pense que les Alpins qui font ce genre de sport plus souvent (civil, en semaine faut travailler  :laugh:  ) font mieux 

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De mémoire lors d'un entrainement en montagne dans les années 90 on faisait du 500m/h et il parait que c'est pas mal, c'était avant félin, les GPB, les ERYX etc.

500 m / h c'est très honnête.

Après faut voir la charge sur le dos, l'altitude, le terrain (chemin ou pas)  et la durée de l'effort.  Sur des marches d'altitude, hors sentier ou il faut par moments mettre les mains, genre HRP,  et un sac pour  7 jours d'autonomie, maintenir une moyenne de 450 m / h  sur 7 jours c'est déjà bien. Le HRP (plutôt fait pour des confirmés)  c'est calculé sur 45 étapes (de l'Ocean à la Med ) certains l'on fait en 20 jours...

Honnêtement, sur un coup de speed, dans me meilleures années, je pouvais monter à 600 / h mais pas pendant des heures.  

A mon avis 700 m / h il faut vraiment dropper , j'ai quand même quelques doutes sur la durée de l'effort ou la charge. 

Modifié par Fusilier
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A la 27 BIM il y a une chose que toutes les UHR GCM et autres sections d'aide à l'engagement en montagne maitrise c'est le parapente. Voir le paramoteur en infiltration ou exfiltration tout ça bien sur de nuit avec lunette NVG; J'ai aussi lu que le retour des sections de Mortier lourd est à envisager dans les 3 BCA (augmentation des effectifs 2015) plutôt que de rajouter une compagnie. La dissolution  de l'escadrille d' hélicoptères de haute montagne qui étaient destinée au renseignement de la brigade l'oblige maintenant à utiliser d'autre moyen comme des DRAC.

 

 

  

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A la 27 BIM il y a une chose que toutes les UHR GCM et autres sections d'aide à l'engagement en montagne maitrise c'est le parapente. Voir le paramoteur en infiltration ou exfiltration tout ça bien sur de nuit avec lunette NVG; J'ai aussi lu que le retour des sections de Mortier lourd est à envisager dans les 3 BCA (augmentation des effectifs 2015) plutôt que de rajouter une compagnie. La dissolution  de l'escadrille d' hélicoptères de haute montagne qui étaient destinée au renseignement de la brigade l'oblige maintenant à utiliser d'autre moyen comme des DRAC.

Tu disais que, je cite : "Les cadres de la 27 BIM sont tous formée à l’EMHM"  faut ajouter que les hommes de rang sont tous (en principe) brevetés montagne été / hiver et que les caporaux ont une qualif  montagne supplémentaire.  

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De mémoire lors d'un entrainement en montagne dans les années 90 on faisait du 500m/h et il parait que c'est pas mal, c'était avant félin, les GPB, les ERYX etc.

Les alpins comptent les perfs sans les protection ... pas de GPB pas de casque. La plupart du temps ils estiment qu'avec ils ne peuvent plus valoriser leur spécialité.

Pour le paquetage c'est le juste nécessaire, armement, munition, de la flotte, de quoi bivouaquer a minima - un peu de bouffe lyo/céreale pour passer une nuit en montagne au cas ou tu te retrouve coincé un duvet, un bout de matelas mousse -.

En optimisant ton paquetage tu peux partir pour plusieurs jours avec seulemenet 3.5kg - portage, bivouac, bouffe, sans l'eau -, c'est une habitude a prendre d'optimiser au plus juste, sans s'exposer trop. Quant tu grimpes genre ski alpi ou meme alpi, rando glaciaire etc. tu n'as pas vraiment le choix, le poids devient rapidement ingérable et oblige a faire plusieurs voyage ou a haler les charges sur corde, pulkas etc.

C'est d'ailleurs les seuls dans l'AdT a tirer leur paquetage parfois ... la culture du traineaux charriot hérité de l'expertise polaire. Evidement ca marche sur la neige glace, mais ca marche aussi l'été avec des petites roulette.

Modifié par g4lly
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Tu disais que, je cite : "Les cadres de la 27 BIM sont tous formée à l’EMHM"  faut ajouter que les hommes de rang sont tous (en principe) brevetés montagne été / hiver et que les caporaux ont une qualif  montagne supplémentaire.  

Oui tout a fait on ne s'improvise pas Officier ou sous Officier dans les troupes alpines.

La formation à EMHM de Chamonix débute par un premier stage de qualification très exigeant afin d'obtenir un premier brevet de technique individuelle qui se déroule en 2 mois. (1 en été un en hiver)

Il y a ensuite un stage de 7 semaines été et hiver pour commander une section Puis des stages complémentaires qui amèneront les candidats au niveau envié de guide militaire de haute montagne.  

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Les alpins comptent les perfs sans les protection ... pas de GPB pas de casque. La plupart du temps ils estiment qu'avec ils ne peuvent plus valoriser leur spécialité.

Pour le paquetage c'est le juste nécessaire, armement, munition, de la flotte, de quoi bivouaquer a minima - un peu de bouffe lyo/céreale pour passer une nuit en montagne au cas ou tu te retrouve coincé un duvet, un bout de matelas mousse -.

En optimisant ton paquetage tu peux partir pour plusieurs jours avec seulemenet 3.5kg - portage, bivouac, bouffe, sans l'eau -, c'est une habitude a prendre d'optimiser au plus juste, sans s'exposer trop. Quant tu grimpes genre ski alpi ou meme alpi, rando glaciaire etc. tu n'as pas vraiment le choix, le poids devient rapidement ingérable et oblige a faire plusieurs voyage ou a haler les charges sur corde, pulkas etc.

C'est d'ailleurs les seuls dans l'AdT a tirer leur paquetage parfois ... la culture du traineaux charriot hérité de l'expertise polaire. Evidement ca marche sur la neige glace, mais ca marche aussi l'été avec des petites roulette.

Si je ne fais pas erreur, les Alpins ont même utilisé des traîneaux à chiens (chiens achetés au Canada) en 14 / 18 

Nb il me semble qu'une équipe de leurs commandos a fait, il n'y a pas longtemps, un raid au Groenland ; conditions extrêmes...

Modifié par Fusilier
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Nb il me semble qu'une équipe de leurs commandos a fait, il n'y a pas longtemps, un raid au Groenland ; conditions extrêmes...

Sa n'a rien à voir c'est le Groupe Militaire de Haute montagne ils ne sont qu'une 15 d'hommes mais c'est la crème de la crème Ils font de la recherche test des nouveaux matériels. Bref même les commando de montagne ne sont pas à leur niveau.

Quand il n'y a plus aucune solution en montagne on fait appel à eux. Et Ils vont partout dans le monde.    

http://www.gmhm.terre.defense.gouv.fr/

 

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Sa n'a rien à voir c'est le Groupe Militaire de Haute montagne ils ne sont qu'une 15 d'hommes mais c'est la crème de la crème Ils font de la recherche test des nouveaux matériels. Bref même les commando de montagne ne sont pas à leur niveau.

Quand il n'y a plus aucune solution en montagne on fait appel à eux. Et Ils vont partout dans le monde.    

http://www.gmhm.terre.defense.gouv.fr/

En fait c'était une expé commune GMH et Commandos... Je cite : 

http://www.defense.gouv.fr/terre/actu-terre/archives/les-soldats-experts-de-la-montagne-en-expedition-au-groenland

"Le groupe militaire de haute montagne et les commandos montagne en expédition au Groenland"

 

Modifié par Fusilier
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