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Exomars - La mission


zx
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Le 08/11/2016 à 22:31, zx a dit :

 

La mission ExoMars a besoin d’argent pour continuer

 

La mission ExoMars 2020 a besoin d'une rallonge de "plusieurs centaines de millions d'euros", selon Jan Woerner, le président de l'Agence spatiale européenne (ESA). Faute de soutien financier, le programme ExoMars, devant rechercher des traces de vie sur la planète Rouge, devra s'arrêter.

http://www.usinenouvelle.com/article/la-mission-exomars-a-besoin-d-argent-pour-continuer.N460987

 

 

 

 

      J'espère qu'ils vont pas aller pleurnicher les millions manquants chez les russes ...

  + judicieux il serait peut être temps d'aller frapper au portillon des japonais pour une participation significative de la Jaxa dans le projet, a l'heure actuel le seul programme notable en collaboration entre l'ESA et la JAXA est Bepicolombo (une sonde spatiale pour étudier Mercure)

   Hors une proposition ou on leur permettrait d'accéder eux aussi aux retours d'expérience d'atterrisseur pourrait être très intéressant pour eux, et venir apporter leur techniques a eux s'ils en ont car il me semble que Schiaparelli en termes de conception reste assez "russe" en termes de choix techniques (non pas de vilain sous entendu lol)

   L'ESA étouffe dans sa position beaucoup eurocentrée avec un budget basé sur les quelques pays qui ont bien voulu allouer du budget, et il y a trop d'états membres (et membre de l'UE) qui n'apporte pas un budget a hauteur de leur position économique dans l'Europe je pense notamment aux pays de l'Europe du Nord comme la Suède-Finlande & Norvège aussi (les norvégiens sont comme les suisses membre de l'ESA sans etre membre de l'UE), il faudrait a l'ESA un nouvel acteur extérieur a l'Europe et qui aurait les moyens de sensiblement augmenter les budgets tout en créant un effet d'appel d'air de nouvelles nations adhérentes

   Par exemple pourquoi ne pas essayer de proposer a la JAXA aux australiens aux canadiens d'essayer de faire parti de l'ESA, les apports seraient considérables et pas que financiers

  Le problème c'est qu'a 4 ans de la date de départ du rover (ou de son atterrissage je sais pu') ça fait peu pour entrer dans un programme en cour de route comme Exomars

   Ou sinon l'emprunt pour forcer les dirigeants des états membres a payer + les années suivantes par le fait accompli lol

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  • 2 weeks later...

L'origine du bug de Schiaparelli est identifié (et reproduit en simulation) :

http://www.esa.int/Our_Activities/Space_Science/ExoMars/Schiaparelli_landing_investigation_makes_progress

Citation

Good progress has been made in investigating the ExoMars Schiaparelli anomaly of 19 October. A large volume of data recovered from the Mars lander shows that the atmospheric entry and associated braking occurred exactly as expected.

The parachute deployed normally at an altitude of 12 km and a speed of 1730 km/h. The vehicle’s heatshield, having served its purpose, was released at an altitude of 7.8 km.

As Schiaparelli descended under its parachute, its radar Doppler altimeter functioned correctly and the measurements were included in the guidance, navigation and control system. However, saturation – maximum measurement – of the Inertial Measurement Unit (IMU) had occurred shortly after the parachute deployment. The IMU measures the rotation rates of the vehicle. Its output was generally as predicted except for this event, which persisted for about one second – longer than would be expected.

When merged into the navigation system, the erroneous information generated an estimated altitude that was negative – that is, below ground level. This in turn successively triggered a premature release of the parachute and the backshell, a brief firing of the braking thrusters and finally activation of the on-ground systems as if Schiaparelli had already landed. In reality, the vehicle was still at an altitude of around 3.7 km.

This behaviour has been clearly reproduced in computer simulations of the control system’s response to the erroneous information.

Quelqu'un sait qui a fourni cette centrale inertielle ?

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De simple tests atmosphérique avec un démonstrateur aurait pu aider à valider la sonde, avec un largage par ballon sonde

ou par avion. en tenant compte de la pesanteur terrestre.

Crash du module européen sur Mars: un logiciel de navigation en cause

http://www.france24.com/fr/20161123-crash-module-europeen-mars-logiciel-navigation-cause

Citation

 

Juste après le déploiement du parachute, la capsule a enregistré des petits mouvements rapides plus importants que ne le prévoyaient les simulations, selon des résultats préliminaires.

De ce fait, le capteur qui mesure les accélérations du module est resté calé sur son indication maximale pendant une seconde, soit plus longtemps que prévu (quelques millisecondes).

"Le logiciel de navigation a été trompé par la mesure de ce capteur", indique M. Blancquaert. "L'ordinateur de bord a alors accumulé une erreur assez importante pour que son calcul de détermination de la position de Schiaparelli soit faussé".

"Alors que l'atterrisseur était encore à 3,7 km de la surface de Mars, un résultat de calcul lui donnait une altitude négative de -2 km", souligne M. Blancquaert.

"Le système de navigation s'est dit +on a dû atterrir+", ajoute-t-il. Il a donc commandé prématurément la séparation du bouclier arrière et du parachute de l'atterrisseur. Il a aussi allumé très brièvement les rétrofusées et les a éteintes alors qu'elles devaient freiner Schiaparelli.

L'atterrisseur est alors descendu en chute libre et s'est écrasé sur Mars "à une vitesse de 540 km/heure", rappelle M. Blancquaert.

"Il s'agit de conclusions très préliminaires", a souligné David Parker, directeur des Vols habités et de l'Exploration robotique à l'ESA, dans une note postée sur le site de l'agence.

"Nous aurons une vue complète début 2017 avec le rapport de la commission d'enquête indépendante" voulue par le directeur général de l'ESA Jan Woerner, écrit-il. "Mais nous aurons appris beaucoup de Schiaparelli, et cela nous servira pour la seconde mission ExoMars 2020", qui prévoit de faire atterrir un robot mobile européen sur le sol martien.

"D'une certaine façon, nous avons eu de la chance que cette faiblesse du système de navigation soit repérée sur l'atterrisseur test avant la deuxième mission", considère M. Blancquaert.

 

 

Modifié par zx
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Il y a 18 heures, zx a dit :

De simple tests atmosphérique avec un démonstrateur aurait pu aider à valider la sonde, avec un largage par ballon sonde

ou par avion. en tenant compte de la pesanteur terrestre.

Pas sûr qu'une descente atmosphérique ait permis de reproduire le comportement inattendu du capteur à ce moment là, après X mois de navigation, avec une température différente, bref, dans des conditions différentes.

Les algo ont l'air un peu faiblards, par contre...

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Le 25/11/2016 à 14:24, Boule75 a dit :

Pas sûr qu'une descente atmosphérique ait permis de reproduire le comportement inattendu du capteur à ce moment là, après X mois de navigation, avec une température différente, bref, dans des conditions différentes.

Les algo ont l'air un peu faiblards, par contre...

 

    L'origine de la panne venant d'un capteur angulaire saturé de donnés liés a des mouvements de tangage & lacet beaucoup + importants que prévus dans la durée en conséquence du violent choc d'ouverture du parachute supersonique, ces mouvements avaient été estimé en théorie a une durée de quelques millisecondes ont finalement duré une bonne seconde entière impliquant une saturation de données vu qu'il n'a pas été vraiment prévu que ces mouvements durent aussi "longtemp"  (ce qui est quand même surprenant qu'il y ait un tel écart de 1 pour 1000 par rapport a ce qui a été "prévu" ...

    Le système s'est saturé de données pour finalement en conclure qu'il était a une altitude de -2km (oui moins 2 km)

  On pourrait presque parler d'erreur de conception la, l'ESA a complêtement sous estimé la durée des intenses mouvements de la sonde lié a l'ouverture du parachute a 1700 km/h

     Une test atmo terrestre aurait pu apporter des informations sur cette "mal-conception" mais probablement pas depuis un largage car pour reproduire la densité moyenne de l'atmosphère marsienne a 12 km de haut : Il faut aller chercher des couches d'air très haut dans la stratosphère terrestre (probablement 30-40 voir 50 km d'altitude dans la stratosphère terrestre) pour tester toute la séquence du parachute supersonique et mouvements de la sonde du au choc d'ouverture ...

    Mais un autre problème pour reproduire les conditions serait peut etre apparu : Il parait probable que dans des conditions terrestres la sonde aurait eu une vitesse supérieure a 1700 km/h en partant d'une rentrée atmo (et donc d'un tir lanceur pour cela) ceci dit si cette vitesse différente était anticipable par calcul : Alors une séquence d'allumage des moteurs verniers avant ouverture du parachute aurait peut etre été nécessaire pour avoir raisonnablement bien reproduit la séquence marsienne

   Un tel essai aurait couté dans les 30-40-50-60 ??? millions d'€ supplémentaire pour se payer un petit lanceur a pas cher qui viendrait d'une puissance spatiale emergeante + tout le dispositif de test, sa préparation tout ça ... Hors l'ESA mendie encore du pognon pour Exomars car elle n'a pas pu boucler vraiment son budget sur cette mission pour l'instant (bon on se doute l'UE, la France & l'Allemagne vont apporter la rallonge nécessaire, mais ils vont le faire au dernier moment ...)  si en + il faut passer par un test couteux car nécessitant un petit lanceur et tout ce que ça implique en cout de préparation de l'essai ...

   Mais dans l'absolu il me parait clair qu'ils auraient du faire un test atmo terrestre mais bon comme Schiaparelli ne portait pas de rover : Autant avaliser que le test a eu lieu sur Mars et pis ben tant pis ... Même si c'est pas rassurant pour le futur épisode avec rover ...

 

    (évidemment Vega bien que techniquement adaptée a un tel test, aurait été financièrement impensable d'ou pourquoi j'émet l'idée d'un petit lanceur a pas cher d'une puissance spatiale qui en dispose, comme la Russie il me semble qui vend quelques tirs sur anciens missiles balistiques en tant que lanceurs civils (il me semble qu'ils se les gardent surtout pour eux mais ils ont besoin de pognon aussi)

 

    Ou un M45 français a la retraite tiré depuis Biscarosse ça aurait pu le faire aussi

Modifié par alpacks
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Un rappel historique sur comment faire une sonde qui ne marche pas.

Quand le projet Mars Express a été défini à l’origine par l’ESA, il comprenait une sonde vers le sol de Mars. Le gouvernement Britannique a obtenu de faire la sonde dans le partage des taches et l’a appelé Beagle.

Après les premières études, le gouvernement Britannique s’est rendu compte que la sonde allait couter plus cher que ce qu’avait  prévu l’agence spatiale Britannique et a abandonné ce projet au complet   brutalement. Les relations entre l’ESA et l’agence spatiale Britannique était très mauvaises à ce sujet. L’ESA reprochait aux Britanniques de ne pas chercher d’aide en Europe. Qu’ils avaient peur de partager la gloire qu’allait apporter la sonde. Et que les Britanniques avaient été volontairement  optimistes sur le prix de la sonde afin de se faire attribuer le morceau le plus glorieux…

Des chercheurs Britanniques avaient déjà réalisé des éléments  de la sonde Beagle  dans le cadre des études préliminaires : en particulier son bras avec ses capteurs.

Ces chercheurs ont proposé de terminer la sonde Beagle  sans faire appel au gouvernement Britannique. Avec un financement du public et de sociétés Britanniques. Cela empêchait de faire des tests couteux ou des changements de concepts suite aux essais.

L’ESA avait peur que cette proposition soit une tentative  de l’agence spatiale Britannique pour revenir en douce sur la sonde sans payer son du. Si l’ESA a finit par accepter de transporter la sonde Beagle, elle a interdit à ses experts de regarder la sonde ou d’utiliser les bancs de tests de l’ESA sans paiement. Le gouvernement Britannique ne payant plus rien dans Beagle. Les chercheurs Britanniques n’avaient plus assez d’argent pour l’ESA.

Sans regarde critique d’aucun experts ni de l’ESA, ni de l’agence spatiale Britannique, sans essais complets et répétés, la sonde Beagle avait très peu de chance de marcher.

La NASA  s’était même étonnée à  l’époque de la manière dont le projet était mal mené…

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Pourtant c'est toujours le RU qui a développé le rover d'exomars. quand on est en mauvais terme, on évite de remettre 2 milliards dans le bassinet. sans compter qu'ils quittent l'europe. de là qu'ils s'en réclament dans un possible succès. au lieu de jouer en équipe esa/euro.

Schiarapelli est un demi succès, vu qu'on a les données. ca reste dans la team.

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L'ASI est très en colère avec l'ESA, la première voulait des tests atmosphérique réalisés par la Swedish Space Corporation, mais le deuxième a décidé d'utiliser une société roumaine qui n'avait pas de compétences spécifiques (probablement parce que les charges de travail de l'ESA sont distribués selon les pays qui financent l'agence), ce dernier n'est pas réussi à mettre en place le test, l'Esa alors a décidé d'annuler le test et compter uniquement sur des simulations informatiques d'une autre société

http://www.airpressonline.it/14239/gli-errori-dellesa-su-schiaparelli-parla-flamini-asi/

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Le 30/11/2016 à 13:40, G55 a dit :

L'ASI est très en colère avec l'ESA, la première voulait des tests atmosphérique réalisés par la Swedish Space Corporation, mais le deuxième a décidé d'utiliser une société roumaine qui n'avait pas de compétences spécifiques (probablement parce que les charges de travail de l'ESA sont distribués selon les pays qui financent l'agence), ce dernier n'est pas réussi à mettre en place le test, l'Esa alors a décidé d'annuler le test et compter uniquement sur des simulations informatiques d'une autre société

http://www.airpressonline.it/14239/gli-errori-dellesa-su-schiaparelli-parla-flamini-asi/

 

     Même pas sur qu'il s'agisse d'une logique d'attribution par budget nationaux apportés expliquant pourquoi cette société roumaine ... Moi je crois plutot qu'il s'agit d'une pure logique pécuniaire dans un programme dont rappelons le : N'a toujours pas son budget nécessaire de bouclé !

     Ce qui implique donc de devoir préserver au maximum du cash flow pour payer des salaires et des fournisseurs (de matos comme de services) et donc forcé un choix le + économique quand a des tests même basiques a mener ...

    On a un peu le même problème dans le batiment en France : Ou l'on confie des coffrages de béton a réaliser a des sociétés roumaines de construction imbattables sur les couts ... Pis après on s'étonne que le batiment carré sur le plan, se révèle être un losange sur ses cotes réelles une fois réalisée, c'est du vécu, chantier du nouveau laboratoire-bureaux de Lafarge a Grenoble il y a 7-8 ans environ ... Il aura fallu moi que moi l'intérimaire qui avait besoin de sous pour accepter de poser du faux plafond pour m'en rendre compte que la surface a couvrir n'était pas carrée comme exigée sur les plans : Petite discussion avec le chef de chantier (pour savoir comment qu'on fait maintenant car moi j'décide rien) pour me rendre compte que je venais de déposer une bombe sur le chantier Lol

    Ils ont voulu gagner quelques dizaines de milliers d'euros de couts sur le coffrage, ils ont eu ce qu'ils voulaient ... Enfin ... Presque ^^

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Flamini de l'ASI dit que la société roumaine a été choisie pour "raisons de géo-retour", mais des autres journaux disent aussi que la société roumaine avait présenté une estimation du coûte de un million d'euros inférieur à celui des Suédois.

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  • 3 months later...
  • 2 months later...
  • 1 year later...

jamais 2 sans 3, ils n'ont pas compris qu'il faudrait au moins valider avec une mission à bas coûts, on avait le temps de faire une mission schirapelli 2 avec les correctifs et les tests.

Avec exomars, ca va faire cher le trou en 2020.

 

 

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il y a 5 minutes, zx a dit :

jamais 2 sans 3, ils n'ont pas compris qu'il faudrait au moins valider avec une mission à bas coûts, on avait le temps de faire une mission schirapelli 2 avec les correctifs et les tests.

Avec exomars, ca va faire cher le trou en 2020.

 

 

Au moins si ça plante ce sera peut être un moyen de réveiller tout le monde et d'aborder le sujet plus sérieusement avec les moyens qui vont bien.

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  • 5 weeks later...
  • 6 months later...

Le tiroir de laboratoire d'analyse (ALD) du rover ExoMars a été intégré au rover d'Airbus, à Stevenage, au Royaume-Uni, en mai 2019. La vidéo est montrée à une vitesse 18 fois supérieure; En réalité, la séquence des événements a duré environ 11,5 minutes. Le rover ExoMars, nommé Rosalind Franklin, sera le premier du genre à parcourir la surface de Mars et à l’étudier en profondeur. Rosalind Franklin creusera à une profondeur de deux mètres dans la surface afin d'analyser le sol, d'analyser sa composition et de rechercher des preuves de la vie - peut-être même actuelle - cachée sous terre. Un laboratoire miniature à l'intérieur du rover - l'ALD - analysera les échantillons avec trois instruments différents. Certains d'entre eux sont cuits au four afin de libérer des gaz à analyser, technique utilisée pour rechercher des traces de composés organiques. Le mobile transmettra ses données à la Terre via l'orbiteur de gaz traceur ExoMars, qui effectue déjà sa mission scientifique depuis l'orbite de Mars. Le programme ExoMars est une initiative conjointe de l’ESA et de Roscosmos.

ExoMars laboratory passes Red Planet simulation

http://www.esa.int/Our_Activities/Human_and_Robotic_Exploration/Exploration/ExoMars/ExoMars_laboratory_passes_Red_Planet_simulation

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ExoMars 2020 : la plate-forme est arrivée en Europe

https://technologiemedia.net/2019/03/23/exomars-2020-la-plate-forme-est-arrivee-en-europe/

La plate-forme d’atterrissage de Roscosmos a été baptisée « Kazachok » (Cosaque) par l’agence spatiale russe. ExoMars 2020, dont le lancement est prévu pour juillet prochain, est la deuxième phase de la mission conjointe ESA/Roscosmos sur la planète rouge.

test ;)

 

Modifié par zx
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1) lancement par proton :huh:

2 un atterrisseur russe et un rover anglais brexiteur, ce qui fait que l'esa ne maîtrise pas les technologies pour l'enchaînement complet de la mission

3) atterrissage sans faute sur Mars après les trous de beagle et schiarapelli et le loupé de philaé

ca risque d'être un beau trou de deux milliards d'euro au lieu des 600ME du début. ca promet un sacré bazar en cas d'échec.

bon, jamais 2 sans 3, après ça il s'y mettront sérieusement.et de tester avec des démonstrateurs et des sondes fixe ayant réussi avant d'engager des grosses missions avec rover, là j'ai l'impression que ca va partir encore en échec.

j'y crois pas beaucoup, mais je lui souhaite quand même bon vol

Modifié par zx
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