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On prend les paris, les british quittent,ou pas, l'Europe?  

82 membres ont voté

  1. 1. pensez-vous que les brits vont quitter, ou pas, l'Union?

    • Ils se dégonflent et restent dans l'Europe.
    • Ils ont des "cojones" - des bollocks en fait - et quittent l'Europe.

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Vous voulez qu'on compile les imprécations catastrophiques des européistes à propos de la sortie, des pénuries, des blocages sans fin etc ? Ca n'a pas eu lieu.

La sortie en elle-même n'est pas factrice de catastrophe comme se plaisent à l'imaginer, plus fréquemment sous forme de menace, les tenants de l'Union. Ca c'est une leçon que l'on peut tirer immédiatement et qui relève bien du rapport de force institué pendant les négociations.

En revanche, la réussite sur le long terme dépend de multiples facteurs et notamment des politiques économiques mises en oeuvre, des accords commerciaux passés auprès d'autres pays, de la capacité de la Grande-Bretagne à rester unie (ils n'avaient qu'à adopter un modèle jacobin !) etc. Le départ de l'Ue n'en sera qu'un des éléments.

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On pourrait aussi compiler les discours extatiques des Brexiters qui promettaient monts et merveilles pour dès la sortie. On est le 7 janvier déjà et il ne s'est rien passé de tel. Moi je dis, ça sent l'arnaque !

Pour le reste, aucune faille n'est apparue dans l'UE pendant les négociations. Personne n'a cherché à aider les Britanniques ou à leur emboîter le pas. Et c'est sans doute ça le plus important : les Britanniques n'ont jamais obtenu de soutien de la part de leurs supposés amis sur le Continent. Même Orban n'a pas levé le petit doigt.

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il y a 54 minutes, Nicks a dit :

Pour le moment, pas de rivières de sang et de nuages de sauterelles en Grande-Bretagne comme l'annonçaient les évangiles européistes. En fait, tout se passe comme prévu ou presque, à savoir que l'UE n'est pas un Etat et qu'elle a du mal à présenter une force de négociation capable de venir à bout d'un seul membre en partance, qui a certes du faire quelques concessions, mais qui globalement s'en sort plutôt bien si on met les pêcheurs de côté. Instructif pour les prochains.

Ce n'est donc pas les plaies d'Egypte, mais le futur s'annonce un peu plus compliqué qu'avant tout de même. Il faut surtout retenir que la GB a fait de gros stocks ce dernier mois, donc faudra dans quelques temps.

Par contre il semble parfois y  avoir déjà des étals vides sur certains produits alimentaires frais là bas (ainsi que sur l'import de produit so british dans les épiceries anglaises du continent). Mais c'est essentiellement les ports qui sont bloqués par la COVID...

Pour l'export de biens de moins de 150£ (de mémoire), pas mal sont en carafe vu que c'est à l'expéditeur de payer la douane et qu'il faut refaire tous les formulaires. Des anglais résidents en UE n'ont pas pu rentrer sur le continent à cause de mal compréhensions au niveau des compagnies aériennes. Les services financiers se cassent de Londres vu que l'accord ne les inclut pas (protocole en discussion). Les étudiants des deux cotés de la Manche sont dans la merde à cause de la sortie d'Erasmus. Il y a des problèmes pour les entreprises ayant des sites internet avec des noms de domaine en .eu (fermeture des sites dans 3 mois, remise en vente des noms de domaine dans un an)

Au niveau des frictions les garde cotes défendent les eaux GB des chalutiers européens (même celle non reconnues), alors que les chalutiers GB sortent peu vu qu'ils ont nul part ou vendre pour l'instant...

Les GB habitant sur le territoire UE et ayant un conjoint(e) non BG se demandent comment  ils vont faire si un jour ils ont un soucis de visa ou un besoin retourner vivre sur l'ile vu que le titre de séjour de leur moitié est assorti à une justification de revenu. Mes amis Anglais ici sont dans la panade avec les papiers parce que certaines préfectures, c'est juste n'importe quoi parfois (ceux qui connaissent la Pref de Nanterre savent de quoi je parle). Les retraités anglais se posent aussi beaucoup de questions, eux qui no'nt pas eu le droit de voter...

L'actualité des USA a un peu rempli mon fil d'actualité, mais jusqu'hier il ne se passait pas un jour sans articles relevant les nouveaux tracas et situations plus ou moins ubuesques

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Il y a 1 heure, Nicks a dit :

Vous voulez qu'on compile les imprécations catastrophiques des européistes à propos de la sortie, des pénuries, des blocages sans fin etc ? Ca n'a pas eu lieu.

La sortie en elle-même n'est pas factrice de catastrophe comme se plaisent à l'imaginer, plus fréquemment sous forme de menace, les tenants de l'Union. Ca c'est une leçon que l'on peut tirer immédiatement et qui relève bien du rapport de force institué pendant les négociations.

Une sortie juste après Noël a, semble t'il, évité quelques catastrophes ... Un cousin mien, expatrié dans un port du Royaume Uni, me disait que les douaniers locaux craignaient, pour Noël, des livraisons massives de produits, principalement chinois, de sous qualité, rebutés au marquage CE, et pour lesquels la réglementation britannique est lacunaire, contrairement à la réglementation européenne.

Ainsi, la crainte est réelle de voir débouler des jouets dangereux, des décorations de Nöel incendiaires et des appareils électro-ménagers défaillants qui n'avaient, jusqu'à présent, de débouchés que dans des pays dits du tiers-monde. Et comme le prix de ces "rebuts" est plus que faible, le risque de les voir massivement achetés dans un pays en récession en est encore augmenté pour maintenir une illusion de pouvoir d'achat.

On verra si, d'ici le prochain Noël, cet écueil pourra être évité.

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il y a 32 minutes, FATac a dit :

Une sortie juste après Noël a, semble t'il, évité quelques catastrophes ... Un cousin mien, expatrié dans un port du Royaume Uni, me disait que les douaniers locaux craignaient, pour Noël, des livraisons massives de produits, principalement chinois, de sous qualité, rebutés au marquage CE, et pour lesquels la réglementation britannique est lacunaire, contrairement à la réglementation européenne.

Ainsi, la crainte est réelle de voir débouler des jouets dangereux, des décorations de Nöel incendiaires et des appareils électro-ménagers défaillants qui n'avaient, jusqu'à présent, de débouchés que dans des pays dits du tiers-monde. Et comme le prix de ces "rebuts" est plus que faible, le risque de les voir massivement achetés dans un pays en récession en est encore augmenté pour maintenir une illusion de pouvoir d'achat.

On verra si, d'ici le prochain Noël, cet écueil pourra être évité.

le Royaume-Uni ravagé par des incendies de guirlande de Noel en 2021, quelle chute :blush: !

Modifié par Benoitleg
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Quelques problèmes d'organisation et de flux, ce qui est assez aisément compréhensible. Mais en l'occurrence, rien de dramatique. Ensuite, ce seront les décisions de politiques britanniques qui pourront faire la différence et c'est bien cela l'important : la possibilité du choix. Cela ne protège pas des mauvaises décisions, mais au moins cela autorise des marges de manoeuvre.

 

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il y a 5 minutes, Nicks a dit :

Quelques problèmes d'organisation et de flux, ce qui est assez aisément compréhensible. Mais en l'occurrence, rien de dramatique. Ensuite, ce seront les décisions de politiques britanniques qui pourront faire la différence et c'est bien cela l'important : la possibilité du choix. Cela ne protège pas des mauvaises décisions, mais au moins cela autorise des marges de manoeuvre.

Réduire l'appartenance à l'UE à une sorte de camisole de force interdisant de prendre des décisions souveraines est un argument. Mais qui me paraît un peu faible.

Pour les marges de manœuvre, d'accord. Avec quel argent ?

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Il y a 5 heures, Nicks a dit :

Vous voulez qu'on compile les imprécations catastrophiques des européistes à propos de la sortie, des pénuries, des blocages sans fin etc ? Ca n'a pas eu lieu.

La sortie en elle-même n'est pas factrice de catastrophe comme se plaisent à l'imaginer, plus fréquemment sous forme de menace, les tenants de l'Union. Ca c'est une leçon que l'on peut tirer immédiatement et qui relève bien du rapport de force institué pendant les négociations.

En revanche, la réussite sur le long terme dépend de multiples facteurs et notamment des politiques économiques mises en oeuvre, des accords commerciaux passés auprès d'autres pays, de la capacité de la Grande-Bretagne à rester unie (ils n'avaient qu'à adopter un modèle jacobin !) etc. Le départ de l'Ue n'en sera qu'un des éléments.

tu permets ? l'encre n'est pas encore seche, cela ne fait qu'une semaine...

tu veux te rassurer en faisant un bilan alors que les frigos et les rayonnages sont encore pleins des achats fait dans l'Europe avant la séparation ???

 

 

c'est trop tot, te dit on !

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Il y a 6 heures, Nicks a dit :

Vous voulez qu'on compile les imprécations catastrophiques des européistes à propos de la sortie, des pénuries, des blocages sans fin etc ? Ca n'a pas eu lieu.

La sortie en elle-même n'est pas factrice de catastrophe comme se plaisent à l'imaginer, plus fréquemment sous forme de menace, les tenants de l'Union. Ca c'est une leçon que l'on peut tirer immédiatement et qui relève bien du rapport de force institué pendant les négociations.

En revanche, la réussite sur le long terme dépend de multiples facteurs et notamment des politiques économiques mises en oeuvre, des accords commerciaux passés auprès d'autres pays, de la capacité de la Grande-Bretagne à rester unie (ils n'avaient qu'à adopter un modèle jacobin !) etc. Le départ de l'Ue n'en sera qu'un des éléments.

Ne t'en fait pas la rigolade ne fait que commencer, entre les délocalisations d'activité et la remise en place des frontières douanières (c'est mon coeur de métier) les changements se feront sentir ... Personne je dis bien personne n'a intérêt à voir la Grande Bretagne commercialement isolée malheureusement le basculement dans le statut de pays tiers va changer pas mal de choses ... c'est mécanique !

Quand on sait que Bojo ne voulait pas sortir de l'UE ...

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Il y a 11 heures, Nicks a dit :

Le Covid a été déclenché par l'UE ? On s'en sort beaucoup mieux que les anglais ?

En l'occurrence, le petit poucet s'en est sorti sans cataclysme contrairement aux imprécations habituelles des orthodoxes. Il faut bien évidemment voir sur le long terme pour juger de la réussite ou non du Brexit, mais pour en revenir aux négociations, il faut quand même savoir observer quand un rapport de force soit-disant déséquilibré est en réalité retourné par l'élément dit faible, pour les raisons structurelles que j'ai évoqué plus haut.

La réalité des négociations a été difficile pour les anglais, surtout dans les dernières heures et dans la mesure où leurs équipes n'étaient pas taillées pour l'exercice face aux équipes européennes qui négocient au mois le mois ce type de questions éminemment techniques avec le reste du monde: Chine, Canada, etc...

Les anglais sont redoutables en négociations mais constituer des équipes n'est pas facile pour conduire des négociations perdantes dans un contexte politique qui n'a cessé d'évoluer au fil des dernières années.

"En off, il se dit" que dans les dernières heures, ce sont les équipes européennes bien conscientes depuis le début qu'un deal perdant-perdant valait mieux qu'un no-deal et ses conséquences désastreuses pour le UK. Néfastes à moindre mesure pour la zone UE mais avec une économie UK affaiblie qui grèverai par ricochet la zone UE en retour -échanges-. Un cercle vicieux.

L'heure approchant, les équipes européennes se sont trouvées face à des équipes UK incapables d'établir et de formaliser la liste d'ambitions raisonnables, bien conscientes que le seul fait d'agiter la question de la pêche ne suffirait pas.

"Il se dit" que ce sont les equipes européennes qui ont pris les devants des modalités. Sacré rapport de force ...

On parle de l'application du retour aux douanes. D'entreprises UK qui font des stocks et qui appliqueront les normes et réglementations UE avec des conditions tarifaires ou réglementaires particulières sans que leurs politiques n'aient voix au chapitre... Des entreprises étrangères qui préféreront investir directement dans la zone UE et pas en UK, des entreprises sur le sol UK qui déménagent ou n'investiront plus. La question de la city n'est pas totalement tranchée pour le bien du UK a mon sens...

Ca commence maintenant et pas sûr que le contexte sanitaire et économique se prête à ce genre d'aventure.

 

Modifié par Phacochère
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il y a 6 minutes, Desty-N a dit :

But the UK’s trade deal with the EU largely omitted financial services. UK prime minister Boris Johnson admitted the agreement had failed to meet his ambitions on the sector. The EU had refused to recognise most of the UK’s regulatory systems as “equivalent” to their own, forcing all euro-denominated business to move back to the bloc.

Donc les GB n'ont pas eu ce qu'ils voulaient pour la pêche et encore moins pour la finance. C'est pas les plaies d'egypte mais 6 milliard par jour en moins d'échange çà commence à ressembler à quelque chose de significatif.

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L'obtention par le UK d'un accès sans tarif au marché commun n'est pas du tout une victoire pour eux comme Bojo se plaît opportunément à affirmer. Un accord de libre-échange entre 2 pays ou ensembles profite en priorité à celui qui fait des excédents commerciaux avec l'autre. L'absence de tarif profite au UK certes, mais encore plus aux pays européens. De plus, cette histoire de marge de manœuvre retrouvée pour le UK est une fumisterie ils sont obligés de s'aligner sur nos standards et ne peuvent pas mettre en place une stratégie de dumping sans que l'UE leur impose des tarifs unilatéraux. Ils ont certes obtenus de pouvoir les contester en justice mais une éventuelle contestation n'est pas suspensive. Bref ils sont coincés. Pour les services financiers ils ont déjà commencé à perdre massivement des activités.

Ils ont obtenu le maximum qu'ils pouvaient obtenir c'est à dire pas grand-chose et j'applaudis Barnier et  les principaux dirigeants de l'UE pour avoir maintenu la cohésion et laisser le UK proclamer une victoire de façade. Pour une fois qu'en France on la joue discret sans faire des déclarations tonitruantes contreproductives (méthode Allemande) je dis bien joué.

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il y a 7 minutes, Julien a dit :

L'obtention par le UK d'un accès sans tarif au marché commun

Les accords préférentiels entre l'UE et de très nombreux pays ou groupes de pays dans le monde sont légion ... Voir par exemple le SPG ou système de préférence généralisé avec les pays en développement ou bien les accords de libre échange plus classique ... ainsi sur ce dernier point la Grande-Bretagne va se retrouver - dans ses relations avec l'UE - dans la même situation que la Suisse, la Turquie ou le Maghreb.

Bref la Grande-Bretagne se retrouve dans la situation d'un pays tiers.

Une fois encore dans ce domaine ce ne seront pas tant les droits de douanes ou les droits anti-dumping (qui à mon avis seront inexistants sauf dans le cas ou la marchandise venue de GB ne sera pas d'origine Britannique ou pas d'origine UE dans l'autre sens) qui vont pénaliser le commerce entre GB et UE et qui vont pénaliser les opérateurs britanniques, ce sont les frais et les coûts annexes: logistique, contrôle, transport et bien sûr l'allongement des délais de livraison. Dans l'UE la marchandise voyage sans autre contrainte que celle d'être accompagnée d'une facture et fonction du temps effectif de transport. Depuis le 1er janvier entre Calais et Douvres ainsi que sur les grandes plate-formes logistiques désormais ce n'est plus la même limonade ...

Vous me direz c'est bon pour le marché du travail les Customs and Excises britanniques ont recruté 3000 douaniers et nous on en a pas perdu 700 du fait du Brexit ...

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enfin une BONNE nouvelle (et non, ce n'est pas que le GB soit parti... enfin, une partie parce qu'il y en a plein de bien) liée au BrExit : les amendes routières ne passent plus la manche tant qu'un accord de coopération/réciprocité ne sera pas passé. Ce matin je lisais que rien qu'en France, ça représentait plus de 40000 contraventions routières, et pas que du petit poisson (je ne connais ni le nombre ni la gravité des infractions routières françaises sanctionnées de l'autre coté de la Manche). Par exemple cette semaine un mec a été flashé en train de téléphoner sans ceinture à 200  km/h sur nos  'toroutes.

:sad:

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Il me semble que c'était déjà plus ou moins le cas avant aussi : il était difficile de poursuivre (pénalement) et d'obtenir le paiement des amendes lorsque certains britanniques fortunés organisaient des cannonballs sur notre territoire.

Cela a conduit à des confiscations systématiques de véhicule, pris en garantie pour que les anglais en grands délits routiers reviennent répondre de leurs actes - ou paient, par défaut.

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https://www.eurotopics.net/fr/253797/quels-seront-les-effets-du-brexit-sur-le-long-terme (3 janvier 2021)

Le quotidien Helsingin Sanomat (Finlande) regrette la sortie de la Grande-Bretagne du programme Erasmus :

« Une des conséquences les plus tristes de la sortie des Britanniques de l'UE est leur retrait du programme d'échange étudiants Erasmus institué par l'Union européenne. Le Premier ministre Boris Johnson a justifié la décision par les coûts élevés du programme. ... Créé en 1987, Erasmus était synonyme d'intégration des étudiants européens dans la pratique. Sur les neuf millions d'étudiants qui ont participé au programme, presque un quart a trouvé dans son pays d'accueil un partenaire avec qui il a fait sa vie. L'écrivain italien Umberto Eco est allé jusqu'à qualifier Erasmus de programme "d'intégration sexuelle" de l'Europe. En quittant le programme, la Grande-Bretagne coupe non seulement ses liens avec l'UE, mais aussi avec les autres Européens ».

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En fait je ne suis pas d'accord avec le quotidien Helsingin Sanomat de Finlande. Les universités britanniques sont de très haut niveau et continueront d'attirer des étudiants de nombreux pays du monde y compris d'Europe. Le degré d'internationalisation des universités britanniques ne changera pas. Les bourses Rhodes existent depuis 1902. Cette tradition d'ouverture est profondément ancrée dans la culture universitaire britannique.

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Il y a 4 heures, Wallaby a dit :

En fait je ne suis pas d'accord avec le quotidien Helsingin Sanomat de Finlande. Les universités britanniques sont de très haut niveau et continueront d'attirer des étudiants de nombreux pays du monde y compris d'Europe. Le degré d'internationalisation des universités britanniques ne changera pas. Les bourses Rhodes existent depuis 1902. Cette tradition d'ouverture est profondément ancrée dans la culture universitaire britannique.

Oui, des étudiants continueront a aller étudier en Angleterre dans de grandes universités, entre autre grâce aux accords bilatéraux inter-universités ; MAIS les frais de dossiers ne seront plus pris en charge par Erasmus (donc si tu peux pas payer t'y va pas),  les modules passés en Angleterre ne seront peut-être plus reconnus dans ton cursus mais vus comme un bonus... d'ailleurs je ne sais même pas ce qu'il en est de l'équivalence des diplômes.

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Des Britanniques privés de sandwich au jambon par la douane néerlandaise

Quote

Depuis le 1er janvier, l’importation, pour sa consommation personnelle, du Royaume-Uni vers l’Union européenne de produits d’origine animale est interdite. Certains conducteurs l’ont appris à leurs dépens, dans le port de Hoek van Holland. Une scène filmée par la télévision du pays et largement relayée outre-Manche.

https://www.courrierinternational.com/article/brexit-des-britanniques-prives-de-sandwich-au-jambon-par-la-douane-neerlandaise

 

 

  • Confus 1
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