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On prend les paris, les british quittent,ou pas, l'Europe?  

82 membres ont voté

  1. 1. pensez-vous que les brits vont quitter, ou pas, l'Union?

    • Ils se dégonflent et restent dans l'Europe.
    • Ils ont des "cojones" - des bollocks en fait - et quittent l'Europe.

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Une menace de hausse salariale...Je pense que les anglais n'ont rien connu de pire depuis la disparition de Thatcher. En attendant, l'économie est en croissance et la City qui devait déguster (et ça ne m'aurait pas attristé) est toujours bien gaillarde. Qui plus est, chez nous qui sommes bien campés dans l'Europe qui protège, tout va bien. Nous avons des alliés sûrs, notre industrie est pimpante, les prix de l'énergie sont anormalement bas (grâce au saint marché imposé par l'UE et la sortie du nucléaire amicalement suggérée par l'Allemagne), il n'y aucune pénurie d'aucune sorte, surtout pas de semi-conducteurs, de matériaux de construction, de coton, etc et notre croissance est au moins dix fois plus élevée que chez nos perfides voisins outre-manchots. Et au moins, nous, nous sommes préservés d'avoir des salaires en hausse, ce facteur infâme d'hyper inflation. Ouf...Le Brexit ça a l'air vraiment terrible !

  • Confus 2
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Il y a 1 heure, Nicks a dit :

Une menace de hausse salariale...Je pense que les anglais n'ont rien connu de pire depuis la disparition de Thatcher. En attendant, l'économie est en croissance et la City qui devait déguster (et ça ne m'aurait pas attristé) est toujours bien gaillarde. Qui plus est, chez nous qui sommes bien campés dans l'Europe qui protège, tout va bien. Nous avons des alliés sûrs, notre industrie est pimpante, les prix de l'énergie sont anormalement bas (grâce au saint marché imposé par l'UE et la sortie du nucléaire amicalement suggérée par l'Allemagne), il n'y aucune pénurie d'aucune sorte, surtout pas de semi-conducteurs, de matériaux de construction, de coton, etc et notre croissance est au moins dix fois plus élevée que chez nos perfides voisins outre-manchots. Et au moins, nous, nous sommes préservés d'avoir des salaires en hausse, ce facteur infâme d'hyper inflation. Ouf...Le Brexit ça a l'air vraiment terrible !

T'as pas lu la dernière de ce midi ? On est aussi en croissance. :laugh:

Sinon, c'est du troll ?

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Conflit sur la pêche à Jersey : après la version française de Jean Castex, la version anglaise de Ian Gorst
https://www.latribune.fr/economie/union-europeenne/conflit-sur-la-peche-a-jersey-apres-la-version-francaise-de-jean-castex-la-version-anglaise-de-ian-gorst-893920.html  

Révélation

(...)  Pour résumer l'épisode précédent, rappelons que le Royaume-Uni ayant quitté l'Union européenne, les cartes des échanges commerciaux sont totalement rebattues, avec le rétablissement des frontières entre l'UE et notre voisin d'outre-Manche. 
De fait, les pêcheurs français doivent s'enregistrer et obtenir une autorisation pour pêcher dans la zone d'exclusion des 6-12 miles des eaux britanniques. Et comme les autorisations demandées sont en grande majorité rejetées, la colère monte chez les pêcheurs français dont les instances ont menacé de bloquer le port de Douvres et le tunnel sous la Manche (...) 
Hier, Jean Castex a réclamé l'intervention explicite de la Commission européenne (...) Comme si cela ne suffisait pas, le gouvernement français a poussé un cran au-dessus, (...) n'hésitant pas à brandir l'arme énergétique (...) 
Directement visé par les menaces françaises, le gouvernement de Jersey a aussitôt demandé à son ministre des Affaires étrangères, le sénateur Ian Gorst, d'organiser une conférence de presse (...)  Un pool d'une vingtaine de journalistes (...) l'ont interrogé ce midi (...)

POOL- Comment gérez-vous la question de l'attribution des licences de pêche ? Jersey et le Royaume-Uni, deux ou un seul cas de figure ?
IAN GORST - Nous accordons des permis de pêche à tous les patrons pêcheurs qui peuvent prouver une antériorité de leur activité dans nos zones de pêche. Il se trouve que de fait, nous nous trouvons face à trois cas de figures, (...) Il y a les pêcheurs qui ont apporté tous les documents demandés, toutes les preuves de l'antériorité de leur activité dans nos eaux, et ceux-là se voient accorder un permis.
Il y a les pêcheurs qui n'ont fourni qu'une partie des documents demandés: ceux-là ont jusqu'au 30 janvier 2022 pour compléter leur dossier.
Enfin, troisième catégorie, ce sont les demandes pour lesquelles nous n'avons reçu soit très peu soit aucun des documents demandés (zéro information, zéro donnée).
Nous travaillons avec Bruxelles tant sur la question des preuves à apporter que sur celle des méthodologies à appliquer. Nous souhaitons engager le même travail avec Paris.
Ce qui est apparu, c'est qu'un certain nombre de pêcheurs particuliers sont persuadés d'avoir envoyé plus d'informations que celles que nous avons reçues. Ce qui signifierait que des documents et des données se sont perdus en chemin. Et actuellement, on cherche à savoir où se trouvent les points de blocage (...)
En clair, dans la situation actuelle, notre position n'est pas de nous retrancher dans une position défensive, mais très clairement de continuer à analyser la situation pour trouver des solutions.(...)

Le gouvernement français a menacé de vous couper l'électricité, quelle est votre analyse des nouvelles relations post-Brexit avec la France?
Concernant notre relation post-Brexit avec la France, notre position est de nous conformer strictement à l'Accord de commerce et de coopération signé par le Royaume‑Uni et l'Union européenne (TCA EU-UK). Et en ce qui concerne les menaces du gouvernement français, nous les jugeons simplement disproportionnées et inappropriées (...) La seule chose qui compte, c'est faire en sorte que les pêcheurs fournissent les données demandées. (...)

Le problème c'est que ces demandes de permis concernent beaucoup de petits bateaux qui n'ont pas toujours les moyens de prouver qu'il pêchaient régulièrement dans ces eaux...
Non, nous n'acceptons pas cet argument. Lorsqu'on était sous le régime des accords de la Baie de Granville [signé en 2000, qui régissait la cohabitation entre les pêcheurs normands et de Jersey, et que le Brexit a rendu caduc, NDLR], les bateaux devaient déjà fournir les données de leur carnet de bord. Bien que ces petits bateaux ne disposent pas du dernier cri de la technologie pour le traçage de leur déplacements, ils sont toujours dans l'obligation de tenir leur journal de bord, même si c'est sur papier. (...)
Jérôme Cristiani

Je ne réussis pas à savoir si cette hypothèse de données perdues en chemin constitue une démarche d'apaisement ou juste un moyen de gagner du temps. En ce qui concerne la possibilité de présenter le journal de bord du navire comme preuve, ça me semble logique, mais jusqu'ici les médias ne mentionnaient que des données GPS (en même temps si les journalistes connaissaient systématiquement les sujets sur lesquels ils écrivent, ça se saurait ...:rolleyes:)

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Il y a 3 heures, Desty-N a dit :

Conflit sur la pêche à Jersey : après la version française de Jean Castex, la version anglaise de Ian Gorst
https://www.latribune.fr/economie/union-europeenne/conflit-sur-la-peche-a-jersey-apres-la-version-francaise-de-jean-castex-la-version-anglaise-de-ian-gorst-893920.html  

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(...)  Pour résumer l'épisode précédent, rappelons que le Royaume-Uni ayant quitté l'Union européenne, les cartes des échanges commerciaux sont totalement rebattues, avec le rétablissement des frontières entre l'UE et notre voisin d'outre-Manche. 
De fait, les pêcheurs français doivent s'enregistrer et obtenir une autorisation pour pêcher dans la zone d'exclusion des 6-12 miles des eaux britanniques. Et comme les autorisations demandées sont en grande majorité rejetées, la colère monte chez les pêcheurs français dont les instances ont menacé de bloquer le port de Douvres et le tunnel sous la Manche (...) 
Hier, Jean Castex a réclamé l'intervention explicite de la Commission européenne (...) Comme si cela ne suffisait pas, le gouvernement français a poussé un cran au-dessus, (...) n'hésitant pas à brandir l'arme énergétique (...) 
Directement visé par les menaces françaises, le gouvernement de Jersey a aussitôt demandé à son ministre des Affaires étrangères, le sénateur Ian Gorst, d'organiser une conférence de presse (...)  Un pool d'une vingtaine de journalistes (...) l'ont interrogé ce midi (...)

POOL- Comment gérez-vous la question de l'attribution des licences de pêche ? Jersey et le Royaume-Uni, deux ou un seul cas de figure ?
IAN GORST - Nous accordons des permis de pêche à tous les patrons pêcheurs qui peuvent prouver une antériorité de leur activité dans nos zones de pêche. Il se trouve que de fait, nous nous trouvons face à trois cas de figures, (...) Il y a les pêcheurs qui ont apporté tous les documents demandés, toutes les preuves de l'antériorité de leur activité dans nos eaux, et ceux-là se voient accorder un permis.
Il y a les pêcheurs qui n'ont fourni qu'une partie des documents demandés: ceux-là ont jusqu'au 30 janvier 2022 pour compléter leur dossier.
Enfin, troisième catégorie, ce sont les demandes pour lesquelles nous n'avons reçu soit très peu soit aucun des documents demandés (zéro information, zéro donnée).
Nous travaillons avec Bruxelles tant sur la question des preuves à apporter que sur celle des méthodologies à appliquer. Nous souhaitons engager le même travail avec Paris.
Ce qui est apparu, c'est qu'un certain nombre de pêcheurs particuliers sont persuadés d'avoir envoyé plus d'informations que celles que nous avons reçues. Ce qui signifierait que des documents et des données se sont perdus en chemin. Et actuellement, on cherche à savoir où se trouvent les points de blocage (...)
En clair, dans la situation actuelle, notre position n'est pas de nous retrancher dans une position défensive, mais très clairement de continuer à analyser la situation pour trouver des solutions.(...)

Le gouvernement français a menacé de vous couper l'électricité, quelle est votre analyse des nouvelles relations post-Brexit avec la France?
Concernant notre relation post-Brexit avec la France, notre position est de nous conformer strictement à l'Accord de commerce et de coopération signé par le Royaume‑Uni et l'Union européenne (TCA EU-UK). Et en ce qui concerne les menaces du gouvernement français, nous les jugeons simplement disproportionnées et inappropriées (...) La seule chose qui compte, c'est faire en sorte que les pêcheurs fournissent les données demandées. (...)

Le problème c'est que ces demandes de permis concernent beaucoup de petits bateaux qui n'ont pas toujours les moyens de prouver qu'il pêchaient régulièrement dans ces eaux...
Non, nous n'acceptons pas cet argument. Lorsqu'on était sous le régime des accords de la Baie de Granville [signé en 2000, qui régissait la cohabitation entre les pêcheurs normands et de Jersey, et que le Brexit a rendu caduc, NDLR], les bateaux devaient déjà fournir les données de leur carnet de bord. Bien que ces petits bateaux ne disposent pas du dernier cri de la technologie pour le traçage de leur déplacements, ils sont toujours dans l'obligation de tenir leur journal de bord, même si c'est sur papier. (...)
Jérôme Cristiani

Je ne réussis pas à savoir si cette hypothèse de données perdues en chemin constitue une démarche d'apaisement ou juste un moyen de gagner du temps. En ce qui concerne la possibilité de présenter le journal de bord du navire comme preuve, ça me semble logique, mais jusqu'ici les médias ne mentionnaient que des données GPS (en même temps si les journalistes connaissaient systématiquement les sujets sur lesquels ils écrivent, ça se saurait ...:rolleyes:)

Réflexion malveillante : je ne serais pas surpris qu'ils exigent des journaux de bord traduits en anglais avec certification d'exactitude par traducteur assermenté.

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Suite du feuilleton Nord-Irlandais

Irlande du Nord : Londres accentue la pression sur l’UE pour des « changements » sur les dispositions douanières post-Brexit

Le Royaume-Uni demande que Bruxelles s’attaque aux « fondamentaux » du protocole nord-irlandais signé avec l’accord de Brexit. Une réponse des Européens est attendue la semaine prochaine.

https://www.lemonde.fr/international/article/2021/10/10/irlande-du-nord-londres-accentue-la-pression-sur-l-ue-pour-des-changements-sur-les-dispositions-douanieres-post-brexit_6097776_3210.html

 

Modifié par Paschi
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il y a 53 minutes, Paschi a dit :

Suite du feuilleton Nord-Irlandais

Irlande du Nord : Londres accentue la pression sur l’UE pour des « changements » sur les dispositions douanières post-Brexit

Le Royaume-Uni demande que Bruxelles s’attaque aux « fondamentaux » du protocole nord-irlandais signé avec l’accord de Brexit. Une réponse des Européens est attendue la semaine prochaine.

https://www.lemonde.fr/international/article/2021/10/10/irlande-du-nord-londres-accentue-la-pression-sur-l-ue-pour-des-changements-sur-les-dispositions-douanieres-post-brexit_6097776_3210.html

On verra les propositions britanniques ; pour l'instant, c'est la même rengaine que d'habitude : menaces de revenir sur l'accord, velléités d'imputer à l'UE la rupture de l'Accord du Vendredi Saint, mépris pour les intérêts de l'Irlande du Sud, et toujours la grosse envie de pouvoir outrepasser les frontières commerciales de l'UE pour pouvoir en profiter dans le cadre d'un commerce avec les tiers, un phantasme constant des Rees-Mogg depuis le début.

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Quelques détails :

  • l'UE s'apprête à proposer des arrangements techniques à propos de la "guerre de la saucisse" : permettre l'exportation limitée sans contrôle particulier de biens spécifiques "traditionnels" vers l'Ulster.
  • ces propositions sont rejetées en avance par Frost, qui entend sortir l'Irlande de la juridiction de la justice européenne. Et on se demande bien pourquoi l'Irlande l'accepterait, qui n'a pas eu son mot à dire sur le Brexit...

Article du Guardian :

Les craintes que le Royaume-Uni ne se dirige vers une guerre commerciale avec l'UE ont été alimentées par des indications fortes du gouvernement, qui pense que les propositions qui seront dévoilées mercredi à Bruxelles sur les accords de Brexit ne vont pas assez loin.

Le ministre du Brexit, David Frost, profitera d'un discours prononcé mardi au Portugal pour affirmer que la suppression par l'UE de l'interdiction des saucisses britanniques pour résoudre le différend sur le protocole d'Irlande du Nord ne répond pas aux exigences du Royaume-Uni et des unionistes.

Lord Frost demandera des changements "significatifs" à l'accord post-Brexit qu'il a négocié, notamment en ce qui concerne le rôle de la Cour européenne de justice, ce que l'UE est très peu susceptible de concéder.

"Sans de nouveaux arrangements dans ce domaine, le protocole n'aura jamais le soutien dont il a besoin pour survivre", préviendra-t-il à la veille d'un geste important de l'UE pour résoudre le différend.

Le ministre irlandais des affaires étrangères, Simon Coveney, a réagi avec incrédulité à la "ligne rouge" du Royaume-Uni et au moment choisi, quelques jours seulement avant ce qu'il a qualifié d'offre "sérieuse" de l'UE.

Traduit avec www.DeepL.com/Translator (version gratuite)

 

J'aime bien le niveau d'exigence des anglais... Ils osent tout.

Modifié par Boule75
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Il y a 5 heures, Boule75 a dit :

J'aime bien le niveau d'exigence des anglais... Ils osent tout.

C'est même à ça qu'on les reconnaît ? 

Les demandes anglaises sont en effet toujours aussi déroutantes, tout comme l'est la côté de popularité de BoJo... 

Si les choses n'ont pas de conséquences, pourquoi pas après tout ? 

 

J'ai vu un reportage sur les fêtes unionistes récemment sur Arte, l'ambiance Nord Irlandaise a l'air explosive, c'est bien le moment de verser de l'huile sur le feu. 

Modifié par benne
Compléments et ortho
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Le 10/10/2021 à 17:49, benne a dit :

Si les choses n'ont pas de conséquences, pourquoi pas après tout ? 

Oh mais elles en ont ! (cf. rayons des supermarchés, stations service, etc...)

Pour en revenir au très court terme, la situation commence à déplaire souverainement aux frontières du RU :

  • sur la pêche : en solidarité avec la France, 14 pays de l'UE s'apprêteraient à expédier une missive comminatoire exigeant des britanniques qu'ils respectent "la lettre et l'esprit" des accords qu'ils ont signés.
  • à propos de l'Irlande, le Ministre des Affaires Étrangères irlandais adopte un ton nettement plus tranchant :

L'UE est proche de la fin de la route avec le Royaume-Uni concernant le protocole sur l'Irlande du Nord a déclaré le ministre irlandais des Affaires étrangères, accusant David Frost, le ministre du Brexit, de tenter de saper les tentatives sérieuses de résoudre le problème.

Simon Coveney a déclaré avoir parlé dimanche à l'homologue de Lord Frost, le vice-président de la Commission européenne, Maroš Šefčovič. Ils ont convenu qu'il y aurait un moment où "l'UE dirait : assez, nous ne pouvons plus faire de compromis", a déclaré M. Coveney.

[...]

"La stratégie de négociation que Lord Frost a adoptée jusqu'à présent cette année consiste en fait à attendre que l'UE présente des propositions de compromis, à les considérer comme acquises, à dire qu'elles ne sont pas suffisantes et à en demander davantage", a déclaré M. Coveney. "C'est le même schéma, encore et encore.

Le problème, c'est que cela peut fonctionner à court terme, en termes d'obtention de compromis de la part de l'UE, mais à un moment donné, l'UE dira "ça suffit", nous ne pouvons plus faire de compromis sans compromettre fondamentalement le fonctionnement du protocole dans le contexte de l'intégrité du marché unique européen. Et je pense que nous sommes très proches de ce point".

Il a déclaré que les renvois du Royaume-Uni étaient "encore plus graves" cette semaine, étant donné la "réponse généreuse" et les propositions "pratiques" complètes que l'UE présentait.

M. Coveney a déclaré que M. Šefčovič avait travaillé "vraiment dur pour essayer de faire accepter ces propositions de compromis" convenues par l'UE après avoir écouté les chefs d'entreprise et les hommes politiques d'Irlande du Nord.

"L'UE essaie de résoudre ces problèmes et le Royaume-Uni rejette les solutions avant qu'elles ne soient publiées", a déclaré le ministre irlandais des Affaires étrangères.

[...]

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Les pecheurs francais et Bélges se preparent à bloquer les ports de la Manche debut novembre . Chez pas:chirolp_iei: mais je vois pas trop notre gouvernement déloger par la force nos pecheurs qui bloqueraient les terminaux ferry trans-Manche.  

En plus debut Novembre c'est le debut des expeditions de Noël vers la GB . Il va y avoir du sport:chirolp_iei:

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Camp conservateur, journal "de qualité", ancien ministre, propagande nationaliste anti-française (avec des pans entiers relevants de phantasmes et d'invention) en défense des positions du gouvernement actuel :

Macron, anti-britannique et anti-Brexit, a transformé la France en un État hostile

Les ministres sont furieux contre le président français qui a fait chuter les relations entre les deux pays de plusieurs générations.

Suite de la traduction ci-dessous. L'état d'esprit est désastreux, entre hubris, inventions, paranoïa feinte ou réelle, syllogismes, recherche de bouc émissaire...

Révélation

13 octobre 2021 - 21h30
Allister Heath

Tragique n'est même pas un début de description. Les relations entre la France et la Grande-Bretagne, les deux plus grandes nations d'Europe, le pays où je suis né et le pays où je vis, sont au plus bas depuis plusieurs générations. La situation est bien pire que presque tout le monde ne le pense, un état de fait déchirant qui rendra encore plus difficile la renégociation réussie du protocole nord-irlandais.

La colère, le ressentiment et le sentiment de trahison du côté britannique sont encore plus grands que lorsque le général de Gaulle a opposé son veto (à juste titre) à nos demandes d'adhésion à la Communauté européenne en 1963 et 1967. Aucun événement récent n'est comparable, même de loin : ni la querelle avec Jacques Chirac au sujet de l'Irak, ni l'utilisation meurtrière par l'Argentine de missiles français Exocet pendant la guerre des Malouines, et certainement pas les interminables prises de bec au sujet du bœuf, de l'ESB, du poisson ou des traités européens au fil des ans.

Il faut remonter quelque sept décennies en arrière pour se souvenir d'une époque pire. Le moment présent n'a évidemment rien à voir avec l'horreur qu'a été la destruction nécessaire par la Grande-Bretagne de la flotte française à Mers-el-Kébir en Algérie en juillet 1940, tuant 1 297 militaires français, après la défaite des Alliés dans la bataille de France, mais l'amertume qu'elle a causée en France a duré des décennies, et le différend franco-britannique d'aujourd'hui pourrait laisser un héritage tout aussi toxique.

Les ministres britanniques soulignent une série d'événements qui ont ébranlé leur foi dans le caractère et les intentions d'Emmanuel Macron. Le pire a été la décision du président français d'imposer un blocus complet aux camions entrant en Grande-Bretagne en décembre de l'année dernière, après que Matt Hancock, alors secrétaire à la santé, ait paniqué à propos de la variante Kent.

Selon les ministres, la Grande-Bretagne était à 72-90 heures d'une pénurie catastrophique de nourriture et de médicaments, infligée par un pays qui était censé être notre allié. C'était une reprise du blocus continental de Napoléon Bonaparte, un moment traumatisant qui a montré que l'histoire n'était pas terminée et que rien ne change jamais en géopolitique.

L'un des nombreux ministres concernés affirme que ce fut sans doute le moment le plus stressant de sa carrière professionnelle, bien qu'un public habitué au chaos ambiant n'ait heureusement pas réalisé à quel point il s'agissait d'un quasi-échec. Ce ministre et d'autres sont toujours incandescents, et croient qu'il est un impératif stratégique urgent pour le Royaume-Uni de réduire notre dépendance envers la France. Nous devons nous éloigner du modèle "roll-on, roll-off" - dans lequel les camionneurs conduisent d'un bout à l'autre du continent jusqu'en Grande-Bretagne - encouragé par le marché unique et les faibles coûts de main-d'œuvre, et revenir au commerce par conteneurs, avec des navires déchargés dans divers ports, affirment-ils. Le goulet d'étranglement de Calais est le talon d'Achille de la Grande-Bretagne, et nous devons revenir à nos racines maritimes pour diversifier nos approvisionnements. La France colbertiste, comme la Russie de Poutine, traite le commerce comme une arme politique, plutôt que comme un libre échange mutuellement bénéfique.

Un autre ministre a déclaré que la France aurait provoqué un Brexit sans issue si elle n'avait pas relâché son blocus au bon moment. Cet épisode épouvantable était l'équivalent moderne de la crise de Fashoda en 1898, lorsque les deux nations ont failli prendre les armes pour l'empire.

Le deuxième casus belli est survenu au début de cette année lorsque, dans une décision scandaleusement illibérale qui ne sera jamais pardonnée par le gouvernement actuel, l'UE a détourné d'une usine néerlandaise des millions de lots de vaccins AstraZeneca destinés à la Grande-Bretagne. Elle a ensuite invoqué à plusieurs reprises les contrôles à l'exportation. Les ministres estiment que Macron a été le principal défenseur de ces deux actions, qui auraient pu coûter des vies britanniques, et qualifient cet acte d'"hostile". Pour ajouter l'insulte à la blessure, Macron lui-même avait auparavant injustement sali la réputation du vaccin d'Oxford.

Cela nous amène au gâchis que constitue le protocole nord-irlandais, un traité inégal par excellence. Les ministres pensent que Lord Frost ne négociera pas seulement avec Maroš Šefčovič, le représentant de l'UE, mais aussi avec les Français, considérés comme les principaux partisans d'une ligne dure. Un ministre va jusqu'à affirmer que la France n'est motivée que par un sentiment anti-britannique et anti-Brexit, et ne se soucie pas de "l'intégrité du marché unique" ou du sort du peuple irlandais.

Cette absence stupéfiante de confiance est l'une des raisons pour lesquelles la Grande-Bretagne a fixé le retrait du protocole de la juridiction de la Cour européenne de justice comme ligne rouge dans les négociations : comme Lord Frost l'a souligné dans son discours cette semaine, le choix de la Commission de lancer une procédure d'infraction à la première occasion montre pourquoi le Royaume-Uni ne peut pas se permettre de laisser l'UE marquer ses propres devoirs.

Comme si cette litanie de griefs ne suffisait pas, les Français continuent de faire monter les enchères. Ils font pression pour empêcher le Royaume-Uni de participer pleinement à Horizon, le programme de recherche de l'UE. Ils ne peuvent accepter de perdre le droit de pêcher librement dans les eaux britanniques et menacent de couper non seulement l'approvisionnement en électricité de Jersey, mais aussi celui du Royaume-Uni via les interconnecteurs. Bluffent-ils, ou pourraient-ils réellement appuyer sur le bouton rouge ? Cela tournerait en dérision le droit international et le caractère sacré des contrats auxquels les Remainers prétendent croire. Cela représenterait également une escalade cataclysmique qui mettrait en péril la coopération militaire entre les deux seules puissances de défense européennes et, in extremis, ferait même s'effondrer l'accord de commerce et de coopération.

Je suis parti pris dans ce combat : je crois que le Brexit était pratiquement et moralement juste, et que les Français n'ont pas le droit de s'y opposer. Beaucoup à Paris ne sont pas d'accord : ils pensent que le Royaume-Uni a ruiné l'opportunité historique d'unir l'Europe (et de contenir l'Allemagne) et que, par conséquent, il mérite d'être traité comme un ennemi. Les Français sont aussi extraordinairement mécontents de l'accord Aukus, qui a ébranlé leur vision complaisante de leur mission post-impériale.

Mais la véritable pierre d'achoppement d'un renouveau de l'amitié post-européenne est Macron lui-même, un président arrogant et peu inspirant qui cherche désespérément à ne pas finir comme Nicolas Sarkozy et François Hollande. À l'approche des élections, il veut renforcer ses références nationalistes dans un pays qui se déplace culturellement vers la droite. Il n'y a aucune chance que ce gouvernement lui fasse confiance après tout ce qui s'est passé, c'est pourquoi il est si désireux de terminer le travail inachevé du Brexit en Irlande du Nord.

Pendant une grande partie des 900 dernières années, la France et la Grande-Bretagne étaient en conflit, voire en guerre, jusqu'à ce que la peur de Fashoda conduise à l'Entente cordiale en 1904. Nous avons désespérément besoin d'une autre réconciliation de ce type aujourd'hui, mais seul un imbécile serait optimiste.


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1 hour ago, Boule75 said:

Camp conservateur, journal "de qualité", ancien ministre, propagande nationaliste anti-française (avec des pans entiers relevants de phantasmes et d'invention) en défense des positions du gouvernement actuel :

Macron, anti-britannique et anti-Brexit, a transformé la France en un État hostile

Les ministres sont furieux contre le président français qui a fait chuter les relations entre les deux pays de plusieurs générations.

Suite de la traduction ci-dessous. L'état d'esprit est désastreux, entre hubris, inventions, paranoïa feinte ou réelle, syllogismes, recherche de bouc émissaire..

Les commentaires sont aussi très.... gratinés dirons-nous.

Je sais que ce n'est pas représentatif de la situation globale et de l'intégralité de l'opinion de la population anglaise, mais ça reste inquiétant de voir autant de ressentiment et d'agressivité. Et de méconnaissances et de préjugés aussi sur les évènements récents.

La polarisation des médias dans toute sa splendeur ? 

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https://www.lefigaro.fr/international/l-ue-propose-d-alleger-les-controles-pour-reduire-les-tensions-en-irlande-du-nord-20211013

En échange, pour protéger l'intégrité du marché intérieur européen et s'assurer que ces produits n'y pénètrent pas, Londres devrait donner des garanties, comme une étiquette indiquant qu'ils sont destinés à la vente «uniquement» au Royaume-Uni et un mécanisme de «réaction rapide» pour identifier et résoudre les problèmes, sous peine de mesures unilatérales de la part de Bruxelles.

Donc des produits à des normes inférieures pourront être vendus moins cher dans les magasins d'Irlande du Nord, mettant sur la paille les magasins d'Irlande du Sud vendant des produits plus chers aux normes européennes supérieures. Et c'est ainsi qu'on "protège l'intégrité du marché intérieur".

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Il y a 2 heures, Boule75 a dit :

Camp conservateur, journal "de qualité", ancien ministre, propagande nationaliste anti-française (avec des pans entiers relevants de phantasmes et d'invention) en défense des positions du gouvernement actuel :

Concernant la guerre des Malouines : 

Le 27/09/2021 à 21:04, Wallaby a dit :

https://www.bbc.com/news/magazine-17256975 (6 mars 2012)

Dans ses mémoires, l'ancien ministre britannique de la Défense, Sir John Nott, décrit la France comme le "plus grand allié" de la Grande-Bretagne pendant la guerre des Malouines. Mais d'anciens documents secrets et d'autres preuves révélées par la BBC montrent que ce n'était pas toute l'histoire.

Avant la guerre, la France a vendu à la junte militaire argentine cinq missiles Exocet.

À l'époque, peu de gens soupçonnaient que la revendication de longue date du régime sur les Malouines mènerait à la guerre, et la vente est passée largement inaperçue. Mais lorsqu'en mai 1982, ces missiles Exocet ont été utilisés pour frapper les navires britanniques HMS Sheffield et Atlantic Conveyor, entraînant la mort de 32 Britanniques, une quasi panique s'est installée à Londres.

Au début du conflit, le président français de gauche, François Mitterrand, s'était porté au secours de la Grande-Bretagne en décrétant un embargo sur les ventes d'armes françaises et l'assistance à l'Argentine.

Il a également autorisé la flotte britannique à destination des Malouines à utiliser les installations portuaires françaises en Afrique de l'Ouest, et a fourni à Londres des informations détaillées sur les avions et les armes que son pays avait vendus à Buenos Aires.

Paris a également coopéré aux efforts considérables déployés par les Britanniques pour empêcher l'Argentine d'acquérir d'autres Exocets sur le marché mondial des armes.

Dans ce qui semble être une violation claire de l'embargo du président Mitterrand, une équipe technique française - travaillant principalement pour une société détenue à 51 % par le gouvernement français - est restée en Argentine pendant toute la durée de la guerre.

Dans une interview réalisée en 1982 par la journaliste du Sunday Times Isabel Hilton, le chef de l'équipe, Hervé Colin, a admis avoir effectué un test particulier qui s'est avéré précieux pour les forces argentines.

"Le processus de vérification consiste à déterminer si le lanceur de missiles fonctionnait correctement ou non. Trois des lanceurs ont échoué. Nous avons localisé la source du problème et c'est tout. Le reste a été simple."

Le ministre britannique de la Défense de l'époque, Sir John Nott, m'a dit que, bien qu'il sache qu'une équipe technique française se trouvait alors en Argentine, son travail n'était pas considéré comme très important. Les efforts britanniques, insiste-t-il, visaient principalement à empêcher les Argentins de se procurer d'autres Exocets.

Avait-il, je lui ai demandé, demandé à Paris de retirer l'équipe ? Il ne s'en souvient pas. Dans l'ensemble, a-t-il ajouté, les Français ont apporté une aide substantielle à la Grande-Bretagne pendant le conflit.

Mais ne se sent-il pas aujourd'hui un peu déçu par une nation qu'il avait auparavant décrite comme le plus grand allié de la Grande-Bretagne ? Voici sa réponse :

"Nous avons demandé à Mitterrand de ne pas aider les Argentins. Si vous me demandez : "Les Français sont-ils des gens duplices ?", la réponse est : "Bien sûr qu'ils le sont, et ils l'ont toujours été".

 

 

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il y a 3 minutes, Niafron a dit :

Duplice ( adj ): double, faux, frauduleux, hypocrite, trompeur.

L'usage est attesté chez Simone de Beauvoir et quelques autres : https://fr.wiktionary.org/wiki/duplice , sans compter, ce qui nous ramène aux relations internationales, à la https://fr.wikipedia.org/wiki/Duplice

Mais j'aurais dû faire une périphrase avec "duplicité". Sur le moment je n'y ai pas pensé.

« Les français sont-ils coupables de duplicité ? la réponse est : Bien sûr qu'ils le sont, et ils l'ont toujours été ».

Ou encore : « Les français jouent-ils un double jeu ? la réponse est : Bien sûr, et ils l'ont toujours fait ».

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Le 14/10/2021 à 09:01, Boule75 a dit :

Camp conservateur, journal "de qualité", ancien ministre, propagande nationaliste anti-française (avec des pans entiers relevants de phantasmes et d'invention)

D'accord, mais à condition d'ajouter les trois douzaines de paires de guillemets que tu as oubliées à "de qualité" :happy: !

Le Telegraph, un journal de qualité :laugh: ?

Peut-être l'a-t-il été dans le passé - je ne suis pas un spécialiste de la préhistoire - mais maintenant...

 

Le 14/10/2021 à 11:31, Wallaby a dit :

Donc des produits à des normes inférieures pourront être vendus moins cher dans les magasins d'Irlande du Nord, mettant sur la paille les magasins d'Irlande du Sud vendant des produits plus chers aux normes européennes supérieures. Et c'est ainsi qu'on "protège l'intégrité du marché intérieur".

Il y a une solution à ce problème. Ca s'appelle la réunification de l'Irlande. Dublin devrait adresser une proposition ouverte et publique de statut d'autonomie locale pour une Irlande du Nord unie tenant compte de la spécificité protestante.

 

En attendant, le gouvernement irlandais avertit tous les pays du monde

Ils ne tiennent pas leur parole : L'Irlande met en garde le monde contre la signature d'accords avec le Royaume-Uni après le Brexit

L'Irlande a averti les pays du monde entier de ne pas faire confiance au Royaume-Uni car il est dirigé par un "gouvernement britannique qui ne tient pas nécessairement parole".

Le vice-premier ministre irlandais Leo Varadkar a exhorté les pays à faire preuve de prudence lorsqu'ils traitent avec le Royaume-Uni en raison de la "mauvaise foi" dont fait preuve le gouvernement dans ses projets de révision d'un accord clé signé dans le cadre du Brexit.

Tout à fait juste !

Une petite critique de forme tout de même, concernant l'expression "gouvernement britannique qui ne tient pas nécessairement parole"... idéalement, il faut tenter d'éviter les pléonasmes :tongue:

(bon ok, c'est exagéré, mais nos chers voisins doivent reconnaître qu'ils ne l'ont pas volé sur ce coup-là !)

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il y a 2 minutes, Alexis a dit :

Il y a une solution à ce problème. Ca s'appelle la réunification de l'Irlande. Dublin devrait adresser une proposition ouverte et publique de statut d'autonomie locale pour une Irlande du Nord unie tenant compte de la spécificité protestante.

Moi je ne serais pas loin de faire la même proposition, mais en l'inversant. L'Irlande du Sud n'a qu'à quitter l'UE et adopter le régime de circulation des biens et des personnes avec le Royaume-Uni comme avant 1973, sachant qu'en ce qui concerne les personnes, le problème était réglé à travers la "Common Travel Area" : https://en.wikipedia.org/wiki/Common_Travel_Area#1952_agreement

L'Irlande étant un paradis fiscal, qui permet à Google et autres de ne pas payer les impôts qu'ils doivent à l'Europe, c'est dans l'intérêt de l'Europe de se débarrasser de l'Irlande du Sud. Les Irlandais du Sud ne méritent pas que l'UE se mette en quatre pour leurs intérêts.

 

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il y a une heure, Wallaby a dit :

L'intérêt des Irlandais, c'est d'avoir le beurre et l'argent du beurre.

@Shorr kan Oui, oui, je sais... Il y a un troisième terme à cette énumération :smile:

Mais non, je ne pense pas opportun de poster une image :mellow:

C'est vrai, la crémière est jolie, mais... J'ai mon correspondant au NORAD qui me signale un fort risque de tir de TOPOL si je complétais la phrase de Wallaby par une illustration trop graphique du troisième terme :unsure:

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Il y a 2 heures, Alexis a dit :

D'accord, mais à condition d'ajouter les trois douzaines de paires de guillemets que tu as oubliées à "de qualité" :happy: !

Le Telegraph, un journal de qualité :laugh: ?

Peut-être l'a-t-il été dans le passé - je ne suis pas un spécialiste de la préhistoire - mais maintenant...

Ah, mais depuis Einstein on sait que tout est relatif, absolument !

Et en l'occurrence, relativement au reste de la presse britannique, le Torygraph est un journal de qualité ; au même titre que son concurrent gauchiste le Grauniad.

 

Il y a 2 heures, Wallaby a dit :

Moi je ne serais pas loin de faire la même proposition, mais en l'inversant. L'Irlande du Sud n'a qu'à quitter l'UE et adopter le régime de circulation des biens et des personnes avec le Royaume-Uni comme avant 1973, sachant qu'en ce qui concerne les personnes, le problème était réglé à travers la "Common Travel Area" : https://en.wikipedia.org/wiki/Common_Travel_Area#1952_agreement

L'Irlande étant un paradis fiscal, qui permet à Google et autres de ne pas payer les impôts qu'ils doivent à l'Europe, c'est dans l'intérêt de l'Europe de se débarrasser de l'Irlande du Sud. Les Irlandais du Sud ne méritent pas que l'UE se mette en quatre pour leurs intérêts.

Ça, c'est ce que les Britanniques veulent (et ont plusieurs fois suggéré durant l'interminable feuilleton du Brexit). Et donc ça fait une bonne raison de ne pas s'engager sur cette voie. :tongue:

Cependant, je serais tout à fait d'accord envers le fait d'utiliser la situation actuelle pour tordre un peu le bras aux irlandais sur les questions qui fâchent... Obtenir des contreparties à notre soutien, en sorte.

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il y a 34 minutes, Kelkin a dit :

Cependant, je serais tout à fait d'accord envers le fait d'utiliser la situation actuelle pour tordre un peu le bras aux irlandais sur les questions qui fâchent... Obtenir des contreparties à notre soutien, en sorte.

C'est acquis, si ce n'est fait : l'accord à l'OCDE a deux piliers :

  • impôt sur les sociétés min 15%
  • et surtout taxation _locale_, là où le chiffre d'affaire est fait, pays par pays.
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