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On prend les paris, les british quittent,ou pas, l'Europe?  

82 membres ont voté

  1. 1. pensez-vous que les brits vont quitter, ou pas, l'Union?

    • Ils se dégonflent et restent dans l'Europe.
    • Ils ont des "cojones" - des bollocks en fait - et quittent l'Europe.

Ce sondage n’accepte plus de nouveau vote


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Il y a 2 heures, wagdoox a dit :

Pour l’instant, on voit surtout que le ru est touché par les memes problemes que nous sur le covid et consequences, sur la crise energetique… ils sont touchés en premier mais c’est dû a leur systeme ecomique dynamique quand tout va bien et fragile quand ca va pas. C’est aussi generalement les premiers a sortir de la crise avec les usa. Nous on entre toujours plus tard mais on traine les consequences pendant bien plus longtemps, c’est un schema tres connu. 
il est encore tres tot pour savoir si le brexit a ete positif ou negatif, pas qu’on a pas eu assez de temps pour juger mais la sortie s’est suivie de crises internationales. 
D’ailleurs meme si brexit, il y a eu le ru reste un des pays les plus exposés a la mondialisation avec des echanges internationales qui representent plus de 50% du pib. 
leur brexit ressemble plus a un rejet de la regulation de l’ue et moins a une volonté de souveraineté. 

L'argument du "c'est la faute à la conjoncture !" marchera toujours.

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il y a 1 minute, nemo a dit :

Il sera toujours utilisé mais ça ne veux pas dire qu'il marche.

Les plus résolus et les fanatiques trouveront toujours une branche à laquelle se raccrocher.

Mais de façon plus consensuelle et sérieuse, nous étions beaucoup ici et là à nous dire que le Royaume-Uni avait quelques atouts à exploiter et surtout, une classe politique moins nulle que la nôtre. Force semble de constater que le premier point est un échec et que le deuxième n'est plus aussi assuré.

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il y a 1 minute, Ciders a dit :

Les plus résolus et les fanatiques trouveront toujours une branche à laquelle se raccrocher.

Mais de façon plus consensuelle et sérieuse, nous étions beaucoup ici et là à nous dire que le Royaume-Uni avait quelques atouts à exploiter et surtout, une classe politique moins nulle que la nôtre. Force semble de constater que le premier point est un échec et que le deuxième n'est plus aussi assuré.

La question est surtout structurelle AMHA les même causes ont les mêmes conséquences. Il y a un décalage dans le temps et des situations quelque peu différente mais in fine la dégradation générale du discours public et de la "pensée" politique (elle mérite plus ce nom) se retrouve partout. 

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Il y a 12 heures, Boule75 a dit :

Mouais.

Pour l'instant on s'aperçoit surtout que le différentiel de croissance entre la France et le RU depuis le Brexit est de l'ordre de 10%, avec en prime des investissements en berne, la capitalisation de la bourse de Paris qui a dépassé celle de Londres.
Curieux, hein ? A quoi ça pourrait être dû ?

J’ai deja repondu, c’est tres probablement un effet de dephasage chronologique habituel des crises.

10% de croissance on pourrait faire la meme analyse avec l’allemagne pre covid. Depuis quand la capitalisation reflette l’economie reelle ? 

Modifié par wagdoox
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il y a 7 minutes, wagdoox a dit :

J’ai deja repondu, c’est tres probablement un effet de dephasage chronologique habituel des crises.

10% de croissance on pourrait faire la meme analyse avec l’allemagne pre covid. Depuis quand la capitalisation reflette l’economie reelle ? 

Sérieux... Tu confonds capitalisation et PIB ?

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  • 2 weeks later...

Oui c'est un grand mystère que des patrons pro-brexit aient pu croire que cela n'aurait aucun impact sur la fluidité des échanges avec l'UE.

C'est un bon exemple de choses qui étaient devenues invisibles car la norme, et dont on ne se rend compte de l'impact uniquement lorsqu'ils disparaissent.

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Le 13/12/2022 à 00:00, Boule75 a dit :

Sérieux... Tu confonds capitalisation et PIB ?

tu arrives a pondre un "sérieux" ... 
Je réponds à ta phrase... qui mélange les deux sans que je t'en fasse un fromage... 

 

Le 12/12/2022 à 10:52, Boule75 a dit :

Mouais.

Pour l'instant on s'aperçoit surtout que le différentiel de croissance entre la France et le RU depuis le Brexit est de l'ordre de 10%, avec en prime des investissements en berne, la capitalisation de la bourse de Paris qui a dépassé celle de Londres.
Curieux, hein ? A quoi ça pourrait être dû ?

 

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Il y a 1 heure, Julien a dit :

Oui c'est un grand mystère que des patrons pro-brexit aient pu croire que cela n'aurait aucun impact sur la fluidité des échanges avec l'UE.

Mouais, en même temps, j'ai voulu acheter aujourd'hui un gigot d'agneau, ils venaient tous du Royaume Uni.

Puisque c'est comme ça, j'ai pris autre chose, na.

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Il y a 2 heures, rendbo a dit :

T'façon l'agneau c'est à Pâques, pas à Noël... 

Erreur...

A Pâques, c'est de l'agneau de lait (ce devrait être... rapport au sacrifice de l'agneau qui vient de naître, pour épargner le premier-né dans les 10 plaies d'Égypte - agneau auquel JC est ensuite identifié/amalgamé).

L'agneau des prés, c'est une viande d'automne et d'hiver : reproduction à l'automne, gestation de 5 mois donc naissance en début de printemps, sevrage 2 à 3 mois plus tard, en début d'été, 5 à 8 mois dans les prés, et il est normal de servir de l'agneau à Noël si l'on veut respecter la saisonnalité des viandes.

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https://www.handelsblatt.com/politik/international/aussenhandel-grossbritannien-verfehlt-eigene-ziele-bei-handelsvertraegen-nach-brexit-/28898638.html (31 décembre 2022)

La Grande-Bretagne a largement manqué l'objectif qu'elle s'était fixé pour le début de l'année en matière d'accords commerciaux post-Brexit. Moins des deux tiers du volume du commerce extérieur ont été couverts jusqu'à présent par des accords commerciaux post-Brexit, comme l'a confirmé un porte-parole du ministère britannique du Commerce, interrogé à ce sujet. A l'origine, le gouvernement de Londres avait fixé comme objectif que les nouveaux contrats commerciaux représentent 80 pour cent d'ici la fin 2022.

La possibilité de conclure, en tant qu'Etat souverain, ses propres contrats commerciaux sans être soumis aux règles de l'UE était l'une des promesses centrales du Brexit.

Selon les derniers chiffres officiels disponibles, seuls 63 pour cent du commerce extérieur sont jusqu'à présent couverts par de tels accords.

"Nous nous sommes fixé des objectifs élevés, mais pour les atteindre, nous avons besoin d'un accord avec les États-Unis, et il est clair que l'administration Biden n'accorde pas la priorité aux accords commerciaux avec d'autres pays", a déclaré un représentant des milieux gouvernementaux britanniques à l'agence de presse allemande.

Le ministère britannique du Commerce a fait savoir qu'il souhaitait se concentrer ensuite sur les accords avec l'Inde, les pays du Golfe, le Canada, le Mexique, Israël et l'Indo-Pacifique.

Dans de nombreux cas, les accords commerciaux avec d'autres pays ont été largement copiés de l'époque de l'UE, les conditions sont nettement moins bonnes que dans le cas du pacte commercial de l'UE ou l'ordre de grandeur n'est tout simplement pas aussi important pour l'économie britannique - par exemple dans le cas de l'Australie ou du Japon.

Selon un sondage, le pacte commercial avec l'UE n'apporte pas aux entreprises britanniques les avantages escomptés : Dans un sondage de la British Chamber of Commerce, plus des trois quarts des entreprises interrogées ont déclaré que l'accord de Brexit ne les aidait pas à augmenter leur chiffre d'affaires. Plus de la moitié d'entre elles (56 %) ont déclaré avoir des problèmes avec les nouvelles règles commerciales.

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  • 3 weeks later...

Le gouvernement Sunak va faire passer une loi appelée Retained EU Law (Revocation and Reform) Bill.

C'est une bombe à retardement qui prévoit que toute la législation européenne restante sera abrogée d'un trait de plume le 31 décembre 2023, sauf si le parlement d'ici là vote explicitement le sauvetage de telle ou telle disposition.

Ou encore, c'est une espèce d'autodafé (bonfire) de la législation européenne honnie.

Ou encore, c'est la cancel culture appliquée à l'UE.

https://inews.co.uk/opinion/gender-bill-row-removal-eu-laws-rishi-sunak-idiot-coward-2091777

Il s'agit d'un dernier acte de vandalisme de la part d'un gouvernement qui s'attend à être éjecté lors des prochaines élections - une tentative de dernière minute pour s'assurer qu'un futur gouvernement ne pourra pas réparer ce qu'il a fait.

Nous n'avons aucune idée du nombre de lois auxquelles cela s'applique. Lorsque le gouvernement a essayé de le déterminer l'été dernier, il en a trouvé 2 400. Lorsqu'il a fait appel aux Archives nationales pour un nouvel examen à l'automne, il en a trouvé 1 400 autres. Qui sait combien d'autres traînent sans qu'on les remarque ?

Le gouvernement a essentiellement créé le Brexit No-Deal version 2.0. Il a inventé un délai arbitraire pour remplacer celui créé par le processus de l'article 50 et a ensuite mis sur la ligne de mire l'ensemble du cadre juridique du Royaume-Uni.

Dans une période d'urgence nationale aiguë - au milieu d'une économie brutalisée, d'une inflation galopante et de grèves dans toute la société - sa réponse consiste à plonger le système réglementaire dans le chaos le plus total. Les entreprises n'auront aucune idée des règles qu'elles doivent suivre ou de ce qu'elles seront l'année prochaine.

Nous n'avons aucune idée de ce que Sunak pense de tout ça. Peut-être croit-il vraiment à tout cela, auquel cas il est un idiot. Peut-être se plie-t-il simplement à l'aile réactionnaire de son parti, auquel cas c'est un lâche.

https://www.theguardian.com/commentisfree/2023/jan/18/brexit-eu-law-democracy-rishi-sunak

La pancarte sur la porte indique "Brexit delivery department". À l'intérieur, un fonctionnaire va chercher des boîtes débordant de documents étiquetés "paperasserie européenne" et "législation européenne". Une pause, un grognement de consternation, un craquement de jointures. Puis, au son de l'Ode à la joie de Beethoven, les documents sont passés dans une déchiqueteuse.

La vidéo n'était pas subtile, mais la subtilité n'est pas le terrain où se déroulent les courses à la direction des Tories. Rishi Sunak était en train de perdre et il sentait que sa campagne manquait de l'applaudissement joyeux de l'évangélisation du Brexit. Il s'est donc engagé à réviser ou à abroger chaque partie de la législation européenne conservée qui se cache dans les lois britanniques dans les 100 jours suivant son entrée en fonction.

Personne qui a réfléchi sérieusement à cette tâche ne pense qu'elle peut être réalisée en toute sécurité à ce rythme. Il est facile de faire preuve d'imprudence, sans se soucier de savoir si les anciennes règles servaient un quelconque objectif - la protection de l'environnement et des consommateurs, par exemple ; les droits des travailleurs ; l'apport d'une sécurité juridique pour quiconque souhaite faire des affaires des deux côtés de la Manche.

Le plan a été conçu lorsque Boris Johnson était encore à Downing Street.

Pour les adeptes de ce credo, la tâche est devenue plus urgente à mesure que la cote de popularité des conservateurs chutait. La crainte d'un gouvernement travailliste a rendu vital le fait de brûler les ponts juridiques avec l'Europe. Liz Truss a donné les allumettes à Jacob Rees-Mogg, le nommant secrétaire d'État aux affaires, s'assurant ainsi que la tâche serait accomplie avec un mépris pyromane des conséquences. Dès que Sunak a été confirmé comme successeur de Truss, Rees-Mogg a quitté le cabinet. A ce moment-là, l'amadou était déjà allumé.

Même les chefs d'entreprise qui sont censés bénéficier de la déréglementation disent qu'ils préfèrent la continuité sous un gouvernement qui comprend les règles à un énième spasme de caprice idéologique.

 

 

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Enfin ils devaient remplacer le marquage CE par le marquage UKCA fin 2022... mais finalement ils ont rajouté 1 an de délai supplémentaire pour la mise en conformité (alors que pour l'instant les spécifications à tenir sont exactement les mêmes,  dit autrement c'est un simple copier-coller des textes CE existants). 

Donc j'attends de voir ce que ça donnerait x2400!

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  • 2 weeks later...
Le 21/01/2023 à 14:51, Wallaby a dit :

[1] https://www.newstatesman.com/economy/2023/01/britain-decline-inflation-growth-uk-government

Les prévisions compilées par le cabinet de conseil Consensus Economics font état d'une baisse de 1 % du PIB britannique en 2023, contre une baisse de seulement 0,1 % dans la zone euro et une faible croissance aux États-Unis (0,25 %). L'OCDE prévoit que seule la Russie fera moins bien que le Royaume-Uni parmi les économies du G20.

En fait non :

https://www.independent.co.uk/news/business/uk-recession-economy-g7-imf-warning-b2272434.html (31 janvier 2023)

L'économie britannique enregistrera la pire performance de toutes les économies du G7, passant même en dessous de la Russie.

Dans sa dernière mise à jour, le Fonds monétaire international (FMI) a une nouvelle fois revu à la baisse ses prévisions pour le Royaume-Uni, prévoyant une contraction de 0,6 % contre une croissance de 0,3 % en octobre dernier.

L'économiste en chef du FMI, Pierre-Olivier Gourinchas, a expliqué que trois facteurs principaux motivent les perspectives économiques du Royaume-Uni.

Il a déclaré : "Premièrement, il y a l'exposition au gaz naturel... nous avons eu une très forte augmentation des prix de l'énergie au Royaume-Uni. Une part plus importante de l'énergie provient du gaz naturel, avec une répercussion plus importante sur les consommateurs finaux.

"Les niveaux d'emploi au Royaume-Uni n'ont pas non plus retrouvé leur niveau d'avant la pandémie. C'est une situation où vous avez un marché du travail très, très serré, mais vous avez une économie qui n'a pas réabsorbé dans l'emploi autant de personnes qu'avant. Cela signifie qu'il y a moins de rendement, moins de production.

"Troisièmement, il y a un resserrement monétaire très marqué parce que l'inflation a été très élevée, c'est un effet secondaire de cette forte répercussion des prix de l'énergie.

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  • 3 weeks later...

https://www.newstatesman.com/comment/2023/02/can-britain-rejoin-eu-wolfgang-munchau (15 février 2023)

Si 60 % des Britanniques pensent que le Brexit était une erreur, il ne s'ensuit pas que 60 % veulent réintégrer l'UE.

Même si le Royaume-Uni présentait une nouvelle demande, dans dix ans par exemple, l'UE ne lui offrirait sûrement pas le même accord qu'au moment de son départ. Le Royaume-Uni avait la possibilité de ne pas adhérer à l'euro et à la zone de libre circulation Schengen. Il bénéficiait également d'une sorte de clause d'exemption pour la Charte des droits fondamentaux et l'ensemble du domaine de la sécurité intérieure et de la justice. Le Royaume-Uni n'était pas vraiment un membre à part entière au cours des 20 dernières années de son adhésion.

D'ici à ce que le Royaume-Uni pose à nouveau sa candidature, l'UE aura évolué dans plusieurs domaines politiques. Londres aurait peu de chances de retrouver son statut de centre financier de la zone euro. Francfort et Paris ont pris une partie des affaires de Londres. Milan arrive à grands pas. Je me souviens bien que Mario Draghi, en tant que président de la Banque centrale européenne (BCE), s'est attaché à contester la position de Londres en tant que centre financier de la zone euro. La BCE trouvait bizarre que la deuxième plus grande zone monétaire du monde dépende d'un centre financier situé en dehors de son territoire. On peut compter sur la BCE pour insister sur le fait que le Royaume-Uni devrait rejoindre l'euro s'il devait réintégrer l'UE. Le camp pro-UE y a-t-il seulement pensé ?

La France insistera presque certainement pour que le Royaume-Uni se conforme aux politiques de l'UE en matière d'immigration et d'affaires intérieures. Pourquoi la France accepterait-elle une frontière extérieure à l'UE sur ses côtes nord alors qu'elle peut sous-traiter ce problème au Royaume-Uni ?

N'oublions pas que l'UE n'a pas offert au Royaume-Uni ses clauses d'exemption sur un plateau d'argent. Le Royaume-Uni a fait du chantage à l'UE en menaçant d'opposer son veto aux révisions consécutives des traités européens, à commencer par celle de Maastricht au début des années 1990. Mais si le Royaume-Uni demandait à adhérer à l'Union, les rôles seraient inversés. Chacun des 27 États membres actuels de l'UE aurait un droit de veto sur l'adhésion du Royaume-Uni.

Une autre chose qui a changé depuis le départ du Royaume-Uni, c'est que l'Allemagne et la France ont consolidé leurs pouvoirs en matière de réglementation. La Commission européenne a récemment proposé la suspension des règles relatives aux aides d'État en réponse à la loi américaine sur la réduction de l'inflation. Cela aidera l'Allemagne en particulier à orienter la politique économique de l'UE encore plus en sa faveur. L'Allemagne domine le débat réglementaire dans l'UE parce qu'elle parle au nom de plusieurs petits pays qui font partie de la grande zone économique allemande. Il est difficile de voir comment le Royaume-Uni pourrait s'imposer dans ce domaine.

La dernière chose que l'on souhaite, c'est que le Royaume-Uni rejoigne l'Union, pour la quitter à nouveau quelques années plus tard.

J'en suis donc arrivé à la conclusion que la meilleure ligne d'action politique à l'heure actuelle est de faire en sorte que le Brexit marche.

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il y a 13 minutes, Wallaby a dit :

La dernière chose que l'on souhaite, c'est que le Royaume-Uni rejoigne l'Union, pour la quitter à nouveau quelques années plus tard.

J'en suis donc arrivé à la conclusion que la meilleure ligne d'action politique à l'heure actuelle est de faire en sorte que le Brexit marche.

D' un journal anglais  ! 

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