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On prend les paris, les british quittent,ou pas, l'Europe?  

82 membres ont voté

  1. 1. pensez-vous que les brits vont quitter, ou pas, l'Union?

    • Ils se dégonflent et restent dans l'Europe.
    • Ils ont des "cojones" - des bollocks en fait - et quittent l'Europe.

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Sur une note plus amusante, le magazine allemand Bild avait proposé de prendre des engagements pour le cas où les Britanniques choisiraient de rester.

Ça va être le moment de passer à la caisse maintenant, chers amis allemands ! :tongue:

Citation

We'll acknowledge the Wembley goal
We'll stop making jokes about Prince Charles's ears
We'll stop using sun cream on the beach out of solidarity with your sunburn
We'll reserve a place with our towels for you on the hotel sun-lounger
We'll introduce tea breaks
We'll turn our clocks back an hour to be in synch with you
We'll do without a goalie in penalty shoot-outs with you to make it a bit more exciting
We'll send (German national football manager) Joachim Low to guard your Crown Jewels
We'll introduce an EU regulation banning a frothy head on beer
We'll all come along to the Queen's 100th birthday
We'll willingly provide the villain in every Bond film 

Bon, il est maintenant 23h04 en Allemagne...

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Ma première impression était bel et bien la bonne. Je le savais, je le savais que le soit disant Très Grand Empire impassible et détaché n’aurait pas les cojones. Tout ça… pour ça ! Ils se sont dégonflés les mauviettes !

Donc ils sont européens à la vie à la mort, bein qu’ils nous le démontrent maintenant.

 

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il y a 2 minutes, Gravity a dit :

Ma première impression était bel et bien la bonne. Je le savais, je le savais que le soit disant Très Grand Empire impassible et détaché n’aurait pas les cojones. Tout ça… pour ça ! Ils se sont dégonflés les mauviettes !

J'ai moi aussi voté initialement "ils resteront" dans le sondage proposé par Gibbs. Mais dans les dernières semaines j'avais fini par croire qu'ils étaient effectivement capables de partir...

Le RU ne sera peut-être pas le premier pays à quitter l'UE.

 

il y a 2 minutes, Gravity a dit :

Donc ils sont européens à la vie à la mort, bein qu’ils nous le démontrent maintenant.

Oulah je ne compterais pas trop là-dessus par contre...

 

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il y a 5 minutes, Alexis a dit :

...

Oulah je ne compterais pas trop là-dessus par contre...

 

Oh tu sais je ne me fais pas d’illusion à ce sujet. On va devoir encore se les traîner comme des boulets.

 

 

 

Modifié par Gravity
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Je crois que c'est à la fois le parti de la frousse - ils se sont littéralement pissés dessus au dernier moment - et les jeunes des grandes villes (Plus européens) qui sont allés voter pour une fois.

Mais ça a dû se jouer à rien.

Modifié par Gravity
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il y a 4 minutes, Gravity a dit :

Oh tu sais je ne me fais pas d’illusion à ce sujet. On va devoir encore se les traîner comme des boulets.

Sur ce sujet, et pour être juste vis-à-vis de nos amis anglais - et non je n'entends pas "amis" de manière ironique - ce texte de Eric Conan est utile et remet les choses en perspective - Brexit : derrière le bouc émissaire anglais, le problème allemand

Citation

C'est une vieille habitude française : faire des Anglais l'ennemi principal. Les voilà accusés des malheurs passés, présents et futurs de l'Union européenne. Or, aujourd'hui, les problèmes ne viennent pas d'Anglais restés en périphérie, mais d'Allemands installés au centre de la machine, défendant leurs intérêts bien dissimulés sous l'austère machiavélisme d'Angela Merkel.

C'est une vieille habitude française : faire des Anglais l'ennemi principal. Hier coupables du martyre de Jeanne d'Arc à la place de l'évêque Cauchon, les voilà accusés des malheurs passés, présents et futurs de l'Union européenne. La querelle du Brexit sert d'exutoire au malaise bruxellois. Et la Grande-Bretagne, de bouc émissaire collectif. Un festival contradictoire : «Restez !», «Bon débarras !» Et déraisonnable : qu'ils restent ou qu'ils partent, ils plombent toujours l'Europe.

Un acharnement hystérique parce que ce qu'on leur reproche vraiment reste inavouable. Donner une leçon de démocratie : chez eux le peuple souverain a son mot à dire, quand la droite et la gauche françaises ont bafoué le référendum de 2005 sur le traité constitutionnel. Démentir ceux qui répétaient qu'il n'y avait pas de marche arrière ou de plan B : Bruxelles a renégocié. Ridiculiser Jean-Claude Juncker, qui excluait tout «choix démocratique contre les traités», et François Hollande, qui a trahi son engagement de réviser le pacte budgétaire. Surtout, il ne leur est pas pardonné de n'avoir jamais abdiqué leurs intérêts nationaux, refusant les pièges d'une Europe postnationale. D'abord, l'erreur de cette monnaie unique pour économies non harmonisées : hors zone euro, la City reste la première place financière de l'Europe ! Le même bon sens les a préservés des accords de Schengen, cette idée saugrenue d'instaurer la libre circulation interne avant de coordonner les politiques migratoires et d'ériger un contrôle aux frontières : ils payent les Français pour défendre la leur à Calais !

Les Britanniques s'en tiennent à ce qui fonctionne. Le marché unique. Ils veulent regagner de l'espace pour leurs lois. Mieux maîtriser les flux migratoires. Retrouver une souveraineté judiciaire en soumettant la créativité de la Cour européenne des droits de l'homme au veto de leur Parlement. Provocation symbolique, leur référendum n'est pas ouvert aux électeurs communautaires. Les Britanniques n'ont jamais cru à la «citoyenneté européenne». Pas plus que les Allemands, dont la Cour constitutionnelle estime qu'«il n'existe pas de peuple européen» et que la souveraineté réside dans les parlements nationaux. Mais c'est la lâche hypocrisie du Brexit bashing : se défouler sur l'épiphénomène de cette Grande-Bretagne qui défend ses intérêts nationaux en étant si peu européenne (et souhaitant l'être encore moins) pour se détourner du problème d'une Allemagne se servant de l'Europe pour défendre les siens.

CRITIQUER L'IMPERIUM DE BERLIN RESTE TABOU.

Hier, «l'Europe européenne» du plan Fouchet, proposé par de Gaulle en 1962, n'a pas été torpillée par les Anglais, mais par les Allemands, sous la pression des Américains s'inquiétant d'un continent trop indépendant. Ce tournant majeur, tout comme le calamiteux marché - la fin du deutsche mark et l'euro pour tous contre la réunification allemande - proposé par Mitterrand et Delors, détermineront bien plus l'évolution européenne que l'arrivée des Britanniques avec leurs coquetteries et leur préférence pour le «grand large». Aujourd'hui, les problèmes ne viennent pas d'Anglais restés en périphérie, mais d'Allemands installés au centre de la machine, défendant leurs intérêts bien dissimulés sous l'austère machiavélisme d'Angela Merkel. A commencer par le pilotage de la zone euro, dont le bilan global est négatif (croissance moindre qu'ailleurs, taux de chômage des jeunes de 20 %), sauf pour Berlin. Favorisée par l'euro fort et régnant sur la main-d'œuvre sous-payée de son Hinterland de l'Est, l'Allemagne joue le rôle d'une petite Chine au détriment de l'Europe du Sud. Exportant plus de la moitié de sa production, elle amasse des excédents commerciaux (aujourd'hui critiqués par le FMI) thésaurisés en excès d'épargne pour rassurer un peuple qui ne fait plus d'enfants et s'inquiète pour ses retraites. Epargne stérile non réinvestie et placée hors Europe pour éviter la politique (européenne) de taux bas de la BCE...

Ce mélange de puissance et d'inquiétude conduit Berlin à s'imposer sous forme de diktats. Organisant l'étranglement de la Grèce tout en lui interdisant la sortie de l'euro. Appelant sans concertation aux migrations, puis, dans la panique, les refusant ; à chaque fois en violation des règles de Schengen. Négociant sans mandat une sous-traitance humiliante et risquée des frontières européennes à Erdogan. Perturbant l'investissement dans le marché de l'énergie en stoppant le nucléaire pour relancer le charbon subventionné. Déstabilisant la production porcine et laitière par le dumping social et l'élevage concentrationnaire. Prenant des initiatives diplomatiques nationales intéressées (Chine, Ukraine, Tafta), mais limitant sa participation aux efforts collectifs de défense au Moyen-Orient ou au Sahel. Cela fait beaucoup, mais critiquer l'imperium de Berlin reste tabou. Ceux qui s'y essayent (Chevènement, Montebourg, Mélenchon) se voient taxés de «germanophobie», alors que l'anglophobie n'est jamais invoquée... Un signe supplémentaire de la méconnaissance de la réalité outre-Rhin, où nombre de voix allemandes s'inquiètent du problème allemand de l'Europe, exprimé sans détour par Joschka Fischer, ancien ministre des Affaires étrangères sous Schröder : «Angela Merkel ne doit pas apparaître comme la troisième personnalité allemande à avoir détruit l'Europe, après Guillaume II et Hitler.»

 

 

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il y a 8 minutes, Alexis a dit :

Sur ce sujet, et pour être juste vis-à-vis de nos amis anglais - et non je n'entends pas "amis" de manière ironique - ce texte de Eric Conan est utile et remet les choses en perspective - Brexit : derrière le bouc émissaire anglais, le problème allemand

 

J’acquiesce à tout cela néanmoins les Anglais ne sont pas non plus innocents. Mais au moins les Allemands jouent à la maison et avec eux à la longue on peut trouver un terrain d’entente.

Les Brits eux jouent à la fois dedans et dehors (US) et rien que pour leurs pommes.

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il y a 3 minutes, Alexis a dit :

Sur ce sujet, et pour être juste vis-à-vis de nos amis anglais - et non je n'entends pas "amis" de manière ironique - ce texte de Eric Conan est utile et remet les choses en perspective - Brexit : derrière le bouc émissaire anglais, le problème allemand

 

 

Moi je me méfie des teutons ...depuis toujours même si s'est moins virulent ...

Et vu qu'ils son vu comme un peu trop dirigiste dans le reste de l'union , ils pourraient un jour ce faire "calmer" si ils poussent un peu trop loin dans l'envi de mener la barque selon leur bon plaisir ...

Mais la valse des anglais ,même si je les aimes bien sur certains côté m'a toujours gonflé ...

Avec les pro Brexit , au moins pas de doute sur ce qu'ils pensent ...

Mais pour les pro Europe , ben j'ai une grande méfiance car ils ne sont pas tous pour un sentiment européen ... mais la pour continuer à saborder l'Union qui bien évidemment est pas parfaite et loin de ce qu'elle aurait du être ... sa pourrait devenir lassant à force ...

Mais avoir un saboteur permanent en place dans l'union sa aide pas à allé de l'avant ...

Moi je crois que les dirigeants de l'Union ont plutôt intérêt à être plus casse couille et ne plus faire de cadeaux aux british ,sa suffit les concessions ...

Car en agissant comme des fiottes en cédant aux caprices des anglais ( je ne parle pas des gays , ont peut-être gay sans faire la chochotte ou la fiotte  ) ils ce rendent encore moins crédible auprès des citoyens européens ...

Pourquoi cédé aux exigences des anglais et nous autre ben on doit la fermer et subir ?

Si le sentiment anti Europe monte dans l'union ,s'est bien parce que la direction prise s'éloigne du cheminement que devait prendre l'Union ...

Alors si les anglais restent ,moi en étant dirigeant européen je ferais comprendre que maintenant s'est fini la valse à l'anglaise ...

Vous êtes avec nous ...ou contre nous ... vous restez et bien d'accord , vous arrêtez de nous faire chier avec vos désirs ...

Sinon cassez vous ! 

Et bon vent !

 

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il y a 22 minutes, Alexis a dit :

Sur ce sujet, et pour être juste vis-à-vis de nos amis anglais - et non je n'entends pas "amis" de manière ironique - ce texte de Eric Conan est utile et remet les choses en perspective - Brexit : derrière le bouc émissaire anglais, le problème allemand

Sans nier les difficultés posées par la politique allemande actuelle, j'aimerais bien savoir sur quoi il s'appuie pour affirmer ça (je commente dans le texte) :

Citation

Exportant plus de la moitié de sa production, [oui mais elle importe aussi, n'est-ce pas ! Présentation trompeuse...] elle amasse des excédents commerciaux (aujourd'hui critiqués par le FMI) [à juste titre] thésaurisés en excès d'épargne pour rassurer un peuple qui ne fait plus d'enfants et s'inquiète pour ses retraites. Epargne stérile non réinvestie [les entreprises allemandes investissent beaucoup, elles !] et placée hors Europe pour éviter la politique (européenne) de taux bas de la BCE... [parce qu'ailleurs c'est mieux ? Ni au Japon ni aux Etats-Unis, alors où ? ]

Ou ça :

Citation

Organisant l'étranglement de la Grèce tout en lui interdisant la sortie de l'euro.

Alors que la Grèce n'a rien fait pour s'étrangler toute seule, c'est sûr. Il aurait mieux fait de prendre l'Espagne pour exemple : la politique financière de la zone Euro (pas d'inflation, mouvements de capitaux brutaux) y a été très néfaste alors même que l'Etat espagnol, avait la crise, avait des budgets corrects (sa politique de laissez-faire corrompu et de non maîtrise de la bulle immobilière était désastreuse cependant, et c'est ça qui a éclaté).

Bref : hum !

il y a 3 minutes, Gravity a dit :

Les ‘teutons’ avec leur courbe hémorragique de la population d’ici 2050 vont devoir manger leur chapeau et se remettre dans le rang plus vite qu’ils ne le croient - horizon 2020 -.

Faut voir. Mieux vaut-il plein de bébés et de jeunes à former à grand frais puis à employer ou plein de machines ? La question pourrait se poser, à un moment.

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il y a 1 minute, Gravity a dit :

Les ‘teutons’ avec leur courbe hémorragique de la population d’ici 2050 vont devoir manger leur chapeau et se remettre dans le rang plus vite qu’ils ne le croient - horizon 2020 -.

 

Tout à fait d'accord ,j'en avais parlé sur un autre file .

 

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il y a 12 minutes, Boule75 a dit :

...

Faut voir. Mieux vaut-il plein de bébés et de jeunes à former à grand frais puis à employer ou plein de machines ? La question pourrait se poser, à un moment.

 

L’avenir d’une nation - jusqu’à Matrix - c’est sa jeunesse et pas les robots.

 

 

Modifié par Gravity
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il y a 20 minutes, Boule75 a dit :

Sans nier les difficultés posées par la politique allemande actuelle, j'aimerais bien savoir sur quoi il s'appuie pour affirmer ça (je commente dans le texte) :

Ou ça :

Alors que la Grèce n'a rien fait pour s'étrangler toute seule, c'est sûr. Il aurait mieux fait de prendre l'Espagne pour exemple : la politique financière de la zone Euro (pas d'inflation, mouvements de capitaux brutaux) y a été très néfaste alors même que l'Etat espagnol, avait la crise, avait des budgets corrects (sa politique de laissez-faire corrompu et de non maîtrise de la bulle immobilière était désastreuse cependant, et c'est ça qui a éclaté).

Bref : hum !

Faut voir. Mieux vaut-il plein de bébés et de jeunes à former à grand frais puis à employer ou plein de machines ? La question pourrait se poser, à un moment.

Je ne remet pas en cause les erreurs de la Grèce et d'autres pays , mais j'ai des doutes sur le fait que personne n'était au courant de cette situation ... vu que la Grèce a acheté un max de matos militaire ,et pas mal de matos allemand et qu'en Allemagne la vente d'arme est sujette à caution ,on l'a vu avec l'Arabie Saoudite ...ben voilà vendre à un membre qui appartient à la même union n'a pas du ce faire sans qu'il y ait un regard des politiciens allemand ...

Donc non il ne faut pas absoudre les grecs pour la situation dans laquelle ils ce sont mis ,mais je me méfie du on a rien vu venir chez les dirigeants de l'union ...et surtout des allemands .

Moi j'y crois pas du tout ...

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il y a 7 minutes, Gravity a dit :

L’avenir d’une nation - jusqu’à Matrix - c’est sa jeunesse et pas les robots.

Tout le monde le répète, j'ai tendance à le croire, et leur démographie est vraiment aussi catastrophique que celle des italiens, espagnols, ou japonais. Mais la technologie bouleverse vraiment les choses et refuser par principe de se poser la question n'est pas très sain. Il y a de plus des contre-exemples clairs (Niger...).

Rapporté au PIB, les sommes à consacrer à l'éducation décroissent ou permettent de mieux payer les enseignants, de mieux former la jeunesse, et/ou de moins taxer : ça présente des avantages dans un monde compétitif, et surtout quand des pans entiers de métiers traditionnels gourmands en main d'oeuvre disparaîssent. Les facteurs de production sont de plus en plus mobiles : si c'est vraiment nécessaire, on peut aller implanter des productions ailleurs ou importer une main d'oeuvre sélectionnée et pas forcément onéreuse.

La révolution industrielle et productiviste, la hausse des niveaux de vie a bien conduit à une inflexion substantielle de la natalité au siècle dernier : est-il vraiment écrit que nous serions arrivés au bout de cette évolution ?

il y a 3 minutes, Gibbs le Cajun a dit :

Donc non il ne faut pas absoudre les grecs pour la situation dans laquelle ils ce sont mis ,mais je me méfie du on a rien vu venir chez les dirigeants de l'union ...et surtout des allemands .

Moi j'y crois pas du tout ...

Oh je suis d'accord ! Tu peux même rajouter la France dedans. Simplement, les torts sont plus partagés que ce qu'écrivait l'auteur cité par Alexis, qui était caricatural.

Pour en revenir au sujet, les premiers résultats fermes pourraient signaler des surprises : très faible victoire du Remain à Newcastle, et des gros écarts entre sondages et résultats, au moins à certains endroits.

https://cf-particle-html.eip.telegraph.co.uk/32cc390a-6544-4a5f-867b-895f5089d92b.html?ref=http://www.telegraph.co.uk/news/2016/06/23/eu-referendum-will-it-be-brexit-exit-poll-and-results-live/&title=EU referendum results live: Early votes give huge boost to Brexit chances

La Livre est à nouveau en baisse, ça doit fumer du ciboulot chez les cocaïnomanes.

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Alors que les premiers résultats parmi les 382 circonscriptions commencent à arriver, le résultat du Sunderland a provoqué la surprise. Le Leave aurait du y être en tête par 54 à 46.

Le résultat réel est 61 à 39. Avec une participation élevée.

La livre chute.

 

Y aurait-il encore un suspense ? :huh:

 

Citation

Labour insiders must be a bit troubled by the early results in the north east. That’s Labour’s heartland and Labour was technically all for Remain. Yet the result was very close in Newcastle and Sunderland went for Leave with 61 per cent. So this represents a rebellion against Labour as much as against the Tories

 

 

La nouvelle est donc la suivante : la classe populaire pro-Labour n'a pas peur.

 

Modifié par Alexis
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Il y a 1 heure, Boule75 a dit :

Oui ! Quand les serveurs de Bloomberg reviendront-ils en ligne par exemple ?

Il y a aussi des sondages allant dans le sens d'une victoire du Leave

Mais voyons, les serveurs Bloom ne dorment jamais (tout comme le forum :happy:)

L'inquiétude grandit en flèche.

-6% sur les futures FTSE100, et ça continue de chuter...

http://www.bloomberg.com/news/articles/2016-06-23/pound-tumbles-on-results-from-northeast-england-in-eu-referendum

 

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il y a 30 minutes, rogue0 a dit :

Mais voyons, les serveurs Bloom ne dorment jamais (tout comme le forum :happy:)

L'inquiétude grandit en flèche.

-6% sur les futures FTSE100, et ça continue de chuter...

http://www.bloomberg.com/news/articles/2016-06-23/pound-tumbles-on-results-from-northeast-england-in-eu-referendum

 

Toi aussi tu as remarqué qu'AD est peuplé d'insomniaques - moi compris :combatc:.

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7 minutes ago, pascal said:

c'est fait 52/48

le Leave a cartonné dans l'Angleterre provinciale et aussi plus étonnant au pays de Galles

le Remain est majoritaire à Londres et en Ecosse

Mieux vaut eux que nous ...

On pari combien que ce scrutin va accoucher d'une souris....

... on attend déjà la réaction de l’Écosse, qui serait forcée de quitter l'UE contre son gré :bloblaugh:.

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la souris risque d'être grosse quand même parce que le résultat pourra difficilement être contredit ... ce serait énorme si c'était le cas c'est quand même un référendum parfaitement démocratique; la suite des évènements va dépendre aussi de qui remplacera Cameron si celui-ci démissionne ce qui semblerait logique.

ce qui sera long mais c'est prévu ce sont les procédures de sortie

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