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On prend les paris, les british quittent,ou pas, l'Europe?  

82 membres ont voté

  1. 1. pensez-vous que les brits vont quitter, ou pas, l'Union?

    • Ils se dégonflent et restent dans l'Europe.
    • Ils ont des "cojones" - des bollocks en fait - et quittent l'Europe.

Ce sondage n’accepte plus de nouveau vote


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L'UE va juste devoir prouver que être IN est mieux que d'être OUT.

On est déjà en train de dire que les fonctionnaires à Bruxelles british ne seront pas touchés. Cela va faire un gros pétard mouillé cet histoire.

Modifié par chelnar
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Dans l'hypothese ou le choix des britanniques sera appliqué le premier pays à sortir ne sera pas celui qui souffre le plus de l'U.E. Son économie ressemble pas mal au modèle souhaité par les europeistes, beaucoup d'ouverture, de liberalisation, de commerce. Et ceci sans besoin de directives. Ses problèmes sont relativement peu liés à l'UE mais les quelques divergences devaient être deja de trop pour un pays aussi farouchement indépendant.

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il y a 50 minutes, Fusilier a dit :

Premiers effets du BREXIT, un bateau de réfugiés  britanniques intercepté dans les eaux communautaires...

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Bon ben je veux bien me faire charitable ... Je suis prêt à en accueillir quelques ... Une ! Allez, au hasard celles avec les maillots rouges, devant  !  :bloblaugh:

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il y a 11 minutes, MontGros a dit :

D'un autres coté les deputés européens pourront se consoler, ils n'auront plus droit aux diatribes de Nigel Farage.

Tu parles, ils risquent bien de s'ennuyer ferme maintenant ... Au moins celui-ci, comme quelques autres cas de foire, les tenaient au moins éveillés (enfin certains, pas tous ... Soyons honnête !) :tongue::smile:

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il y a 25 minutes, Tancrède a dit :

Un article de 2013 par une universitaire anglaise.... Assez prophétique non seulement dans la vision générale, mais aussi dans le détail. Et sa bibliographie est impeccable et hautement recommandée:

https://fabiusmaximus.com/2016/06/23/politics-of-the-eu-97794/#more-97794

 

Malgré le traducteur google  j'ai trouvé cet article superbement bien détaillé .

Je ne sais pas si mon résumé est le bon mais je pense que cela nous montre que les teutons n'ont en fait pas perdu la seconde guerre Mondiale , nous somme dans la Gross Europa ...

Et comme si cela ne suffisait pas ,on voit que les US ont toujours vu l'Allemagne comme l'outil de leur politique européenne .

Pour les brits ,ben que de la clairvoyance dans cet article .

Cette dame pourrait s'appelé madame Irma sans pb !

 

 

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il y a 27 minutes, Pierre_F a dit :

 

Il dit bien : 

cette chaine "histoire" est vraiment super. si vos enfants sont rétifs avec l'histoire, c'est une bonne porte avec pleins de reportages intéressants. Comme il le aurait pu le dire lui même "parce que l'histoire peut être chiante, voyons là de façon plus funky"

Le mec essaie d'en vivre, n'hésitez pas à donner des sous si les reportages vous ont plu !

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16 minutes ago, Gibbs le Cajun said:

Malgré le traducteur google  j'ai trouvé cet article superbement bien détaillé .

Je ne sais pas si mon résumé est le bon mais je pense que cela nous montre que les teutons n'ont en fait pas perdu la seconde guerre Mondiale , nous somme dans la Gross Europa ...

Et comme si cela ne suffisait pas ,on voit que les US ont toujours vu l'Allemagne comme l'outil de leur politique européenne .

Pour les brits ,ben que de la clairvoyance dans cet article .

Cette dame pourrait s'appelé madame Irma sans pb !

 

 

Ce passage -tiré d'un autre auteur- est particulièrement violent et éclairant: 

Quote

Beck relates Berlin’s ‘swaggering’ universalism, its ‘arrogant conviction’ that Germany has the right to determine the national interests of other countries, to the former West Germany’s takeover of the GDR. Its ‘know-it-all attitude’ and ‘quasi-imperialist sense of superiority’ to East Germans is now the template for Eurozone crisis management, with the critical difference that solidarity has no place here. But the confidence of ‘Europe’s schoolmasters’ in Gerhard Schröder’s 2003 neoliberal package is misplaced, Beck argues, for its effect in Germany has been to create a universalised precariat: of the new jobs, 7.4 million are ‘mini-jobs’ at €400 per month, three million are temporary positions, one million agency jobs. German growth has come mainly from exports, not least to the southern Eurozone.

 

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Il y a 1 heure, Pierre_F a dit :

Enfin, ce n'est pas trop compliqué de montrer qu'être OUT avec retour au Francs dévalué sur l'Euro serait une augmentation de dette phénoménale .. c'est simplement mécanique. Cela toucherait les couches populaires endettées, les paysans et les retraités.

Aujourd'hui avec notre taux d'endettement, nous sommes protégés par les économies plus fortes de l'Europe quoi que vous en pensiez.

 

Ce n'est pas plutôt l'inverse économiquement, on aurait moins de dette si on était au franc plutôt qu'a l'euro, grâce l'inflation. Ça me parait plus logique mathématiquement.

L'euro permet juste d'atteindre des niveaux d'endettement extérieurs délirants.

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il y a 13 minutes, Drakene a dit :

 

Ce n'est pas plutôt l'inverse économiquement, on aurait moins de dette si on était au franc plutôt qu'a l'euro, grâce l'inflation. Ça me parait plus logique mathématiquement.

L'euro permet juste d'atteindre des niveaux d'endettement extérieurs délirants.

Tes dettes sont libellées en Euros (ou Dollars)  Mettons valeur 100 Euro  

Tu crées ta monnaie  valeur au jour J  100 Francs National  = 100 Euro ;  

J + 30   valeur  de  100 Francs National  : 70 euros (dévaluation / dépréciation de  30 % )   

Valeur de ta dette a J + 30 :100 euros   / valeur de 100 francs national  a J + 30 ;  autrement dit  il te faut 130 francs pour rembourser 100 euros ; tu as donc augmenté ta dette de 30 %    

Tu fais marcher la planche à billets => dépréciation de la valeur unitaire  (car  monnaie = équivalent général marchandises ou richesses) i Comme ta monnaie se déprécie , personne n'en veut comme moyens d'échange; donc tu dois te procurer de la monnaie d'échange (dollar par exemple) pour acheter ce que tu n'as pas  (le pétrole par exemple)  voyager etc..  dans ces cas là, on n'épargne pas , donc tu dois en plus chercher des capitaux extérieurs;  et là ça se complique, soit tu vends un truc rare que personne possède (faut pas rêver...)  soit tu t'organises pour bouffer les autres, être plus performant , moins cher etc,    en résume te soumettre aux règles du marché ..  Je t'épargne le contrôle des changes , l'inflation importée...  

Si non , il y a le "socialisme tropical"  , le "socialisme dans un Etat de tous les travailleurs" , avec différentes variantes plus ou moins autoritaires 

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9 minutes ago, Fusilier said:

Tes dettes sont libellées en Euros (ou Dollars)  Mettons valeur 100 Euro 

Tu considères l'euro comme une monnaie étrangère ici ...

Si tu considère l'euro comme une monnaie nationale, que les dettes sont émises en droit local ... les dettes nationales sont re-libellé en monnaie nationale ...

C'est un débat aussi compliqué que le probleme des traité en cas de séparation ... mais l'argument de l'euro est une marchandise comme une autre et pas la monnaie nationale est pas évident du tout...

 

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Bon bah j'avais parié pour le leave ici et ça fait depuis plus d'un an que ça ne me paraissait pas déconnant. On va voir que quitter l'UE n'est pas la fin du monde, la troisième guerre mondiale comme le décrivent absurdement certains politiques (pour être plus explicite pour certains, ça sera même globalement positif pour la GB).

Modifié par gerole
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il y a 1 minute, g4lly a dit :

Tu considères l'euro comme une monnaie étrangère ici ...

Si tu considère l'euro comme une monnaie nationale, que les dettes sont émises en droit local ... les dettes nationales sont re-libellé en monnaie nationale ...

C'est un débat aussi compliqué que le probleme des traité en cas de séparation ... mais l'argument de l'euro est une marchandise comme une autre et pas la monnaie nationale est pas évident du tout...

 

Si je suis le prêteur, faut que j'accepte que ma créance soit libellée dans la nouvelle monnaie. Ce n'est pas impossible, mais étant donné les risques de dépréciation je vais exiger des garanties ou un tx qui couvre le risque. C'est élémentaire. Bien sur, un Etat peut décider de manière  unilatérale de libeller les créances (et comptes courants, épargne etc) de ses citoyens en monnaie nationale; et effectivement ils n'auront que les yeux pour pleurer, s'ils n'ont pas réussi à mettre leurs avoirs à l'abri ailleurs (on appelle ça la fuite des capitaux, voir Grèce...)  Plus compliqué pour les prêteurs étrangers, là encore on peut agir de manière autoritaire, mais ça veut dire plus d'accès aux marchés internationaux pour un long moment (voir Argentine) Puis faudrait distinguer les dettes publiques (dans le cas anglais la dette publique ne représente que 1/5 du total des dettes) des dettes des ménages et des entreprises,  pas sur que les privés puissent y échapper si aisément (voir exemple des emprunts a taux  basés sur le franc suisse... )  

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Citation

Among Young Britons, Fear and Despair Over Vote to Leave E.U.

By CLAIRE BARTHELEMY and KIMIKO DE FREYTAS-TAMURA

JUNE 24, 2016

LONDON — As the bands played on at the Glastonbury music festival in Somerset, England, Lewis Phillips and his friends drowned their sorrows in song and alcohol.

“We’re the ones who’ve got to live with it for a long time, but a group of pensioners have managed to make a decision for us,” Mr. Phillips, 27, said on Friday of Britain’s decision to withdraw from the European Union. He said he was now “terrified” about the country’s economic prospects.

Louise Driscoll, a 21-year-old barista in London, spent most of the day crying. “I had a bad feeling in my gut,” she said of Britain’s referendum on Europe. “What do we do now? I’m very scared.” Her parents both voted to leave the bloc, she said, and “will probably be gloating.”

The vote to leave the European Union exposed tensions and fault lines in British society, but perhaps none more gaping than its generational divisions.

According to pre-election surveys by the polling organization Survation, 57 percent of Britons between the ages of 18 and 34 who intended to take part in Thursday’s referendum supported remaining in the bloc, while an identical proportion — 57 percent — of Britons over 55 supported the opposite: leaving Europe behind.

For those under 25, the desire to remain in the union was especially high: Three-quarters wanted Britain to stay in Europe.

Many young people in Britain have grown up thinking of European integration as a given, not a political experiment that would be rolled back before they could fully take part in it.

They are often more comfortable living in a multicultural society than their elders are, particularly in cities like London and Edinburgh, which are flooded by people from across the Continent to study and work.

Many young Britons expressed astonishment, anger or despair that their parents and grandparents would seek to limit the travel, exposure to other cultures and opportunities to work and study abroad that being part of the European Union has afforded them.

“Truly gutted that our grandparents have effectively decided that they hate foreigners more than they love us and our futures,” one young Briton, Dan Boden, wrote on Twitter.

The referendum hinged in part on youth turnout, and the government even tried to lower the voting age for the referendum to 16 from 18.

It failed, but the Remain campaign still pushed to register young voters, with some success: The deadline to register was extended by two days after a voter-registration website crashed because it was overwhelmed by visitors.

Prime Minister David Cameron turned to Tinder, the dating app, and TheLADbible, a website popular among young men, to tout the benefits of staying in the European Union. The opposition Labour Party, which supported remaining in the bloc, also reached out to young voters.

More than one million people between 18 and 34 registered in recent months, the most ever for a British election, according to Bite the Ballot and HOPE Not Hate, which encourage young people to vote. Turnout for the referendum, at around 72 percent, was the highest for any national election in Britain since 1992.

But it was not enough.

“Waking up to the #EURefResults and realizing the older generation have just ruined our future,” one young Briton, Toby Pickard, wrote on Twitter.

Another, Sarah Hartley, wrote that “our economy is in tatters” because “our grandparents cared more about their comfort than our future.”

In Edinburgh, a university city with a strongly pro-European bent, Robert Jack, a 21-year-old student at the University of Glasgow, was reeling from the decision. He worried that his plans to study in Romania on the European Union’s student-exchange program, Erasmus, were in jeopardy.

The vote “is very damaging,” Mr. Jack said, adding that he now welcomed a second referendum on whether Scotland should leave the United Kingdom, because “it’s better being inside the European Union.”

Of course, many young people supported the push to rid themselves of Europe. Ben Kew, 21, said he spent 30 hours at the Leave headquarters, watching the results come in.

“I was surprised; I didn’t think we’d go through with it, but I’m pleased that the establishment has been given a kick,” he said, adding that the vote was a moment when Britons expressed a desire for real change.

But many young voters wondered what would happen to European Union funding for research and sciences. British universities currently receive about 16 percent of their research money and staff members from the European Union.

James Calderbank, a 21-year-old student at Falmouth University in Cornwall, England, wrote in an email: “Since the early hours of this morning my Facebook newsfeed has been filled with my friends’ disappointment that we are leaving the E.U.”

He added: “Our campus was part-funded by the E.U., so things are really not looking good for my university and its source of funds.” Cornwall, as a fairly rural and less-developed part of southwest England, was also a beneficiary of economic aid from Brussels, he noted.

Some high-school students expressed dismay as well. “There is a very clear rift between how us young people feel and how the oldest age groups feel,” Elliot Shirnia, 18, a student at the Marling School in Gloucestershire, England, wrote in an email, adding that as the son of a refugee from Iran he felt the Leave campaign was divisive.

Anxiety about the economy and immigration drove the Leave campaign’s victory. But many young people said they thought the decision would only set back their prospects.

“I’m already part of a generation stuck in rented property unable to buy my own house ,” Hannah Shaw, 25, who works at a National Health Service hospital and lives with her parents, wrote in an email. “The older generation seem so happy with the result, almost smug like it’s some sort of victory completely unaware of the chaos they’ve caused for my generation. I’m dreading what will happen to employment, workers’ rights, the environment and our economy.”

She added that she had friends from countries like Slovakia, Poland, Spain and Romania.

“It’s hard to see it affect them and think of the amazing people I’ll never meet after we leave the E.U.,” she said. “The U.K. suddenly feels very small.”

Ms. Shaw blamed the news media for spreading misinformation about European Union membership. “A lot of the older generation rely on newspapers for all their facts and don’t actually do any of their own research unlike my generation.”

Jenna Ives-Moody, 19, a journalism student at the University of Huddersfield in northern England, wrote in an email that “serious fact-based journalism within the U.K. is not valued by the majority of the English population.”

She said the Leave campaign was driven by “a misplaced ideal of reclaiming former glories within Britain,” which she said was not common among young people “who embrace all aspects of being European.”

Fear was palpable among the young people in London who have thronged the capital from elsewhere in Europe.

Francisco Vicedo, a 22-year-old Spaniard who works at a branch of the fast-food chain Pret a Manger, is studying for a master’s program on organized crime and terrorism at University College London.

“We’ve already sent money to our countries because we know that in the following days the value of pound is going to be down,” he said. “Everyone is sending money already.”

He said he hoped to stay in London, where job opportunities are more plentiful than in Spain, but was unsure of his prospects.

Dara Canavan, 23, who works at a management consultancy, comes from an Irish town just across the border from Northern Ireland, and expressed fear about the possible reimposition of border controls.

“There is a lot of worry about whether free control between Ireland and Northern Ireland will be affected,” said Mr. Canavan.

Mr. Canavan wasn’t sure he would stay in Britain. “I was thinking of going back in the future, but this could speed up the process,” he said.

 

Claire Barthelemy reported from London, and Kimiko de Freytas-Tamura from Edinburgh. Iliana Magra and Hannah Olivennes contributed reporting from London.

The New York Times

 

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Ironique:

Citation

Les Britanniques ne feront bientôt plus partie de l’Union européenne. Ceux qui ont des origines irlandaises ont encore une option pour y rester : obtenir un passeport.(...)
Selon le Guardian, le ministère des affaires étrangères irlandais a reçu de nombreuses candidatures en provenance d’Angleterre. Il a même mis en ligne un guide sur les démarches à suivre, destiné aux 430 000 personnes nées en Irlande qui vivent en Angleterre, en Écosse ou au Pays de Galle. Quiconque a un parent né en Irlande peut demander la nationalité. Ceux qui ont au moins un grand-parent irlandais ou des parents qui avaient la nationalité irlandaise au moment de la naissance de leurs enfants sont également éligibles.(...)
Les expatriés Anglais dans d’autres pays de l’UE ont également été pris de court. Selon un traducteur installé en Bourgogne, interrogé par le Guardian, de nombreux Britanniques commencent à se préoccuper d’obtenir la nationalité française - donc de faire traduire leurs dossiers. Pour cela, il faut avoir vécu au moins cinq ans en France et avoir un casier judiciaire vierge. Ou alors se marier avec un Français. (...)
http://www.lemonde.fr/big-browser/article/2016/06/25/apres-le-brexit-ruee-sur-les-passeports-irlandais_4957927_4832693.html 

En souvenir de 1940, je me déclare favorable à l'accueil de tous ces réfugiés quittant un pays en déroute :biggrin:

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Il y a 11 heures, Pierre_F a dit :

Enfin, ce n'est pas trop compliqué de montrer qu'être OUT avec retour au Francs dévalué sur l'Euro serait une augmentation de dette phénoménale .. c'est simplement mécanique. Cela toucherait les couches populaires endettées, les paysans et les retraités.

Aujourd'hui avec notre taux d'endettement, nous sommes protégés par les économies plus fortes de l'Europe quoi que vous en pensiez.

Jacques Sapir dit très exactement le contraire question dette car pour les dettes publiques, l‘écrasante majorité est en droit français et pour les dettes privées financières, soit les dettes émises par des établissements financiers (banques et assurance) on constate  que les ¾ sont en droit français... Son article global ici:

http://russeurope.hypotheses.org/3006

Comprenne qui pourra... :smile:

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Il y a 8 heures, Fusilier a dit :

Tes dettes sont libellées en Euros (ou Dollars)  Mettons valeur 100 Euro  

Tu crées ta monnaie  valeur au jour J  100 Francs National  = 100 Euro ;  

J + 30   valeur  de  100 Francs National  : 70 euros (dévaluation / dépréciation de  30 % )   

Valeur de ta dette a J + 30 :100 euros   / valeur de 100 francs national  a J + 30 ;  autrement dit  il te faut 130 francs pour rembourser 100 euros ; tu as donc augmenté ta dette de 30 %   

 

il y a 51 minutes, Pierre_F a dit :

Non, tu rembourses tes dettes dans la monnaie de l'emprunt contracté ... Si tu veux rembourser ton emprunt avec une monnaie dévaluée à parité, tu as intérêt à t'armer .. C'est une cause de guerre dans l'histoire ou de bankrupt de l'état.

Non, ça dépend du droit qui gouverne les contrats de dette. Dans le cas de la France, c'est environ 97% de la dette publique qui est gouvernée par le droit français.

En cas de passage à une nouvelle monnaie, par exemple un nouveau franc, la Lex Monetae s'appliquerait donc à 97% de la dette publique française, qui serait transférée en nouveau franc sans que les créanciers puissent y redire. Rappelons soit dit en passant que lors du passage à l'euro, la dette publique libellée en franc a été transférée en euro sans que cela pose de problème juridique écrasant...

Si la France sortait de l'euro et que la valeur du nouveau franc, initialement à parité 1 : 1 avec l'euro, baisse à 0,8 pour un euro, la valeur de 3% de la dette publique serait donc augmentée d'un facteur 1 : 0,8 soit 1,25. C'est-à-dire que la dette publique française augmenterait de 0,75%.

 

Il y a 3 heures, Gravity a dit :

Ca n'a rien d'étonnant :laugh: !

L'auteur de l'article a l'air d'oublier que 48% des Britanniques ont voté pour rester, sans compter quelques indifférents - participation de seulement 72% pour une question pourtant essentielle pour le pays.

Ce sont les opposants à la sortie qui s'inquiètent, ainsi que quelques ahuris d'abstentionnistes "Hein quoi y avait un référendum hier ? Et pourquoi personne m'a rien dit ?"

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il y a une heure, Pierre_F a dit :

Non, tu rembourses tes dettes dans la monnaie de l'emprunt contracté ... Si tu veux rembourser ton emprunt avec une monnaie dévaluée à parité, tu as intérêt à t'armer .. C'est une cause de guerre dans l'histoire ou de bankrupt de l'état.

Comme maintenant nous empruntons pour rembourser notre dette, les taux d'emprunt seraient également plus chers. 

Il y a sans doute moyen de "nationaliser" une partie de la dette  publique, via un rachat par des banques françaises.  Mais les banques resteraient exposées, voire fragilisées. Pour les particuliers pas d'échappatoire; les banques empruntent pour prêter , par conséquent faut qu'elles remboursent au créancier...   Pour le reste tout à fait d'accord.

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