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On prend les paris, les british quittent,ou pas, l'Europe?  

82 membres ont voté

  1. 1. pensez-vous que les brits vont quitter, ou pas, l'Union?

    • Ils se dégonflent et restent dans l'Europe.
    • Ils ont des "cojones" - des bollocks en fait - et quittent l'Europe.

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Petit HS un peu politique et je m'en excuse par avance : est-ce que le PR n'a pas déjà imprimé qu'en l'état actuel des choses, ses chances d'aller au second tour sont infinitésimales ? Il pourrait être tenté de jouer dur... même si ce n'est pas son style.

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il y a 4 minutes, Desty-N a dit :

Qu'entends-tu par jouer dur? Vis-à-vis de l'UE, de la GB, ou de ses électeurs ?? (on fera pas durer le HS trop longtemps, histoire d'échapper aux foudres des modos:ph34r:)

Des Britanniques surtout. Sur ce point, il serait certainement suivi par une large partie de l'opinion publique, surtout si on commence à taper sur les subventions versées aux Britanniques. Ensuite, de l'UE, mais moins parce que la marge de manœuvre est plus étroite et qu'on ne lui fera certainement pas de cadeau en face.

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il y a 6 minutes, Ciders a dit :

Des Britanniques surtout. Sur ce point, il serait certainement suivi par une large partie de l'opinion publique, surtout si on commence à taper sur les subventions versées aux Britanniques. Ensuite, de l'UE, mais moins parce que la marge de manœuvre est plus étroite et qu'on ne lui fera certainement pas de cadeau en face.

Si on en croit les journaux anglais, on en fait bien aux britanniques :biggrin: Mais je te rejoins sur le fait que l' Élysée aurait intérêt à se montrer ferme avec la GB, qui doit en plus faire face à une détérioration,de son économie. Les politiques londoniens peuvent essayer de finasser, mais si le PIB commence à se contracter, ils auront du mal à en faire abstraction. S'ils se trouvent pressés par le temps, cela les priverait de marges de manœuvres, et par conséquence affaiblirait la position des eurosceptiques (même s'il faut s"attendre à ce que ces derniers expliquent qu'eux aux manettes sauraient mieux négocier)

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Il y a 20 heures, zx a dit :

Ben tiens !!! aussi non c'est trop facile, quand je pense qu'il y a du monde qui veux rentré dans L'EU !!! C'est même comique, sauf pour la jeunesse UK  

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Conséquences du Brexit pour les universités britanniques:  

Citation

Doubts over the UK’s ability to win future project grants mean some EU partners are avoiding working with British researchers (...)
In a confidential survey (...), the Guardian found cases of British academics being asked to leave EU-funded projects or to step down from leadership roles because they are considered a financial liability.
In one case, an EU project officer recommended that a lead investigator drop all UK partners from a consortium because Britain’s share of funding could not be guaranteed. The note implied that if UK organisations remained on the project, which is due to start in January 2017, the contract signing would be delayed until Britain had agreed a fresh deal with Europe.
The backlash against UK researchers began (...)after the June referendum (...). British researchers receive about £1bn a year from EU (...), but access to the money must be completely renegotiated under Brexit. (...)
Speaking at Oxford’s Wolfson College last Friday, the university’s chancellor, Chris Patten, said Oxford received perhaps more research income than any European university, with about 40% coming from government. “Our research income will of course fall significantly after we have left the EU unless a Brexit government guarantees to cover the shortfall,” Lord Patten said. (...)
One university said it had serious concerns about its ability to recruit research fellows for current projects (...) 
A week after the referendum, science minister Jo Johnson told (...) he had raised concerns over potential discrimination against UK researchers with the EU science commissioner, Carlos Moedas. Johnson has asked a team at the Department for Business, Innovation and Skills to gather evidence (...)and urged organisations to report any incidents. Until the UK left the EU, he said the situation was “business as usual”.
Others see it differently. Joe Gorman, a senior scientist (...), said he believed UK industry and universities would see “a fairly drastic and immediate reduction in the number of invitations to join consortiums”.
(...)  Given the low probability of winning funds at the best of times, Gorman said it was natural risk aversion to be cautious of UK partners. (...)
“I strongly suspect that UK politicians simply don’t understand this, and think it is ‘business as usual’, at least until negotiations have been completed. They are wrong, the problems start right now,” he added. (...)
https://www.theguardian.com/education/2016/jul/12/uk-scientists-dropped-from-eu-projects-because-of-post-brexit-funding-fears 

Je me demande si un phénomène analogue ne se trouve pas à l’œuvre pour l'économie, quoique plus lentement? Certains investisseurs hésitent un peu, ce qui se traduit par un ralentissement de la croissance, ce qui les conforte dans leurs hésitations. Les entreprises britanniques, à commencer par la City, veulent croire que rien ne va changer, mais si brusquement elle décident qu'elles avaient tort, elles pourraient s'affoler. Le gouvernement anglais dispose des moyens de renverser la vapeur... sauf qu'à en croire le Guardian, ils estiment que rien ne presse!
En même temps ce même Guardian, expliquait dans un article précédent que la GB était en train d'arracher à l'UE un statut sur mesure :rolleyes:. Donc à prendre avec précaution :happy:

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37 minutes ago, Desty-N said:

Conséquences du Brexit pour les universités britanniques:  

Je me demande si un phénomène analogue ne se trouve pas à l’œuvre pour l'économie, quoique plus lentement? Certains investisseurs hésitent un peu, ce qui se traduit par un ralentissement de la croissance, ce qui les conforte dans leurs hésitations. Les entreprises britanniques, à commencer par la City, veulent croire que rien ne va changer, mais si brusquement elle décident qu'elles avaient tort, elles pourraient s'affoler. Le gouvernement anglais dispose des moyens de renverser la vapeur... sauf qu'à en croire le Guardian, ils estiment que rien ne presse!
En même temps ce même Guardian, expliquait dans un article précédent que la GB était en train d'arracher à l'UE un statut sur mesure :rolleyes:. Donc à prendre avec précaution :happy:

D'un autre côté, faut pas non plus trop en conclure, du moins sur le sujet des universités:

- comme évoqué dans l'article, cela peut durer jusqu'à ce que les négociations donnent quelque chose, et un nouveau "business as usual" (pas forcément éloigné de ce qui se faisait avant, c'est la crainte montante pour l'ensemble du statut post Brexit par chez nous) s'installera. Ca leur ferait donc quelques années problématiques (considérant l'impact dans le temps de ces projets), mais un rétablissement

- la relance évoquée par le gouvernement britannique s'attacherait j'imagine à financer au moins partiellement le gap

- c'est peut-être un mal nécessaire dans le secteur des universités modernes où le budget de recherche est souvent délirant et aux dépends des études et des étudiants depuis maintenant quelques décennies, étant donné l'importance démesurée donnée à la recherche (et dans les faits, surtout à la production de papier qui est le principal critère de mesure de la recherche) comme critère d'évaluation de ces lieux censés être avant tout des institutions de formation. Se renforcer sur le côté académique pour créer plus d'étudiants plus qualifiés pour se lancer dans la recherche -et accessoirement baisser drastiquement le coût de la scolarité- ou une activité de haut niveau, est désormais un enjeu majeur pour les systèmes de formation supérieurs, la bulle de l'endettement et les inégalités importantes et croissantes d'accès à l'enseignement supérieur n'étant pas que des spécialités américaines. 

 

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Le gouvernement UK pense avoir trouvé des arguments contre les menaces de la CEE sur le Brexit.

Il rappelle à la CEE que si l’Europe met en place des mesures dures contre l’UK, alors il faudrait calculer l’impact indirect de ces mesures sur la CEE. Si l’UK tombe en récession, cela aurait un impact évident sur les pays exportant vers l’UK.

Je ne connais pas l’impact financier précis pays par pays.

Peut-être aussi que le gouvernement UK va utiliser les migrants Européens déjà installé  un peu comme des otages.

Le gouvernement UK espère que ces menaces suffira à persuader la CEE à se montrer plus conciliante et laisser passer un coup d’arrêt sur la libre circulation des personnes sans mettre en place  des représailles économiques ou des amendes à payer.

La France, l’Allemagne et la Pologne voteront probablement contre cette proposition. Il y a des pays de la CEE qui sont prêts à accepter cette proposition de compromis UK mais je ne pense que cela suffira à bouger ce bloc.

La CEE va donc pousser l’UK à choisir uniquement entre ces trois possibilités :
- Une situation à la Norvège avec  accés aux marchés, libre circulation des personnes  et  une compensation financière.
- Une situation spécifique  à l’UK avec  accés aux marchés mais avec  un coup d’arrêt sur la libre circulation des personnes  et  une GROSSE compensation financière.
- Quitter complètement la CEE.

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Il y a 2 heures, Marcus a dit :

- Une situation spécifique  à l’UK avec  accés aux marchés mais avec  un coup d’arrêt sur la libre circulation des personnes  et  une GROSSE compensation financière.

Je ne perçois pas cette option comme une possibilité acceptable par les gouvernements et surtout les populations des pays de l'Union.

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il y a 37 minutes, Fusilier a dit :

Polonais : 5 % des pilotes de la RAF lors de la Bataille d'Angleterre, crédités de 170 avions abattus , soit 12% des pertes de la Luftwaffe dans cette bataille...  

Je crois que nous avons été en guerre avec la Pologne.....L’Europe, ce n’était pas l'idéal de tous en paix, car j'ai souvenir d'un traité de Versailles....

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il y a 19 minutes, kotai a dit :

Je crois que nous avons été en guerre avec la Pologne.....L’Europe, ce n’était pas l'idéal de tous en paix, car j'ai souvenir d'un traité de Versailles....

Quel rapport avec la choucroute?  En classe d'histoire tu devais dormir au fond de la classe... 

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Il y a 1 heure, Fusilier a dit :

Polonais : 5 % des pilotes de la RAF lors de la Bataille d'Angleterre, crédités de 170 avions abattus , soit 12% des pertes de la Luftwaffe dans cette bataille...  

Hello,

Je me méfie de ce genre de chiffres, suffisamment imprécis pour laisser la porte ouverte à toute sorte d’interprétation. Donc, j'aimerai savoir: on compte quoi dans ces chiffres?

  • Les pilotes de la RAF répartis dans tout l'empire, ou uniquement sur cette ile normande? (bah oui, ceux qui étaient à Malte, Bombay ou Singapour, bah de l'action, z'ont en pas vu des masses en septembre '40)
  • Les pilotes anglais tous services confondus, ou uniquement les pilotes de chasse?

Enfin, un dernier élément: les pilotes polonais étaient plutôt sur hurricane, alors que les anglais avaient droit aux spitfire tout neufs. Les spit' accrochaient les messerchmitt, pendant que les premiers pouvaient tailler en pièce les vagues de bombardier...

 

Je n'apprécie pas spécialement les anglais, et je leur en veux de n'avoir jamais joué le jeux de l'Europe, et ce dès leur adhésion. Mais je trouve que ce serait leur faire un mauvais procès que de sous entendre qu'ils se sont mollement battu durant cette guerre, et tout particulièrement lors de cette bataille.

 

A+/Yankev

Modifié par Yankev
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il y a 24 minutes, Yankev a dit :

Hello,

Je me méfie de ce genre de chiffres, suffisamment imprécis pour laisser la porte ouverte à toute sorte d’interprétation. Donc, j'aimerai savoir: on compte quoi dans ces chiffres?

Je ne voulais pas faire une thèse :laugh: Juste rappeler que les Polonais se sont battus lors de la Bataille d'Angleterre et que leur apport n'était pas négligeable (de mémoire dans les 150 pilotes vs la 15e de français par exemple) à un moment il avait un manque criant de pilotes; 5 % des effectifs présents lors de la bataille ce n'est pas rien  Il avait aussi pas mal de marins et à terre des ~ 1941 un Corps d'armée de 50 000 h  (avec comme noyau la brigade polonaise de l'armée française) dont la fameuse brigade para  

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il y a 6 minutes, Fusilier a dit :

Je ne voulais pas faire une thèse :laugh: Juste rappeler que les Polonais se sont battus lors de la Bataille d'Angleterre et que leur apport n'était pas négligeable (de mémoire dans les 150 pilotes vs la 15e de français par exemple) à un moment il avait un manque criant de pilotes; 5 % des effectifs présents lors de la bataille ce n'est pas rien  Il avait aussi pas mal de marins et à terre des ~ 1941 un Corps d'armée de 50 000 h  (avec comme noyau la brigade polonaise de l'armée française) dont la fameuse brigade para  

Tu peux également ajouter les mathématiciens polonais - notamment ceux de l’Université de Poznan - et leur contribution très importante en matière de cryptologie. Turing leur doit beaucoup.

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13 minutes ago, Fusilier said:

Je ne voulais pas faire une thèse :laugh: Juste rappeler que les Polonais se sont battus lors de la Bataille d'Angleterre et que leur apport n'était pas négligeable (de mémoire dans les 150 pilotes vs la 15e de français par exemple) à un moment il avait un manque criant de pilotes; 5 % des effectifs présents lors de la bataille ce n'est pas rien  Il avait aussi pas mal de marins et à terre des ~ 1941 un Corps d'armée de 50 000 h  (avec comme noyau la brigade polonaise de l'armée française) dont la fameuse brigade para  

Les polonais de 1939 ... ne sont pas les polonais de 2016. L'épisode soviétique a créer une culture profondément différente entre europe de l'est et europe de l'ouest ... différentiation qui perdure aujourd'hui, on ne raye pas d'un trait de plume 50 ans d'histoire forts mouvementés.

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