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On prend les paris, les british quittent,ou pas, l'Europe?  

82 membres ont voté

  1. 1. pensez-vous que les brits vont quitter, ou pas, l'Union?

    • Ils se dégonflent et restent dans l'Europe.
    • Ils ont des "cojones" - des bollocks en fait - et quittent l'Europe.

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Brexit: "dernière chance" pour Londres pour présenter ses objectifs dans la négociation

https://fr.yahoo.com/news/brexit-lue-prépare-à-scénarios-car-temps-presse-111947650--finance.html

Bruxelles (AFP) - Le président du Conseil européen Donald Tusk a lancé un "dernier appel" pour que Londres dévoile ses objectifs dans les négociations sur le Brexit, alors que l'UE, inquiète du peu de temps restant avant la date prévue du Brexit, se prépare à tous les scénarios.

Les dirigeants de l'UE se sont retrouvés vendredi matin à Bruxelles, sans la Première ministre britannique Theresa May, et ont partagé leurs inquiétudes sur le manque de progrès dans les négociations sur l'accord de retrait que les négociateurs voudraient pourtant finaliser d'ici fin octobre.

"Il reste encore une grosse part de travail devant nous et les tâches les plus difficiles sont toujours sans solution", a constaté M. Tusk lors d'une conférence de presse.

"C'est le dernier appel pour déposer son jeu sur la table", a-t-il ajouté à l'adresse des Britanniques.

"Nous voulons un accord et nous travaillons sur un accord, mais le temps presse", a pour sa part insisté le négociateur en chef du Brexit pour l'UE, Michel Barnier, à son arrivée à la réunion.

Les 27 ont appelé les Etats membres, les institutions de l'UE et "toutes les parties prenantes" à "intensifier leurs travaux" et se préparer "à tous les résultats", selon le texte de conclusions approuvé dans la matinée.

L'UE et le Royaume-Uni espèrent s'entendre sur un accord de retrait et les conditions générales de leur future relation en matière commerciale et de sécurité d'ici le mois d'octobre, soit quelques mois avant la date effective du Brexit programmé en mars 2019 afin de laisser le temps aux divers parlements de le ratifier.

Les dirigeants européens se disent "préoccupés par le fait qu'aucun progrès substantiel n'a encore été réalisé" dans le dossier de la frontière entre l'Irlande et l'Irlande du nord, alors que Bruxelles et Londres tentent de trouver une solution satisfaisante pour empêcher le retour d'une délimitation physique. En dépit de "progrès" constatés, "des divergences sérieuses persistent", a souligné Michel Barnier.

Le Premier ministre néerlandais Mark Rutte a estimé que "tous les efforts du Royaume-Uni devraient se concentrer sur la recherche d'une solution" dans le dossier irlandais, "parce que cela retarde tellement d'autres sujets".

Son homologue irlandais, qui s'est entretenu en tête à tête avec Mme May, a tancé les Britanniques, estimant qu'ils devaient être prêts à faire des compromis.

Michel Barnier espère par ailleurs que le "livre blanc" que doit publier Londres en juillet sur ses attentes quant à la future relation avec l'UE contiendra "des propositions réalistes".

A son arrivée à Bruxelles, Mme May avait pris acte des "très bonnes avancées" accomplies jusque-là dans les négociations du Brexit. Mais elle avait reconnu la nécessité d'aller plus vite.

"Je pense que les deux côtés sont prêts à continuer à travailler à un rythme plus rapide que jusqu'à présent, et nous nous en félicitons", avait déclaré la Britannique

ca va se finir en hard brexit.

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ils s'inquiétent du brexit hard,   nous beaucoup moins, on a ce qui faut pour compenser.

Huerta: Hard Brexit ‘Big Problem’ For UK, U.S. Aerospace

http://aviationweek.com/commercial-aviation/huerta-hard-brexit-big-problem-uk-us-aerospace#comments

ATLANTA—The UK government urgently needs to hammer out a withdrawal agreement from the European Union to avoid massive disruption to the aerospace industry on both sides of the Atlantic, said Michael Huerta, the former FAA administrator.

Echoing recent warnings by Airbus that a “hard” Brexit could lead to severe disruption in the supply chain and possibly lead to the company shrinking its UK presence, Huerta said the impact could also extend to the U.S. “The reality is this is a big deal for U.S. aerospace manufacturing because what happens in March 2019 is that the United Kingdom no longer has a regulatory regime under the European Union,” he said. “Their regulation is entirely governed by [the European Aviation Safety Agency] and given that evaporates in March 2019, the obvious question is what replaces it?”

Explaining why this matters to the U.S., Huerta said: “FAA operates under a system where we regulate operations within the U.S., and foreign operators and manufacturers that operate in the U.S. or sell products to the U.S. are regulated by their respective home countries. The FAA recognizes the competence of those foreign authorities, so if we have a situation in March 2019 where there is no recognized entity that is regulating the UK’s aerospace industry, we have no means to allow it to operate within the United States. That’s a big problem.”

Speaking at the American Institute of Aeronautics and Astronautics (AIAA) Aviation 2018 conference here, Huerta said a failure to negotiate an orderly Brexit with a withdrawal agreement could significantly impact UK-registered airlines, particularly British Airways, as well as UK aerospace companies. “The North Atlantic route between New York and London is the largest, most congested, most profitable aviation route in the world. So how we figure this out is really important,” he noted.

Huerta also underlined the need for greater urgency, again agreeing with Airbus, which believes the current planned transition (ending December 2020) is too short for the EU and UK governments to agree on the outstanding issues. “The challenge with aviation is that in the U.S. it is 5% of our GDP, so it’s a pretty important sector and we have got to figure out how it operates without disruption,” he said.

Describing the recent comments made by Airbus as “quite helpful,” Huerta said the company is “really making the point to negotiators on both sides of the English Channel that we need to have certainty here and, while March 2019 seems a long way off, if you are a manufacturer and you are scheduling component deliveries or final products, that’s right around the corner. So, getting that issue resolved is extremely important.”

Huerta, who spent time at FAA on what he described as “shuttle diplomacy” missions between London and Brussels, added: “The UK’s position has been from the very beginning they would just figure out how to have some sort of associate relationship with EASA, which makes a great deal of sense. The European view of that was very clear: they asked for the divorce—so isn’t it up to them to figure it out and, no, we are not going to make any special accommodation for the UK.” He continued: “You can see both sides of the argument, but put yourself in the position of Airbus or Boeing—they just want to know what it is, and they want to understand what that regulatory framework is. What they don’t want is for the UK to stand up its own independent regulatory framework that then creates another structure that needs to be validated and accepted by countries around the world. It’s a tough problem.”

Modifié par zx
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Un exemple parfait du choc des principes GB/UE : 

Citation

(...)  Dans ses négociations avec l'UE, le Royaume-uni veut séparer le dossier de l'accès à ses eaux territoriales et celui des quantités de poisson britannique exportées vers l'Union. (...)
Les idées britanniques risquent de rencontrer une forte opposition à Bruxelles, où l'on estime que si la pêche britannique est vendue dans l'UE, alors les bateaux des pays de l'Union doivent pouvoir pêcher dans les eaux britanniques.
Actuellement, la Grande-Bretagne exporte environ 75% de sa pêche vers les pays de l'UE.
La politique actuelle de l'UE permet à tous les bateaux européens d'accéder aux eaux et aux zones de pêche des pays membres, ce qui favorise la compétition.
Bruxelles rejette l'idée que la Grande-Bretagne puisse dicter unilatéralement les conditions dans lesquelles d'autres pays pourront pêcher dans ses eaux. (...)
https://www.challenges.fr/finance-et-marche/brexit-la-grande-bretagne-veut-decider-seule-de-sa-politique-de-peche_598981

Londres compare sa future situation à celle de la Norvège ... sauf que l'UE a passé avec ce pays, ainsi que l'Islande et les Îles Féroé des «accords nordiques», qui impliquent la gestion conjointe des stocks partagés (https://ec.europa.eu/fisheries/cfp/international/agreements_fr ) et permettent l'accès aux zones économiques exclusives maritimes. Là les anglais donnent l'impression de vouloir appliquer le vieil adage "tout ce qui est à moi, est à moi, tout ce qui est à vous se discute".

Sauf que même si les britanniques peuvent pécher deux fois plus de poisson, ça leur fera une belle jambe s'ils ne peuvent pas le vendre. En plus, il s'agit d'une marchandise fragile qui supporte mal le transport sur une longue distance et voit sa valeur diminuer de manière quasi exponentielle avec le temps qui s'écoule entre la pêche et la vente.

Encore un bel échantillon de ce qu'il advient lors du choc frontal entre le droit à la liberté souveraine d'un état et les devoirs que lui impose sa cohabitation avec des voisins tout aussi souverains que lui...:ph34r:

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Suite au séminaire de vendredi, Theresa May a réussi, pour l'instant, à ce que tous les membres de son gouvernement tombent d'accord sur une position commune

Citation

(...)  Au terme de douze heures de séminaire avec ses vingt-neuf ministres dans le cadre champêtre de sa résidence de Chequers, la cheffe de l’exécutif britannique a pu annoncer avec satisfaction que le gouvernement s’était « mis d’accord sur une position commune pour l’avenir de nos négociations avec l’UE ». (...)
L’avenir dira si les contestataires sont prêts à avaler les couleuvres que contient la synthèse de Mme May. Le texte,  (...), prévoit de « créer une zone de libre-échange entre le Royaume-Uni et l’UE avec un ensemble de règles communes pour les biens industriels et les produits agricoles ». En théorie, le Parlement de Westminster pourrait y déroger. Mais dans ce cas, l’UE pourrait répliquer en bloquant l’accès à son marché intérieur.
En matière de services, les Britanniques souhaitent un alignement moins étroit leur permettant d’être plus compétitifs que l’UE dans ce secteur clé pour eux. Ils veulent fixer librement leurs droits de douane, mais proposent de prélever les taxes européennes si elles sont plus élevées, et de les rétrocéder à l’UE lorsque les marchandises sont destinées aux Vingt-Sept. Selon Downing Street, l’application de ces principes éviterait le retour d’une frontière physique en Irlande.  (...)
En réalité, la première ministre qui continue de jurer que son pays va quitter le marché unique européen, cherche  (...) à y coller au maximum. Londres s’engagerait même à respecter les décisions de la Cour de justice de l’UE « dans les domaines où les règles communes s’appliquent ». Le principe de libre-circulation des personnes laisserait la place à un « schéma de mobilité ».
Tout porte  (...) à croire que le  (...) découpage prôné par Mme May est inacceptable pour l’UE. La césure entre marchandise et services contrevient au principe d’unicité du marché intérieur et le compromis réclamé sur les droits de douane bouscule le principe d’autonomie de l’UE.
Le système de collecte des droits de douane  (...) repose sur une technologie inconnue. Quant à la  (...) capacité revendiquée par Londres de négocier des traités commerciaux avec le reste du monde, elle reste plus qu’hypothétique.  (...)
https://www.lemonde.fr/referendum-sur-le-brexit/article/2018/07/07/apres-brexit-londres-veut-creer-une-zone-de-libre-echange-avec-l-ue_5327502_4872498.html

Avec tout ce qui a été dit dans ce fil sur les pertes de compétence britanniques, j'en viens à m'interroger sur la part de bluff dans les déclarations. Si ça se trouve, Londres croit vraiment avoir une chance d'obtenir ce qu'elle réclame.

Mais au final, la GB s'oriente de plus en plus vers un statut à la Norvégienne : adhésion de facto à l'Espace Economique Européen, libre circulation des marchandises, des capitaux et des personnes. Par contre, pas d'accord global pour la pêche, la Politique agricole commune, ou la mise en place de la monnaie unique : https://fr.wikipedia.org/wiki/Fichier:Supranational_European_Bodies-fr.svg 

De plus, il y a une contribution financière, une application de décisions de justice supra-nationales, l'adoption d'une partie des lois de l'Union Européenne, avec peu d'influence sur le processus de prise de décisions à Bruxelles. Tout ça, pour ça...
En même temps, quand on voit comment Trump mène ses négociations commerciales, on comprend que le RU préfère ne pas se retrouver an tête-à-tête avec Washington.

Par ailleurs ce n'est pas la première fois qu'on mentionne la différence entre marchandise et services. Merkel l'avait aussi évoquée face à Trump. Est-ce que quelqu'un aurait plus d'éléments sur le sujet?

Modifié par Desty-N
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Le gouvernement britannique a arrêté une stratégie commune après une réunion à haut risque pour Theresa May. 

Reste à savoir quel accueil Bruxelles lui réservera.

https://www.lesechos.fr/monde/europe/0301937853674-brexit-londres-propose-une-zone-de-libre-echange-avec-lue-2190499.php

Le gouvernement britannique a arrêté une stratégie commune après une réunion à haut risque pour Theresa May. Reste à savoir quel accueil Bruxelles lui réservera.

Exit la libre circulation des personnes, pour mieux reprendre le contrôle de la politique d'immigration... mais pas la libre circulation des produits, pour pouvoir continuer de commercer avec l'Union. C'est en substance la position adoptée vendredi, pour l'après-Brexit, par le gouvernement britannique.

Londres propose à terme de « créer une zone de libre-échange entre le Royaume-Uni et l'UE, avec un ensemble de règles communes pour les biens industriels et les produits agricoles », a indiqué Theresa Maydans un communiqué à l'issue d'une réunion marathon avec ses ministres. Avant de préciser que les services devaient à ses yeux faire l'objet d'« arrangements différents ».

La Première ministre britannique avait convié l'ensemble des ministres de son gouvernement dans sa maison de campagne de Chequers, à 70 kilomètres au Nord-Ouest de Londres pour une  journée de travail qui s'annonçait à haut risque . L'objectif était en effet d'arrêter une vision commune des relations commerciales, et notamment douanières, que le Royaume-Uni entend entretenir avec l'UE après l'entrée en vigueur du Brexit. Ce qui s'annonçait comme un véritable défi, tant le cabinet est divisé sur la question.

Voitures de fonction

Finalement, aucune démission n'est à déplorer, alors que l'entrevue de sept ministres Brexiters, la veille au soir, pour arrêter une stratégie commune avait pu faire craindre un clash. Le bruit a même couru, dans la matinée de vendredi, que ceux qui décidaient de claquer la porte seraient aussitôt privés de leur voiture de fonction, et devraient rentrer à Londres par leurs propres moyens...

La Première ministre a-t-elle su trouver les mots pour convaincre les plus ardents défenseurs d'un Brexit dur de rentrer pour l'instant dans le rang, et d'accepter cette solution ayant le mérite de maintenir la fluidité des échanges à la frontière irlandaise ? Ou les avertissements lancés ces derniers jours par les dirigeants d'Airbus, de BMW ou de Jaguar Land Rover sur les risques d'un tel scénario ont-ils changé le rapport de force ? Personne n'a en tout cas osé prendre le risque de quitter le gouvernement, voire de déstabiliser la Première ministre à un moment aussi crucial des négociations avec Bruxelles.

Liberté de conclure de nouveaux accords

« Nous avons convenu d'un nouveau modèle douanier favorable aux entreprises, avec la liberté de conclure de nouveaux accords commerciaux dans le monde entier », a précisé la Première ministre conservatrice dans le document publié à l'issue de la réunion. Une manière de dire que chacun avait été entendu : les entreprises, attentives à limiter les coûts supplémentaires aux frontières, et les Brexiters, qui veulent éviter que cela n'entrave la souveraineté d'un Royaume-Uni désormais libre de décider de son avenir sur le plan commercial.

Plus précisément, le document préconise de mettre en place un « arrangement douanier simplifié » où le Royaume-Uni collecterait les droits de douane des produits arrivant sur son sol à un taux distinct selon qu'ils sont destinés à son marché domestique, ou qu'ils sont en transit vers un autre pays de l'UE - il les reverserait ensuite au pays concerné. L'objectif de Londres étant d'avoir des droits de douane moins élevés pour dynamiser ses échanges.

Reste à savoir quel accueil Bruxelles réservera à la proposition britannique. Sur Twitter, le négociateur européen pour le Brexit, Michel Barnier, a salué l'accord sans pour autant s'avancer : « Nous allons étudier les propositions pour voir si elles sont réalistes », a-t-il écrit. Plus tôt à Bruxelles, il avait répété qu'il restait beaucoup de chemin à parcourir avant un accord entre le Royaume-Uni et l'UE.

Indivisibilité du marché unique

« Si on commence à accepter un marché unique à la carte, on met le doigt dans un engrenage redoutable », analyse une source européenne. Pourquoi ne pas imaginer que demain, d'autres pays de l'UE ne finissent par demander à s'en désengager partiellement, pour ne garder que ce qui constitue pour eux un bénéfice net ? Michel Barnier va donc probablement opter pour l'intransigeance.

Il n'empêche que la stratégie de Londres n'est pas totalement illégitime. Les exemples de l'Espace économique européen ou de la Suisse démontrent que l'Union européenne, par le passé, a su accepter des associations ad hoc en faisant preuve d'un peu de flexibilité par rapport au mantra de l'indivisibilité du marché unique.

 

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Y a t'il un pilote dans l'avion ? :

Le ministre chargé de gérer le Brexit, David Davis, a démissionné avec effet immédiat, dimanche, en raison d'un profond désaccord sur le plan prévoyant le maintien de certains liens avec l'Union européenne après le Brexit.

Un autre ministre lié au Brexit, le sous-secrétaire d'État Steve Baker, a démissionné dans la foulée, rapporte le journal Telegraph. De son côté, le journal britannique The Guardian révèle que la députée et sous-secrétaire au Brexit, Suella Braverman, a aussi remis sa démission.

 

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Çà prend l'eau de toutes parts, çà part dans tous les sens ... Allez courage (cette fois, les Brexiters), fuyez ... ! :tongue:

C'est pas possible, comment ce gvt peut-il encore tenir ... Je ne voudrais pas être brit, ils sont perdus dans leurs contradictions ... Ils ne savent pas quoi faire, où aller ... Et comment ! 

J'en ai presque de la tristesse ...

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Il y a 2 heures, jojo (lo savoyârd) a dit :

Çà prend l'eau de toutes parts, çà part dans tous les sens ... Allez courage (cette fois, les Brexiters), fuyez ... ! :tongue:

C'est pas possible, comment ce gvt peut-il encore tenir ... Je ne voudrais pas être brit, ils sont perdus dans leurs contradictions ... Ils ne savent pas quoi faire, où aller ... Et comment ! 

J'en ai presque de la tristesse ...

Ils ont surtout du mal a assumer les conséquence de leur choix.

Ils n'ont pas compris avant de voter que quitter l'UE ne se ferait qu'avec des larmes.

Beaucoup de banques avaient allégées leur déménagement vers l'Europe mais vu comment çà se passe (crise gouvernementale, équipe brexiteuse remodifiée et avec des négociateurs plus durs à venir), le RU ressemble à un poulet sans imagination ni sens des responsabilités.

Eux qui fanfaronnaient encore d'avoir la première ville touristique devant Paris il y a trois ans...

Modifié par herciv
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@herciv C'est en HS mais j'ai un classement montrant qu'en 2017 Londres est bien à la première plasse des villes les plus visités :

https://www.actualitix.com/villes-plus-visitees-europe.html

La troisième après Paris étant Istanbul devançant Rome :blink:

 

 

Modifié par collectionneur
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il y a une heure, collectionneur a dit :

@herciv C'est en HS mais j'ai un classement montrant qu'en 2017 Londres est bien à la première classe des villes les plus visités :

https://www.actualitix.com/villes-plus-visitees-europe.html

La troisième après Paris étant Istanbul devançant Rome :blink:

 

 

Effet brexit ? Plus d'un touriste européen va là-bas avant la fin de la libre circulation des personnes. 

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Il y a 11 heures, jojo (lo savoyârd) a dit :

Çà prend l'eau de toutes parts, çà part dans tous les sens ... Allez courage (cette fois, les Brexiters), fuyez ... ! :tongue:

Y en a un qui t'as entendu.

"Le" Boris Johnson a démissionné.
https://www.bbc.com/news/uk-politics-44770847

Dans son cas, bon débarras, c'était une grande gueule qui arrivait parfois à faire passer Trump et Lavrov pour d'honnêtes gens.
Parfois.:tongue:

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7 hours ago, herciv said:

Effet brexit ? Plus d'un touriste européen va là-bas avant la fin de la libre circulation des personnes. 

Le Uk est hors Schengen de toute façon ...

... le brexit ne devrait rien changer pour les voyageurs de tourisme ou d'affaire.

S'il y a des changements c'est plutôt du coté du droit a l'établissement qu'il faudra le chercher et encore ... les britanniques sont tellement laxiste a ce sujet ... que c'est vraiment l'auberge espagnole la bas.

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il y a 41 minutes, Wallaby a dit :

Probablement il ne part pas "comme ça". Il va chercher à

- virer Theresa May

- devenir Premier Ministre à sa place

C'est trop tard. Il avait cette crédibilité de futur Premier Ministrable à la sortie du Brexit. Maintenant, ça paraît un peu trop tard. Il a brûlé son capital politique et ses bourdes ne l'ont pas bien servis. Et il n'est même pas sur que, en admettant que le parti conservateur décide de se débarrasser de May, qu'il le choisisse lui comme remplaçant.

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Ça tangue beaucoup, créant beaucoup de bruit et de fureur... et ouvrant le champ des possibles.

Depuis le non-Brexit déguisé en Brexit - c'est ce que la City veut, de toute évidence, afin de continuer ses affaires...

005b412c089200952858

... jusqu'au Brexit dur, parce que ce sont les convaincus qui seront aux affaires

Dhrkw4_W0AEDtAe.jpg

La suite au prochain épisode :smile:

Mais bon Dieu, c'est difficile de faire quelque chose quand la finance et les banques s'y opposent :blink: !

 

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Il y a 11 heures, Alexis a dit :

Ça tangue beaucoup, créant beaucoup de bruit et de fureur... et ouvrant le champ des possibles.

Depuis le non-Brexit déguisé en Brexit - c'est ce que la City veut, de toute évidence, afin de continuer ses affaires...

005b412c089200952858

... jusqu'au Brexit dur, parce que ce sont les convaincus qui seront aux affaires

Dhrkw4_W0AEDtAe.jpg

La suite au prochain épisode :smile:

Mais bon Dieu, c'est difficile de faire quelque chose quand la finance et les banques s'y opposent :blink: !

 

D'où l'idée qui me semble raisonnable, de les ramener à leur juste rôle dans la société par un ferme recadrage. La puissance publique le peut, si la volonté l'y habite. Ca ne viendra très probablement pas de chez nos "amis" anglois.

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Il y a 20 heures, Ciders a dit :

Il a toujours été faible. Ça se confirme. Pourquoi partir comme ça et être resté aussi longtemps ?

Et laisse Lavrov tranquille. C'est un diplomate, un vrai, il ne peut pas avoir de morale ou de scrupules.

C'est vrai que mettre les deux en parallèle est étrange.

Mais la crédibilité de Lavrov serait très supérieure s'il maniait plus souvent litote et ambiguïté. A mon sens il a raconté trop de mensonges patents pour être considéré comme "vrai diplomate", au sens "compétent". Il sait rester sérieux là où l'Boris affiche ses délires, mais mis à part ça...

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On apprend des choses surprenantes sur Boris Johnson dans le journal Le Monde :

https://www.lemonde.fr/referendum-sur-le-brexit/article/2018/07/10/boris-johnson-n-a-pas-su-montrer-le-moindre-leadership_5329197_4872498.html (10 juillet 2018)

En 2016, il a fait campagne pour le Brexit en pensant perdre. Lorsque la victoire est arrivée, il n’a pas assumé ses responsabilités et a refusé de devenir premier ministre.

En réalité, le Guardian dit ceci :

https://www.theguardian.com/politics/shortcuts/2017/nov/13/michael-gove-boris-johnson-friendship-tory-leadership (13 novembre 2017)

Il n'y a pas si longtemps, Michael Gove décrivait sa relation autrefois très étroite avec Boris Johnson comme étant dans le "deep freeze". Une telle froideur était inévitable, étant donné la façon dont Gove avait torpillé la tentative de son ami de remplacer David Cameron comme chef du parti conservateur et premier ministre. Vous vous souviendrez de cette belle journée de juin 2016 où Johnson s'apprêtait à lancer sa campagne pour le poste suprême - la salle était réservée, les acolytes assemblés - pour abandonner le plan une fois que Gove, son compagnon de voyage quelques jours plus tôt sur le bus de campagne Vote Leave promettant 350 millions d'économies, avait annoncé qu'il était "venu, à contrecœur, à la conclusion que Boris ne peut pas assurer le leadership ou construire l'équipe pour la tâche à venir".

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