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On prend les paris, les british quittent,ou pas, l'Europe?  

82 membres ont voté

  1. 1. pensez-vous que les brits vont quitter, ou pas, l'Union?

    • Ils se dégonflent et restent dans l'Europe.
    • Ils ont des "cojones" - des bollocks en fait - et quittent l'Europe.

Ce sondage n’accepte plus de nouveau vote


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Il y a 15 heures, Patrick a dit :

Je comprends que tu aies envie de rigoler Fenrir, mais à titre personnel je ne suis pas certain que ce soit un bon signal addressé aux britanniques. Ils diraient la même chose aux bretons et aux basques on le prendrait assez mal.
Et mon petit doigt me dit que ce serait d'ailleurs l'un des axes d'attaques contre la France en cas de tentative de déstabilisation par un pays étranger.

Il y a un fossé entre les Ecossais qui ont leurs députés, avec leur propre parti et nos Bretons... Idem pour l'Irlande du Nord ou il y a encore 30 ans c'était une guerre civile dont l'équivalent chez nous vu l'Algérie.

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il y a 18 minutes, Fenrir a dit :

Il y a un fossé entre les Ecossais qui ont leurs députés, avec leur propre parti et nos Bretons... Idem pour l'Irlande du Nord ou il y a encore 30 ans c'était une guerre civile dont l'équivalent chez nous vu l'Algérie.

En parlant de ça, léger HS mais attendez-vous à un clash entre les élus corses (nationalistes surtout, mais sans doute aussi quelques autres) et le PR lors de sa visite prévue début avril. On parle déjà d'une opération Isula morta (je vous passe la traduction), avec grèves et boycott de sa visite.

Sinon, j'ai l'impression que ça ne bouge pas trop côté britannique depuis l'échec d'hier.

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il y a 21 minutes, Ciders a dit :

Sinon, j'ai l'impression que ça ne bouge pas trop côté britannique depuis l'échec d'hier.

Hé ho, doucement. C'est pas comme s'ils étaient pressés. Il leur reste quand même quinze jours.

C'est largement suffisant pour négocier un nouvel accord.:rolleyes:

Modifié par Salverius
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17 hours ago, Patrick said:

Je comprends que tu aies envie de rigoler Fenrir, mais à titre personnel je ne suis pas certain que ce soit un bon signal addressé aux britanniques. Ils diraient la même chose aux bretons et aux basques on le prendrait assez mal.
Et mon petit doigt me dit que ce serait d'ailleurs l'un des axes d'attaques contre la France en cas de tentative de déstabilisation par un pays étranger.

Il doit y avoir quelques Corses offensés par ton commentaire...

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Il y a 9 heures, prof.566 a dit :

De toutes façons ils sont offensés avant que tu ouvres la bouche donc... (clin d'oeuil amis corses)

Revenons en aux classiques. Je veux dire, bien entendu, Astérix en Corse.

Dont voici le préambule

Citation

« Pour la plupart des gens, la Corse est la terre natale d'un empereur qui a laissé dans l'Histoire des pages aussi indélébiles que celles inspirées par notre vieux complice Jules César.

C'est aussi le berceau d'un chanteur de charme à la longue et prestigieuse carrière, dont les refrains où il est question de Marinella et d'une belle Catarineta, tchi tchi, ont fait le tour du monde.

C'est aussi le pays de la vendetta, de la sieste, des jeux politiques compliqués, des fromages vigoureux, des cochons sauvages, des châtaignes, des succulents merles moqueurs et des vieillards sans âge qui regardent passer la vie.

Mais la Corse, c'est plus que tout cela. Elle fait partie de ces endroits privilégiés du globe qui ont un caractère, une forte personnalité, que ni le temps ni les hommes n'arrivent à entamer.

C'est un des plus beaux pays du monde, qui justifie pleinement son appellation d'île de Beauté.

Mais pourquoi ce préambule, nous demanderez-vous. Parce que les Corses, que l'on décrit comme individualistes - alliant l'exubérance à la maîtrise de soi - nonchalants, hospitaliers, loyaux, fidèles en amitié, attachés à leurs pays natal, éloquents et courageux, sont, eux aussi plus que tout cela.

Ils sont susceptibles. »

 

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il y a 40 minutes, Alexis a dit :

Je soupçonne que l’Histoire sera indulgente à l’égard de Theresa May.

Elle a certes commis des erreurs très lourdes
- la première étant de définir la manière de sortie d’abord puis d’amener un accord et une manière de sortie déjà terminées au parlement britannique pour discussion, plutôt que de d’abord construire une majorité la plus large possible autour d’une implémentation particulière du Brexit – et une qui soit réaliste ! – avant de déclencher l’article 50 et de commencer les négociations avec les 27
- La seconde est d’avoir exclu d’emblée avec ses « lignes rouges » la manière de sortir la plus modérée, donc la mieux à même de rassembler une bonne partie à la fois des partisans de la sortie et du maintien – il aurait fallu pour cela chercher une solution autour de l’AELE et des modèles norvégien, islandais ou suisse.

Mais la tâche était loin d’être facile, s’agissant de dénouer le véritable nœud gordien que constituent les multiples liens entre institutions britanniques et européennes créés notamment pour établir le marché unique. Tout cela à la tête d’un pays profondément divisé le jour du vote et qui l’est peut-être encore davantage aujourd’hui, alors que d’une part une partie des pro-Brexit se sont radicalisés en venant à considérer avec suspicion tout lien résiduel entre Royaume-Uni et UE, et le modèle norvégien – qu’ils louaient hier – comme une trahison. D’autre part une partie des pro-Remain se sont radicalisés eux aussi, cherchant toujours presque trois ans après à annuler la décision qui les a déçus, et violer la démocratie au passage.

Theresa May a de toute façon ce mérite d’avoir accepté sincèrement et profondément une décision démocratique à laquelle au départ elle s’opposait et de chercher depuis à la défendre et à l’appliquer contre vents et marées. Une forme de loyauté démocratique qui est rare parmi les dirigeants européens – que l’on songe aux suites du référendum de 2005 sur la constitution européenne !

Enfin, elle continue aujourd’hui, même alors que l’entreprise devient pratiquement désespérée, à mettre tous ses efforts à implémenter une version du Brexit qui – aussi imparfaite soit-elle – aurait le mérite de ne rien casser d’irrémédiable ni dans l’économie du pays ni dans ses relations inter-régions (Irlande du Nord notamment, potentiellement Ecosse aussi), tout en appliquant la décision souveraine du peuple britannique. Ceci en dépit de parlementaires dont une bonne partie sont tout simplement des irresponsables occupés d’enjeux politiciens et si peu intéressés par les réalités qu’ils ont pu organiser lundi 25 mars un vote sur huit options… dont cinq étaient tout simplement inapplicables dans le monde réel ! Si les parlementaires se sont plaints récemment d’avoir été traités de haut par le premier ministre s’adressant à eux comme une maîtresse de maternelle à des écoliers turbulents, ils ne peuvent s’en prendre qu’à eux-même : le respect, ça se mérite.

Il est encore possible que le Royaume-Uni échappe à la catastrophe économique que serait un Brexit sans accord aucun, même si la voie est désormais plus qu’étroite et la situation plus que périlleuse. S’il y arrive, ce sera essentiellement parce que Theresa May aura réussi au dernier moment à achever ce travail d’Hercule consistant à obtenir une majorité au parlement outre-manchot pour une option raisonnable.

Même si Brexit sans accord il y a, le premier ministre britannique aura du moins eu la stature morale d’avoir tenté jusqu’au bout de mettre en place un Brexit ordonné.

Un Brexit ordonné ? c'est une drôle de façon de voir les choses. Elle a principalement joué la défense de son parti et de son poste avant tout et a complètement faillit  a tout les niveau. La démocratie c'est visiblement la dernière de ses inquiétudes et elle s'en sert juste pour éviter d'avoir a justifier son incompétence. Notamment en faisant croire qu'un referendum non contraignant, flou, entaché d'irregularités et voté avec une faible majorité devient une carte blanche pour faire tout et n'importe quoi. Et pour l'avenir de son pays et de la population qui l'occupe visiblement ils pourront juste se consoler en récitant des phrase creuses: Brexit mean brexit...

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@seb24  Il faut savoir lire l'exiteur,  un BREXIT ordonné est la possibilité de tous les EXIT.  Mais,  si le personnage, ci-dessus "héroïsé", tombe au champ d'honneur, victime des manœuvres des "mondialistes" et autres "cosmopolites", elle demeurera un guide pour les générations futures.  Alors, les "exiteurs de tous les pays" pourront aller en pèlerinage au 10 downing street, un peu comme on va aux Glières ou plutôt à Orléans :biggrin: 

Plus prosaïquement, si c'est le bordel, comme c'est prévisible,  c'est pas bon du tout pour le "Grand Projet", surtout que le pb des GB on peut le mettre au cube chez nous.  

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il y a 29 minutes, Fusilier a dit :

@seb24  Il faut savoir lire l'exiteur,  un BREXIT ordonné est la possibilité de tous les EXIT.  Mais,  si le personnage, ci-dessus "héroïsé", tombe au champ d'honneur, victime des manœuvres des "mondialistes" et autres "cosmopolites", elle demeurera un guide pour les générations futures.  Alors, les "exiteurs de tous les pays" pourront aller en pèlerinage au 10 downing street, un peu comme on va aux Glières ou plutôt à Orléans :biggrin: 

Plus prosaïquement, si c'est le bordel, comme c'est prévisible,  c'est pas bon du tout pour le "Grand Projet", surtout que le pb des GB on peut le mettre au cube chez nous.  

L'idée générale chez les EXITERS (ici ou au nord de la Manche) est qu'il s'agit d'une sorte de complot des ploutocrates de l'UE, coalisés avec les REMAINERS les plus europhiles (des traîtres quoi) pour manipuler les électeurs et les convaincre de pousser les députés britanniques à annuler le départ de l'UE, à des fins bien évidemment de poursuivre la domination de Bruxelles sur le monde libre.

Oui, on retrouve aussi cette idée chez l'UPR, les GJ et une partie des europhobes français. Et oui, c'est très con comme idée. Mais elle est répandue.

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il y a 48 minutes, Surjoueur a dit :

Oui enfin du complotisme on peut en trouver partout.

Oui mais avant ça ne sortait pas du Bar des Amis à Pouilly-la-Chartreuse. Là, ça peut pousser des millions de personnes à voter de façon illogique.

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Il y a 3 heures, Ciders a dit :

avant ça ne sortait pas du Bar des Amis à Pouilly-la-Chartreuse.

Je pensais à d'autres formes de complotisme, dans d'autres camps, comme le fait de voir de la manipulation russe partout, après j'suis pas contre les délires alcoolisés au PMU du coin.

Modifié par Surjoueur
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Il y a 5 heures, Fusilier a dit :

@seb24  Il faut savoir lire l'exiteur

Tu as raison, il faut savoir lire... N'hésite pas à essayer, à l'occasion :tongue: !

 

Il y a 5 heures, Fusilier a dit :

Mais,  si le personnage, ci-dessus "héroïsé", tombe au champ d'honneur, victime des manœuvres des "mondialistes" et autres "cosmopolites", elle demeurera un guide pour les générations futures.

Sophisme de l'épouvantail

L’épouvantail, parfois appelé « argument de l'homme de paille » par traduction littérale de l'expression anglaise « straw man », est un sophisme qui consiste à présenter la position de son adversaire de façon volontairement erronée. Créer un argument épouvantail consiste à formuler un argument facilement réfutable puis à l'attribuer à son opposant.

 

Il y a 3 heures, Ciders a dit :

Oui mais avant ça ne sortait pas du Bar des Amis à Pouilly-la-Chartreuse. Là, ça peut pousser des millions de personnes à voter de façon illogique.

Les gens qui votent de façon "illogique" sont beaucoup plus nombreux que tu ne le penses :happy: 49% lors du référendum sur le traité de Maastricht en 1992, 55% pour le référendum sur la constitution européenne en 2005, 52% pour la sortie du Royaume-Uni de l'UE en 2016...

Ce n'est pas seulement les basses classes classes populaires, il y a des gens de toutes les classes sociales et de tous les niveaux d'éducation.

D'ailleurs, il arrive aussi que des gens moins éduqués que la moyenne aient des choses intéressantes à dire. Si :happy:

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13 hours ago, Alexis said:

Je soupçonne que l’Histoire sera indulgente à l’égard de Theresa May.

Elle a certes commis des erreurs très lourdes
- la première étant de définir la manière de sortie d’abord puis d’amener un accord et une manière de sortie déjà terminées au parlement britannique pour discussion, plutôt que de d’abord construire une majorité la plus large possible autour d’une implémentation particulière du Brexit – et une qui soit réaliste ! – avant de déclencher l’article 50 et de commencer les négociations avec les 27
- La seconde est d’avoir exclu d’emblée avec ses « lignes rouges » la manière de sortir la plus modérée, donc la mieux à même de rassembler une bonne partie à la fois des partisans de la sortie et du maintien – il aurait fallu pour cela chercher une solution autour de l’AELE et des modèles norvégien, islandais ou suisse.

Mais la tâche était loin d’être facile, s’agissant de dénouer le véritable nœud gordien que constituent les multiples liens entre institutions britanniques et européennes créés notamment pour établir le marché unique. Tout cela à la tête d’un pays profondément divisé le jour du vote et qui l’est peut-être encore davantage aujourd’hui, alors que d’une part une partie des pro-Brexit se sont radicalisés en venant à considérer avec suspicion tout lien résiduel entre Royaume-Uni et UE, et le modèle norvégien – qu’ils louaient hier – comme une trahison. D’autre part une partie des pro-Remain se sont radicalisés eux aussi, cherchant toujours presque trois ans après à annuler la décision qui les a déçus, et violer la démocratie au passage.

Theresa May a de toute façon ce mérite d’avoir accepté sincèrement et profondément une décision démocratique à laquelle au départ elle s’opposait et de chercher depuis à la défendre et à l’appliquer contre vents et marées. Une forme de loyauté démocratique qui est rare parmi les dirigeants européens – que l’on songe aux suites du référendum de 2005 sur la constitution européenne !

Enfin, elle continue aujourd’hui, même alors que l’entreprise devient pratiquement désespérée, à mettre tous ses efforts à implémenter une version du Brexit qui – aussi imparfaite soit-elle – aurait le mérite de ne rien casser d’irrémédiable ni dans l’économie du pays ni dans ses relations inter-régions (Irlande du Nord notamment, potentiellement Ecosse aussi), tout en appliquant la décision souveraine du peuple britannique. Ceci en dépit de parlementaires dont une bonne partie sont tout simplement des irresponsables occupés d’enjeux politiciens et si peu intéressés par les réalités qu’ils ont pu organiser lundi 25 mars un vote sur huit options… dont cinq étaient tout simplement inapplicables dans le monde réel ! Si les parlementaires se sont plaints récemment d’avoir été traités de haut par le premier ministre s’adressant à eux comme une maîtresse de maternelle à des écoliers turbulents, ils ne peuvent s’en prendre qu’à eux-même : le respect, ça se mérite.

Il est encore possible que le Royaume-Uni échappe à la catastrophe économique que serait un Brexit sans accord aucun, même si la voie est désormais plus qu’étroite et la situation plus que périlleuse. S’il y arrive, ce sera essentiellement parce que Theresa May aura réussi au dernier moment à achever ce travail d’Hercule consistant à obtenir une majorité au parlement outre-manchot pour une option raisonnable.

Même si Brexit sans accord il y a, le premier ministre britannique aura du moins eu la stature morale d’avoir tenté jusqu’au bout de mettre en place un Brexit ordonné.

Navré, mais pour moi la composition même du corps électoral pour ce référendum était un viol de démocratie : citoyens vivant à l'étranger (souvent directement concernés) interdits de vote, membres du commonwealth vivant au UK votant (ca ne les concernent pas) alors que les citoyens de l'UE vivant chez les gibis ne votaient pas? On me parle de démocratie?

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il y a 12 minutes, prof.566 a dit :

Navré, mais pour moi la composition même du corps électoral pour ce référendum était un viol de démocratie : citoyens vivant à l'étranger (souvent directement concernés) interdits de vote, membres du commonwealth vivant au UK votant (ca ne les concernent pas) alors que les citoyens de l'UE vivant chez les gibis ne votaient pas? On me parle de démocratie?

Voici quel était corps électoral pour le référendum de 2016 :

Citation

Seuls les citoyens britanniques, irlandais et du Commonwealth âgés de plus de 18 ans résidant au Royaume-Uni ou à Gibraltar auront le droit de vote. Les citoyens britanniques qui vivent à l'étranger depuis moins de 15 ans auront également leur mot à dire.

Bref c'était la résidence au Royaume-Uni qui fondait le droit de vote,

- plus une exception en faveur des Britanniques qui étaient des résidents en Grande-Bretagne à un moment des 15 dernières années,

- plus une exception en faveur des résidents en Grande-Bretagne de nationalité irlandaise ou du Commonwealth.

Les Britanniques exclus du vote étaient seulement ceux qui résidaient depuis plus de 15 ans à l'étranger. C'est-à-dire des gens dont le centre des intérêts peut valablement être supposé être situé ailleurs que dans leur pays d'origine.

Quant à accorder le droit de vote aux citoyens de pays du Commonwealth, la règle peut nous paraître surprenante, mais si nous accordions le droit de vote aux Sénégalais ou Malgaches résidant en France, la démocratie française s'effondrerait-elle ?

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il y a 4 minutes, Alexis a dit :

Les Britanniques exclus du vote étaient seulement ceux qui résidaient depuis plus de 15 ans à l'étranger. C'est-à-dire des gens dont le centre des intérêts peut valablement être supposé être situé ailleurs que dans leur pays d'origine.

Justement, tous les Britanniques vivant en Europe (soit quand même plus d'1 million de personnes) étaient ultra-concernées par ce vote, on peut donc se dire qu'il y eu un biais à ce niveau, mais il est vrai qu'il est difficile de l'éviter, à moins de faire une loi anticipée modifiant le corps électoral.

C'est comme la répartition des circonscriptions électorales en France, qui fait appel au nombre d'habitants et non au nombre de personnes aptes à voter. Un département ayant un fort taux d'étrangers et d'habitants de moins de 18 ans pourra proportionellement avoir plus de représentants, alors qu'il n'y aura pas plus d'électeurs potentiels que son voisin plus "français" et plus vieux.

Clairon

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