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On prend les paris, les british quittent,ou pas, l'Europe?  

82 membres ont voté

  1. 1. pensez-vous que les brits vont quitter, ou pas, l'Union?

    • Ils se dégonflent et restent dans l'Europe.
    • Ils ont des "cojones" - des bollocks en fait - et quittent l'Europe.

Ce sondage n’accepte plus de nouveau vote


Messages recommandés

Les négociations restent bloquées avant le sommet européen de mercredi.
Un accord semblait possible dimanche soir, mais le point d'achoppement reste le cas irlandais.

https://www.lemonde.fr/referendum-sur-le-brexit/article/2018/10/15/brexit-les-negociations-entre-londres-et-l-ue-dans-une-impasse_5369371_4872498.html

http://www.lefigaro.fr/international/2018/10/14/01003-20181014ARTFIG00166-ebullition-a-bruxelles-autour-du-brexit.php

Rattrapage des news passées:

https://www.lemonde.fr/referendum-sur-le-brexit/article/2018/10/02/londres-traitera-les-europeens-comme-les-autres-immigres-apres-le-brexit_5363048_4872498.html

Le 18/09/2018 à 06:08, g4lly a dit :

L'objectif initial n'était pas de quitter l'Union, mais de faire cesser l'invasion étrangère au Uk.

De la même manière que dans beaucoup de pays le patronat aime les émigré parce qu'il sont moins cher et moins chien que les installés. Donc depuis toujours le Uk, coté patronat ... fait table ouverte en laissant n'importe qui embaucher n'importe quel clando. A la base il y avait plus ou moins des regles facilitant l'immigration venu du Commonwealth. Et après de nombreuse années - des centaines techniquement depuis l'empire des indes - a ce régime ... en tout et pour tout la plus grosse population immigrée les indiens était un gros millions. Ils parlaient anglais, jouaient au cricket, reconnaissaient la reine etc.

Puis d'un coup brutalement en quelques année ... un millions de polonais s'installent au Uk ...

Ce fut la tonne d'eau qui fit déborder le vase, pour les classes populaires.

Je confirme
J'ai vu en personne l'afflux des ressortissants de pays de l'Est en Irlande et UK jusqu'en 2008 (jusqu'à 30% de la population), avec les frictions habituelles qui les accompagnent (même avec les polonais, qui sont aussi catholiques et portés sur la boisson que les irlandais :dry:).
Et pour moi, c'est cette vague d'immigration qui a poussé au Brexit : pas le million de réfugié de 2016 (qui concerne plutôt l'Europe centrale)

Vraie question :
Mais après 3 années de grosse crise, l'afflux de polonais/pays de l'est s'était pas mal dégonflé à Dublin (à la louche 15-20% vers 2011): ce qui a réduit les tensions (sur tout, même les loyers).

Il n'y a pas eu le même phénomène en UK ?

EDIT : Plussoiement pour le plaisir de voir des avis construits et réfléchis.
J'adore le forum :tongue:

Révélation
Le 18/09/2018 à 06:15, christophe 38 a dit :

je (te) comprends..

mais, ce sont les conditions économiques des GB qui ont attiré toute cette main d'oeuvre.

Si on se rappelle, l'an dernier, Macron a bien dit "le plombier polonais, oui, mais au prix du plombier français".

+1

Le 18/09/2018 à 13:11, BPCs a dit :

Vision petit-bourgeoise encore une fois...tout au moins dans sa dialectique

En l'espèce du Brexit, les travailleurs pauvres du centre de l'Angleterre,  espéraient simplement que la fin de la concurrence de la main d'oeuvre sous qualifiée mais sous payée de l'Est leur permettrait de retrouver du Boulot, une fois ceux ci éliminés.

Sans compter les mensonges des Brexiteurs sur le gain anticipté pour le fonctionnement du NIH, dans un pays où l'accès aux soins est une honte innomable pour un pays "avancé".

Mais sans avoir la vision que le cout du Brexit entrainerait un surenchérissement de leur pannier quotidien, ni que le Brexit risquait de faire décamper les grosses entreprises qui fournissent encore un travail aux quelques ouvriers existants encore dans ce pays largement et volontairement désindustrialisé.

Et sans parler de la perte des emplois de service, comme laquais de ces messieurs de la City, puisque les GiBi avaient largement misé là dessus...

Bref un truc un peu plus complexe que tous les scenarii à  2 balles vendus par les Brexiteurs et dans lequel la notion de Baroud d'honneur de la dignité ouvrière n'est probablement pas le primum movens :dry:

+10, rien à rajouter

Modifié par rogue0
EDIT : Plussoiement
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J'ignore s'il faut vraiment y voir une méthaphore probante en matière de Brexit, mais le Telegraph, à côté des auto-justifications lourdissimes de Boris Johson...

Citation

The EU are treating us with naked contempt - we must abandon this surrender of our country
L'UE nous traite avec un mépris non-dissimulé - nous devons abandonner cette reddition de notre pays...

[je n'ai pas accès à la suite, mais je pense déjà avoir déjà l'essentiel de la réflexion du grand homme]

... nous narre une histoire d'abandon et de génuflexion  d'une autre nature :

Citation

A mother-of-four left paralysed after being “catapulted” from her bed while having sex is suing the manufacturer for seven-figure damages at the High Court.

[c'est ce qu'on appelle du putaclicclac]

 

Il y a 11 heures, rogue0 a dit :

Plussoiement pour le plaisir de voir des avis construits et réfléchis.
J'adore le forum

Pareil. Alors, votre avis ?

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20 hours ago, rogue0 said:

Il n'y a pas eu le même phénomène en UK ? 

A ma connaissance dans ce volume et cette intensité oui.

Il faut dire que les états et le patronats de ces pays - République d'Irlande et Royaume-Unis - ... étaient - et le sont toujours plus ou moins - particulièrement laxiste quand il s'agit de s'approvisionner en main d’œuvre bon marché.

L’Allemagne a été une bonne cliente en main d’œuvre étrangère, avec sa bonne croissance et sa population active qui baisse ca se passe relativement bien. De plus de nombreux polonais de l'ouest sont des anciens allemands - charcutage frontalier oblige - ... ça aide, d'autant qu'il parle allemand souvent comme langue maternelle.

https://www.persee.fr/doc/homig_1142-852x_1992_num_1155_1_1844

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Quote

Brexit: mobilisation massive à Londres pour réclamer un second référendum

Plus d'un demi-million de personnes ont bruyamment participé à "la plus grande manifestation sur le Brexit", selon les organisateurs, samedi à Londres, pour réclamer un référendum sur l'accord final, encore négocié entre Londres et Bruxelles à cinq mois de l'échéance.

Il s'agit aussi du "plus important rassemblement" depuis la manifestation contre la guerre en Irak qui avait réuni un million de personnes en 2003 dans la capitale britannique, s'est réjoui "People's Vote" (Le vote du peuple) dans un communiqué.

Selon ce mouvement militant pour un "vote populaire" et réunissant plusieurs associations europhiles, quelque 570.000 personnes ont répondu à son appel à manifester. Interrogée par l'AFP, la police britannique n'a pas communiqué de chiffre de son côté.

Sous un doux soleil automnal, la foule compacte s'est rassemblée dans l'après-midi devant le Parlement britannique et dans les rues alentours, agitant de nombreux drapeaux européens, après avoir parcouru le centre de Londres et traversé le quartier des ministères en soufflant avec enthousiasme dans des sifflets.

"Ca ressemble à une fête", a confié Lucy Dogget, 23 ans, une étudiante de Liverpool, à l'AFP. "Mais cela pourrait bien être la dernière avant l'extinction des feux", avec le Brexit prévu le 29 mars 2019, a-t-elle ajouté.

- "Restons ensemble" -

Sur les pancartes s'affichaient des slogans contre la sortie de l'UE ou moquant l'incapacité de la Première ministre conservatrice Theresa May à négocier un accord de divorce avec Bruxelles, comme "Arrêtez le Brexit", "Le Brexit est mauvais", "Restons ensemble" ou encore "J'ai 16 ans et le Brexit a volé mon avenir".

Parmi les manifestants, venus des quatre coins du pays et amenés par plus de 150 cars, se trouvaient aussi de nombreux citoyens européens, représentés notamment par "The3Million", un groupe de pression défendant les intérêts des près de 4 millions d'Européens au Royaume-Uni.

En juin, environ 100.000 personnes s'étaient rassemblées à Londres lors du dernier défilé de ce genre, et les organisateurs espéraient bien dépasser ce nombre. Ils estiment que les Britanniques, qui se sont prononcés à 52% en faveur de la sortie de l'UE lors du référendum du 23 juin 2016, auraient voté différemment s'ils avaient eu conscience des réels enjeux du Brexit.

"Je pense que les gens ont été trompés de plusieurs manières", a estimé l'entrepreneur Peter Hancock, interrogé par l'AFP alors qu'il nouait un drapeau de l'UE, étoiles jaunes sur fond bleu, autour du cou de son grand chien de berger George.

"Nous voulons rester européens", a ajouté sa femme Julie, en fauteuil roulant. "Nous ne voyons pas du tout les bénéfices d'un retrait".

- May inflexible -

L'idée d'un nouveau référendum a gagné en popularité ces derniers mois au Royaume-Uni et des personnalités politiques de tous bords la soutiennent, notamment l'ex-Premier ministre Tony Blair.

Mais ce rassemblement risque peu de convaincre Theresa May, fermement opposée à cette idée. "Il n'y aura pas de second référendum. Les gens ont voté", a déclaré la cheffe de gouvernement mercredi, déterminée à "mettre en oeuvre" le résultat du référendum.

De leur côté, les organisateurs soulignent qu'à quelques mois du Brexit, les négociations entre Londres et Bruxelles bloquent toujours, en particulier sur la question de la frontière sur l'île d'Irlande et que l'incertitude demeure sur la façon dont le Royaume-Uni quittera l'UE.

Plus de 100.000 cartes postales dénonçant le Brexit comme "un foutoir" et affichant des messages des manifestants seront remises la semaine prochaine à la chambre des Communes.

"Il est temps que nous reprenions le contrôle", a lancé à la foule le maire travailliste de Londres, Sadiq Khan, qui a défilé à l'avant du cortège parmi de nombreux jeunes.

"Il est clair que nous sommes les plus nombreux", a déclaré sur l'estrade la députée conservatrice pro-UE Anna Soubry.

Dans un message vidéo, la Première ministre écossaise Nicolas Sturgeon a apporté son soutien à l'organisation d'un second référendum, rappelant que les 35 députés du SNP (parti indépendantiste écossais) à Westminster voteraient pour si la question leur était posée.


(©AFP / (20 octobre 2018 17h36)

 

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il y a 44 minutes, g4lly a dit :

Il s'agit aussi du "plus important rassemblement" depuis la manifestation contre la guerre en Irak qui avait réuni un million de personnes en 2003 dans la capitale britannique, s'est réjoui "People's Vote" (Le vote du peuple) dans un communiqué.

Donc, ils se réjouissent d'avoir a peine atteint la moitié de la force d'un rassemblement qui avait échoué ?

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il faudrait qu'ils soient beaucoup plus nombreux,  le gouvernement à dit non,   mais ca fait réfléchir. si ils arrivaient à être plus d'1 million, ca pourrait infléchir à reformuler vu qu'ils n'avaient pas mesurer  tous les impacts d'une telle décision, maintenant ils ont tous une opinion et savent qu'est ce qu'ils les attendent si ils partent ou si ils restent en  toute connaissance de cause. un leave la question est réglée, un remain,  ils restent. 

.

Modifié par zx
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Brexit : la crainte de nouvelles violences à la frontière entre l'Irlande et le Royaume-Uni

https://fr.yahoo.com/news/brexit-crainte-nouvelles-violences-à-083808185.html

 

La frontière entre l'Irlande et l'Irlande du Nord est ouverte depuis vingt ans, mais le Brexit pourrait rétablir une frontière physique. Le Premier ministre irlandais a expliqué qu'on pourrait assister à un retour à la violence.

Après 20 ans de paix, le Brexit pourrait-il ouvrir la voie à un sursaut de violence en Irlande du Nord ? Il y a quelques jours, lors du sommet européen de Bruxelles, le Premier ministre irlandais Leo Varadkar est allé dans ce sens.

Il a expliqué à ses 26 homologues européens que si une frontière physique entre son pays et l'Irlande du Nord, qui fait partie du Royaume-Uni, était la conséquence d'un retrait britannique de l'Union européenne sans accord, un retour à la violence était une possibilité.

Les négociations sur les conditions du Brexit bloquent en effet sur la question de cette délimitation, appelée à devenir la seule séparation terrestre entre l'UE et le Royaume-Uni après la date prévue du 29 mars 2019.

Une poudrière de violence pendant 30 ans de conflit

Londres comme Bruxelles veulent éviter le rétablissement d'une frontière physique dans l'île afin de préserver l'Accord de paix du Vendredi Saint qui avait mis fin, en 1998, à 30 ans de conflit sanglant entre unionistes majoritairement protestants et républicains catholiques en Irlande du Nord.

Mais leurs points du vue sur la manière d'y parvenir sont restés irréconciliables lors du sommet européen des 17 et 18 octobre à Bruxelles, qui était présenté comme décisif.

>> À lire : Absence de percée sur le Brexit au sommet européen de Bruxelles

La solution proposée par l'UE prévoit de maintenir l'Irlande du Nord dans l'union douanière et le marché unique, si aucune autre solution n'est trouvée. Londres propose que l'ensemble du Royaume-Uni reste aligné sur les règles douanières de l'Union européenne jusqu'à la signature d'un accord de libre-échange plus large.

L'Irlande du Nord a voté à 56 % en faveur du maintien du Royaume-Uni au sein de l'UE lors du référendum du 23 juin 2016, à contre-courant du vote majoritaire (52 %) de l'ensemble des Britanniques, en faveur du Brexit. Dans cette province, les résultats ont été largement influencés par cette question de la frontière, selon des analystes politiques, véritable poudrière de violence durant les trois décennies de conflit.

Avec AFP et Reuters

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il y a 3 minutes, Ciders a dit :

MOUHAHAHAHA. Pardon.

https://www.lepoint.fr/europe/sir-dyson-un-hard-brexiter-qui-garde-le-sens-des-affaires-23-10-2018-2265166_2626.php

En gros, je soutiens le Brexit mais j'implante mes nouvelles usines à Singapour.

 

L’article est quand même très orienté, pour ne pas dire plus.

Si effectivement il s’agira bien de sa 1er usine de production d’un véhicule électrique, Singapour héberge cependant déjà 3 autres usines de production de Dyson pour alimenter les marchés asiatiques de ses autres produits, et ça ne date pas du Brexit.

 

« Nous » , ça nous arrange de raconter l’histoire sous cet angle, mais c’est un peu mesquin. Jim Rowan, actuel dirigeant de Dyson, a notamment déclaré que le choix stratégique de Singapour se justifie par la proximité des marchés en forte croissance, des chaines d'approvisionnement, et de la présence de main-d'œuvre qualifiée. « C’est donc le bon endroit pour fabriquer des machines de haute qualité, chargées de technologies, et le bon endroit pour fabriquer notre véhicule électrique. ».

Bref, quitte à critiquer, critiquons la mondialisation d’avoir ce genre d’effets délétères bien connus.

Et entre nous, si les industriels soutiennent le Brexit, c’est pour pouvoir en profiter. Quand celui-ci sera effectif et que les premiers impacts se feront sentir sur le marché de l’emploi et la législation, alors ils abuseront de ces nouvelles possibilités. Mais en attendant, ils continuent comme avant.

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à l’instant, Ciders a dit :

Je trouve cependant particulièrement ironique de critiquer la mondialisation, de dire de l'UE qu'elle est la mère de tous les vices de l'économie britannique, de s'afficher en grand défenseur des travailleurs britanniques pour justement faire exactement la même chose que les mondialisateurs honnis. Il n'y a donc aucune main d'oeuvre qualifiée, aucun environnement favorable au R-U pour devoir aller à Singapour, le tout avec le sourire ?

Allons, allons. En langage familier, on appelle ça se foutre de la gueule du monde.

Tu veux dire que les autres pays européens sont vierge e tous crimes?

Rappele moi qui vantaient l'ouverture des frontière et qui renvoient chez les italiens, en plus de mentir sur un accord....

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il y a 1 minute, kotai a dit :

Tu veux dire que les autres pays européens sont vierge e tous crimes?

Rappele moi qui vantaient l'ouverture des frontière et qui renvoient chez les italiens, en plus de mentir sur un accord....

Oui oui, on sait que tu es populiste, anti-européen primaire et passablement troll sur les bords. Pas la peine de le rappeler en permanence.

En attendant, où sont Farage, Johnson et les milliardaires qui ont soutenu le Brexit et argué de l'existence de plans ? Hum ?

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à l’instant, Ciders a dit :

Oui oui, on sait que tu es populiste, anti-européen primaire et passablement troll sur les bords. Pas la peine de le rappeler en permanence.

En attendant, où sont Farage, Johnson et les milliardaires qui ont soutenu le Brexit et argué de l'existence de plans ? Hum ?

Ils se sont barrés, faudrait les foutres au piloris.

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Il y a 3 heures, true_cricket a dit :

Ils se sont barrés car ils n'avaient pas de plan. Comme les adeptes du "non" au référendum de 2005. C'était juste de la com' basée sur du vent quand aux solutions proposées.

Je plussoie avec un bémol : Johnson est toujours là, non pas au gouvernement mais dans l'une des factions internes au parti majoritaire, et il fait tout pour obtenir - enfin ! l'unique chose qui l'intéresse, non pas le Brexit, ni la fortune ni la gloire, non : le fauteuil de Theresa May, cette  sal..e (qui le lui a fauché à cause de cette lopette de Gove) !

Le parti conservateur est a priori déchiré en environ 3 :

  • les crabes-tambours, durs sincères ("tabloïds : stimulants anxiogènes apparus dans les années 70") ou pas (Rees-Mog a déjà pris des dispositions pour profiter d'une éventuelle débâcle en cas de brexit dur ; maintenant il s'agit que ça arrive, il y a du pognon à traire) ; travaillent en lacet.
  • les bulots-lopettes : cramponnés sur les manettes, petite surface de contrôle et buée dans l'cockpit. Guettent une fenêtre d’atterrissage pour un brexit sans crash ; tout sur le palonnier.
  • les huitres-molles : trop diploïdes pour renier leur consanguinité financière, toujours attachés à la City, peinent à retomber sur leur pieds. Good lord! Comment la marée pourrait-elle baisser quand la mer monte ? Ne savent pas trop quoi faire de la manette des gazs.
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Il y a 7 heures, TarpTent a dit :

Et entre nous, si les industriels soutiennent le Brexit, c’est pour pouvoir en profiter. Quand celui-ci sera effectif et que les premiers impacts se feront sentir sur le marché de l’emploi et la législation, alors ils abuseront de ces nouvelles possibilités. Mais en attendant, ils continuent comme avant.

La "Chine" à portée de Manche : produire avec une main d'oeuvre sous payée en économisant  sur les les porte conteneurs... 

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Il y a 8 heures, Ciders a dit :

En attendant, où sont Farage, Johnson et les milliardaires qui ont soutenu le Brexit et argué de l'existence de plans ? Hum ?

- Les milliardaires je n'en sais rien, je ne les connais pas... même pas leurs noms :happy: et tu ne m'aides pas

- L'objectif de la vie politique de Nigel Farage était de sortir son pays de l'UE. Cet objectif atteint, il est retourné à la vie civile

- Boris Johnson reste ce qu'il est depuis longtemps : l'un des chefs de courant et leaders d'opinion du parti conservateur

 

 

Il y a 8 heures, kotai a dit :

Ils se sont barrés, faudrait les foutres au piloris.

Je ne crois pas que prendre sa retraite de sa vie politique, une fois que l'objectif de cette vie politique a été atteint, soit une raison suffisante pour "foutre au pilori" qui que ce soit.

Tous les responsables politiques ne s'accrochent pas à leurs postes comme des huîtres. Certains cherchent à atteindre un objectif qu'ils croient servir le bien de leur pays, une fois celui-ci atteint ils ne s'accrochent pas longtemps au poste. C'est le cas notamment de personnes de conviction qui n'ont par ailleurs pas la vocation d'un politicien professionnel.

 

Citation

Nigel Farage, leader de l'UKIP, a à son tour pris la parole en rappelant aux députés européens qu'il menait la campagne du Brexit depuis maintenant 17 ans.

"Quand je suis arrivé ici il y a 17 ans et que j'ai dit que je voulais mener une campagne pour la sortie du Royaume-Uni de l'UE, vous m'avez ris au visage. Je constate que vous riez moins aujourd'hui, n'est-ce pas?" a dit le leader de l'UKIP.

"Aucun d'entre vous n'a jamais occupé de véritable emploi dans vos vies ou travaillé dans une entreprise ou dans le commerce, ni même crée un seul emploi", a-t-il ajouté.

Ça, c'était le mot de la fin. :happy:

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https://www.ouest-france.fr/europe/grande-bretagne/brexit/brexit-michel-barnier-dement-la-conclusion-d-un-accord-sur-les-services-financiers-6047334 (1er novembre 2018)

Le quotidien The Times a annoncé dans ses colonnes ce jeudi un accord sur les services financiers visant à maintenir l'accès britannique au marché européen après le Brexit. Le négociateur en chef de l'Union européenne, Michel Barnier, dément sur son compte Twitter.

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  • 2 weeks later...

Johnson démissionne du gouvernement May

2018-11-09t160049z_934206636_rc184f712e8

Non, vous n'avez pas loupé les news sur le retour du Boris dans le gouvernement de May et sur son régime miracle

C'est son frère Jo Johnson, secrétaire d’Etat britannique aux Transports, qui démissionne. Il était contre le brexit. Il estime que l'accord en cours de négociation est mauvais pour l'UK et ne correspond pas à ce qui a été promis aux anglais qui ont voté pour le brexit. Il voudrait que le deal de May soit validé (ou plutôt invalidé) par un second referendum plutôt que par le parlement.

http://www.rfi.fr/europe/20181109-royaume-uni-jo-johnson-frere-boris-demissionne-gouvernement-may

https://www.bbc.com/news/uk-politics-46162114

 

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On attendra quand même d’en savoir plus, mais il semblerait qu’un accord « technique » ait été conclu entre le Royaume-Uni et l'union européenne, et qui résoudrait notamment le cas de la frontière irlandaise.

« Il sera examiné [demain] mercredi en conseil des ministres à Londres »

https://www.laprovence.com/actu/en-direct/5241140/brexit-un-accord-technique-conclu-qui-sera-etudie-mercredi-a-londres.html

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Il y a 4 heures, TarpTent a dit :

On attendra quand même d’en savoir plus, mais il semblerait qu’un accord « technique » ait été conclu entre le Royaume-Uni et l'union européenne, et qui résoudrait notamment le cas de la frontière irlandaise.

« Il sera examiné [demain] mercredi en conseil des ministres à Londres »

https://www.laprovence.com/actu/en-direct/5241140/brexit-un-accord-technique-conclu-qui-sera-etudie-mercredi-a-londres.html

L'accord a bien été finalisé.

May est maintenant engagée dans une Blitzkrieg pour tenter d'imposer l'accord à son Cabinet - espérant le moins possible de démissions - dans les 24 heures, avant une campagne plus longue pour tenter de le faire avaliser par le Parlement en décembre.

C'est pas gagné d'avance... Voir par exemple ce bon point de situation en accès libre sur le site du Guardian.

Je continue à penser que c'est le No Deal qui l'emportera. Je m'attends à ce que l'accord de May soit fusillé au Parlement.

Mais on ne peut tout à fait exclure que May arrive à gagner son pari.

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