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On prend les paris, les british quittent,ou pas, l'Europe?  

82 membres ont voté

  1. 1. pensez-vous que les brits vont quitter, ou pas, l'Union?

    • Ils se dégonflent et restent dans l'Europe.
    • Ils ont des "cojones" - des bollocks en fait - et quittent l'Europe.

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Messages recommandés

Les banques d'investissement vont devoir fragmenter leur présence sur le continent, ce qui leur coûtera plus de 50 milliards de livres, selon un rapport d'Eurogroup.
 

https://www.lesechos.fr/finance-marches/banque-assurances/030793543360-la-rupture-avec-londres-coutera-cher-aux-banques-dinvestissement-2126233.php

Les banques d'investissement vont devoir fragmenter leur présence sur le continent, ce qui leur coûtera plus de 50 milliards de livres, selon un rapport d'Eurogroup.

Mieux vaudrait que les banques d'investissement concentrent leurs efforts sur une seule capitale à l'heure du Brexit. D'après les scénarios étudiés par Eurogroup, ménager les pouvoirs publics de chaque pays de l'Union, multiplier les implantations sur le continent et compenser les transactions en euro en dehors de la Grande-Bretagne, sont autant de contraintes qui pourraient leur coûter plus de 50 milliards de livres à injecter dans les prochaines années.

C'est plus que ce que ces établissements londoniens génèrent de revenus en un an (44 milliards de livres). Des ressources qui vont de surcroît se réduire de 20 à 30 % après la rupture avec Londres, selon le cabinet.

Ce dernier se fonde sur l'extrapolation de données confiées par des établissements de la zone. Dans le détail, il estime entre 10 et 15 milliards de livres les  charges supplémentaires induites par le renforcement opérationnel de bureaux fragmentés sur le continent qui feront doublon avec Londres.

La rupture avec Londres coûtera cher aux banques d'investissement

 

LES CHIFFRES CLEFS

les charges supplémentaires induites par le renforcement opérationnel de bureaux fragmentés sur le continent

Le coût pour les banques du transfert de la compensation en Euro vers le vieux Continent.

Le modèle des succursales a vécu

Tant au sein de la capitale anglaise que dans l'Union, les banques étrangères se sont toujours développées en investissant a minima dans leurs structures pour réduire leurs coûts. A l'image de BNP Paribas présent depuis 150 ans au Royaume-Uni et JP Morgan qui exerce depuis une centaine d'années place Vendôme à Paris, la plupart ont favorisé l'intervention locale sous le statut de succursale plutôt que celui de filiale de plein exercice.

Ce modèle semble cependant avoir vécu. Le régulateur britannique (la FCA) envisage d'exiger des banques étrangères actives outre-Manche de créer de vraies entités afin d'en avoir la pleine supervision. Dans la même logique, la Banque centrale européenne n'acceptera aucune coquille vide sur le Vieux Continent.

Le transfert de la compensation, un coût à 40 milliards de livres

Cependant, le gros des coûts viendra surtout de la volonté de Bruxelles de rapatrier en Europe la compensation des transactions en euro, aujourd'hui massivement traitées à Londres. Dans ce cas, les banques devront injecter jusqu'à 40 milliards de livres dans leurs infrastructures, selon Eurogroup.

C'est 40 à 60 % de plus que le collatéral actuellement mis en place (le montant de capital et d'actifs mis en place pour sécuriser les transactions), qui s'élève à 65 milliards de livres. Et c'est peu ou prou le double du surcoût estimé mi octobre par  Xavier Rolet, le patron de la Bourse de Londres, pour s'opposer au projet de Bruxelles.

 

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Il y a 8 heures, zx a dit :

Les banques d'investissement vont devoir fragmenter leur présence sur le continent, ce qui leur coûtera plus de 50 milliards de livres, selon un rapport d'Eurogroup.
 

https://www.lesechos.fr/finance-marches/banque-assurances/030793543360-la-rupture-avec-londres-coutera-cher-aux-banques-dinvestissement-2126233.php

 

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Les banques d'investissement vont devoir fragmenter leur présence sur le continent, ce qui leur coûtera plus de 50 milliards de livres, selon un rapport d'Eurogroup.

Mieux vaudrait que les banques d'investissement concentrent leurs efforts sur une seule capitale à l'heure du Brexit. D'après les scénarios étudiés par Eurogroup, ménager les pouvoirs publics de chaque pays de l'Union, multiplier les implantations sur le continent et compenser les transactions en euro en dehors de la Grande-Bretagne, sont autant de contraintes qui pourraient leur coûter plus de 50 milliards de livres à injecter dans les prochaines années.

C'est plus que ce que ces établissements londoniens génèrent de revenus en un an (44 milliards de livres). Des ressources qui vont de surcroît se réduire de 20 à 30 % après la rupture avec Londres, selon le cabinet.

Ce dernier se fonde sur l'extrapolation de données confiées par des établissements de la zone. Dans le détail, il estime entre 10 et 15 milliards de livres les  charges supplémentaires induites par le renforcement opérationnel de bureaux fragmentés sur le continent qui feront doublon avec Londres.

La rupture avec Londres coûtera cher aux banques d'investissement

 

LES CHIFFRES CLEFS

les charges supplémentaires induites par le renforcement opérationnel de bureaux fragmentés sur le continent

Le coût pour les banques du transfert de la compensation en Euro vers le vieux Continent.

Le modèle des succursales a vécu

Tant au sein de la capitale anglaise que dans l'Union, les banques étrangères se sont toujours développées en investissant a minima dans leurs structures pour réduire leurs coûts. A l'image de BNP Paribas présent depuis 150 ans au Royaume-Uni et JP Morgan qui exerce depuis une centaine d'années place Vendôme à Paris, la plupart ont favorisé l'intervention locale sous le statut de succursale plutôt que celui de filiale de plein exercice.

Ce modèle semble cependant avoir vécu. Le régulateur britannique (la FCA) envisage d'exiger des banques étrangères actives outre-Manche de créer de vraies entités afin d'en avoir la pleine supervision. Dans la même logique, la Banque centrale européenne n'acceptera aucune coquille vide sur le Vieux Continent.

Le transfert de la compensation, un coût à 40 milliards de livres

Cependant, le gros des coûts viendra surtout de la volonté de Bruxelles de rapatrier en Europe la compensation des transactions en euro, aujourd'hui massivement traitées à Londres. Dans ce cas, les banques devront injecter jusqu'à 40 milliards de livres dans leurs infrastructures, selon Eurogroup.

C'est 40 à 60 % de plus que le collatéral actuellement mis en place (le montant de capital et d'actifs mis en place pour sécuriser les transactions), qui s'élève à 65 milliards de livres. Et c'est peu ou prou le double du surcoût estimé mi octobre par  Xavier Rolet, le patron de la Bourse de Londres, pour s'opposer au projet de Bruxelles.

 

 

 

Excellente stimulation économique tout ça : qu'ils investissent donc...

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La campagne pro-Brexit financée de manière occulte

Les négociations entre Londres et Bruxelles sont toujours dans l'impasse, un système de financement occulte de la campagne en faveur du Brexit a été mis au jour.

http://www.lepoint.fr/monde/la-campagne-pro-brexit-financee-de-maniere-occulte-01-11-2017-2169057_24.php

À en croire le député travailliste Ben Bradshaw, le site ultranationaliste américain Breitbart a indirectement financé la campagne menée par le parti europhobe et populiste Ukip lors du référendum du 23 juin 2016 sur le largage des amarres avec l'Union européenne. Selon le député du Labour, deux membres de l'état-major de l'Ukip, qui travaillaient soi-disant à titre gracieux, ont en fait été payés par Breitbart, un média proche de l'extrême droite américaine.

À l'époque de la campagne référendaire, le président exécutif de Breitbart, Stephen Bannon, était très proche du patron de l'Ukip, Nigel Farage. Considérant la formation xénophobe, alors en pleine ascension, comme l'équivalent britannique de son Tea Party, cet ancien conseiller de Donald Trump avait créé une antenne de Breitbart à Londres, en 2014. C'est par son truchement qu'auraient transité les fonds américains. Exclu du courant pro-Leave officiel, qui regroupait des anti-européens modérés, de droite comme de gauche, Farage avait créé son propre courant, LeaveEU.

Proche de Trump

Après la consultation, Farage avait publiquement déclaré que Breitbart avait joué un rôle « significatif » dans le succès du camp du Brexit. Pour sa part, Bannon avait été l'un des architectes de la victoire de Donald Trump, ce qui lui avait valu d'être nommé conseiller stratégique de la Maison-Blanche. Il avait démissionné de son poste en août 2017 pour reprendre du service à la tête de Breitbart.

Grâce à Bannon, Nigel Farage avait eu l'honneur de se faire photographier en compagnie du président élu, le 14 novembre 2016, dans le hall de la Trump Tower de New York. Il était accompagné du financier britannique Arron Banks, le principal pourvoyeur de fonds de l'Ukip lors de la consultation. Et c'est là où le bât blesse. En effet, Banks est dans le collimateur d'Open Democracy, organisme œuvrant à la transparence de la vie publique d'outre-Manche. Dans un rapport, l'ONG dénonce l'utilisation par l'intéressé de fonds à la limite de la légalité pour soutenir Farage lors de la campagne référendaire. La fortune de l'entrepreneur établi à Bristol est totalement opaque. En effet, son pécule est caché dans des paradis fiscaux – île de Man, îles Vierges britanniques, Belize et Gibraltar... Pour brouiller les pistes, les fonds de Banks à destination de l'Ukip auraient transité via le parti unioniste démocratique nord-irlandais, virulemment anti-européen.

Fonds étrangers

Breitbart et Banks démentent les faits qui leur sont reprochés. La législation électorale britannique interdit le financement de campagnes électorales par des fonds étrangers. Or, Breitbart est une entité américaine. Quant aux zones off shore que sont Man, les îles Vierges et Gibraltar, où sont immatriculées la plupart des sociétés de Banks, elles sont totalement autonomes du gouvernement de Londres en matière financière. Ces territoires ne dépendent pas de la Banque d'Angleterre en matière de contrôle des flux d'argent. Ex-colonie britannique, Belize est un État indépendant. C'est pourquoi Bradshaw a demandé à la Première ministre, Theresa May, l'ouverture d'une enquête officielle sur les allégations visant les « parrains » de l'Ukip.

Il est peu probable que Mme May accepte les recommandations du parlementaire travailliste. En effet, les plus ultras des députés conservateurs voient derrière ces révélations, une nouvelle preuve du refus du camp du maintien dans l'UE de reconnaître le verdict populaire. Par ailleurs, après les élections ratées du 8 juin 2017, la survie du gouvernement conservateur dépend du soutien des députés protestants nord-irlandais. Quant aux paradis fiscaux de la Couronne, ils devraient jouer un rôle important à l'issue du Brexit pour compenser le transfert d'activités financières de la City à Francfort, Paris, Luxembourg ou Dublin.

 

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Imaginez un peu,  le referendum sur le brexit invalidé pour fraude,  retour case départ, c'est qu'ils seraient capable de nous faire le coup, ces perfides anglois  :tongue:

Enquête en Grande-Bretagne sur un des financiers du camp du Brexit

https://fr.yahoo.com/news/enquête-en-grande-bretagne-sur-un-des-financiers-165757151--sector.html

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Il y a 2 heures, zx a dit :

Imaginez un peu,  le referendum sur le brexit invalidé pour fraude,  retour case départ, c'est qu'ils seraient capable de nous faire le coup, ces perfides anglois  :tongue:

Enquête en Grande-Bretagne sur un des financiers du camp du Brexit

https://fr.yahoo.com/news/enquête-en-grande-bretagne-sur-un-des-financiers-165757151--sector.html

Londres a activé l'article 50, que les anglais invalident le référendum ou pas n'y changera plus rien. Le compte à rebours se finira en 2019...

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La GB va sans doute devoir lâcher du lest sur le Brexit, au moins le chèque du divorce, pour débloquer les négociations (qui continuent à partir de lundi)

Davis David, le négociateur pour le Brexit, l'a annoncé devant son parlement, déclenchant la fureur des brexiters.

https://www.bloomberg.com/news/articles/2017-10-31/davis-says-brexit-talks-to-resume-in-second-half-of-next-week-j9fu5vvo

https://www.express.co.uk/news/politics/873701/Brexit-talks-David-Davis-EU-divorce-deal-House-of-Lords

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Wilbur Ross, le ministre US du commerce, était récemment en visite à Londres.
Ce n'était pas que pour le plaisir (ou se défendre des accusations des Paradise papers), mais aussi pour évaluer les effets du Brexit.

Selon le Financial Times et le Guardian, il a assisté à un déjeuner à huis-clos, avec les plus grandes banques présentes à Londres (dont JPMorgan Chase, Goldman Sachs and HSBC).
Elles auraient communiqué leurs inquiétudes quand à l'incertitude et au blocage des négociations du Brexit.

Selon elles, le point de non retour pour les banques est proche, avec, à court terme,  le transfert de 10 000 emplois de la City vers le continent ou USA (et jusqu'à 75 000 à long terme), si elles n'ont pas plus de visibilité sur la suite (deadline dans 18 mois si pas d'accord).

Les ricains n'ont pas été tendres avec les espoirs britanniques de futurs traités de libre-échange compensant le Brexit.
Ils demandent en pré-requis de ces accord, de faire sauter pardon, aligner les normes de sécurité alimentaires GB sur les "normes" américaines d'abord (dont les fameux poulets au chlore, point symbolique)

Sources

https://www.ft.com/content/2dec32be-c3e3-11e7-b2bb-322b2cb39656 (paywall)

https://www.theguardian.com/politics/2017/nov/07/wall-street-banks-trump-wilbur-ross-brexit

accords avec les US et poulet au chlore...

https://www.theguardian.com/business/2017/nov/06/trump-ross-says-uk-us-trade-deal-eu-brexit-chlorinated-chicken

Révélation

“A group of large financial institutions with big London operations, led by Wall Street’s pre-eminent banks, have told the US commerce secretary that Britain’s unstable government and slow progress in Brexit planning may force them to start moving thousands of jobs out of City in the near future. The warnings came on Friday during a closed-door meeting between executives from the banks, which included JPMorgan Chase, Goldman Sachs and HSBC, and Wilbur Ross during the US commerce secretary’s visit to London, according to people briefed on the discussions.

 

Those briefed on the talks, which were held over lunch at Wiltons restaurant in London’s exclusive St James’s district, said the banks were particularly concerned by the failure of Britain to provide clarity over whether it will secure a transition deal to smooth the changing regulatory regime after the UK leaves the EU. They warned they had even less clarity over what a final Brexit deal will look like. Absent clarity from the government about post-Brexit plans, the executives said jobs would move back to the US or to other European capitals as banks begin to enact their worst-case contingency plans, the sources said. ”There was broad discussion around the lack of progress in the Brexit talks and some discussion around various political scenarios,” one person briefed on the talks said.

US banks have been among the loudest critics of Britain’s decision to leave the EU since last year’s referendum, with Goldman boss Lloyd Blankfein recently tweeting he anticipated “spending a lot more time” in Frankfurt post-Brexit. But the recent warnings in private meetings with Mr Ross — as well as similar soundings taken by the City of London Corporation, the capital’s local government, on a fact-finding mission to Wall Street and Washington — included a level of urgency not seen in previous criticisms, those present said. The banks warned Mr Ross that a “point of no return” is fast approaching, when they must start moving jobs, capital and infrastructure in order to meet the March 2019 Brexit deadline if no transitional deal is secured.

That’s scant consolation, however, as the banks are believed to have drawn up contingency plans to shift 10,000 jobs out of London in the short-term. This number was confirmed by the Bank of England last week. However, the FT notes a much larger exodus is possible if the government fails to set up a transitional deal as part of Brexit.

Sam Woods, deputy governor (of the Bank of England), said that a longer-term 75,000 job-loss figure cited in a previous report by Oliver Wyman, the consultancy, was “plausible”. Mr Woods also said that a transitional deal was an asset whose value diminished through time, as banks scrambled to get in place for March 2019.

 

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http://www.lemonde.fr/referendum-sur-le-brexit/article/2017/11/10/la-question-irlandaise-menace-de-bloquer-les-negociations-sur-le-brexit_5213165_4872498.html (10 novembre 2017)

Révélation par le quotidien The Telegraph d’un document de la Commission européenne où la République d’Irlande demande que l’Irlande du Nord, demeure dans l’Union douanière.

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il y a 1 minute, christophe 38 a dit :

des clowns qui ne savent pas reflechir à demain.

et, justement, demain, ça ne va pas etre gai pour eux...

quand ils seront redevenus les Polonais de l'Empire, ils pourront, pour survivre, les ramasser, leurs légumes

Perso je pense que la GB n'aurait jamais du entrer dans l'Europe ...En voulant le beurre et l'argent du beurre , les fesses de la crémière ...

Sans oublier que l'entrée de la GB  a aussi influer sur la direction prise par l'Europe au niveau économique avec beaucoup de libéralisme ( cela n'excuse pas non le fait que plus des  dirigeants européens ont aussi voulu plus de libéralisme ...) .Il faut du libéralisme , mais à juste dose , le monde est une histoire d'équilibre .

Donc étant donné leur désir de partir , et bien qu'ils partent ...

Hors de question qu'ils annulent le brexit et reviennent tout piteux en gardant des avantages qu'ils avaient en partant ...

Si l'Europe accepte sa elle perdra toute crédibilité ...

Cela est une affaire anglo-anglaise , qu'ils ce debrouillent tout seul ...

 

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Le ‎11‎/‎11‎/‎2017 à 12:32, Gibbs le Cajun a dit :

 

 

P****g!

C'était le seul grief du Brexit qui pouvait vaguement se défendre ("trop" d'immigrés chez eux (dont Europe de l'Est)).
Et ils retournent leur veste déjà 1 an après ? 

ça se rapproche du niveau de Puigdemont...

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Le 11/11/2017 à 03:02, Gibbs le Cajun a dit :

Perso je pense que la GB n'aurait jamais du entrer dans l'Europe ...En voulant le beurre et l'argent du beurre , les fesses de la crémière ...

Sans oublier que l'entrée de la GB  a aussi influer sur la direction prise par l'Europe au niveau économique avec beaucoup de libéralisme ( cela n'excuse pas non le fait que plus des  dirigeants européens ont aussi voulu plus de libéralisme ...) .Il faut du libéralisme , mais à juste dose , le monde est une histoire d'équilibre .

Donc étant donné leur désir de partir , et bien qu'ils partent ...

Hors de question qu'ils annulent le brexit et reviennent tout piteux en gardant des avantages qu'ils avaient en partant ...

Si l'Europe accepte sa elle perdra toute crédibilité ...

Cela est une affaire anglo-anglaise , qu'ils ce debrouillent tout seul ...

 

Bah tout le monde a fait cela, regarde la Grèce ou la France...

Faut cesser de parler du passer et voir l'avenir....De toute façon l'Europe est un système ultra libéral avec ses polonais et ses nord coréens tartiné avec de la pseudo science tell que l'agriculture biologique sauvera le monde ou le non au nucléaire....Et je rajoute le crachat fait au peuple lors de référendum sur l’Europe et de son ingérence dans les politiques interne...

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il y a une heure, rogue0 a dit :

C'était le seul grief du Brexit qui pouvait vaguement se défendre ("trop" d'immigrés chez eux (dont Europe de l'Est)).
Et ils retournent leur veste déjà 1 an après ? 

Si c'est comme en France avec les marocains (et bien d'autres nationalités allant des croates aux chinois...) on ne parle pas vraiment "d'immigrés" ou de "migrants". Le terme est impropre. Ce sont des saisonniers étrangers qui se retrouvent dans l'impossibilité de travailler au RU à cause des lois sur l'immigration. Oui c'est ballot.
En même temps si les anglais le voulaient ils pourraient contraindre les demandeurs d'emploi à aller bosser à la campagne... Ce serait tout à fait dans le style post-thatchérien qui caractérise l'équivalent de Pole Emploi là-bas...

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Le 11/11/2017 à 13:50, collectionneur a dit :

Fake News :laugh:  Le taux d'approbation du Brexit n'a été que de 57 % :rolleyes: Les fermiers n'ont qu'a offrir des salaires décent...

Oui mais maintenant qu'ils ne vont plus avoir les aides européennes pour ce faire ... Comment dit-on ? La balle dans le pied, C'est çà ? :laugh:

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il y a 47 minutes, Patrick a dit :

Si c'est comme en France avec les marocains (et bien d'autres nationalités allant des croates aux chinois...) on ne parle pas vraiment "d'immigrés" ou de "migrants". Le terme est impropre. Ce sont des saisonniers étrangers qui se retrouvent dans l'impossibilité de travailler au RU à cause des lois sur l'immigration. Oui c'est ballot.
En même temps si les anglais le voulaient ils pourraient contraindre les demandeurs d'emploi à aller bosser à la campagne... Ce serait tout à fait dans le style post-thatchérien qui caractérise l'équivalent de Pole Emploi là-bas...

à voir alors le film Moi, Daniel Blake/I, Daniel Blake

                                                                                       41fOCJd8FtL.jpg

 

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il y a 11 minutes, Shorr kan a dit :

à voir alors le film Moi, Daniel Blake/I, Daniel Blake

                                                                                       41fOCJd8FtL.jpg

 

Faut que je le vois ce film .

Bon j'aime bien les films de Ken Loach , même si il faut aussi prendre un peu de recul .

Mais bon , il touche dans le mille souvent .

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