Aller au contenu
AIR-DEFENSE.NET

[Rafale]


g4lly
 Share

Messages recommandés

Le 29/09/2022 à 10:54, Jarod a dit :

@Deres
C’est les pastilles d’inviolabilitées. 
Elles sont posées par le dernier contrôleur qui a contrôler la soute. Dessus y’a également son visa de contrôleur. Bon il reste pas longtemps dès que l’avion a volé. 
 

Les vis sont peintes sur les avions neufs. Puis au fur et à mesure que les trappes et soutes sont ouvertes la peinture part et n’est pas forcément refaite. D’où les avions français avec les vis apparentés.

Y’a pas de dent de requin ni de matériaux RAM en plus sur les avions exports par rapport aux avions Français. C’est juste que les avions Français ont bcp bcp volés et les dents de requin prennent très cher.
 
Il n’y a que les avions marins qui ont le vide vite en France. Pas les avions de l’armée de l’air, pas jugé nécessaire. 
il y’a un pays export qui l’a pris en revanche il me semble, je ne sais plus lequel. 

Tu m'étonne que ça sert à rien un vide vite sur un Rafale... tu mets les aérofreins et tu enclenches la PC, et tu vide ton réservoir en 5 minutes !

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

il y a 33 minutes, Elemorej a dit :

Je suis totalement d'accord sur le fond de la question, mais avec celle bonus j'aurais tendance à répondre (de manière doigt mouillé vu qu'aucune compétence particulière dans ce domaine) qu'il faudrait peut être se pencher sur une organisation pouvant permettre un renforcement dans un délai bref de nos capacités de production.

Je veux dire par la, si on part du principe que :
- On a un stock actuellement temps de paix
- Nos capacités industrielles sont calibrées temps de paix
- Il est contre productif de mettre énormément d'argent d'un coup dans le monde de l'armement ( de ce que j'ai compris, ça ne fait que grossir l'industrie au détriment de son efficacité, j'ai bon?), mieux vaux lui assurer un flux constant.
- Avoir un énorme stock n'est pas spécialement à notre portée

Alors de base j'en viendrais à la conclusion qu'il serait peut être intéressant de disposer des pièces critiques peu périssables en nombre, du matériel d'assemblage lui aussi critique, ainsi de suite. Le tout pour pouvoir au besoin dans un court préavis avoir une chaine de fabrication permettant une augmentation substantielle de nos capacités de production.

L'idée est totalement débile ou pas? Je répète hein, je suis ingé en ACV donc c'est très loin de mon champ d'expertise.

C'est effectivement ce que j'ai compris des différentes i terventions du ministre.

(Pas seulement avoir plus de stocks de "produits finis", mais aussi plus de stocks de matières premières, composants, outils permettant à  un moment donné de produire rapidement en quantité)

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

il y a 9 minutes, DEFA550 a dit :

Faudrait d'abord exproprier pour construire des dépôts de munitions, et c'est le genre de truc qui prend beaucoup de place... :rolleyes:

Tiens donc, toutes ces bases aériennes qu'on a fermées au cours des 20 dernières années devraient-elles être réouvertes finalement...

  • Haha (+1) 2
Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

il y a 8 minutes, herciv a dit :

C'est quoi des entrées d'air DSI ?

Tu me déçois un peu, là . . . pour une fois que l’acronyme est bien traduit lorsqu'on laisse la souris dessus :biggrin: (Pas taper, hein ! :blush:)

Diverterless Supersonic Inlets, les entrées d'air sans séparateur à couche limite, comme celles du F-35 . . .

Modifié par Obelix38
  • J'aime (+1) 1
  • Haha (+1) 2
  • Upvote (+1) 1
Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

40 minutes ago, cicsers said:

Si Pollux tombe là-dessus la réponse à la question du stock de munitions va être simple :  1 topol. 

Oui, et à raison d'ailleurs.
Je vais cacher ma réponse, le temps qu'on trouve un sujet où déplacer tout ça (j'hésite à en créer un, vu que c'est un peu différent du sujet sur les munitions petits calibres, seul sujet qui me vient à l'esprit, mais qu'on est sur des munitions au sens large ici, et plus sur la production/stockage que sur un de leurs aspects techniques).

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

Il y a 1 heure, Elemorej a dit :

Oui effectivement, faudrait déplacer voir créer.

Par exemple dans économie et défense il y a le sujet Accueil/Général/Economie et défense/Stock, réserve, voie, place et usine stratégique

Ca serait pas mal non? On peut déplacer comment?

C'est bon, c'est déplacé

  • Merci (+1) 3
Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

  • 2 weeks later...
il y a 44 minutes, iborg a dit :

Vous prendrez des toasts avec votre TARAMMA

il y a 32 minutes, Alberas a dit :

Premier radar à équiper le Rafale de série et développé par le groupe Thomson-CSF [devenu depuis Thales] à partir d’une technologie mise en point dans les années 1970 par la société Radant, le RBE2 [Radar à Balayage Électronique 2 plans] à antenne passive [PESA] fut l’un des plus avancés de son temps, non seulement parce que, contrairement à ses prédécesseurs, il combinait la détection air-air avec des fonctions de suivi de terrain, mais aussi en raison de ses performances, grâce à ses calculateurs capables de réaliser jusqu’à un milliard d’opérations par seconde, permettant ainsi la poursuite de quarante cibles et d’en engager huit simultanément.

Puis, le RBE2 a évolué grâce à l’apport des antennes actives [AESA, pour Active Electronically Scanned Array]. Sans trop entrer dans les détails techniques, un tel radar intégre des milliers de capteurs appelé TRM [Transmitter Receiver Module / modules émetteurs-récepteurs], lesquels renforcent à la fois sa fiabilité [grâce à la redondance de ces derniers] et ses performances étant donné qu’il est plus difficilement détectable et moins vulnérable au brouillage électronique tant en disposant d’une portée de détection accrue, y compris pour les cibles à signature radar réduite.

En effet, selon la description qu’en fait Thales, le RBE2 AESA, mis en service en 2012, peut détecter et poursuivre simultanément de « très nombreuses cibles aériennes, vers le bas ou vers le haut, pour le combat rapproché et l’interception à longue portée de nombreuses cibles terrestres ou maritimes, en environnement clair ou brouillé et par tous les temps ». En outre, il permet l’élaboration, en temps réel, de cartes 3 D pour le suivi du terrain et de « cartes radar haute résolution 2D du terrain survolé pour la navigation et la désignation de cibles ». Et avec le missile air-air METEOR longue portée, grâce à sa capacité de détection étendue, il permet au Rafale d’engager des cibles au-delà de la portée visuelle [BVR].

Cependant, le RBE2 AESA aura évidemment un successeur. Et, comme l’a souligné le magazine spécialisé Air Fan, dans son dernier numéro dédié au Rafale F4, la Direction générale de l’armement [DGA] s’y emploie, via le projet scientifique et technique [PST] « TARAMMAA », pour Technologies et architecture radar MLU multivoies à antenne active », lancé dans la continuité des programmes d’études amont [PEA] CARAA [Capacités accrues pour le radar RBE2 à antenne active] et MELBAA [Modes et exploitation large bande pour l’antenne active].

Ce projet TARAMMAA s’intéresse notamment à l’amélioration des performances des modules émetteurs-récepteurs ainsi qu’à une nouvelle architecture logicielle et matérielle. Directeur du programme Rafale au sein de la DGA, l’ingénieur général de l’armement [IGA] Guilhem Reboul explique que l’idée consiste à faire en sorte qu’une « partie de traitement se fasse directement dans l’antenne elle-même et non plus dans de calculateurs dédiés ».

Soit le même fonctionnement que les antennes Spectra.

« C’est très innovant », souligne-t-il. Et de préciser : « La technologie nitrure de gallium [GaN] sera privilégiée pour les modules de l’antenne afin de permettre des fonctions nouvelles comme l’entrelacement de modes air-air et air-sol. Alliés à des capacités de traitement renforcées grâce à des algorithmes et des moyens de calcul de plus en plus performants, ces modules garantiront des portées de détection remarquables et une grande résistance au brouillage », en lien avec le PST « Guerre électronique Aéro 2025, lequel prépare les évolutions Rafale F4 et… Rafale F5.

D’où, d’ailleurs, la priorité donnée par la DGA à la mise sur pied d’une filière française de nitrure de gallium, dans le cadre du programme NIGAMIL [pour « NItrure de Gallium pour applications MILlimétriques »]. En effet, ce matériau sert notamment à à la fabrication de circuits intégrés hautes performances fonctionnant jusqu’à 100 GHz, ce qui permettrait d’améliorer significativement le niveau de puissance, le rendement et donc la compacité des systèmes radars, d’antennes actives ou des systèmes de guerre électronique.

En attendant, explique Air Fan, le Rafale F4.1, en cours de développement, disposera d’un radar RBE2 AESA doté d’un mode GMTI [Ground Moving Target Indicator] pour la détection et la poursuite de cibles au sol [les essais de celui-ci sont d’ailleurs terminés] ainsi qu’un mode SAR [radar à synthèse d’ouverture] amélioré pour l’élaboration de cartes sol radars à très haute résolution. « Pour les équipages, ces évolutions constitueront une spectaculaire avancée opérationnelle ».

Allez allez allez! :bloblaugh:

Quelles excellentes nouvelles.

  • Merci (+1) 3
Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

Citation

le Rafale F4.1, en cours de développement, disposera d’un radar RBE2 AESA doté d’un mode GMTI

J'avoue que l'absence de mode GMTI sur le Rafale m'a toujours étonné, sachant que c'est dispo depuis 30 ans sur F-15E/F-16C/F-18C/E et  depuis 20 ans sur le RDY-2 des 2000-5mk2/9

Est-ce qu'on connait la raison de cette lacune ?

Modifié par Kovy
  • J'aime (+1) 1
Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

Quelqu'un a déjà entendu parlé du "RBE-2 XG" ?

Vu sur Linkedin

Citation

System Engineering Manager - Thales DMS - Elancourt

RAFALE - RBE2_XG Radar Development
PEA AESA NG/TARAMMAA

 

Pour Résumer TARAMMAA

TARAMMAA : Technologies et architecture radar MLU multivoies à antenne active

  • Amélioration des performances des modules émetteurs-récepteurs
    • Modules Gan permettant l’entrelacement de modes air-air et air-sol
    • Meilleure portée de détection
    • Meilleure résistance au brouillage
  • Nouvelle architecture logicielle et matérielle
  • Traitement partiellement fait dans l’antenne
  • Capacités de traitement renforcées (algorithmes et moyens de calcul plus performants)
Modifié par Kovy
  • J'aime (+1) 3
  • Upvote (+1) 1
Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

1 hour ago, herciv said:

TARAMAM c'est çà :

http://www.opex360.com/2022/10/16/le-projet-tarammaa-permettra-au-rafale-f4-de-voir-encore-plus-loin/

 

Premier radar à équiper le Rafale de série et développé par le groupe Thomson-CSF [devenu depuis Thales] à partir d’une technologie mise en point dans les années 1970 par la société Radant, le RBE2 [Radar à Balayage Électronique 2 plans] à antenne passive [PESA] fut l’un des plus avancés de son temps, non seulement parce que, contrairement à ses prédécesseurs, il combinait la détection air-air avec des fonctions de suivi de terrain, mais aussi en raison de ses performances, grâce à ses calculateurs capables de réaliser jusqu’à un milliard d’opérations par seconde, permettant ainsi la poursuite de quarante cibles et d’en engager huit simultanément.

Puis, le RBE2 a évolué grâce à l’apport des antennes actives [AESA, pour Active Electronically Scanned Array]. Sans trop entrer dans les détails techniques, un tel radar intégre des milliers de capteurs appelé TRM [Transmitter Receiver Module / modules émetteurs-récepteurs], lesquels renforcent à la fois sa fiabilité [grâce à la redondance de ces derniers] et ses performances étant donné qu’il est plus difficilement détectable et moins vulnérable au brouillage électronique tant en disposant d’une portée de détection accrue, y compris pour les cibles à signature radar réduite.

En effet, selon la description qu’en fait Thales, le RBE2 AESA, mis en service en 2012, peut détecter et poursuivre simultanément de « très nombreuses cibles aériennes, vers le bas ou vers le haut, pour le combat rapproché et l’interception à longue portée de nombreuses cibles terrestres ou maritimes, en environnement clair ou brouillé et par tous les temps ». En outre, il permet l’élaboration, en temps réel, de cartes 3 D pour le suivi du terrain et de « cartes radar haute résolution 2D du terrain survolé pour la navigation et la désignation de cibles ». Et avec le missile air-air METEOR longue portée, grâce à sa capacité de détection étendue, il permet au Rafale d’engager des cibles au-delà de la portée visuelle [BVR].

Cependant, le RBE2 AESA aura évidemment un successeur. Et, comme l’a souligné le magazine spécialisé Air Fan, dans son dernier numéro dédié au Rafale F4, la Direction générale de l’armement [DGA] s’y emploie, via le projet scientifique et technique [PST] « TARAMMAA », pour Technologies et architecture radar MLU multivoies à antenne active », lancé dans la continuité des programmes d’études amont [PEA] CARAA [Capacités accrues pour le radar RBE2 à antenne active] et MELBAA [Modes et exploitation large bande pour l’antenne active].

Ce projet TARAMMAA s’intéresse notamment à l’amélioration des performances des modules émetteurs-récepteurs ainsi qu’à une nouvelle architecture logicielle et matérielle. Directeur du programme Rafale au sein de la DGA, l’ingénieur général de l’armement [IGA] Guilhem Reboul explique que l’idée consiste à faire en sorte qu’une « partie de traitement se fasse directement dans l’antenne elle-même et non plus dans de calculateurs dédiés ».

« C’est très innovant », souligne-t-il. Et de préciser : « La technologie nitrure de gallium [GaN] sera privilégiée pour les modules de l’antenne afin de permettre des fonctions nouvelles comme l’entrelacement de modes air-air et air-sol. Alliés à des capacités de traitement renforcées grâce à des algorithmes et des moyens de calcul de plus en plus performants, ces modules garantiront des portées de détection remarquables et une grande résistance au brouillage », en lien avec le PST « Guerre électronique Aéro 2025, lequel prépare les évolutions Rafale F4 et… Rafale F5.

D’où, d’ailleurs, la priorité donnée par la DGA à la mise sur pied d’une filière française de nitrure de gallium, dans le cadre du programme NIGAMIL [pour « NItrure de Gallium pour applications MILlimétriques »]. En effet, ce matériau sert notamment à à la fabrication de circuits intégrés hautes performances fonctionnant jusqu’à 100 GHz, ce qui permettrait d’améliorer significativement le niveau de puissance, le rendement et donc la compacité des systèmes radars, d’antennes actives ou des systèmes de guerre électronique.

En attendant, explique Air Fan, le Rafale F4.1, en cours de développement, disposera d’un radar RBE2 AESA doté d’un mode GMTI [Ground Moving Target Indicator] pour la détection et la poursuite de cibles au sol [les essais de celui-ci sont d’ailleurs terminés] ainsi qu’un mode SAR [radar à synthèse d’ouverture] amélioré pour l’élaboration de cartes sol radars à très haute résolution. « Pour les équipages, ces évolutions constitueront une spectaculaire avancée opérationnelle ».

C'est mignon mais ça été posté deux posts au dessus hein

  • Haha (+1) 1
Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

Rejoindre la conversation

Vous pouvez publier maintenant et vous inscrire plus tard. Si vous avez un compte, connectez-vous maintenant pour publier avec votre compte.

Invité
Répondre à ce sujet…

×   Collé en tant que texte enrichi.   Restaurer la mise en forme

  Seulement 75 émoticônes maximum sont autorisées.

×   Votre lien a été automatiquement intégré.   Afficher plutôt comme un lien

×   Votre contenu précédent a été rétabli.   Vider l’éditeur

×   Vous ne pouvez pas directement coller des images. Envoyez-les depuis votre ordinateur ou insérez-les depuis une URL.

 Share

  • Statistiques des membres

    5 967
    Total des membres
    1 749
    Maximum en ligne
    Stevendes
    Membre le plus récent
    Stevendes
    Inscription
  • Statistiques des forums

    21,5k
    Total des sujets
    1,7m
    Total des messages
  • Statistiques des blogs

    4
    Total des blogs
    3
    Total des billets
×
×
  • Créer...