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[Rafale]


g4lly
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Messages recommandés

il y a 33 minutes, ARPA a dit :

C'est pas encore fait.

Le Rafale a déjà 20 ans, à l'époque il y avait les mirage 2000 RDM, RDI et RDY. Il fallait aussi rajouter les M53-5 et P2.

Que les nouveaux standart impliquent de petites modifications structurelles n'est pas forcément choquant. Il faudrait savoir combien coûtera la modernisation. Si on ne modernise pas immédiatement la flotte et qu'on se limite à 2 ou 3 standards (et non une dizaine comme avant avec plusieurs modèles de chasseurs différents qui avaient chacun plusieurs standards) ça restera un énorme progrès.

Qu'une partie de la flotte soit au standard N-1 ne sera pas trop impactant vu qu'on pourra toujours les utiliser pour des missions moins exigeantes comme la PO ou les OPEX africaine.

Il n'y avait plus de RDM il y a 20 ans ;)

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L'armée de l'air reçoit son premier Rafale hyperconnecté au standard F4.1

Révélation

Le premier Rafale au standard F4.1 a été livré par la Direction générale de l'armement (DGA) au Centre d'expertise aérienne militaire. Deux appareils vont servir à l'armée de l'air afin de s'approprier ce nouveau standard et de le mener vers sa mise en service opérationnelle.

Une petite révolution pour l'armée de l'air et de l'espace. Le premier Rafale au standard F4.1 a été livré jeudi par la Direction générale de l'armement (DGA) au Centre d'expertise aérienne militaire (CEAM) sur la base aérienne 118 de Mont-de-Marsan. « Le premier avion que l'on reçoit aujourd'hui fait partie des F3R que l'on a envoyé au Centre d'essais en vol de la Direction générale de l'armement à Istres pour leur transformation logicielle », explique le lieutenant-colonel Guillaume, le commandant en second de l'Escadron de chasse et d'expérimentation (ECE), dans un communiqué publié cette semaine par le CEAM.

En 2019, l'ancienne ministre des Armées Florence Parly avait décidé d'investir 1,9 milliard d'euros dans la modernisation de l'avion de chasse français pour le faire passer au standard F4. Un standard choisi par les Émirats Arabes Unis, qui ont signé en décembre 2021 un contrat pour acquérir 80 Rafale F4. Dassault Aviation attend dès cette année la signature du contrat de la tranches 5 pour 42 Rafale 4.1 (30 prévus initialement + 12 en remplacement des avions vendus à la Croatie,) le nouveau standard des armées françaises (Armée de l'air et Marine nationale).

Un deuxième Rafale F4.1 livré

« D'autres avions tous neufs sortiront directement des chaînes de production de Dassault Aviation et viendront compléter le parc de chasseurs envoyés progressivement à Istres pour leur passage du standard F3R au F4.1 », précise le lieutenant-colonel Guillaume. Selon le CEAM, plusieurs étapes expérimentales attendent cet appareil dans les mois à venir, en s'appuyant sur la réception d'un second Rafale F4.1 d'ici la semaine prochaine. Le CEAM va débutera la première phase d'appropriation de cet appareil, qui mènera à terme à son « adoption » par l'armée de l'air.

« L'objectif est de prononcer cette dernière afin que les aéronefs puissent être utilisés par les pilotes de la 30ème Escadre de chasse, dans le délai le plus court possible », assure le lieutenant-colonel Guillaume. La phase suivante consistera en l'agrément de la première capacité opérationnelle (PCO) du Rafale F4, suivie de l'ultime étape de pleine mise en service opérationnelle (MSO).

Quels apports capacitaires ?

Le standard F4 fait entrer le programme Rafale plus encore dans l'ère de la data. Cette version vise l'amélioration de la connectivité de l'appareil et des modes de travail en réseau associés, aussi bien dans un contexte national qu'interallié. Le Rafale F4.1 constitue une première étape du combat collaboratif connecté multi-plateformes et se présente comme une première brique technologique vers le futur système de combat aérien du futur (SCAF).

"Ce standard F4 est un saut technologique, un saut industriel, un saut stratégique", avait alors fait valoir Florence Parly en janvier 2019. Les apports capacitaires de ce nouveau standard vont accompagner les pilotes de l'armée de l'air aux conflits de haute intensité d'aujourd'hui et de demain. Ils comprennent notamment l'intégration d'un viseur de casque et d'un nouvel armement de 1000 kg, amélioration des conduites de tir air-air et air-sol, du système d'autoprotection et du pod TALIOS.

Cette nouvelle phase de développement du Rafale repose sur quatre principaux piliers : d'abord, une plus grande connectivité pour augmenter la capacité de traitement de données de l'appareil. Ensuite, un armement accru, avec des missiles nouveaux ou rénovés. Le Rafale F4.1 « sera mieux armé, encore, pour viser et vaincre nos adversaires », avait expliqué en 2019 la ministre. Troisième axe de développement : la détection et l'action contre les menaces, notamment avec un radar à antenne active et l'amélioration du système de protection et d'évitement des conduites de tir (SPECTRA). Enfin, la ministre avait souhaité un effort sur la disponibilité et le maintien en condition opérationnelle de l'avion, avec un moteur amélioré ainsi que l'introduction du système de pronostic et d'aide au diagnostic de panne

Futurs standards d'interopérabilité

Outre le standard F4.1 et le post-F4 puis le SCAF, Dassault Aviation travaille également sur le futur de l'aviation de combat. Début février, l'avionneur a organisé avec ses partenaires européens, la réunion de lancement du projet européen EICACS (European Initiative for Collaborative Air Combat Standardisation) dans le cadre d'un contrat de subvention attribué par la Commission Européenne en décembre 2022. La Direction générale de l'industrie de défense et de l'espace de la Commission européenne, a désigné Dassault Aviation comme le coordinateur de ce projet d'études qui rassemble 37 industriels et organismes de recherche issus de 11 pays de l'Union Européenne.

Soutenu par l'Union Européenne à hauteur de 75 millions d'euros sur trois ans dans le cadre du programme 2021 du Fonds Européen de Défense (FED), ce projet vise à définir, dans un cadre européen, les futurs standards d'interopérabilité pour le combat aérien collaboratif. « Il permettra de renforcer la capacité des forces aériennes européennes à conduire leurs missions toujours plus efficacement et à agir en coalitions faisant intervenir aussi bien des systèmes habités que non-habités, des systèmes de combat aérien futurs et des plates-formes existantes ainsi que leurs évolutions », avait expliqué Dassault Aviation dans un communiqué publié début février.

 

Modifié par Picdelamirand-oil
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Article de LAGNEAU sur le standard F5. On a effectivement l'impression que l'accroissement de puissance du M-88 devient une nécessité.

https://www.opex360.com/2023/03/05/le-rafale-f5-sera-un-avion-tres-different-selon-le-chef-detat-major-de-larmee-de-lair-et-de-lespace/

Le Rafale F5 sera un « avion très différent », selon le chef d’état-major de l’armée de l’Air et de l’Espace

PAR LAURENT LAGNEAU · 5 MARS 2023

Étant donné le retard pris dans le programme SCAF [Système de combat aérien du futur] et les aléas qu’il est susceptible de connaître d’ici sa mise en service [à l’horizon 2040, si l’on est très optimiste], la France devra developper un nouveau standard du Rafale afin de garantir la continuité de la composante aéroportée de sa dissuasion nucléaire, laquelle reposera sur le missile à superstatoréacteur hypersonique ASN4G au cours de la prochaine décennie.

L’ASN4G sera « intégré sur le NGF [avion de combat de nouvelle génération du SCAF, nldr] dix à quinze ans après sa mise en service opérationnel sous le standard F5 du Rafale, ce qui nous oblige à faire preuve pour cet appareil d’une certaine exigence en matière d’ambition, pour que sa capacité de pénétration reste crédible, au moins jusqu’en 2060 », a ainsi récemment expliqué Emmanuel Chiva, le Délégué général pour l’armement [DGA].

En effet, l’horizon 2035, et comme l’avait expliqué le général Laurent Rataud, sous-chef d’état-major plans-programmes [SCPP] de l’état-major de l’Armée de l’Air & de l’Espace, cité dans un rapport parlementaire publié en 2021, le Rafale « devra alors faire face à des systèmes de défense sol-air des plus performants […] et évoluer dans des environnements extrêmement brouillés, ce qui supposera de le doter de moyens de guerre électronique et de guerre de navigation, ainsi qu’éventuellement de moyens de suppressions des défenses aériennes adverses performants ».

À court terme, l’AAE et l’Aéronautique navale disposeront de Rafale F4, ce standard constituant la « première génération de connectivité ». Et le Rafale F5 incarnera la seconde.

« Concernant l’évolution des standards du Rafale, […] elle permet de développer la connectivité, c’est-à-dire l’échange de données entre les appareils – chasseurs, mais aussi avions d’accompagnement. Le standard F4 constituera la première génération de connectivité et le F5 donnera naissance à la deuxième génération, qui assurera une connectivité plus sécurisée », a en effet expliqué le général Stéphane Mille, le chef d’état-major de l’AAE, lors d’une récente audition parlementaire dédiée à la dissuasion nucléaire.

Or, cela supposera d’apporter des modifications importantes au Rafale. « Quand le standard F5 sortira, l’avion sera très différent », a confié le CEMAAE. « Le radar, les contre-mesures électroniques et le calculateur nécessaire à la connectivité auront été modifiés. Or les capacités de calcul permettant de traiter des centaines de milliers d’informations nécessitent un câblage que le Rafale tel que nous le connaissons aujourd’hui n’est pas capable de supporter », a-t-il ajouté.

Aussi, a-t-il continué, « plusieurs standards coexisteront donc, et cela ne sera pas gênant » car « la complémentarité des moyens fait notre force, chaque appareil ayant ses avantages ».

Par ailleurs, l’ASN4G devrait être beaucoup plus imposant que l’actuel ASMP-A [Air-Sol Moyenne Portée / Amélioré] mis en oeuvre par les Rafale B des Forces aériennes stratégiques [FAS] et les Rafale M de la Force aéronavale nucléaire [FANu]. C’est « un gros missile », a en effet souligné le général Mille. Reste à voir les conséquences que cela aura sur le standard F5 du Rafale… lequel sera, avait expliqué le général Frédéric Parisot, le n°2 de l’AAE, « doté d’un nombre impressionnant de capacités, dont certaines que nous n’imaginons pas encore ».

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à propos du cablage, peut-être que ces évolutions demandent une évolution vers une nouvelle génération de fibre optique ( les progrès ont quand même été importants depuis la création du Rafale.

De même, il faut certainement faire  évoluer le fond de panier de l'ensemble calculateur et ce genre de changement n'est jamais simple

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La portée balistique d'un engin partant à M4.5@45° ... est de ~260km ... évidement sans prise en compte du frottement de l'air ... ni des capacité de planage.

Mais tiré à haute altitude haute vitesse ... avec un différentiel d'altitude 5000m ... contre une cible bien poursuivie, pas trop manœuvrante/rapide et/ou ignorant être engagée ... 200km n'est pas à proprement parlé impossible.

Je suppose que l'idée c'est avant tout de menacer des avions de guets ou des tanker ... ou de pouvoir faire de la "supériorité" chez l'autre en restant chez soit, un peu à la russe.

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Le 04/03/2023 à 15:32, Kamelot a dit :

Oui, il suffit pour s'en convaincre de comparer les caracteristiques de l'ASMP-Ar avec le Brahmos de base.

À priori, il est souvent fait mention d'un missile "versatile" et d'un stato mixte.

Le Rafale F5 risque (?) de ne pas être une "simple" évolution des standards. Beaucoup de spéculations circulent sur ses caractéristiques avec un ASN4G dont le dimensionnement n'est pas encore défini, officiellement (Quid du carburant).

Les systèmes seront différents au point qu'ils ne sont pas encore imaginés. Les progrès techniques devraient être importants (Motorisation, sous-structure, calculateur, fibre optique, GaN, capteurs répartis, traitement, connectivité colaborative, IA, capteur d'étoiles, bouzin quantique, discrétion améliorée...). Chacun fera sa liste. :biggrin:

Le point dur sera la navalisation du couple infernal, mais les Marins savent faire, en principe. :tongue:

Bref, on ne sait pas grand chose.

Non je te rassure, on sait pas encore ce qu’on va faire dans 15 ans parce que c’est loin pas forcément que les differences seront enormes. Le rafale xl etait fait pour être adapté au asn4g et n’etait pas bine plus grand. 
perso je vois bien un f5 en 2030 avec les nouveaux missiles de croisières, drones et cloud qui vont avec. 
le f6 serait une version durcie pour soutenir une mission du nucleaire. 
 

on peut imaginer deux versions du ans4g, une raccourcie pour rafale et l’autre pour le ngf (je pense plutot qu’on attendra l’ans5g en 2050 puisque le ngf sera vraiment mature a ce moment là). On peut aussi imaginer reussir a faire un missile reacteur-stato-super stato, ca coutera un bras mais s’il y a un domaine ou on compte pas, c’est le nucleaire. 
 

pour la marine c’est moins le missile que les infrastructures pour soutenir la mission qui peut poser probleme a la marine. 

Donc oui tu as raison, lets wait and see

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Quitte à ce que ce F5 ait une nouvelle cellule autant que ça soit un nouvel avion car les développements des Etendard en Super Entendard, Hornet en Super Hornet et Gripen C en Gripen E nous ont montré les limites des homothéties aéronautiques

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Le 05/03/2023 à 09:31, Picdelamirand-oil a dit :

L'armée de l'air reçoit son premier Rafale hyperconnecté au standard F4.1

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Le premier Rafale au standard F4.1 a été livré par la Direction générale de l'armement (DGA) au Centre d'expertise aérienne militaire. Deux appareils vont servir à l'armée de l'air afin de s'approprier ce nouveau standard et de le mener vers sa mise en service opérationnelle.

Une petite révolution pour l'armée de l'air et de l'espace. Le premier Rafale au standard F4.1 a été livré jeudi par la Direction générale de l'armement (DGA) au Centre d'expertise aérienne militaire (CEAM) sur la base aérienne 118 de Mont-de-Marsan. « Le premier avion que l'on reçoit aujourd'hui fait partie des F3R que l'on a envoyé au Centre d'essais en vol de la Direction générale de l'armement à Istres pour leur transformation logicielle », explique le lieutenant-colonel Guillaume, le commandant en second de l'Escadron de chasse et d'expérimentation (ECE), dans un communiqué publié cette semaine par le CEAM.

En 2019, l'ancienne ministre des Armées Florence Parly avait décidé d'investir 1,9 milliard d'euros dans la modernisation de l'avion de chasse français pour le faire passer au standard F4. Un standard choisi par les Émirats Arabes Unis, qui ont signé en décembre 2021 un contrat pour acquérir 80 Rafale F4. Dassault Aviation attend dès cette année la signature du contrat de la tranches 5 pour 42 Rafale 4.1 (30 prévus initialement + 12 en remplacement des avions vendus à la Croatie,) le nouveau standard des armées françaises (Armée de l'air et Marine nationale).

Un deuxième Rafale F4.1 livré

« D'autres avions tous neufs sortiront directement des chaînes de production de Dassault Aviation et viendront compléter le parc de chasseurs envoyés progressivement à Istres pour leur passage du standard F3R au F4.1 », précise le lieutenant-colonel Guillaume. Selon le CEAM, plusieurs étapes expérimentales attendent cet appareil dans les mois à venir, en s'appuyant sur la réception d'un second Rafale F4.1 d'ici la semaine prochaine. Le CEAM va débutera la première phase d'appropriation de cet appareil, qui mènera à terme à son « adoption » par l'armée de l'air.

« L'objectif est de prononcer cette dernière afin que les aéronefs puissent être utilisés par les pilotes de la 30ème Escadre de chasse, dans le délai le plus court possible », assure le lieutenant-colonel Guillaume. La phase suivante consistera en l'agrément de la première capacité opérationnelle (PCO) du Rafale F4, suivie de l'ultime étape de pleine mise en service opérationnelle (MSO).

Quels apports capacitaires ?

Le standard F4 fait entrer le programme Rafale plus encore dans l'ère de la data. Cette version vise l'amélioration de la connectivité de l'appareil et des modes de travail en réseau associés, aussi bien dans un contexte national qu'interallié. Le Rafale F4.1 constitue une première étape du combat collaboratif connecté multi-plateformes et se présente comme une première brique technologique vers le futur système de combat aérien du futur (SCAF).

"Ce standard F4 est un saut technologique, un saut industriel, un saut stratégique", avait alors fait valoir Florence Parly en janvier 2019. Les apports capacitaires de ce nouveau standard vont accompagner les pilotes de l'armée de l'air aux conflits de haute intensité d'aujourd'hui et de demain. Ils comprennent notamment l'intégration d'un viseur de casque et d'un nouvel armement de 1000 kg, amélioration des conduites de tir air-air et air-sol, du système d'autoprotection et du pod TALIOS.

Cette nouvelle phase de développement du Rafale repose sur quatre principaux piliers : d'abord, une plus grande connectivité pour augmenter la capacité de traitement de données de l'appareil. Ensuite, un armement accru, avec des missiles nouveaux ou rénovés. Le Rafale F4.1 « sera mieux armé, encore, pour viser et vaincre nos adversaires », avait expliqué en 2019 la ministre. Troisième axe de développement : la détection et l'action contre les menaces, notamment avec un radar à antenne active et l'amélioration du système de protection et d'évitement des conduites de tir (SPECTRA). Enfin, la ministre avait souhaité un effort sur la disponibilité et le maintien en condition opérationnelle de l'avion, avec un moteur amélioré ainsi que l'introduction du système de pronostic et d'aide au diagnostic de panne

Futurs standards d'interopérabilité

Outre le standard F4.1 et le post-F4 puis le SCAF, Dassault Aviation travaille également sur le futur de l'aviation de combat. Début février, l'avionneur a organisé avec ses partenaires européens, la réunion de lancement du projet européen EICACS (European Initiative for Collaborative Air Combat Standardisation) dans le cadre d'un contrat de subvention attribué par la Commission Européenne en décembre 2022. La Direction générale de l'industrie de défense et de l'espace de la Commission européenne, a désigné Dassault Aviation comme le coordinateur de ce projet d'études qui rassemble 37 industriels et organismes de recherche issus de 11 pays de l'Union Européenne.

Soutenu par l'Union Européenne à hauteur de 75 millions d'euros sur trois ans dans le cadre du programme 2021 du Fonds Européen de Défense (FED), ce projet vise à définir, dans un cadre européen, les futurs standards d'interopérabilité pour le combat aérien collaboratif. « Il permettra de renforcer la capacité des forces aériennes européennes à conduire leurs missions toujours plus efficacement et à agir en coalitions faisant intervenir aussi bien des systèmes habités que non-habités, des systèmes de combat aérien futurs et des plates-formes existantes ainsi que leurs évolutions », avait expliqué Dassault Aviation dans un communiqué publié début février.

 

Hum... le passage sur les conflits HI où il est ensuite fait mention du viseur de casque, c'est une citation de la ministre ou un ajout du journaliste?

Ca m'interesse de savoir, parce que vis à vis du fameux viseur, je me demande si c'est un retex d'Ukraine.

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il y a 19 minutes, Niafron a dit :

Hum... le passage sur les conflits HI où il est ensuite fait mention du viseur de casque, c'est une citation de la ministre ou un ajout du journaliste?

Ca m'interesse de savoir, parce que vis à vis du fameux viseur, je me demande si c'est un retex d'Ukraine.

 

Citation

Le Rafale F4.1 « sera mieux armé, encore, pour viser et vaincre nos adversaires », avait expliqué en 2019 la ministre

 

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Il y a 5 heures, Pakal a dit :

Quitte à ce que ce F5 ait une nouvelle cellule autant que ça soit un nouvel avion car les développements des Etendard en Super Entendard, Hornet en Super Hornet et Gripen C en Gripen E nous ont montré les limites des homothéties aéronautiques

Si c’est un nouveau Mirage IV qui se profile à l’horizon, il y aura des adeptes :bloblaugh:

(Je rêve d’un Rafale-like avec Missile semi-encastré, parce que j’adore ce dessin et que j’exècre les soutes, sans autre considération qu’une approche purement esthétique :happy: )
 

Ceci dit, sans doute que les désavantages seront largement compensés par les gains.
Passer du Hornet au Super Hornet* pour obtenir un Growler, lui adjoindre des Loyal Wingman et lui permettre d’embarquer des moyens de SEAD et de transport d’un missile nucléaire significativement plus grand, ce ne serait pas forcément une mauvaise approche technologique comme évolution du Rafale, sachant qu’il continuera d’être épaulé par des Rafale en 4.x.

Et le Super-Étendard n’a pas laissé que de mauvais souvenirs, quand même.

 

*je prends juste l’exemple pour illustrer

Modifié par TarpTent
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Il y a 17 heures, TarpTent a dit :

(Je rêve d’un Rafale-like avec Missile semi-encastré, parce que j’adore ce dessin et que j’exècre les soutes, sans autre considération qu’une approche purement esthétique :happy: )

Moi je me demande qu'elle est la pertinence des soutes en combat aérien à courte distance en virages serrés avec facteurs de charge, voire en vol sur le dos.  Ce n'est pas par hasard que les Israéliens ont sorti les AIM 9X des soutes de leurs F35 pour les remettre sous rail. 

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il y a 3 minutes, Pakal a dit :

Moi je me demande qu'elle est la pertinence des soutes en combat aérien à courte distance en virages serrés avec facteurs de charge, voire en vol sur le dos.  Ce n'est pas par hasard que les Israéliens ont sorti les AIM 9X des soutes de leurs F35 pour les remettre sous rail. 

Les AIM-9X n'ont pas été sorti des soutes par les Israéliens. L'AIM-9X n'est tout simplement pas prévu pour être emporté en soutes et ceci est valable pour les toutes les versions du F-35 et pour tous les pays.

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4 minutes ago, FAFA said:

Les AIM-9X n'ont pas été sorti des soutes par les Israéliens. L'AIM-9X n'est tout simplement pas prévu pour être emporté en soutes et ceci est valable pour les toutes les versions du F-35 et pour tous les pays.

Le -9X est prévu pour aller en soute. Mais pour celles du F-22. En théorie, il pourrait aller dans les soutes du -35 mais je ne vois pas vraiment d'intérêt par rapport à un AIM-120.

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1 minute ago, pascal said:

Une enveloppe d'utilisation différente, plus grande agilité, totalement passif ...

Certes, mais je veux dire pour le stockage en soute sur F-35. Le système est étudié pour fonctionner avec des -9X sur les ailes et des -120D sur les portes de soutes.

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il y a 2 minutes, mehari a dit :

Le -9X est prévu pour aller en soute. Mais pour celles du F-22. En théorie, il pourrait aller dans les soutes du -35 mais je ne vois pas vraiment d'intérêt par rapport à un AIM-120.

On parlait du F-35 et pas du F-22 et à ma connaissance l'AIM-9X n'est pas prévu pour être emporté en soute sur F-35.

il y a 4 minutes, mehari a dit :

 En théorie, il pourrait aller dans les soutes du -35 mais je ne vois pas vraiment d'intérêt par rapport à un AIM-120.

L'AIM-9X étant à guidage infrarouge, il pourrait être utilisé contre des adversaires furtifs avec de plus grandes chances de succès.

Pour en revenir au "Rafale-like" avec missiles semi encastré mentionné par @TarpTent , je trouve que pour le combat air-air un emport à la "KF-21" de l'avion coréen ce serait une bonne option mais qu'il faudrait juste enfoncer un peu plus les missiles dans l'avion et les cacher au moyen de petites trappes. Ça ne résoudrait rien en ce qui concerne l'emport des charges air-sol mais cela permettrait d'avoir un emport d'armes air-air en interne sans que l'avion ne prenne des dimensions monstrueuses.

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il y a 1 minute, FAFA a dit :

je trouve que pour le combat air-air un emport à la "KF-21" de l'avion coréen ce serait une bonne option mais qu'il faudrait juste enfoncer un peu plus les missiles dans l'avion et les cacher au moyen de petites trappes.

Tu veux dire ...  Des petites soutes :tongue:

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