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[Rafale]


g4lly
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navigateur officier système d'arme.

 

C'est un peu le patron de la mission.

Y'a plusieurs raisons à la présence de deux naviguants, dont deux principales:

1) la complexité d'une mission en profondeur dans le territoire adverse

2) la double sécurité à désactiver pour activer l'arme nucléaire.

 

Oui mais il faut remarquer que les Rafale M ne sont pas biplace et peuvent emporter l'arme nucléaire.

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navigateur officier système d'arme.

 

C'est un peu le patron de la mission.

Y'a plusieurs raisons à la présence de deux naviguants, dont deux principales:

1) la complexité d'une mission en profondeur dans le territoire adverse

2) la double sécurité à désactiver pour activer l'arme nucléaire.

Merci ;)

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Merci, parce qu'on entend pas beaucoup parler des jeunes pilotes de Rafale en formation sur des Rafale B

Pas de quoi fouetter un chat, des pilotes en formation c'est normal. Sauf lorsque le pilote est une pilote.

http://www.defense.gouv.fr/air/dossiers/l-armee-de-l-air-au-feminin/articles/une-premiere-sur-rafale

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Pour en revenir sur le RAF M et la FANu, pas de système double clé pour le feu nucléaire(de même sur SEM). Donc le pilote est livré à lui même face à une décision somme toute pas facile. Quelqu'un en connaît un peu plus? Parce que les FAS sont plus "médiatisés" que la FANu.

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En plus de la mission FAS, le NOSA, ou même un second pilote en place arrière, peut être utile durant certaines missions à l'environnement particulièrement complexe et/ou dangereux.

EX: Genre, forte densité de SAM, environnement de guerre électronique très chargé, situation tactique complexe avec beaucoup de protagonistes en l'air,...

Et pour la blague, l'éjection du gars en place arrière, peut service d'ultime leurre infrarouge. ;)

Haha, énorme ! Les marins doivent tout gérer par eux même ? Ou certaines missions sont jugées trop complexes pour un seul homme ? 

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Question : Les Rafale biplaces sont bien à doubles commandes ?

 

Les postes de pilotages sont identiques à l'avant comme à l'arrière, sauf la visualisation tête haute qui est remplacée par un écran derrière.

De tête, cela ne sert pas vraiment à la formation, les pilotes en formations faisant un lâcher sur Rafale monoplace directement après être passé en simulateur. Quelqu'un peut confirmer ou infirmer ça ?

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Bubzy:
Marine, c'est leur philosophie; armée de l'air, à priori, non.

 

Et j'aurais tendance à penser que, même si le Rafale est facile à piloter, il coûte quand même un bras.

Alors, faire ce petit pari, de passer directement sur monoplace (car c'en est un quand même) alors que tu as disposition des biplaces, c'est un peu aller chercher les emmerdes pour rien.

 

Après, il est possible qu'au lieu de faire X séances de simu + 4 vols en biplaces puis le lâché, ils en fassent moins...?!

Modifié par syntaxerror9
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Oui mais il faut remarquer que les Rafale M ne sont pas biplace et peuvent emporter l'arme nucléaire.

 

Si les marins, avec le CDG font peser une menace supplémentaire jouant sur la dissuasion, ils ne font pas partie intégrante des FAS il me semble. De plus, ils interviennent de manière "locale", et non pas en profondeur comme le font les fas avec le support des ravitailleurs. Ils n'assurent pas non plus l'alerte au même niveau. 

 

ça serait intéressant de savoir ce qui difere entre les deux armées.

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Vous avez craqué, tous, ce soir. :D

J'ai eu l'air fin à éclater de rire en plein bus : ils me regardent tous bizarrement maintenant.

Pour la conductrice de la Clio, j'espère qu'elle sera invitée par l'AdA à un meeting aérien : elle pourra ainsi en profiter pleinement sans retourner d'enthousiasme un camionneur. ;)

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Pour ce qui est des feux nucléaires et des procédures Marine celles-ci diffèrent assez peu de celle des aviateurs

 

dans les deux cas si l'équipage simple ou double prépare sa mission jusqu'au point de largage il ignore la cible de l'ASMP, le MIP de navigation de l'ASMP délivré par le COmmandement des Forces Nucléaires (COFN) est intégré dans le missile, en vol le SNA de l'avion transmet au missile les coordonnées du point de largage et l'engin assure les correction nécessaires par rapport aux coordonnées cibles dont il a été "gavé", arrivé au point de largage le pilote tire et l'ASMP fait le reste.

 

La vérification du code présidentiel est opérée avant le catapultage par le pilote et le commandant de la flottille, une fois l'avion catapulté le pilote "n'a plus qu'une chose à faire" rallier le point de largage et tirer le missile.

 

C'est le président de la République qui dispose seul des moyens d'attribuer telle cible à telle tête nucléaire par l'entremise des clefs de déblocage propres à chaque tête nucléaire ...

 

 

Ces procédures valent pour tous les tirs sauf pour un tir d'opportunité sur cible navale où le pilote rentre les coordonnées de la cible dans le missiles juste avant le tir comme pour un AM 39

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La vérification du code présidentiel est opérée avant le catapultage par le pilote et le commandant de la flottille, une fois l'avion catapulté le pilote "n'a plus qu'une chose à faire" rallier le point de largage et tirer le missile.

Voilà pourquoi ils n'ont pas besoin d'être deux, contrairement aux FAS ; on ne quitte pas un porte-avions comme on quitte la terre ferme. 

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Pour ce qui est des feux nucléaires et des procédures Marine celles-ci diffèrent assez peu de celle des aviateurs

 

dans les deux cas si l'équipage simple ou double prépare sa mission jusqu'au point de largage il ignore la cible de l'ASMP, le MIP de navigation de l'ASMP délivré par le COmmandement des Forces Nucléaires (COFN) est intégré dans le missile, en vol le SNA de l'avion transmet au missile les coordonnées du point de largage et l'engin assure les correction nécessaires par rapport aux coordonnées cibles dont il a été "gavé", arrivé au point de largage le pilote tire et l'ASMP fait le reste.

 

En théorie il ignore la cible... en pratique il aura bien une petite idée de qui va se prendre l'ASMP sur la tronche (au hasard le pays en face duquel le GAN est déployé et avec qui on se fritte diplomatiquement et/ou militairement depuis plusieurs semaines).

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Bubzy:

Marine, c'est leur philosophie; armée de l'air, à priori, non.

 

Et j'aurais tendance à penser que, même si le Rafale est facile à piloter, il coûte quand même un bras.

Alors, faire ce petit pari, de passer directement sur monoplace (car c'en est un quand même) alors que tu as disposition des biplaces, c'est un peu aller chercher les emmerdes pour rien.

 

Après, il est possible qu'au lieu de faire X séances de simu + 4 vols en biplaces puis le lâché, ils en fassent moins...?!

 

bha en tout cas, avant que les pilotes de la marine passent au 1/92, ils ont tous fait un lacher solo direct sur monoplace. Avant 2006, pas de biplace dispo !

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bha en tout cas, avant que les pilotes de la marine passent au 1/92, ils ont tous fait un lacher solo direct sur monoplace. Avant 2006, pas de biplace dispo !

 

 

C'est pas directement lié mais un peu quand même.

 

 

Les 10 Rafale M F1 ont été livrés entre 1999 et 2003.

 

Le premier Rafale F2 Marine (M11 logiquement) arrive en quelle année ?

 

 

 

 

 

Edit : et autre question, le MICA est opérationnel à partir de quelle année sur les Rafale Marine ? je sais que les premiers exemplaires étaient limités aux Magic II...

Modifié par Banzinou
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Les Rafale F1 étaient au nombre de 13. Les 10 M ainsi que les B 301-302 et C 101. La tranche 2(47avions) avec les F2 est, comme l'annonce Pascal, arrivée en 2005 et fut opérationnelle en 2006 pour l'Adla et 2008 pour la marine ce qui a pousser la mise sous cocon des F1 la même année. Les F1 embarquaient que le Mica EM et le Magic II ainsi que leur canon interne. Le Mica IR est apparu avec les F2.

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