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[Rafale]


g4lly
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il y a une heure, herciv a dit :

Mes premières réflexions.

EN fait je vais te renvoyer à la dernière production de notre regretté GILMORE : pour avoir un avion vraiment "invisible" il ne doit rien diffuser donc ni L16, ni identification, ni rien. Mais alors comment discuter entre alliés.

La réponse est d'utiliser un système très directif d'où les lasers => mais dans ce cas il faut absolument que les trajectoire de chacun des abonnés soient connues à l'avance. Sinon il faut scanner le ciel et la terre à la recherche d'abonnée au risque de se découvrir. Dans le cas de réseau entre satellites c'est simple. Ils ont des éphémérides. Mais dans le cas d'une mission de pénétration c'est impossible à reproduire. Il faut donc un nœud dont la position est préenregistrée chez tous les abonnées. Cà peut venir d'une citerne , d'un drone MALE ou encore mieux HALE, ou encore satellite mais ces derniers sont vulnérables. Moi perso je pense qu'on va voir fleurir des projets de ballons sonde pour tenir ce rôle.

En effet l'altitude est le second point crucial : 

Tout d'abord ça allonge l'horizon auquel les abonnés peuvent transmettre. Pour ceux qui aime la géométrie voici une petite explication très intuitive. http://villemin.gerard.free.fr/aScience/Physique/OPTIQUE/Horizon.htm. Retenez que pour une personne à 50 m d'altitude (vol tba) on peut voir un point situé à 200 km et élevé de 1900 m.

Ensuite et c'est crucial pour un laser : plus les abonnés sont en altitude moins le signal devra traverser des couches d'atmosphère dense et surtout des nuage très absorbants. LA transmission atmosphérique est très complexe, il y a de la diffraction, de la diffusion, de la réfraction, de l'absorption, etc.... Pour faire simple voici un lien vous montrant en fonction de la longueur d'onde l'absorption provoqué par 1 cm d'eau https://www.bing.com/images/search?view=detailV2&ccid=rnbtqA16&id=FC05715AAA6FD49471058B32D5AA10807744CCAD&q=laser+absorption+chart&simid=608031104100007954&selectedindex=2&mode=overlay&first=1&thid=OIP.rnbtqA16QkOxIWGTFlYpWQEsDN. Dans le bleu, la meilleure fenètre le signal perd 0.001db/cm d'eau donc si il y a un nuage ... Retenez que la transmission laser est très dépendante des conditions nuageuse au point de pouvoir handicaper fortement une mission de pénétration TBA (qui est la stratégie du rafale).

Pour résumer il faut des nœud de réseau à la trajectoire connue à l'avance, très haut et des lasers émettant dans le bleu.

Ensuite il ne faut pas que ces nœuds soient abattus trop facilement. Il faut donc qu'ils opèrent à l'abri loin des opérations. Il ne faut pas non plus qu'il se fasse repérer par un scan laser. Là le mot clé c'est "l'effet œil de chat" qui une fois repéré peut par exemple provoquer un tir d'arme laser en retour vers le nœuds. Mais pour provoquer cet effet œil de chat il faut être dans l'axe de l'optique réceptrice. Si le nœud est stable, c'est très peu probable que ça se produise.

Pour moi le ballon sonde est une cible avec une RCS très basse. Il a aussi une valeur financière basse et est facile à mettre en œuvre. J'ai un peu de mal à imaginer un nœud installé sur une cible à haute valeur et avec une rcs importante comme un tanker.

 

Moi je pense que si les deux mobiles se transmettent leurs éléments de navigation (Position, route, vitesse, accélération) sur la liaison, ceux ci peuvent servir pour que les transmissions restent accrochées. la L-16 pouvant aider à raccrocher lorsqu'il y a une perte (on est pas furtif pendant la phase où on raccroche, mais c'est mieux que d'ouvrir sa soute)

Ou alors on utilise un autre participant pour raccrocher si on fait l'hypothèse qu'on ne les perd pas tous en même temps.

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il y a 48 minutes, herciv a dit :

Pour moi le ballon sonde est une cible avec une RCS très basse. Il a aussi une valeur financière basse et est facile à mettre en œuvre. J'ai un peu de mal à imaginer un nœud installé sur une cible à haute valeur et avec une rcs importante comme un tanker.

Ca ne peut pas être de simple ballons : leur trajectoire n'est pas prédictible. Il faudrait plutôt les espèces de dirigeables de très haute altitude et grande endurance dont on a vu des esquisses récemment.

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Il y a 7 heures, clem200 a dit :

Du coup quand on ajoute un propulseur à une bombe guidage laser .... :biggrin:

Tout à fait :tongue:

D'ailleurs ils ont eu le bon goût de nous épargner un "bombe laser propulsée" et d'appeler ça un armement air/sol modulaire, histoire d'éviter le terme "missile" qui associe complexité et coût prohibitif dans l'imaginaire collectif.

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Il y a 6 heures, DEFA550 a dit :

Tout à fait :tongue:

D'ailleurs ils ont eu le bon goût de nous épargner un "bombe laser propulsée" et d'appeler ça un armement air/sol modulaire, histoire d'éviter le terme "missile" qui associe complexité et coût prohibitif dans l'imaginaire collectif.

Pourtant quand on compare le coût ou la complexité d'une AASM avec une GBU 12 ce serait justifié.

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Il y a 8 heures, Picdelamirand-oil a dit :

Moi je pense que si les deux mobiles se transmettent leurs éléments de navigation (Position, route, vitesse, accélération) sur la liaison, ceux ci peuvent servir pour que les transmissions restent accrochées. la L-16 pouvant aider à raccrocher lorsqu'il y a une perte (on est pas furtif pendant la phase où on raccroche, mais c'est mieux que d'ouvrir sa soute)

Ou alors on utilise un autre participant pour raccrocher si on fait l'hypothèse qu'on ne les perd pas tous en même temps.

Ce qui m'a mis sur la voie est ce passage du DOT-E

 

:

An even simpler system that is even harder to counter than a long wavelength search radar is a passive detection system (PDS) that detects and tracks the radio frequency (RF) signals emitted by an aircraft—radar signals, UHF and VHF radio signals, identification-friend-or-foe (IFF) signals, data link signals like Link-16, and navigation transponder signals like TACAN.

(...)

Every aircraft in the world is susceptible to PDS, stealth and non-stealth alike, and the F-35 is no exception.

The beauty of a PDS, from the perspective of an adversary employing one, is that radar stealth is irrelevant to it ability to detect and track aircraft. If the aircraft has to use its radar, radios, data links, or navigation systems to accomplish its mission, the PDS stands a good chance of being able to detect, track, and identify it by these emissions. Every aircraft in the world is susceptible to PDS, stealth and non-stealth alike, and the F-35 is no exception.

The F-35’s main air-to-air weapon, the AIM-120, is a beyond visual range radar missile; as a result, the F-35 has to use a large radar transmitting high-power signals in order to detect airborne targets and then guide the missile to them. Likewise, the aircraft has to employ high-powered ground mapping radar signals to find ground targets at long range. Moreover, if the plane’s systems have to communicate with other aircraft in the formation or with off-board supporting aircraft like AWACS, it has to use its radios and data links. The F-35 is thus likely susceptible to detection by passive tracking systems. Several of these passive detection systems are significantly less expensive than search radars—and they are virtually undetectable electronically.

En fait dans le cas d'une patrouille et d'une navigation à vue c'est plutôt les caméra optique ou IR qui pourront donner une position. La difficulté est pour la remontée des infos hors élément dans la résolution de cette caméra.

Il y a 7 heures, Boule75 a dit :

Ca ne peut pas être de simple ballons : leur trajectoire n'est pas prédictible. Il faudrait plutôt les espèces de dirigeables de très haute altitude et grande endurance dont on a vu des esquisses récemment.

Je ne suis pas d'accord avec toi. L'altitude d'un ballon sonde va jusqu'à 35 km soit au-dessus de tous les jet-stream ce qui rend sa position tout à fait prédictible. 

Modifié par herciv
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8 hours ago, Picdelamirand-oil said:

Moi je pense que si les deux mobiles se transmettent leurs éléments de navigation (Position, route, vitesse, accélération) sur la liaison, ceux ci peuvent servir pour que les transmissions restent accrochées. la L-16 pouvant aider à raccrocher lorsqu'il y a une perte (on est pas furtif pendant la phase où on raccroche, mais c'est mieux que d'ouvrir sa soute)

Ou alors on utilise un autre participant pour raccrocher si on fait l'hypothèse qu'on ne les perd pas tous en même temps.

Moi je vote Pic ... sinon vous semblez oublier la satcom comme backup. C'est assez discret les satcom montante relativement directionnelle, et un broadcast descendant suffit a fournir des infos pour reprendre contact avec un des peer.

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il y a 24 minutes, g4lly a dit :

Moi je vote Pic ... sinon vous semblez oublier la satcom comme backup. C'est assez discret les satcom montante relativement directionnelle, et un broadcast descendant suffit a fournir des infos pour reprendre contact avec un des peer.

D'autant plus, et cela a été commenté sur ce forum à l'époque, que la DGA et l'ONERA ont réalisé un démonstrateur de liaison laser bidirectionnelle vers un satellite géostationnaire à bord d'un Mystère XX appelé LOLA. L'intérêt et la faisabilité d'un ballon sonde semblent limitées en comparaison. 

http://www.onera.fr/fr/actualites/liaison-optique-satellite-geostationnaire-avion-une-premiere-mondiale

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il y a une heure, g4lly a dit :

Moi je vote Pic ... sinon vous semblez oublier la satcom comme backup. C'est assez discret les satcom montante relativement directionnelle, et un broadcast descendant suffit a fournir des infos pour reprendre contact avec un des peer.

Quand je dis participant j'inclus Satcom.

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Il y a 2 heures, ARPA a dit :

Pourtant quand on compare le coût ou la complexité d'une AASM avec une GBU 12 ce serait justifié.

Ca vaut aussi pour un kit de guidage ajouté à une bête roquette. Mais pour communiquer le mot "missile" passe moins bien que "bombe" ou "roquette". Déjà qu'il y en a qui se plaignent qu'on balance des GBU-12 sur des 4x4...

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4 hours ago, faltenin1 said:

D'autant plus, et cela a été commenté sur ce forum à l'époque, que la DGA et l'ONERA ont réalisé un démonstrateur de liaison laser bidirectionnelle vers un satellite géostationnaire à bord d'un Mystère XX appelé LOLA. L'intérêt et la faisabilité d'un ballon sonde semblent limitées en comparaison. 

http://www.onera.fr/fr/actualites/liaison-optique-satellite-geostationnaire-avion-une-premiere-mondiale

Tiens justement, quelqu'un d'extrêmement bien placé pour saoir me parlait justement de SATCOM dansd'autres bandes...

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il y a une heure, prof.566 a dit :

Je me rends compte en y jetant un oeil que les contenus de CARAA et MELBAA sont pas si bien connus que ca, pas mal de contradictions. De même que le PEA (nom?) radar lié au FCAS...

http://www.defens-aero.com/2016/01/radar-rbe2-antenne-active-rafale-entame-ameliorations.html

Citation

 

Quels objectifs ?

Ces premiers essais avaient pour objectifs, indique-t-on, «d'exploiter les N voies du récepteur et permettre des traitements multivoies». Pour répondre à ces besoins, un radar RBE2-AESA a été légèrement modifié et les résultats de ces essais seront exploités plus tard, puisque ces évolutions et améliorations devraient logiquement aboutir à l'horizon 2022.

Ce traitement différé des informations a obligé les ingénieurs à utiliser une fonction «désignation d'objectif pilotée». Celle-ci permet d'envoyer en temps réel, grâce à une liaison de données Ultra Haute Fréquence, la position dans l'espace aérien de l'aéronef plastron au Mirage 2000B EV, puisque les appareils engagés dans ces essais n'étaient pas pourvus d'une fonction de traitement immédiat.

Pour que ces essais aient pu se dérouler comme prévu, un travail a été mené en amont au sol entre les ingénieurs de la DGA et des industriels français.

Les premiers essais d'une série

Ces premiers tests ont été réalisés avec «succès» s'enthousiasme-t-on, et ont permis d'améliorer les simulateurs en les rapprochants encore plus de la réalité des vols, utilisés dans le cadre du programme CARAA.

A ce stade, le démonstrateur en vol CARAA a volé à trois reprises, et trois autres campagnes, ce qui réprésente une douzaine de vols, sont encore prévues d'ici 2017. Les essais actuellement menés permettront aussi de débuter les tests pour un second programme, le PEA MELBAA : Etudes de modes et Exploitation Large Bande pour l'Antenne Active, qui se concentrera sur les missions à dominante air-sol.

 

https://www.pressreader.com/france/air-cosmos/20130621/282209418423554

Citation

 

C’est le cas du PEA Caraa (Capacités additionnelles pour radar à antenne active), attribué à Thales fin 2011 et qui vise à mettre au point une modification matérielle du radar pour le rendre plus performant face aux menaces évoluant à basse vitesse et basse altitude, mais aussi pour le rendre capable de détecter des cibles terrestres.

D’un point de vue technique, l’idée est de diviser l’antenne en grands sous-ensembles, composés chacun de quelques centaines de modules d’émission-réception,

CARAA.

chacun de ces sous-ensembles bénéficiant ensuite d’une numérisation du signal qui lui serait propre. Alors qu’aujourd’hui, tous les éléments rayonnants sont au final regroupés en une seule voie.Thales devrait tester en vol, à l’horizon 2014-2015, une telle modification à l’aide de l’un de ses prototypes de RBE2-AESA.

 

 

http://www.air-cosmos.com/futur-radar-multirole-pour-le-rafale-25687

Citation

 

La DGA (direction générale de l'Armement) vient d'annoncer le lancement d'études sur la prochaine génération de radars à antenne active. Elle a en ce sens notifié fin septembre à Thales un contrat d’études technologiques concernant la future génération de radar multirôle. Pour Thales, il s'agit de travailler sur les technologies de panneaux multifonctions et de nouvelles architectures modulaires de calculateur. Des technologies qui, à l'horizon 2020-2030, doivent être fiabilisées afin de lancer la rénovation à mi-vie du Rafale mais aussi préparer l'arrivée du drone de combat. Gourmandement baptisé Melbaa, le PEA (Plan d'Etude Amont) attribué à Thales doit venir faire murir les technologies du futur radar du Rafale, qui devrait ainsi utiliser un seul radar pour les missions de détection, de communication et de guerre éléctronique, grâce à des paneaux multifonctions. Ces nouvelles antennes offriront également un avantage significatif en matière de portée et de discrétion. D'un montant de 89 millions d'euros, Melbaa court sur plus de 30 mois.

«  Après avoir réalisé une première européenne avec le radar à antenne active de série sur Rafale, la France entend ainsi conserver sa place de leader dans le domaine des radars aéroportés » précise le communiqué.

 

Ce dernier PEA prévu sur 30 mois devrait se terminer à peu près maintenant.

Modifié par Picdelamirand-oil
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il y a une heure, prof.566 a dit :

Oui, justement dans l'article de Loic il dit que Caraa permettra de démarrer melbaa, alors que melbaa est plus ancien... 

 

Une note de TTU

Non il dit que les tests de CARAA permettront de débuter les tests de MELBAA, cela laisse la possibilité de faire une première phase (qui peut être longue) d'étude pour MELBAA qui soit indépendante de CARAA.

Marrant

 

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1er Avril

 

donald-600x300.jpg

Dassault s’est déclaré prêt à relancer une chaine de production à Little Rock, dans l’Arkansas, là où est implantée sa filiale américaine Dassault Falcon. Ce ne sera pas le contrat du siècle, mais le constructeur français prépare le coup d’après : substituer le Rafale au F-35. En attendant, le bureau d’études de Saint-Cloud planche sur une version tout composite de l’Alphajet, équipée de commandes de vol électriques et donc logiquement de plan canard ; Donald Trump appréciera l’attention.

https://www.aerobuzz.fr/culture-aero/president-trump-charme-alphajet-de-paf/

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Il y a 7 heures, Picdelamirand-oil a dit :

1er Avril

Dassault s’est déclaré prêt à relancer une chaine de production à Little Rock, dans l’Arkansas, là où est implantée sa filiale américaine Dassault Falcon. Ce ne sera pas le contrat du siècle, mais le constructeur français prépare le coup d’après : substituer le Rafale au F-35. En attendant, le bureau d’études de Saint-Cloud planche sur une version tout composite de l’Alphajet, équipée de commandes de vol électriques et donc logiquement de plan canard ; Donald Trump appréciera l’attention.

https://www.aerobuzz.fr/culture-aero/president-trump-charme-alphajet-de-paf/

L'article ne dit pas que Dassault a prestement envoyé une maquette d'Alphajet plaqué or et sertie de cristaux Swarovski pour la Trump Tower.

 

Le plus vrai dans l'article c'est que des américains ont pris la livrée des avions et les panaches bleu, blanc, rouge comme un hommage au couleurs du drapeau des EU.

Modifié par gargouille
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Le 31/03/2017 à 17:21, prof.566 a dit :

The Dassault Rafale fighter aircraft is the only one now in contention to meet the needs of the Malaysian air force, said the French government spokesman, Stéphane Le Foll, during the minutes of the last council of ministers. "Negotiations are underway, I believe there are only negotiations with Dassault on the Rafale," he said, reports Reuters.

He added: "There is only one bilateral negotiation, there is no other operator." During the State visit of the President of the French Republic, François Hollande, to Malaysia; Malaysian Prime Minister Najib Razak said he had discussed the possibility for his country to buy Dassault Rafale, adding that the country was still undecided on the subject.

"We are not yet ready to make a decision, but we take good note of its success in other countries," he added. The Malaysian Air Force has expressed a need for 18 combat aircraft. A contract with a potential value of more than $ 2 billion according to estimates.

 

http://www.channelnewsasia.com/news/world/malaysia-only-talking-to-dassault-about-fighter-purchase-frenc/3639190.html

Stéphane Le Foll .......     tout est dit.  

Attendons du plus sérieux.  

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Le 01/04/2017 à 14:01, Picdelamirand-oil a dit :

Sub diviser l'antenne, c'est perdre beaucoup en portée de chaque sous antenne, non?

Je pensais moi que la vitesse de balayage du faisceau, quasi instantanée, permettait à l'antenne (dans sa globalité) de scaner rapidement un peu partout et/ou de s'attarder sur tel ou tel secteur jugé ou calculé comme sensible par rapport à la mission.

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il y a 2 minutes, Bon Plan a dit :

Sub diviser l'antenne, c'est perdre beaucoup en portée de chaque sous antenne, non?

Je pensais moi que la vitesse de balayage du faisceau, quasi instantanée, permettait à l'antenne (dans sa globalité) de scaner rapidement un peu partout et/ou de s'attarder sur tel ou tel secteur jugé ou calculé comme sensible par rapport à la mission.

ça permettra de gérer des panneaux latéraux.

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il y a 1 minute, Picdelamirand-oil a dit :

ça permettra de gérer des panneaux latéraux.

OUI !   en effet.  Il y a une logique d'ensemble.

Ces panneaux seraient logés ou?  dans les bajoues, en version conforme?  Sur les flancs du nez, de part et d'autre de l'OSF?  dans la dérive (ça c'est mon petit délire à moi....  ne sachant pas trop quelle épaisseur font les modules E/R) ?

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il y a une heure, Bon Plan a dit :

Je pensais moi que la vitesse de balayage du faisceau, quasi instantanée, permettait à l'antenne (dans sa globalité) de scaner rapidement un peu partout et/ou de s'attarder sur tel ou tel secteur jugé ou calculé comme sensible par rapport à la mission.

Ce "quasi-instantanée" fait que le "simultanément" n'est pas possible tant que l'antenne reste monolithique. Or il peut être intéressant de pouvoir émettre simultanément vers plusieurs endroits distincts (brouillage ou neutralisation électronique, par exemple).

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