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[Rafale]


g4lly
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Il y a 13 heures, Patrick a dit :

Non c'est bien un 180° même si la fin de la figure se fait en décélération et en montée

Décélération : normal, il dégrade son énergie par un tel virage. 

En montée : circonstance dégradante je pense (et qui peut aussi expliquer une partie de la perte de vitesse)

Modifié par Bon Plan
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Un livre sur le solo display vient de paraitre.

Rafale-Solo-Display.jpg

Je l'ai feuilleté en vitesse, il y a des explications sur les figures, des présentations sur les intervenants, des photos, des livrées,... mais je ne suis pas ressorti avec.

Toutefois le tout à l'air sympa, bien emballé, et bien présenté, donc j'irai prendre le temps de vraiment le regarder plus attentivement une prochaine fois... et en fonction de ma note intérêt/prix...

Citation

Développé pour l'armée de l'air et la marine nationale, le Rafale de Dassault Aviation est le fleuron de l'industrie aéronautique militaire française. Afin de le promouvoir et de le faire découvrir au public, l'armée de l'air a créé, il y a dix ans, l'équipe de démonstration Rafale Solo Display. Grâce à elle, le Rafale s'impose désormais lors des meetings et des salons d'armement par sa puissance et son agilité, dans des spectacles aériens qui impressionnent autant le public que les professionnels. La passion de l'aviation, le dépassement de soi, la rigueur et l'humilité font des membres du Rafale Solo Display une équipe exceptionnelle, ambassadrice du savoir-faire de l'armée de l'air. Laurent Casaert et Etienne Daumas sont partis à leur rencontre, dans les coulisses des manifestations aéronautiques internationales, et en ont rapporté de sublimes photographies et des témoignages captivants.

Biographie
Fasciné par le monde de l'aviation, Etienne Daumas parcourt le monde depuis une trentaine d'année pour vivre sa passion et exposer ses photographies, dans lesquelles il fige le mouvement et la vitesse. Il est l'auteur de deux livres sur la patrouille Breitling et la Patrouille de France, et écrit régulièrement pour des magazines d'aviation.

Laurent Casaert est un inconditionnel de l'aéronautique militaire et civile. Il a fait carrière dans l'armée de l'Air puis au sein du ministère de la Défense. Passionné de photographies depuis l'enfance, il photographie les avions depuis plus de trente ans dans les meetings aériens, et a remporté en 2015 le prix Fosa pour la meilleure photographie. Administrateur du site Passion Aéro depuis 2006, il est également auteur de livres à tirages limités sur les meetings aériens et sur l'aventure Rafale.

 

Modifié par rendbo
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Dans l'article à nouveau une photo du Rafale avec les point 3 ouverts, du coup, est-ce que ça veut dire que le standard F3R verra l'ouverture officielle de ce point et que les Rafale pourront utiliser 8 Missiles air air ou 6 missiles en plus des bombes en opération ??

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il y a 52 minutes, FoxZz° a dit :

Dans l'article à nouveau une photo du Rafale avec les point 3 ouverts, du coup, est-ce que ça veut dire que le standard F3R verra l'ouverture officielle de ce point et que les Rafale pourront utiliser 8 Missiles air air ou 6 missiles en plus des bombes en opération ??

C'est pas prévu, donc à part une grosse surprise, c'est probablement non.

La photo visait sans doute à illustrer l'intégration du météor.

Modifié par Kovy
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Il y a 14 heures, FoxZz° a dit :

Dans l'article à nouveau une photo du Rafale avec les point 3 ouverts, du coup, est-ce que ça veut dire que le standard F3R verra l'ouverture officielle de ce point et que les Rafale pourront utiliser 8 Missiles air air ou 6 missiles en plus des bombes en opération ??

Je pense que c'est une config "de luxe" pour les clients export qui en auront les moyens...

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à l’instant, Bruno a dit :

Je pense que c'est une config "de luxe" pour les clients export qui en auront les moyens...

C'est une levée de risques, un essai sommaire permettant de s'assurer que c'est faisable sans trop de difficultés si jamais un client le demandait explicitement. L'essentiel du travail d'ouverture de domaine reste à faire ; ça représente beaucoup d'essais, au sol et en vol, donc un coût non négligeable.

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il y a une heure, DEFA550 a dit :

C'est une levée de risques, un essai sommaire permettant de s'assurer que c'est faisable sans trop de difficultés si jamais un client le demandait explicitement. L'essentiel du travail d'ouverture de domaine reste à faire ; ça représente beaucoup d'essais, au sol et en vol, donc un coût non négligeable.

Mica en point 3... C'est sur rail.... Une partie déverminée sur fond propre Dassault...  Des essais à faire pour l'ouverture complète oui mais beaucoup, c'est combien beaucoup ? Le concept sur rail est bien plus fiable que par éjecteurs  d'autant plus que le point 3 est le copier /coller du point 2. Et ce point 3, est il câblé au moins sur les avions existants ?

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Les essais ne concernent pas que le missile sous son rail. Il faut aussi voir les conséquences de sa présence sur le reste de l'avion, autres emports compris. Ca implique donc un certain nombre de vérifications dans différentes zones du domaine de vol et dans différentes configurations.

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Il y a 22 heures, FoxZz° a dit :

Dans l'article à nouveau une photo du Rafale avec les point 3 ouverts, du coup, est-ce que ça veut dire que le standard F3R verra l'ouverture officielle de ce point et que les Rafale pourront utiliser 8 Missiles air air ou 6 missiles en plus des bombes en opération ??

C'est de ça dont tu parles ?

ob_04bf24_da00028982.jpg

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En tous cas ce n'est pas du power point ... Çà en représenterait de la puissance de feux globale sans mettre à l'index l'allonge pour un appareil de ce tonnage ! Le "petit" Rafale tout en muscle et toutes griffes dehors ... Impressionnant quand-même le volatile ! 

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Il y a 2 heures, jojo (lo savoyârd) a dit :

En tous cas ce n'est pas du power point ... Çà en représenterait de la puissance de feux globale sans mettre à l'index l'allonge pour un appareil de ce tonnage ! Le "petit" Rafale tout en muscle et toutes griffes dehors ... Impressionnant quand-même le volatile ! 

A côté le F35 fait office de pigeon qui va se faire tirer comme au ball-trap.:biggrin:

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Il y a 14 heures, DEFA550 a dit :

Les essais ne concernent pas que le missile sous son rail. Il faut aussi voir les conséquences de sa présence sur le reste de l'avion, autres emports compris. Ca implique donc un certain nombre de vérifications dans différentes zones du domaine de vol et dans différentes configurations.

A l'heure des simulations numériques tous azimuts et avec des puissances de calculs de ouf, je suis surpris qu'on ai encore autant besoin de vols réels  .

On simule bien des explosions atomiques, des entrées de navette dans l’atmosphère (Hermes par....  Dassault, et ca fait un bail )...

Il y a 12 heures, jojo (lo savoyârd) a dit :

En tous cas ce n'est pas du power point ... Çà en représenterait de la puissance de feux globale sans mettre à l'index l'allonge pour un appareil de ce tonnage ! Le "petit" Rafale tout en muscle et toutes griffes dehors ... Impressionnant quand-même le volatile ! 

Ce qui eut été "beau" c'est de pouvoir emporter 4x3 AASM (Ok, plus de bidons pendulaires, mais il reste la solution des réservoirs conformes en plus du ventral).   Mais la vue de face ne laisse pas vraiment d'espoir...

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15 minutes ago, Bon Plan said:

Ce qui eut été "beau" c'est de pouvoir emporter 4x3 AASM (Ok, plus de bidons pendulaires, mais il reste la solution des réservoirs conformes en plus du ventral).   Mais la vue de face ne laisse pas vraiment d'espoir... 

La forme des AASM et la solution d'emport retenu ... impose une trop forte traînée au tri-bombe.

Il faudrait un emport quadruple en tandem pour faire le job sans trop saloper la consommation, mais les AASM "250" sont très longue pour ça ...

Tout ça pour dire qu'un emport plus nombreux passe par une nouvelle munition plus moins longue emporté en double tandem.

Avec cette emport quadruple sur deux point on arrive

15 minutes ago, Bon Plan said:

Ce qui eut été "beau" c'est de pouvoir emporter 4x3 AASM (Ok, plus de bidons pendulaires, mais il reste la solution des réservoirs conformes en plus du ventral).   Mais la vue de face ne laisse pas vraiment d'espoir... 

La forme des AASM et la solution d'emport retenu ... impose une trop forte traînée au tri-bombe.

Il faudrait un emport quadruple en tandem pour faire le job sans trop saloper la consommation, mais les AASM "250" sont très longue pour ça ...

Tout ça pour dire qu'un emport plus nombreux passe par une nouvelle munition plus moins longue emporté en double tandem.

Avec cet emport quadruple, classe 125kg, sur deux point on arrive 33% d'arme de plus que la solution actuel pour moins de traînée ... mais 33% de "puissance" explosive en moins.

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Le "soucis" des emports en tandem, c'est aussi que l'emport actuel est très proche des centres de gravité et de portance, longitudinalement, ce qui facilite la gestion du centrage de masse et du centrage de foyer aérodynamique, notamment lors de la libération de la munition.

Avec l'emport en tandem, le départ "brutal" de 320 kg avec un bras de levier non négligeable risque de secouer davantage.

Sinon, l'emport de 12 AASM, vous pensez que l'on saurait vraiment faire ? Je ne parle pas de contraintes physiques ou géométriques, mais surtout de préparation de mission et de souplesse dans la réalisation de celle-ci.

Autant, 12 dumb-bombs, je peux l'envisager dans une démarche de "tapis" ou un vaste traitement "aveugle" de zone, autant 12 silver-bullets par appareil, j'ai du mal à l'envisager - même pour tenter de saturer une défense terminale.

 

Et par ailleurs, sur cette config (3 RPL, 4 MICA, 6 AASM et 2 METEOR), je n'ai pas vu les pourfendeurs du Super-Hornet se la ramener en remarquant que les 2 METEOR étaient dans une config où chacun dit merde à l'autre. Vu de face ou de dessous, ils sont pourtant clairement divergents ... Mais en fait, ils sont parfaitement orientés dans les lignes de courant, parallèles à la "peau" du fuselage, limitant ainsi les aspects vibratoires des décrochement de turbulences dans leur sillage.

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il y a 9 minutes, FATac a dit :

Sinon, l'emport de 12 AASM, vous pensez que l'on saurait vraiment faire ? Je ne parle pas de contraintes physiques ou géométriques, mais surtout de préparation de mission et de souplesse dans la réalisation de celle-ci.

+1 déjà que la préparation des missions avec 6 AASM ou deux SCALP est particulièrement complexe ... Notamment en COMAO

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il y a une heure, Bon Plan a dit :

A l'heure des simulations numériques tous azimuts et avec des puissances de calculs de ouf, je suis surpris qu'on ai encore autant besoin de vols réels  .

On simule bien des explosions atomiques, des entrées de navette dans l’atmosphère (Hermes par....  Dassault, et ca fait un bail )...

Ce qui eut été "beau" c'est de pouvoir emporter 4x3 AASM (Ok, plus de bidons pendulaires, mais il reste la solution des réservoirs conformes en plus du ventral).   Mais la vue de face ne laisse pas vraiment d'espoir...

On arrive pas encore à tout simuler, même s'il y a eu des progrès énorme. La mécanique des fluides est quelque chose d'extrêmement complexe. C'est une physique qui fait intervenir tellement de paramètres que tout n'est pas prévisible. C'est pourquoi on a encore besoin d'utiliser des énormes souffleries, qui coûtent cher à construire, maintenir, utiliser. 

Quand l'avion est conçu, tout passe par simulation. Les effort de charges, les effets des températures, pression, vibration.. Puis on utilise les essais en vol pour valider le modèle numérique, et explorer le domaine de vol pour voir si tout se passe comme prévu. 

Mais c'est quand même largement différent maintenant qu'il y a 40 ans en arrière, ou l'ouverture du domaine de vol se faisait par petits pas, et il y avait besoin de faire plus de prototypes, puis des préseries en nombre, avant d'arriver au modèle final. Il serait intéressant, pour comparer, de connaître le nombre d'heures de vol d'essais entre le Mirage III et le Rafale pour se donner une idée.

Quoi que là encore comparaison n'est pas raison, car si on fait beaucoup moins d'essais au niveau du domaine de vol, ceux liés aux systèmes ont été largement augmentés. Les besoins en mesures électromagnétiques pour les systèmes passifs et actifs, pour s'assurer de leur compatibilité et de la viabilité de tous les systèmes, ont littéralement explosé.

Tester un nouvel emport, c'est pas si cher que ça, mais ça n'a pas un coût nul. Le client qui en a besoin le paiera. Mais c'est sans aucune mesure avec le coût du développement d'un nouveau standard par exemple. Ni de celui d'une nouvelle munition à intégrer au système d'arme.

Mais les essais de séparation, même sur rail, restent nécessaire. Faut s'assurer que dans tout le domaine de vol dans lequel le missile est susceptible d'être tiré, la séparation n'influe pas sur l'avion en créant des effets de bords non désirés.

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31 minutes ago, FATac said:

Sinon, l'emport de 12 AASM, vous pensez que l'on saurait vraiment faire ? Je ne parle pas de contraintes physiques ou géométriques, mais surtout de préparation de mission et de souplesse dans la réalisation de celle-ci. 

Autant, 12 dumb-bombs, je peux l'envisager dans une démarche de "tapis" ou un vaste traitement "aveugle" de zone, autant 12 silver-bullets par appareil, j'ai du mal à l'envisager - même pour tenter de saturer une défense terminale. 

Le jour ou tu as affaire a une vrai guerre probablement ...

... il suffit de voir le besoin en coups tiré pour faire juste pour faire de l'interdiction au dessus de la Syrie par les Russe, les Syriens ou la coalition anti-chimique ...

... le besoin de coups disponibles est le même pour du CAS ... En Afghanistan les B-1 était les rois ... parce qu'ils emportaient beaucoup de munition et et donc avec un éventail de choix de type de munition.

On parle de Silver Bullet ... mais c'est pas comme si on comptait l'usage des ATGM ... en Syrie encore ...

La munition guidé est devenu banale ... aussi bien utilisé avec parcimonie qu'en masse ... n'y a pas de raison de ce priver.

Et encore ici on n'envisage pas le cas ou les munitions seraient intercepté par une défense C-RAM ... et qu'il faille les utiliser en saturation de défense.

Les US on qualifié leur F-15 pour emporter 28 SDB il me semble c'est pas juste pour faire joli sur les specs ... s'il faut attaquer un aéroport qui nécessite disons 50 coups au but ... et que tu crainds un perte de 50% de tes tirs - indisponibilité d'un avion, munitions défectueuses, munitions abattues - ... tu peux commencer a y aller en engageant 4 F-15 pour le strike ...

13 minutes ago, bubzy said:

On arrive pas encore à tout simuler, même s'il y a eu des progrès énorme. La mécanique des fluides est quelque chose d'extrêmement complexe. C'est une physique qui fait intervenir tellement de paramètres que tout n'est pas prévisible. C'est pourquoi on a encore besoin d'utiliser des énormes souffleries, qui coûtent cher à construire, maintenir, utiliser.

On sait faire via l'analyse numérique sur des modèles a éléments finis ... c'est pas un probleme théorique du tout.

C'est avant tout un probleme pratique ... celui du choix de la finesse/granularité du modèle numérique sur lequel on va baser les calculs.

Pour faire simple on divise tout les objets, l'air etc. en petite cellules tétraédrique. On affecte des conditions initiale a tout ce petit monde ... puis on les fait évoluer de proche en proche.

Pour avoir un bon résultat il faut les cellule les plus petites possible et les pas les plus rapproché possible ... évidement ça multiplie exponentiellement le nombre de calcul ... et c'est là qu'on est limité. Soit on y affecte des ressource immense soit on y passe trop de temps.

Donc on se limite a des modèle a peu près ... puis on valide sur maquette/soufflerie ... puis IRL.

Donc non en fait on ne dispose pas de puissance de calcul suffisante pour approcher suffisamment le réel dans de nombreux ça ... le plus trivial c'est la météo ... mais dans l'aéronautique high end c'est pareil.

Puisqu'on parle d'Airbus ... A400M et l’incapacité d'anticiper les interaction avec le monde extérieur tel qu'un hélico ou un parachutiste ...

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Il y a 2 heures, Bon Plan a dit :

A l'heure des simulations numériques tous azimuts et avec des puissances de calculs de ouf, je suis surpris qu'on ai encore autant besoin de vols réels  .

Les simulations ont leur limites.

En particulier :

- tu réalises un maillage à une échelle spécifique, ce qui néglige l'effet des objets de plus petite taille, que tu prends en compte de manière arbitraire (les goulottes, ...)

- tu as un besoin de recalage pour obtenir les vrais valeurs

Les simulations sont un outil très puissant pour comparer les configurations entre elle et les optimiser. Par contre, pour obtenir des valeurs exactes, les essais en soufflerie puis en vol, au minimum pour recaler les valeurs sont indispensables. C'est aussi une question de prise de risque et d'optimisation des coûts sachant que le prix des essais augmente exponentiellement entre simulation, soufflerie et essais en vol.

Sinon, on se retrouve avec le problème du SCALP où ils n'avaient fait que des simulations et ils ont trouvé une différence importante (et dans le mauvais sens) sur la traînée lors des essais réels.

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Sans compter que, si les simulations peuvent donner de bons résultats sur un domaine particulier - à condition que le modèle soit pertinent, qu'il y ait des données physiques pour le recaler, que la modélisation soit adaptée, etc. - en revanche les couplages multi-physique sont particulièrement sensibles aux conditions initiales et présentent donc des réponses avec des champs qui peuvent devenir chaotiques.

Une étude aéro-élastique, par exemple, peut vite se prendre les pieds dans le tapis selon le facteur que l'on introduit en premier la déformation mécanique ou les champs de pression qui sont à l'origine de celle-ci, mais en sont aussi la conséquence. La convergence, n'est pas toujours garantie, et quand elle est probable, elle n'est pas toujours représentative de la réalité - du moins dans des marges acceptables.

Une simulation avec un facteur d'erreur (estimable) de 20 à 25% perd beaucoup d'intérêt.

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