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USA - Criailleries 2 - Rumeurs, controverses, polémiques


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Il y a 2 heures, pascal a dit :

C'est la négation de ce qu'on pourrait appeler la conscience politique. En clair un homme d'état a pour devoir d'éclairer la conscience de ses concitoyens, de par sa position, de par sa décision d'être élu, de par son élection ... il a le devoir de prendre des décisions qui vont au delà des intérêts particuliers, de choisir l'intérêt général ... en clair de prendre de la hauteur Or là on assiste à quoi ?

Le Président se met à la hauteur de son électorat, çà porte un nom le nivellement par le bas.

 

Dans le cas de Trump j'aurais tendance à penser qu'il est en dessous de la moyenne de ses concitoyens sur ce genre de sujet, donc c'est même plus subversif qu'un simple nivellement par le bas. 

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Il y a 3 heures, nemo a dit :

Dans le cas de Trump j'aurais tendance à penser qu'il est en dessous de la moyenne de ses concitoyens sur ce genre de sujet, donc c'est même plus subversif qu'un simple nivellement par le bas. 

 

J’ai personnellement tendance à penser qu’il est au contraire très exactement au diapason de ses électeurs, la seule différence étant qu’il s’exprime dans un mégaphone qui s’appelle « Le Président des États-Unis d’Amérique ».

 

D’ailleurs, les tweets qui font fureur sont intéressant à étudier plus en détail, parce qu’ils recèlent sur ces sujets l’ensemble des mécanismes de pensée et de perception de son électorat (et je sais déjà que ça ne va pas faire plaisir a certains ici, quand je vais les préciser).

 

D’abord les tweets eux-mêmes, en version traduite et en v.o. :

1563284496-5492600c-a68e-4b0d-9205-7cadb

 

Les messages sont les suivants :

- les USA sont un grand pays, le plus grand, et quand vous critiquez mon gouvernement et ma politique, vous critiquez le pays.

- je gouverne parfaitement ce pays, je n’ai pas de leçons à recevoir de vous (réponse indirecte aux messages du diplomate anglais récemment)

- vous critiquez mais vous n’avez aucune expérience de gouvernement : allez donc faire vos preuves dans vos pays d’origine, qui en ont bien besoin, et quand ça sera le cas, si vous y arrivez, vous pourrez revenir me donner des leçons

- vous êtes latino, noire, autre, et vous osez critiquer ce pays qui vous a accueilli : si vous n’êtes pas contentes, barrez-vous. (En passant, ça ne vous rappelle pas en passant le fameux « la France, tu l’aimes ou tu la quittes ? »...)

- si vous voulez vous en aller, on se fera un plaisir de vous faciliter les choses.

- et le dernier tacle, vicieux : même Nancy Pelosi en a assez de vous !

 

Il joue à la fois sur le racisme, le sexisme, le populisme, la légitimité selon lui des reconduites à la frontière, le sentiment exacerbé de supériorité américaine, la fierté du Peuple américain qui n’a de leçons à recevoir de personne et sa propre fierté écornée.

Bref, un « grand » moment de présidence, la comm’ est quasi-parfaite pour son électorat-cible.

 

Modifié par TarpTent
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Quand l'extrême gauche américaine réinvente la ségrégation... 

On est loin des paroles de l'internationale qui sera le genre humain...

Alors oui, l'extrême gauche américaine c'est très spéciale... Mais bon... On va avoir une ambiance Mississippi burning inversé avec leur vision de la ségrégation new age... 

 

 

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Il y a 2 heures, Gibbs le Cajun a dit :

Quand l'extrême gauche américaine réinvente la ségrégation... 

On est loin des paroles de l'internationale qui sera le genre humain...

Alors oui, l'extrême gauche américaine c'est très spéciale... Mais bon... On va avoir une ambiance Mississippi burning inversé avec leur vision de la ségrégation new age... 

 

 

Le véritable problème, c'est que personne ne met de limites à ce qu'on peut bien appeler une hystérie collective. Ils interdisent un campus à un groupe de personne bien distinct (ségrégation) et ABSOLUMENT PERSONNE n'est là pour les dégager. Qu'est ce qui les empêchera d'aller plus loins la prochaine fois avec un tabassage en règle de ceux qui veulent juste aller s'instruire ?

Bref tant que cela touche les US je regarde cela avec un certain amusement, malheureusement en Europe on a tendance à importer toutes les idées à la c*n qui viennent d'outre Atlantique.

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il y a 32 minutes, Soho a dit :

Le véritable problème, c'est que personne ne met de limites à ce qu'on peut bien appeler une hystérie collective. Ils interdisent un campus à un groupe de personne bien distinct (ségrégation) et ABSOLUMENT PERSONNE n'est là pour les dégager. Qu'est ce qui les empêchera d'aller plus loins la prochaine fois avec un tabassage en règle de ceux qui veulent juste aller s'instruire ?

Bref tant que cela touche les US je regarde cela avec un certain amusement, malheureusement en Europe on a tendance à importer toutes les idées à la c*n qui viennent d'outre Atlantique.

Simple, le politiquement correct qui a effacé toute velléitée, trop d'emmerde, des lobby qui ont des avocats, jeux de victimisation en criant plus fort via les médias qui y verront le retour du KKK... Via une enquête qui prouvera qu'enfant on est passait une fois devant un élève de couleur à la cantine... 

En France le phénomène est déjà la... Voir les polémique via le fameux syndicat d'étudiants... 

 

Modifié par Gibbs le Cajun
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Le 16/07/2019 à 15:55, TarpTent a dit :

Il joue à la fois sur le racisme, le sexisme, le populisme, la légitimité selon lui des reconduites à la frontière, le sentiment exacerbé de supériorité américaine, la fierté du Peuple américain qui n’a de leçons à recevoir de personne et sa propre fierté écornée.

Ce n'est pas si simple, il me semble.

Pour un exposé de ce qu'il y a derrière l'attaque contre la parlementaire Ilhan Omar, que Trump a été assez stupide pour étendre à trois autres "progressistes dures", mais qui s'applique surtout à Omar, voir cette transcription d'une émission de Tucker Carlson de Fox News - un journaliste qui pourrait avoir fortement influencé la décision de Trump de finalement ne pas bombarder l'Iran après la destruction d'un drone il y a quelques semaines

Citation

Aucun pays ne peut survivre à être gouverné par des gens qui le détestent. Nous méritons mieux. Malgré tous les défauts de notre pays, c'est toujours le meilleur endroit au monde. La plupart des immigrants le savent et c'est pourquoi ils viennent ici. C'est aussi la raison pour laquelle nous avons toujours été heureux de les avoir ici.

Mais maintenant, il y a des signes que certaines personnes qui viennent de l'étranger n'aiment pas du tout ce pays. Comme nous vous l'avons dit hier soir, l'une de ces personnes siège maintenant à notre Congrès.

Pensez-y un instant. Notre pays a sauvé Ilhan Omar de l'endroit le plus pauvre de la Terre. Nous ne l'avons pas fait pour l'argent, nous l'avons fait parce que nous sommes des gens gentils. Comment a-t-elle réagi au cadeau remarquable que nous lui avons fait ?

Elle nous a grondés, nous a insulté, nous a remplis de mépris. C'est exaspérant. Plus que cela, c'est aussi inquiétant. Les États-Unis admettent plus d'immigrants que tout autre pays du monde, plus d'un million chaque année. Le Parti démocrate exige que nous l'augmentions et que nous l'admettions beaucoup plus. Les Américains aiment les immigrés, mais les immigrés doivent nous aimer à nouveau.

C'est la clé, c'est essentiel. Sinon, le pays s'effondre.

(...) Nous méprisons l'habitude actuelle de juger les gens sur la couleur de leur peau. C'est mal. C'est mal. C'est ce que nous voyons presque tous les soirs. Raciste ? Aujourd'hui, nous sommes résolument contre le racisme. Omar met constamment sa propre race au centre de la conversation, mais pour nous, ce n'est pas pertinent.

Ayaan Hirsi Ali aurait, d'un point de vue politique identitaire, tout en commun avec Ilhan Omar. Elle est née en Somalie, a déménagé au Kenya et est finalement arrivée dans ce pays. Contrairement à Omar, elle aime et se soucie des États-Unis. Elle croit que ce pays est supérieur à son pays d'origine.

Pour avoir dit cela, la gauche la méprise. Deux immigrés somaliens, l'un des peuples les plus impressionnants d'Amérique. L'autre, parmi les moindres.

Ce n'est pas une question de race. Mais, bien sûr, Omar et ses amis le savent déjà. Rien de ce qu'ils disent au sujet de la race n'est sincère. C'est l'arnaque qui leur permet d'obtenir ce qu'ils veulent. Omar a fait une carrière de dénonciatrice raciste de tout et de rien. Cela inclurait pratiquement tous ses opposants politiques et personnels. Il inclut même des objets inanimés comme le mur frontalier, c'est raciste. Le Congrès l'était aussi, tout comme l'État du Dakota du Nord tout entier, qu'elle a jadis twitté.

Omar vient peut-être d'un autre pays, mais elle a appris jeune qu'il est payant de pleurer du racisme. La grande question est : qui lui a appris ça ? Elle n'est pas arrivée d'un camp de réfugiés kenyan annonçant les gens comme des bigots pour une campagne politique. Elle n'a pas toujours été une victime professionnelle. C'est un comportement appris.

Ce qui est important, c'est qu'elle l'a appris ici. D'une certaine façon, le vrai méchant dans l'histoire d'Ilhan Omar n'est pas Omar, c'est un groupe de nos compatriotes américains. Nos gardiens culturels qui attisent le ressentiment des nouveaux arrivants et les transforment en mécontents comme Ilhan Omar. La gauche lui a fait ça, à elle et à nous.

C'est leur faute d'abord.

Tout cela est assez nettement différent d'un pot au feu incluant "le racisme, le sexisme, le populisme, la légitimité selon lui des reconduites à la frontière, le sentiment exacerbé de supériorité américaine, la fierté du Peuple américain qui n’a de leçons à recevoir de personne et sa propre fierté écornée" que tu décrivais.

Ce n'est pas de racisme ni de sexisme qu'il s'agit. Mais d'une certaine idée de ce que doit être l'attachement à un pays y compris un pays d'adoption, des devoirs des immigrants, du genre de critique qui est légitime et de celles qui ne le sont pas et de la dénonciation de stratégies politiques visant à instrumentaliser des immigrés récents en les poussant vers une position d'insatisfaits et de victimes permanentes, tout en utilisant au passage - et avec quel systématisme ! - la clé de lecture si ce n'est raciste, du moins racialiste de la société.

Il est bien évidemment permis de critiquer ce discours, de l'accepter seulement en partie ou pas du tout, de ne pas le prendre pour argent comptant.

Mais je crois qu'il faut d'abord bien comprendre ce qui est dit.

 

Le 16/07/2019 à 15:55, TarpTent a dit :

(En passant, ça ne vous rappelle pas en passant le fameux « la France, tu l’aimes ou tu la quittes ? »...)

Ça me rappelle surtout "America, love it or leave it".

Qui était un slogan anticommuniste durant la guerre du Vietnam, s'adressant aux critiques radicaux de cette guerre. Avec si on veut le défendre un sens de "critiquer oui, cracher dans la soupe non". Et si on veut l'attaquer un sens "c'est ton pays, tu dois le soutenir quoi qu'il fasse", c'est-à-dire la définition même du chauvinisme.

Dans tous les cas, un slogan utilisé contre des gens dont la plupart étaient blancs de peau, et sans doute au moins la moitié étaient des hommes. Donc ni de l'antiracisme ni du sexisme.

Ce qui n'empêche pas, encore une fois, de le critiquer. Le chauvinisme n'est évidemment pas une bonne attitude, parce que le véritable amour est lucide.

 

Il y a 4 heures, Soho a dit :

Bref tant que cela touche les US je regarde cela avec un certain amusement, malheureusement en Europe on a tendance à importer toutes les idées à la c*n qui viennent d'outre Atlantique.

C'est pas faux... mais l'inverse est vrai aussi parfois. L'ensemble des théories de "déconstruction" a pris aux Etats-Unis le nom de French theory... ce qui peut être un indice quant à leur origine :smile:

Dans le cas de cette "théorie française", on parle d'un mouvement intellectuel qui n'a guère eu d'influence en France. Version pro-déconstructionnistes : c'est parce que nul n'est prophète en son pays. Version peut-être plus réaliste : c'est parce que certains Américains ont une trop haute idée des productions intellectuelles françaises, et n'ont pas compris qu'il nous arrive aussi de produire des c.nneries.

Reste à espérer qu'il ne va pas réussir à conquérir intellectuellement la France, après ce rebond au pays de la Superpuissance :unsure:

 

il y a 21 minutes, rendbo a dit :

je regardais le défilé du 14 juillet, et comparais avec celle du 4 juillet... puis j'ai été bomber le torse avec celle du 9 mai... mais quelle blague ce truc...

L'explication je pense c'est qu'on ne peut pas réussir quelque chose si "on n'y croit pas".

Les Américains ne sont pas renommés manquer de sens du spectacle, et bien sûr ils ont assez de matos militaire pour rendre jaloux tous les Russes, Chinois, Français, Britanniques et tous les autres. Seulement voilà, c'est trop loin de leur culture.

Ils n'y croient pas du tout, et Trump n'est pas en train de réussir à transplanter la tradition du 14 juillet (ou du 9 mai des Russes etc.) au pays de l'Oncle Sam.

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16 minutes ago, Alexis said:

 

C'est pas faux... mais l'inverse est vrai aussi parfois. L'ensemble des théories de "déconstruction" a pris aux Etats-Unis le nom de French theory... ce qui peut être un indice quant à leur origine :smile:

 Dans le cas de cette "théorie française", on parle d'un mouvement intellectuel qui n'a guère eu d'influence en France. Version pro-déconstructionnistes : c'est parce que nul n'est prophète en son pays. Version peut-être plus réaliste : c'est parce que certains Américains ont une trop haute idée des productions intellectuelles françaises, et n'ont pas compris qu'il nous arrive aussi de produire des c.nneries.

 Reste à espérer qu'il ne va pas réussir à conquérir intellectuellement la France, après ce rebond au pays de la Superpuissance :unsure:

 

On penserait qu'avec toute la connerie présente jadis et maintenant dans nos universités, Foucault aurait eu un plus grand rayonnement par chez nous.... Mais c'est aux USA qu'il a été déifié. Comme quoi, pour citer George Orwell: "il y a des théories si stupides que seul des universitaires peuvent y croire". 

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il y a 17 minutes, Tancrède a dit :

On penserait qu'avec toute la connerie présente jadis et maintenant dans nos universités, Foucault aurait eu un plus grand rayonnement par chez nous.... Mais c'est aux USA qu'il a été déifié. Comme quoi, pour citer George Orwell: "il y a des théories si stupides que seul des universitaires peuvent y croire". 

C'est la déification qui est stupide. Sinon il y a beaucoup de choses que dit Foucault dans ses bouquins et qui tiennent debout.

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Ou comme le disais un autre Alexis - un certain Tocqueville- une idée à la con aura le loisirs de faire plusieurs fois le tour de la terre avant que quelque chose de vraie est pu être énoncé. Ou un truc dans ce gout là.

Il y a 2 heures, Alexis a dit :

...

L'explication je pense c'est qu'on ne peut pas réussir quelque chose si "on n'y croit pas".

 

Les Américains ne sont pas renommés manquer de sens du spectacle, et bien sûr ils ont assez de matos militaire pour rendre jaloux tous les Russes, Chinois, Français, Britanniques et tous les autres. Seulement voilà, c'est trop loin de leur culture.

Ils n'y croient pas du tout, et Trump n'est pas en train de réussir à transplanter la tradition du 14 juillet (ou du 9 mai des Russes etc.) au pays de l'Oncle Sam.

Ou comme l'a dit élégamment Trotski, pour être convaincant, il faut être convaincu

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il y a 11 minutes, Shorr kan a dit :

Ou comme l'a dit élégamment Trotski, pour être convaincant, il faut être convaincu

C'est pas faux.

D'un autre côté, il est bien gentil le Léon, mais il n'était lui-même pas exactement convaincu. Même si le début y était hein...

Simplement, en tant que fondateur de l'Armée Rouge, il était vainqueur plutôt que vaincu :dry:

 

Modifié par Alexis
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il y a 16 minutes, pascal a dit :

Il a probablement fallu un peu plus de courage à des Elisabeth von Thadden, Libertas Schulze-Boysen, Sophie Scholl, Charlotte Eisenblätter ou encore Liane Berkowitz. Il y avait moins de monde pour les applaudir...

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Il y a 3 heures, Skw a dit :

Il a probablement fallu un peu plus de courage à des Elisabeth von Thadden, Libertas Schulze-Boysen, Sophie Scholl, Charlotte Eisenblätter ou encore Liane Berkowitz. Il y avait moins de monde pour les applaudir...

je viens de lire les biographies de ces personnes : de sacrées bonnes femmes ! Mes respects mesdames ! Puissions nous etre dignes de votre héritage si doit arriver un jour malheureux ou nous aurions nous aussi des choix à faire...

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ce mec est tout de même un gros troll. L'année prochaine ou dans 5 ans, quelque part il va me manquer...

Alors que le monde tourne le dos aux pailles en plastique, Trump en vend à 15 dollars . « Parce que les pailles en papier des Libéraux ne marchent pas », le président Donald Trump propose à ses soutiens d’acheter des pailles en plastique, « réutilisables ». https://www.nouvelobs.com/monde/20190719.OBS16137/alors-que-le-monde-tourne-le-dos-aux-pailles-en-plastique-trump-en-vend-a-15-dollars.html

Au fait, c'est quoi une paille (vidéo citée dans le reportage du lien ci-dessus) ?

Révélation

 

 

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Il y a 5 heures, Gibbs le Cajun a dit :

Effectivement, ça dénote pas mal de choses sur la vision idéologique de personnes concernant des mesures politique qui prennent une autre dimension selon qui l'aurait dit... 

 

 

Les membres de sa propre administration n'ont pas appelé Obama, le "déporteur en chef" pour rien.

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Le 19/07/2019 à 01:29, rendbo a dit :

je viens de lire les biographies de ces personnes : de sacrées bonnes femmes ! Mes respects mesdames ! Puissions nous etre dignes de votre héritage si doit arriver un jour malheureux ou nous aurions nous aussi des choix à faire...

Faut pas exagérer, elles n'étaient pas seules et elles pouvaient également compter sur des hommes qui les ont aidé et qui ont péri de leur vies ! N'oublie pas que Sophie Scholl a été exécutée ainsi que son frère et leur ami Christoph Probst par exemple.

C'est devenue à la mode des femmes "héroïnes" ou "courageuses" ou "élues",... actuellement comme Greta Thunberg, ces 4 élues démocrates,  élire des femmes au sommet comme Ursula Von Der Leyen, , ...

Je considère que Donald Trump n'est pas raciste, mais un patriote américain au tempérament instable, colérique, grincheux, puéril, ... Puis, il ne faut pas oublier que ces 4 élues démocrates veulent sa destitution, il y a de quoi être de mauvaise humeur et être en colère.

Je considère ces 4 élues démocrates comme des "provocatrices féministes" qui jouent sur le fait qu'elles sont des femmes et d'origines étrangères "promotion ultramédiatique réussie à l'approche des élections" !!! Les communautés noires et hispaniques savent qui sont ces femmes maintenant dans l'ensemble des USA.

Moi, j'ai remarqué que les personnes d'origine étrangère sont élues grâce à leur communauté étrangère naturalisée, exception faite aux Asiatiques qui ne sont pas très nombreux (Chinois, Indiens, ...) !

Lors des élections récentes, j'ai demandé à des commerçants d'origine étrangère et de confession religieuse étrangère d'afficher des panneaux de candidats blancs de type européen. Ils n'ont pas voulu mais seulement ceux de leur communauté (noire, arabe, turque, ...).

Quand j'ai expliqué cela à ces candidats de leur refus, ils n'ont rien dit et que ce n'était pas grave. Moi, je n'appelle pas cela de l'intégration mais un vote communautaire !

Modifié par Mani
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:laugh:

Citation

Lors d'un discours du président américain mardi dernier, le sceau présidentiel a été modifié pour ressembler à l'aigle à deux têtes russe. Celui-ci brandissait également des clubs de golf.

Deux têtes au lieu d'une seule: le microcosme politique de Washington a dû s'y reprendre à deux fois pour se rendre compte que le sceau du président des États-Unis projeté derrière Donald Trump cette semaine lors d'un discours avait été manipulé pour ressembler à l'aigle à deux têtes russe. Celui-ci brandissait également des clubs de golf en lieu et place des habituelles flèches.

d33a0b59f6703f3687c1703635b66f867ccaca6e

http://www.lefigaro.fr/flash-actu/le-sceau-presidentiel-americain-trafique-lors-d-un-discours-de-trump-20190725

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