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L'Inde


Blacksheep
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Il y a 1 heure, bubzy a dit :

Je ne comprends pas le parallèle. 

Parce que tu n'as pas fixé de cadre, ni donné de gradation. Tu t'es contenté de tout mettre dans le même sac sous couvert de pragmatisme, et comme la publicité est déjà une forme de corruption, il ne s'agit pas d'un parallèle mais d'une interprétation extrême de ton propos pour en montrer les limites.

il y a 38 minutes, herciv a dit :

Que la France renonce à recouvrer un redressement fiscal ce ne sera pas la première fois et en plus c'est un argument qui risque de faire pshittt dans le sens où les indiens n'y ont pas perdu.

Ca fait déjà pschittt dans le sens où le "cadeau" concerne une entreprise française appartenant à Reliance, et pas un décideur indien impliqué dans la négociation du contrat Rafale. Les journalistes sont simplement en train de jouer à l'intestin : Ils avalent des trucs et en font de la m**de.

De plus, même sans être spécialiste, je m'interroge sur les chiffres. Un redressement fiscal de 143 millions pour une entreprise de 5 personnes, créée en 1999, au capital de 40000 euros, et qui fait à peine 50 millions de CA par an, ça se paye comment ?

Modifié par DEFA550
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il y a une heure, Kelkin a dit :

J'attend avec impatience tes articles sur les compromissions et corruptions dans les ventes de F-35 en Europe, en Australie et au Japon. Parce que c'est drôle, à écouter les médias, ces gros contrats internationaux-là sont d'une propreté et d'une probité inattaquables.

Mes articles ? Haa.. Si t'entends par là que tu voudrais que je me remettre au clavier tu vas attendre longtemps ^^

La corruption est faite autrement pour ce qui concerne les contrats américains. Avec leur écrasante position dominante, ils promettent simplement des postes dans des organisations internationales dans lesquelles ils gèrent tout. Au pif, l'OTAN.

il y a une heure, Kelkin a dit :

Oui, c'est vrai. Mais d'une part, ça n'a rien d'exceptionnel (il y a des centaines de cas chaque année) donc il faudrait prouver en quoi celle pour la filiale du groupe Reliance est particulière ; d'autre part il faut établir qu'il y a un rapport réel entre ça et le contrat Rafale histoire de ne pas faire une redite du coup du film de Julie Gayet. Ce sont deux choses qui manquent dans cet article, il y a juste un tissu d'allégations comme quoi il serait bien possible que ce soit en fait très mal et il serait bien possible que ce foit en fait une contrepartie, sans se mouiller vraiment, selon une approche trollesque proche du Just Asking Questions.

Faut quand même reconnaître que ça tombe à un moment particulier, pour des sommes toutes aussi particulières. 

il y a une heure, DEFA550 a dit :

Parce que tu n'as pas fixé de cadre, ni donné de gradation. Tu t'es contenté de tout mettre dans le même sac sous couvert de pragmatisme, et comme la publicité est déjà une forme de corruption, il ne s'agit pas d'un parallèle mais d'une interprétation extrême de ton propos pour en montrer les limites.

Houlala... C'est(c'était) lundi matin...

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Il y a 3 heures, herciv a dit :

La Tribune et Cabirol endosse doucement ce rôle même s'ils sont encore sur des stratégies défensives. Ils n'en sont pas encore à attaquer les concurrents de la France en propageant des articles à charge. Je pense que ça viendra.

Oui et en aparté on parlait de légion d'honneur pour les indiens favorables au Rafale... S'il est des journalistes qui la méritent aujourd'hui, Cabirol en est, de mon point de vue.

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il y a une heure, bubzy a dit :

Faut quand même reconnaître que ça tombe à un moment particulier, pour des sommes toutes aussi particulières. 

À un moment particulier ? 

Ça fait depuis 20 ans qu'on est sur le point de vendre des avions de combat à l'Inde, ça fait donc depuis 20 ans qu'on ne devrait pas faire de geste pouvant être interprété comme des "cadeaux" à une entreprise vaguement indienne et qu'on ne devrait pas en recevoir ?

Si le problème ne vient pas de l'action me de sa "simultanéité" avec des négociations pour la vente du Rafale, l'argumentation manque d'éléments. 

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La somme particulière, bof. 140 millions, même pas de quoi prendre deux Rafales.

 

Et encore, c'est juste le retrait d'un redressement fiscal. L'entreprise n'avait de toute façon pas assez d'argent dans sa trésorerie pour payer ça, donc soit il y avait un aménagement (scandale, horreur, corruption) soit il n'y en avait pas et la boîte faisait banqueroute. Je suis sûr que "le fisc pousse les entreprises françaises à la faillite" aurait aussi été très bien vu des journaleux.

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à l’instant, ARPA a dit :

À un moment particulier ? 

Ça fait depuis 20 ans qu'on est sur le point de vendre des avions de combat à l'Inde, ça fait donc depuis 20 ans qu'on ne devrait pas faire de geste pouvant être interprété comme des "cadeaux" à une entreprise vaguement indienne et qu'on ne devrait pas en recevoir ?

Si le problème ne vient pas de l'action me de sa "simultanéité" avec des négociations pour la vente du Rafale, l'argumentation manque d'éléments. 

Faut raison garder. ça fait depuis 2012 qu'on est en négociation exclusive pour fournir des Rafale à l'Inde dans le cadre du contrat MMRCA, avec un seul et unique interlocuteur local pour la mise en place de tout l'écosystème industriel: HAL.

Par contre c'est en 2015 seulement qu'est signé un contrat de gouvernement à gouvernement pour passer au dessus de ce MMRCA qui est une grosse perte de temps, et qui ne peut pas aboutir, pour l'ensemble des raisons que l'on connait. 

En sortant du contexte indien, on sait très bien qu'il y a de grosses collusions entre les riches homme d'affaires et les politiques. Je connais pas un seul pays au monde où les hommes au "pouvoir" ne sont pas mis en place par une forme d'olligarchie. Rien que pour la France, le dernier livre de Branco (mais c'est pas la seule piste) est un éclairage édifiant qui décrit le moyen qu'ils ont de décider entre eux. Les différentes affaire Karachi, Clearstream, Kadhafi nous apprennent comment sont organisés les signatures de contrat pour avoir des rétro commission qui profitent directement à certains candidats qui ensuite renvoient l’ascenseur.

Alors pourquoi serait-ce différent en Inde ? Premièrement, rien ne nous dit que les journalistes n'ont pas tord quand à la sélection du groupe Reliance, copain de Modi pour l'attribution des énormes Offset de ce contrat. Dassault n'est en rien dans ce "scandale". La maison au treffle cherche juste à travailler avec l'acteur local qu'on lui impose, peut importe lequel. 

Maintenant, entre puissants on peut très bien s'entendre pour jouer quelque cartes et faire profiter quelques copains. Effacer une dette peut faire partie du jeu. Mais se servir d'une grosse amende qu'on peut te retirer, de la part de la France c'est peut être pas une forme de corruption mais un moyen de peser dans les négociations aussi ! (ça, personne n'en parle, parce que ça reste de la supputation).

Mais voilà il y a des faits. L'effacement d'une dette avec une entreprise détentrice d'une ardoise, appartenant au même groupe qui va profiter d'un offset gigantesque, la même année de la signature d'un accord menant à ce même contrat. 

Alors le "ça fait 20 ans qu'on veut leur vendre des Rafale"... 

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il y a une heure, bubzy a dit :

Mais voilà il y a des faits. L'effacement d'une dette avec une entreprise détentrice d'une ardoise, appartenant au même groupe qui va profiter d'un offset gigantesque, la même année de la signature d'un accord menant à ce même contrat. 

Oui, il y a des faits. Mais les relier sans preuve n'est pas un fait ; C'est seulement une allusion.

Parler d'un "proche de Modi" au lieu de "Reliance Flag Atlantic France", c'est aussi un fait. Et le fait que cette société ait enregistré une perte de 16 millions en 2015 n'a sans doute aucun rapport.

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Plus qu'à espérer que Cabirol nous lise et qu'il fasse un article pour réfuter celui du Monde.

Mais avec le nouveau "scandale" des armes françaises au Yémen, on dirait que l'industrie est particulièrement visée en ce moment.

Modifié par FoxZz°
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il y a une heure, FoxZz° a dit :

Plus qu'à espérer que Cabirol nous lise et qu'il fasse un article pour réfuter celui du Monde.

Mais avec le nouveau "scandale" des armes françaises au Yémen, on dirait que l'industrie est particulièrement visée en ce moment.

Après, j'ai comme la brûlante impression que ces articles vont soudainement passer tout loin derrière l'actualité dans les semaines qui suivent et être des non-évènements.

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Not What We Said: Top Court Asks Rahul Gandhi To Explain Rafale Remark

https://www.ndtv.com/india-news/rahul-gandhis-comments-after-rafale-order-not-part-of-our-observations-says-supreme-court-seeks-his-2023178

Ce n'est pas ce que nous avons dit : la Cour suprême demande à Rahul Gandhi d'expliquer la remarque du Rafale
Les commentaires de Rahul Gandhi après l'ordonnance de Rafale ne font pas partie de nos observations, dit la Cour suprême, demande sa réponse avant lundi.

NEW DELHI : FAITS SAILLANTS

Rahul Gandhi accusé par la Cour suprême de l'avoir mal cité.
M. Gandhi dispose d'une semaine pour expliquer ses commentaires.
L'affaire d'outrage au tribunal du BJP contre lui doit être reprise mardi prochain.
Rahul Gandhi a été accusé par la Cour suprême de l'avoir mal cité sur son ordonnance Rafale et a eu une semaine pour s'expliquer avant que l'affaire d'outrage au BJP contre lui soit reprise mardi prochain.
"Nous tenons à préciser que la déclaration attribuée à ce tribunal dans l'allocution prononcée par l'intimé (Rahul Gandhi) devant les médias et le public a été attribuée à tort à ce tribunal. Nous disons clairement que ce tribunal n'a jamais fait une telle observation. Nous n'avons décidé que de l'admissibilité des documents ", ont déclaré trois juges dirigés par le juge en chef Ranjan Gogoi.

Rahul Gandhi avait fait ces commentaires la semaine dernière en réponse à la décision de la Cour suprême selon laquelle les documents classifiés auxquels les médias ont accès peuvent être utilisés comme éléments de preuve pour examiner les demandes de révision d'un verdict autorisant l'affaire du Rafale.

"Je tiens à remercier la Cour suprême. Tout le pays dit que Chowkidar chor hai (Chowkidar a commis un vol). C'est un jour de fête que la Cour suprême a parlé de justice ", avait déclaré le président du Congrès dans sa circonscription d'Amethi en Uttar Pradesh.

Le BJP l'a accusé d'avoir mis des mots dans la bouche du tribunal supérieur et l'a poursuivi pour outrage.

La Cour suprême a dit aujourd'hui qu'elle voulait la réponse de Rahul Gandhi. "Nous n'avons jamais fait de telles observations commentées par Rahul Gandhi ", a déclaré la cour.

111 COMMENTAIRES
Avertissement : NDTV a été poursuivie en justice pour 10 000 crores par Anil Ambani's Reliance Group pour sa couverture de l'affaire Rafale.

Modifié par Picdelamirand-oil
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il y a 17 minutes, Picdelamirand-oil a dit :

Je tiens à remercier la Cour suprême. Tout le pays dit que Chowkidar chor hai (Chowkidar a commis un vol).

Minute linguistique : "chowkidar" est un mot Hindi signifiant "gardien", "vigile", ou "veilleur", et c'est devenu un marqueur des membres et militants du BJP après son adoption par Narendra Modi.

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il y a 41 minutes, Kelkin a dit :

Minute linguistique : "chowkidar" est un mot Hindi signifiant "gardien", "vigile", ou "veilleur", et c'est devenu un marqueur des membres et militants du BJP après son adoption par Narendra Modi.

On peut aussi éclairer la signification de 10000 Crores: à titre de comparaison le contrat Rafale en Inde  (7.9 Milliards d'euros) fait 30000 Crores à peu près :biggrin: donc 10000 Crores c'est vraiment beaucoup.

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Il y a 2 heures, Kelkin a dit :

Minute linguistique : "chowkidar" est un mot Hindi signifiant "gardien", "vigile", ou "veilleur", et c'est devenu un marqueur des membres et militants du BJP après son adoption par Narendra Modi.

D'où le "Chowkidar Chor hai" utilisé par les pro-Congyès, qui signifie: "le gardien (Modi donc) est un voleur".

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Defence ministry admits to floundering ‘Make in India’, crippling delays in arms procurement 
https://timesofindia.indiatimes.com/india/defence-ministry-admits-to-floundering-make-in-india-crippling-delays-in-arms-procurement/articleshow/63084642.cms

Le temps Indien expliqué!

Révélation

 

HIGHLIGHTS

  • An internal defence ministry report pointed out multiple issues in the arms procurement process 
  • The 'Make in India' policy in the defence production sector continues to languish as a result 
  • No major 'Make in India’ defence project has actually kicked off in the last three to four years.

NEW DELHI: India’s entire weapons acquisitions process is badly broken and beset with huge delays, says an internal defence ministry report, pointing out that only 8-10% of 144 proposed deals in the last three financial years fructified within the stipulated time periods. 

The scathing power-point presentation, prepared by junior defence minister Subhash Bhamre for Prime Minister Narendra Modi late last year, says the arms procurement process is dogged by “multiple and diffused structures with no single-point accountability”, duplication of processes, avoidable redundant layers doing the same thing again and again, delayed execution, no real-time monitoring and no project-based approach, among other things, said sources. 

“The presentation said there is a tendency to find faults rather than to facilitate the process,” said a source. Consequently, the entire 'Make in India' policy in the defence production sector continues to languish due to procedural delays, without taking off in any concrete manner. Cognisance should be taken of the “hard, uncomfortable facts” to ensure “correctives” are put in place, with proper responsibility and accountability being fixed, says the presentation. 

[....]

The internal MoD presentation points out that the crippling delays, which begin right from the formulation of technical requirements in the tenders through the SQRs (staff qualitative requirements) to the final approval by the competent financial authority like the Cabinet Committee on Security, amount to 2.6 to 15.4 times the laid down deadlines for various projects. 

It takes around 120 weeks on an average to clear files after a tender or RFP (request for proposal) is finalised, which is six times the laid-down norm by the MoD in 2016. In one particular case, it took almost eight years for this to happen. Similarly, the contract negotiation committee (CNC) stage witnesses delays about 10 times more than what is allowed. 

 

FAITS SAILLANTS

  • Un rapport interne du ministère de la Défense a mis en évidence de multiples problèmes dans le processus d'acquisition d'armes 
  • La politique " Make in India " dans le secteur de la production de défense continue de languir en conséquence. 
  • Aucun grand projet de défense " Make in India " n'a été lancé au cours des trois ou quatre dernières années.

NEW DELHI : Tout le processus d'acquisition d'armes de l'Inde est gravement brisé et accablé de retards considérables, selon un rapport du ministère de la Défense interne, qui souligne que seulement 8 à 10 % des 144 transactions proposées au cours des trois derniers exercices financiers ont été réalisées dans les délais impartis. 

La présentation power-point cinglante, préparée par le ministre de la Défense Subhash Bhamre pour le Premier ministre Narendra Modi à la fin de l'année dernière, affirme que le processus d'acquisition d'armes est tendu par "des structures multiples et diffuses sans responsabilité unique", la duplication des processus, des couches redondantes évitables faisant la même chose encore et encore, une exécution retardée, aucun contrôle en temps réel et aucune approche basée sur les projets, entre autres choses, ont déclaré les sources. 

"La présentation a dit qu'il y a une tendance à trouver des défauts plutôt qu'à faciliter le processus," a déclaré une source. En conséquence, l'ensemble de la politique " Make in India " dans le secteur de la production de défense continue de languir en raison de retards procéduraux, sans décoller de manière concrète. Il faut tenir compte des " faits durs et inconfortables " pour s'assurer que des " mesures correctives " sont mises en place, et que les responsabilités et l'obligation de rendre compte sont bien établies, dit l'exposé. 

[....]

La présentation interne du Ministère de la défense souligne que les retards paralysants, qui vont de la formulation des exigences techniques dans les appels d'offres en passant par les SQR (exigences qualitatives du personnel) jusqu'à l'approbation finale par l'autorité financière compétente comme le Comité du Cabinet sur la sécurité, représentent de 2,6 à 15,4 fois les délais prévus pour divers projets. 

Il faut en moyenne 120 semaines pour régler les dossiers après la finalisation d'un appel d'offres ou d'une demande de propositions, soit six fois la norme établie par le ministère de la Défense en 2016. Dans un cas particulier, il a fallu près de huit ans pour que cela se produise. De même, l'étape du comité de négociation des contrats (CNC) est témoin de retards environ 10 fois supérieurs à ce qui est permis. 

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il y a 37 minutes, Picdelamirand-oil a dit :

Defence ministry admits to floundering ‘Make in India’, crippling delays in arms procurement 
https://timesofindia.indiatimes.com/india/defence-ministry-admits-to-floundering-make-in-india-crippling-delays-in-arms-procurement/articleshow/63084642.cms

Le temps Indien expliqué!

  Révéler le texte masqué

 

HIGHLIGHTS

  • An internal defence ministry report pointed out multiple issues in the arms procurement process 
  • The 'Make in India' policy in the defence production sector continues to languish as a result 
  • No major 'Make in India’ defence project has actually kicked off in the last three to four years.

NEW DELHI: India’s entire weapons acquisitions process is badly broken and beset with huge delays, says an internal defence ministry report, pointing out that only 8-10% of 144 proposed deals in the last three financial years fructified within the stipulated time periods. 

The scathing power-point presentation, prepared by junior defence minister Subhash Bhamre for Prime Minister Narendra Modi late last year, says the arms procurement process is dogged by “multiple and diffused structures with no single-point accountability”, duplication of processes, avoidable redundant layers doing the same thing again and again, delayed execution, no real-time monitoring and no project-based approach, among other things, said sources. 

“The presentation said there is a tendency to find faults rather than to facilitate the process,” said a source. Consequently, the entire 'Make in India' policy in the defence production sector continues to languish due to procedural delays, without taking off in any concrete manner. Cognisance should be taken of the “hard, uncomfortable facts” to ensure “correctives” are put in place, with proper responsibility and accountability being fixed, says the presentation. 

[....]

The internal MoD presentation points out that the crippling delays, which begin right from the formulation of technical requirements in the tenders through the SQRs (staff qualitative requirements) to the final approval by the competent financial authority like the Cabinet Committee on Security, amount to 2.6 to 15.4 times the laid down deadlines for various projects. 

It takes around 120 weeks on an average to clear files after a tender or RFP (request for proposal) is finalised, which is six times the laid-down norm by the MoD in 2016. In one particular case, it took almost eight years for this to happen. Similarly, the contract negotiation committee (CNC) stage witnesses delays about 10 times more than what is allowed. 

 

FAITS SAILLANTS

  • Un rapport interne du ministère de la Défense a mis en évidence de multiples problèmes dans le processus d'acquisition d'armes 
  • La politique " Make in India " dans le secteur de la production de défense continue de languir en conséquence. 
  • Aucun grand projet de défense " Make in India " n'a été lancé au cours des trois ou quatre dernières années.

NEW DELHI : Tout le processus d'acquisition d'armes de l'Inde est gravement brisé et accablé de retards considérables, selon un rapport du ministère de la Défense interne, qui souligne que seulement 8 à 10 % des 144 transactions proposées au cours des trois derniers exercices financiers ont été réalisées dans les délais impartis. 

La présentation power-point cinglante, préparée par le ministre de la Défense Subhash Bhamre pour le Premier ministre Narendra Modi à la fin de l'année dernière, affirme que le processus d'acquisition d'armes est tendu par "des structures multiples et diffuses sans responsabilité unique", la duplication des processus, des couches redondantes évitables faisant la même chose encore et encore, une exécution retardée, aucun contrôle en temps réel et aucune approche basée sur les projets, entre autres choses, ont déclaré les sources. 

"La présentation a dit qu'il y a une tendance à trouver des défauts plutôt qu'à faciliter le processus," a déclaré une source. En conséquence, l'ensemble de la politique " Make in India " dans le secteur de la production de défense continue de languir en raison de retards procéduraux, sans décoller de manière concrète. Il faut tenir compte des " faits durs et inconfortables " pour s'assurer que des " mesures correctives " sont mises en place, et que les responsabilités et l'obligation de rendre compte sont bien établies, dit l'exposé. 

[....]

La présentation interne du Ministère de la défense souligne que les retards paralysants, qui vont de la formulation des exigences techniques dans les appels d'offres en passant par les SQR (exigences qualitatives du personnel) jusqu'à l'approbation finale par l'autorité financière compétente comme le Comité du Cabinet sur la sécurité, représentent de 2,6 à 15,4 fois les délais prévus pour divers projets. 

Il faut en moyenne 120 semaines pour régler les dossiers après la finalisation d'un appel d'offres ou d'une demande de propositions, soit six fois la norme établie par le ministère de la Défense en 2016. Dans un cas particulier, il a fallu près de huit ans pour que cela se produise. De même, l'étape du comité de négociation des contrats (CNC) est témoin de retards environ 10 fois supérieurs à ce qui est permis. 

Ca sent l'analyse préalable à une réorganisation post élection.

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Je savais que le journal Le Monde était un journal de gauche avec peu de neutralité politique, mais de là à intervenir au moment des élections législatives en Inde pour aider le Congrès (centre gauche) ! Ne peut-on parler de complot politique de ce journal en vue de favoriser un parti politique qui est de sa tendance ?

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4 minutes ago, Mani said:

Je savais que le journal Le Monde était un journal de gauche avec peu de neutralité politique, mais de là à intervenir au moment des élections législatives en Inde pour aider le Congrès (centre gauche) ! Ne peut-on parler de complot politique de ce journal en vue de favoriser un parti politique qui est de sa tendance ? 

Exactement ... j'ai appelé le procureur Mueller pour m'en plaindre!

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il y a 5 minutes, Mani a dit :

Ne peut-on parler de complot politique de ce journal en vue de favoriser un parti politique qui est de sa tendance ?

Il ne faut pas, non plus, faire de procès d'intention.

Une convergence des idées ou des intérêts n'implique pas nécessairement une action concertée.

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il y a 42 minutes, g4lly a dit :

Exactement ... j'ai appelé le procureur Mueller pour m'en plaindre!

C'est une ingérence extérieure comme aux Etats-Unis lors des élections législatives en vue de favoriser un candidat :normalc: et Poutine n'y ait pour rien ... après les élections, il faudra établir une commission d'enquête sur Le Monde, son influence ou agissement et ses liens sur ces élections ...

De toute façon, le BJP devrait faire plus attention à ces industriels indiens qui changent de bord politique quand ça les arrange !

Certains industriels étaient au Congrès avant, puis de passer au BJP ... certains ont des casseroles derrière eux !

Modifié par Mani
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Il y a 4 heures, Mani a dit :

C'est une ingérence extérieure comme aux Etats-Unis lors des élections législatives en vue de favoriser un candidat :normalc: et Poutine n'y ait pour rien ... après les élections, il faudra établir une commission d'enquête sur Le Monde, son influence ou agissement et ses liens sur ces élections ...

De toute façon, le BJP devrait faire plus attention à ces industriels indiens qui changent de bord politique quand ça les arrange !

Certains industriels étaient au Congrès avant, puis de passer au BJP ... certains ont des casseroles derrière eux ! 

Parti comme ça, @Mani, tu vas avoir bien d'autres priorités que cette commission d'enquête sur les agissements et l'influence de la presse. Je crois qu'il va d'abord falloir construire de gigantesques prisons pour y embastiller tous les futurs coupables de délit de journalisme. :biggrin:

Sérieusement ! Tu mets à égalité les travaux journalistiques d'un titre étranger avec les agissements directs de services étrangers pour peser sur le résultat d'une élection en volant des documents et en manipulant des personnes ? D'une part tu surestime grandement le pouvoir de nuisance de Le Monde sur la société indienne, et d'autre part tu prends un tournant qui m'apparait grandement préjudiciable à une large partie de la presse, même au delà de la presse dite d'opinion.

Je ne connais de journalistes neutres et objectifs que chez les rapporteurs de faits divers. Et encore, il ne faut pas qu'ils rapportent les faits de société, mais simplement le dernier anniversaire à la maison de retraite, les chevaux échappés de leur enclos ou la fermeture temporaire de la bibliothèque pour travaux (et encore, cela peut être soumis à interprétation).

Tous les autres journalistes, même ceux des pages sport ou des pages justice, ont un parti pris qui va nécessairement transparaître dans leurs orientations de choix de sujet et de traitement de celui-ci. Si la rigueur journalistique est en droit d'exiger qu'ils tentent de traiter tous les aspects de leur sujet, on ne peut pas, pour autant, les priver de la liberté de le traiter à charge ou à décharge. S'il devrait leur être interdit de mentir (ouvertement), rien n'empêche une omission pudique des aspects qui les dérangent. Et même dans le cas d'un mensonge avéré, on ne peut les juger qu'à l'aune des informations disponibles, pour eux, au moment de leur publication.

Quant à l'influence que peut avoir la presse, qu'elle soit orientée ou non, il faut admettre qu'elle fait partie du jeu. C'est tout. Et considérer le travail des journalistes du monde comme une ingérence extérieure en Inde, c'est tout aussi ridicule que d'accorder du crédit au traitement de l'actualité française par Fox News ou Russia Today. Pour les indiens, ce que dit Le Monde devrait être, au mieux, un élément susceptible de les faire sourire, et au pire une nuisance telle qu'un désagréable bruit de fond. En aucun cas une ingérence, à moins que l'Inde n'ait l'intention de mettre la presse mondiale au pas.

Et pour les industriels qui changent de bord politique, il faut en voir le bon côté des choses : ça assure une certaine stabilité du tissus industriel qui serait, sinon, déchiré à chaque alternance politique. Au moins, si la reconduite des industriels déjà aux affaires peut être suspecte (en termes de corruption, ou plus pudiquement de sponsoring des politiques, notamment), elle n'en représente pas moins du temps gagné par rapport à la renégociation permanente qu'imposerait une alternance politique avec la rupture des contrats signés par des sympathisants de l'autre bord.

Et puis, finalement, une entreprise a t'elle vraiment un "bord politique" ? N'est ce pas simplement celui de ses dirigeants ? Ceux-ci sont ils obligés de rester les mêmes et de conserver leurs opinions ad vitam aeternam ? N'auraient ils pas le droit de changer d'avis, quel qu'en soit le motif, même par intérêt ? Quelle doit être la sincérité du soutien politique d'un capitaine d'industrie ?

Mes questions n'appellent pas de réponse, et en tout cas, certainement pas sur ce fil car on s'éloigne grandement du domaine de l'Armée de l'Air de la République de l'Inde pour glisser vers les sujets de politique et de morale.

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Il y a 2 heures, bubzy a dit :

Le Monde appartient à Xavier Niel et Matthieu Pigasse. Donc on est loiiiiiiin de la gauche.

Citation

Depuis son passage dans les cabinets ministériels de Dominique Strauss-Kahn et de Laurent Fabius, il est resté proche de Dominique Strauss-Kahn35,36.

Il est membre du conseil d'administration de la Fondation Jean-Jaurès, think tank du parti socialiste, ainsi que de la fondation pro-européenne EuropaNova.

En 2007, il a fait partie des Gracques. La même année, le « banquier de gauche » conseille Ségolène Royal et certains lui prêtent des ambitions concernant un ministère en cas de victoire de la candidate socialiste à l'élection présidentielle

En 2009, il collabore avec Dominique Strauss-Kahn, Laurent Fabius, Ségolène Royal, Bertrand Delanoë et aussi Manuel Valls38.

En 2011, pour célébrer les trente ans de l'élection de François Mitterrand, Matthieu Pigasse et Pierre Bergé organisent un concert place de la Bastille à Paris3, qui réunit entre 40 000 et 70 000 participants39.

En 2012, il soutient le projet de François Hollande de taxation des revenus supérieurs à 1 million d'euros à 75 %40, ce que lui reproche Philippe Villin qui avance qu'il « ne paraît guère payer d'impôt en France »35, information que Matthieu Pigasse dément affirmant que « la très large majorité de [ses] revenus est imposée en France »41

Pas si loin que ça... Un peu caviar sur les bords.

https://fr.wikipedia.org/wiki/Matthieu_Pigasse

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