Aller au contenu
AIR-DEFENSE.NET

L'Inde


Blacksheep
 Share

Messages recommandés

N'empêche quel dommage de ne plus avoir les insides de Parikrama. . .

Qu'il signe pour 200 rafale et 100 rafale M et on en parle plus. . .:biggrin:

Ou plutôt on aborde le SCAF histoire de d'aplanir les premières difficultés pour que les enfants ou petits enfants des actuels négociateurs puissent finaliser de deal dans 50 ans. . .:laugh:

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

11 minutes ago, Full Metal Jacket said:

l'avion n'est pas FOC il me semble.  donc à ne pas mettre prés des lignes de front potentielles.

Selon wiki, le Tejas est sur cette base depuis 2016 et "in service".  Donc si pas encore FOC, c'est que le Tejas n'est clairement pas pres de remplacer les Mig 21 comme il etait prevu

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

Il y a 2 heures, Patrick a dit :

Ah bon?
Le RB001 est pourtant doté de tous les artifices "différents" qu'on suppose conformes au Rafale F4.2/"Indian Specific Enhancements".

Même chose pour les autres apparemment. Regarde tout en bas de cette page pour des images des RB003 et RB006. Même configuration, visible de loin avec le cache noir à l'avant du "cigare" en sommet de dérive, l'antenne Cargo qui accueille des modules de Spectra et les DDMNG.

https://omnirole-rafale.com/rafale-egypte-qatar-inde/

Je croyais que le rb008 permettait de valider tout ça. Et comme il était livré plus tard je me demandais comment tout était intégré.

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

Dassault In Talks To Buy Out Reliance Stake In DRAL

idrw.org .Read more at India No 1 Defence News Website https://idrw.org/dassault-in-talks-to-buy-out-reliance-stake-in-dral/ .

L'avionneur français Dassault apprend-on qu'il est en pourparlers pour racheter la participation de son partenaire Reliance dans leur entreprise commune Dassault Reliance Aerospace Limited (DRAL). Le PDG de DRAL nommé par Reliance, Sampathkumaran ST, aurait récemment démissionné. Reliance Infrastructure est l'actionnaire majoritaire de la JV 51:49. Ce développement a eu lieu deux ans avant le déploiement prévu de l'avion d'affaires Dassault Falcon 2000 entièrement assemblé, provenant de l'usine de fabrication de DRAL dans la zone économique spéciale de Mihan à Nagpur, dans le cadre de l'augmentation de la décharge des compensations dans l'accord de 7,87 milliards d'euros sur l'avion de combat Rafale. Le PDG de DRAL Sampathkumaran ST, nommé par Reliance, aurait récemment démissionné. Reliance Infrastructure est l'actionnaire majoritaire de la JV 51:49. "Dassault cherche à obtenir une participation de 100 % dans DRAL, comme le permet la réglementation indienne. La partie française gère déjà toute l'activité de fabrication à la DRAL", a confirmé une source informée à ce journaliste. Annoncée peu après la signature de l'accord entre le gouvernement indien et le gouvernement français pour la fabrication de 36 chasseurs Rafale en 2016, la JV devait être "un acteur clé dans l'exécution des obligations de compensation" dans le cadre du contrat. La partie française doit s'acquitter de 50 % des compensations - ou obligations de contre-commercialisation - en s'approvisionnant en Inde en équipements ou composants de défense et d'aérospatiale d'une valeur de 3,9 milliards d'euros.

"Dassault cherche à obtenir une participation de 100 % dans la DRAL, comme le permet la réglementation indienne. La partie française s'occupe déjà de toute l'activité de fabrication à la DRAL", a confirmé une source informée à ce journaliste. "La joint venture représente également un investissement direct étranger (IDE) inégalé de Dassault Aviation de plus de 100 millions d'euros, le plus important IDE de ce type dans le secteur de la défense en un seul endroit en Inde", a déclaré Dassault dans un communiqué. La DRAL a commencé à fabriquer des structures aéronautiques pour le Falcon 2000 en 2018. "Ces premières étapes devraient permettre dans les années à venir la mise en place éventuelle de l'assemblage final des avions Rafale et Falcon", avait déclaré Dassault. L'approvisionnement par des équipementiers étrangers de composants aérospatiaux civils fabriqués en Inde est autorisé pour l'exécution de compensations dans le cadre d'accords de défense. La DRAL a commencé à fabriquer des structures aéronautiques pour le Falcon 2000 en 2018. "Ces premières étapes devraient permettre dans les années à venir la mise en place éventuelle de l'assemblage final des avions Rafale et Falcon", avait déclaré Dassault En février 2019, la première section avant du cockpit du Falcon 2000 produite par DRAL a été livrée à la chaîne d'assemblage en France dans le cadre de la chaîne d'approvisionnement mondiale pour la fabrication du jet d'affaires le plus vendu. "En parallèle, des infrastructures plus importantes sont en cours de développement et seront bientôt achevées, permettant la montée en puissance des capacités de DRAL en vue du décollage d'un Falcon 2000 entier entièrement fabriqué et assemblé en Inde", avait alors déclaré Dassault dans un communiqué. Le déploiement de Falcon 2000 en fera la première chaîne d'assemblage de jets commerciaux du secteur privé en Inde. Dans une vidéo diffusée lors de la récente DefExpo20 à Lucknow, Dassault a déclaré que deux hangars supplémentaires sont en cours de construction en plus des installations de pointe de la phase 1 de 150 000 pieds carrés, et que 600 à 700 personnes seraient employées dans les installations de Nagpur d'ici 2022 dans le cadre des plans d'expansion. Des rapports suggèrent que l'avionneur français prévoit d'assembler deux jets par mois à Nagpur. En attendant, Dassault a annoncé qu'il s'approvisionne désormais en portes de moteurs Rafale à Nagpur et en pylônes à Gurgaon.


Traduit avec www.DeepL.com/Translator (version gratuite)

Modifié par Picdelamirand-oil
  • J'aime (+1) 1
  • Merci (+1) 2
  • Confus 1
Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

il y a 10 minutes, Picdelamirand-oil a dit :

Dassault In Talks To Buy Out Reliance Stake In DRAL

idrw.org .Read more at India No 1 Defence News Website https://idrw.org/dassault-in-talks-to-buy-out-reliance-stake-in-dral/ .

L'avionneur français Dassault apprend-on qu'il est en pourparlers pour racheter la participation de son partenaire Reliance dans leur entreprise commune Dassault Reliance Aerospace Limited (DRAL). Le PDG de DRAL nommé par Reliance, Sampathkumaran ST, aurait récemment démissionné. Reliance Infrastructure est l'actionnaire majoritaire de la JV 51:49. Ce développement a eu lieu deux ans avant le déploiement prévu de l'avion d'affaires Dassault Falcon 2000 entièrement assemblé, provenant de l'usine de fabrication de DRAL dans la zone économique spéciale de Mihan à Nagpur, dans le cadre de l'augmentation de la décharge des compensations dans l'accord de 7,87 milliards d'euros sur l'avion de combat Rafale. Le PDG de DRAL Sampathkumaran ST, nommé par Reliance, aurait récemment démissionné. Reliance Infrastructure est l'actionnaire majoritaire de la JV 51:49. "Dassault cherche à obtenir une participation de 100 % dans DRAL, comme le permet la réglementation indienne. La partie française gère déjà toute l'activité de fabrication à la DRAL", a confirmé une source informée à ce journaliste. Annoncée peu après la signature de l'accord entre le gouvernement indien et le gouvernement français pour la fabrication de 36 chasseurs Rafale en 2016, la JV devait être "un acteur clé dans l'exécution des obligations de compensation" dans le cadre du contrat. La partie française doit s'acquitter de 50 % des compensations - ou obligations de contre-commercialisation - en s'approvisionnant en Inde en équipements ou composants de défense et d'aérospatiale d'une valeur de 3,9 milliards d'euros.

"Dassault cherche à obtenir une participation de 100 % dans la DRAL, comme le permet la réglementation indienne. La partie française s'occupe déjà de toute l'activité de fabrication à la DRAL", a confirmé une source informée à ce journaliste. "La joint venture représente également un investissement direct étranger (IDE) inégalé de Dassault Aviation de plus de 100 millions d'euros, le plus important IDE de ce type dans le secteur de la défense en un seul endroit en Inde", a déclaré Dassault dans un communiqué. La DRAL a commencé à fabriquer des structures aéronautiques pour le Falcon 2000 en 2018. "Ces premières étapes devraient permettre dans les années à venir la mise en place éventuelle de l'assemblage final des avions Rafale et Falcon", avait déclaré Dassault. L'approvisionnement par des équipementiers étrangers de composants aérospatiaux civils fabriqués en Inde est autorisé pour l'exécution de compensations dans le cadre d'accords de défense. La DRAL a commencé à fabriquer des structures aéronautiques pour le Falcon 2000 en 2018. "Ces premières étapes devraient permettre dans les années à venir la mise en place éventuelle de l'assemblage final des avions Rafale et Falcon", avait déclaré Dassault En février 2019, la première section avant du cockpit du Falcon 2000 produite par DRAL a été livrée à la chaîne d'assemblage en France dans le cadre de la chaîne d'approvisionnement mondiale pour la fabrication du jet d'affaires le plus vendu. "En parallèle, des infrastructures plus importantes sont en cours de développement et seront bientôt achevées, permettant la montée en puissance des capacités de DRAL en vue du décollage d'un Falcon 2000 entier entièrement fabriqué et assemblé en Inde", avait alors déclaré Dassault dans un communiqué. Le déploiement de Falcon 2000 en fera la première chaîne d'assemblage de jets commerciaux du secteur privé en Inde. Dans une vidéo diffusée lors de la récente DefExpo20 à Lucknow, Dassault a déclaré que deux hangars supplémentaires sont en cours de construction en plus des installations de pointe de la phase 1 de 150 000 pieds carrés, et que 600 à 700 personnes seraient employées dans les installations de Nagpur d'ici 2022 dans le cadre des plans d'expansion. Des rapports suggèrent que l'avionneur français prévoit d'assembler deux jets par mois à Nagpur. En attendant, Dassault a annoncé qu'il s'approvisionne désormais en portes de moteurs Rafale à Nagpur et en pylônes à Gurgaon.


Traduit avec www.DeepL.com/Translator (version gratuite)

Houlalalalala le sac d'embrouilles...

Je ne m'attendais pas du tout à ce développement.

Pourtant le responsable indien de Reliance avait l'air d'être quelqu'un de sérieux avec de l'expérience...
Et au lieu d'obtenir la nomination de quelqu'un d'autre Dassault voudrait se débarasser de Reliance d'un seul coup? Qu'est-ce que c'est que cette histoire?
Et surtout est-ce que ça ne contrevient pas aux dispositions du contrat? Qui va être le partenaire "Inde" de Dassault?
Est-ce qu'il va y avoir la création d'un "Dassault India"?
Quelle va être la réaction politique? Et surtout du côté de HAL? (qui pour rappel est lié à Boeing)

C'est le truc le plus étrange qui puisse arriver!

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

il y a 3 minutes, Patrick a dit :

Houlalalalala le sac d'embrouilles...

Je ne m'attendais pas du tout à ce développement.

Pourtant le responsable indien de Reliance avait l'air d'être quelqu'un de sérieux avec de l'expérience...
Et au lieu d'obtenir la nomination de quelqu'un d'autre Dassault voudrait se débarasser de Reliance d'un seul coup? Qu'est-ce que c'est que cette histoire?
Et surtout est-ce que ça ne contrevient pas aux dispositions du contrat? Qui va être le partenaire "Inde" de Dassault?
Est-ce qu'il va y avoir la création d'un "Dassault India"?
Quelle va être la réaction politique? Et surtout du côté de HAL? (qui pour rappel est lié à Boeing)

C'est le truc le plus étrange qui puisse arriver!

Bof, Dassault ne ferait pas ça sans l'accord du gouvernement Indien, et puis Raoul a peut être raison Anil n'a presque rien mis dans la JV, puis il n'a rien fait et maintenant que la JV a de l'activité et des perspectives il la revend en faisant un gros bénéfice, mais justifié par sa valeur réelle. Avec ce bénéfice il peut payer les pots de vin qu'on est obligé de promettre pour avoir un contrat en Inde. Mais tout est légal.

  • J'aime (+1) 1
Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

il y a 1 minute, Picdelamirand-oil a dit :

Bof, Dassault ne ferait pas ça sans l'accord du gouvernement Indien, et puis Raoul a peut être raison Anil n'a presque rien mis dans la JV, puis il n'a rien fait et maintenant que la JV a de l'activité et des perspectives il la revend en faisant un gros bénéfice, mais justifié par sa valeur réelle. Avec ce bénéfice il peut payer les pots de vin qu'on est obligé de promettre pour avoir un contrat en Inde. Mais tout est légal.

Traduction: en Inde on est vraiment entourés de champions du monde...

Et qu'est-ce que tu appelles des pots-de-vin dans le cas présent? Ça date du changement de direction quand l'aîné de la fratrie Ambanie, Mukesh Ambani, a vendu au cadet Anil Ambani?

J'entends déjà la presse indienne scandalisée...

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

il y a 10 minutes, Patrick a dit :

J'en ai bien peur.

Mais non c'est ça la beauté de la manœuvre Raoul a usé toute son énergie sur des Fakes scandales et maintenant il est grillé, si il reprend sa croisade contre le Rafale tout le monde va rigoler. Merci médiapart. :chirolp_iei:

Modifié par Picdelamirand-oil
  • Haha (+1) 2
Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

C'est tout le problème, avec Reliance, Dassault avait déjà la main sur tout avec DRAL, c'était un partenaire de paille qui n'était là que pour la figuration, maintenant sans acteur indien, ca pourrait se retourner contre lui, les autres vont peut être en profiter pour jouer cette carte.

Modifié par zx
Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

il y a 13 minutes, zx a dit :

C'est tout le problème, avec Reliance, Dassault avait déjà la main sur tout avec DRAL, c'était un partenaire de paille qui n'était là que pour la figuration, maintenant sans acteur indien, ca pourrait se retourner contre lui, les autres vont peut être en profiter pour jouer cette carte.

Oui enfin comme dit Pic, Dassault n'aurai pas fait ça sans l'accord (voir sur demande) du gouvernement indien...

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

il y a 8 minutes, emixam a dit :

Oui enfin comme dit Pic, Dassault n'aurai pas fait ça sans l'accord (voir sur demande) du gouvernement indien...

Même s'il n'y a pas d'indien aux commandes, il serait opportun d'analyser ce qu'il en est vraiment. 

Est-ce qu'une entreprise, même sur investissement étranger, est implanté en Inde, fait travailler des indien, et réalisent une activité industrielle et économique sur le sol indien peut convenir dans le cadre du Make In India ?

Car quelque part, Dassault est tranquillement en train de faire de la délocalisation de production, donc c'est forcément à l'avantage de l'Inde !

Pour le reste, il s'agit de se poser la question de savoir pourquoi ils ont pris les commandes et/ou Reliance se désengage. 

Est-ce un mauvais signe, dans le sens ou Reliance pense qu'il ne s'y retrouvera pas, et étant proche du pouvoir, saurait des choses qui iraient dans ce sens ?

Ou est-ce une manoeuvre politique qui fait que, du fait du désengagement de Reliance et de son milliardaire contesté, une opportunité pour donner moins de grain à moudre à tous les opposants politiques en vue d'une prochaine commande ?

Je vais aller lire l'avenir dans mon plat de pâtes, je crois que j'ai statistiquement plus de chance d'avoir une réponse plutôt qu'en tentant de comprendre le jeu des chaises musicales et l'avenir en Inde...

  • Upvote (+1) 1
Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

il y a 31 minutes, bubzy a dit :

Car quelque part, Dassault est tranquillement en train de faire de la délocalisation de production, donc c'est forcément à l'avantage de l'Inde !

Pour le reste, il s'agit de se poser la question de savoir pourquoi ils ont pris les commandes et/ou Reliance se désengage.

Ou est-ce que ce scénario de prise de contrôle total n'était pas inscrit dès le départ, mais réalisé par étapes ?  et là:   "dernière" étape ! 

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

il y a 2 minutes, Bechar06 a dit :

Ou est-ce que ce scénario de prise de contrôle total n'était pas inscrit dès le départ, mais réalisé par étapes ?  et là:   "dernière" étape ! 

Je vois rien dans mes pâtes... C'est le fromage fondu qui brouille ma lecture !

  • Haha (+1) 3
Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

il y a 40 minutes, bubzy a dit :

Est-ce qu'une entreprise, même sur investissement étranger, est implanté en Inde, fait travailler des indien, et réalisent une activité industrielle et économique sur le sol indien peut convenir dans le cadre du Make In India ?

L'article insiste lourdement sur le fait que c'est autorisé, et je rajouterais que c'est autorisé maintenant.

  • Merci (+1) 1
Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

Rejoindre la conversation

Vous pouvez publier maintenant et vous inscrire plus tard. Si vous avez un compte, connectez-vous maintenant pour publier avec votre compte.

Invité
Répondre à ce sujet…

×   Collé en tant que texte enrichi.   Restaurer la mise en forme

  Seulement 75 émoticônes maximum sont autorisées.

×   Votre lien a été automatiquement intégré.   Afficher plutôt comme un lien

×   Votre contenu précédent a été rétabli.   Vider l’éditeur

×   Vous ne pouvez pas directement coller des images. Envoyez-les depuis votre ordinateur ou insérez-les depuis une URL.

 Share

  • Statistiques des membres

    5 967
    Total des membres
    1 749
    Maximum en ligne
    Stevendes
    Membre le plus récent
    Stevendes
    Inscription
  • Statistiques des forums

    21,5k
    Total des sujets
    1,7m
    Total des messages
  • Statistiques des blogs

    4
    Total des blogs
    3
    Total des billets
×
×
  • Créer...