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La FRANCE devint une puissance spatiale: étapes symboliques


Bechar06
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Le 22/02/2021 à 09:52, Bechar06 a dit :

Lecture seulement via ce lien : https://www.air-cosmos.com/article/il-y-a-60-ans-le-cerma-faisait-voler-hector-le-premier-ratonaute-24263   

Ou le premier  passager biologiquement vivant  de l'espace français : un RAT au nom de Hector, lancé au sommet d'une fusée Véronique AGI24  le 22 février 1961 ... En fait le Hector en question a rongé, avant le départ,  les conducteurs auxquels il était relié. C'est sa doublure qui est parti dans la capsule.  Départ de Hammaguir, base spatiale en Algérie  du Sud Ouest. Montée à 109 km d'altitude. 5 minute de micro-apesanteur. 

Puis récupération sans problèmes !  SUCCES 

Lien actualisé ?

https://www.air-cosmos.com/article/il-y-a-60-ans-le-cerma-faisait-voler-hector-le-premier-ratonaute-24273

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  • 2 months later...

Je n'irai pas, personnellement, créer un FIL  nouveau du genre "l' UK aurait pu devenir une puissance spatiale, Etapes",

mais tout de même cela n'interdit pas de rappeler des étapes pour une perte d'indépendance, contrairement à la France

Ce que fait A&C

https://www.air-cosmos.com/article/il-y-a-50-ans-les-britanniques-la-conqute-de-lespace-partie-1-les-premiers-pas-dans-lespace-25496

https://www.air-cosmos.com/article/il-y-a-50-ans-les-britanniques-la-conqute-de-lespace-partie-2-des-tudes-balistiques-prospero-25497

Cependant, en lisant ces 2 articles, je repère des approximations... en tous cas des points superficiels de A&C

Par ex. avec  "Après cette expérimentation prometteuse, ceux-ci organisent le 17 avril 1958 avec Skylark SL-07 une nouvelle étude d’aéronomie qui atteint 146 km d’altitude. Les Britanniques effectuaient ainsi leurs premiers pas dans l’espace. S’ils accusaient un net retard par rapport aux Américains et Soviétiques, ils étaient en revanche la nation européenne la plus avancée dans l’exploration spatiale." 

ou erreur des 2 spécialistes auteurs de cet article ?  A tout  le moins un manque de mise en perspective au niveau européen

Ou mon parti-pris ( pour Véronique par ex. ) ? 

 

Modifié par Bechar06
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  • 5 months later...

Nouvel épisode proposé par Air et Cosmos         https://air-cosmos.com/article/il-y-a-50-ans-sret-banc-d-essais-pour-l-industrie-spatiale-francaise-28989

COPIE INTEGRALE  

"Il y a 50 ans : Sret, banc d’essais pour l’industrie spatiale française                   Le 4 avril 1972, le satellite technologique français Sret 1 décollait de Plessetsk, en Russie, et devenait le premier satellite occidental placé sur orbite par un lanceur soviétique.  

A l’heure de la Détente, le général de Gaulle effectue une spectaculaire visite officielle en URSS du 20 juin au 1er juillet 1966. Soucieux de l’indépendance de la France, celui-ci estime qu’elle ne doit pas coopérer uniquement avec les pays du bloc occidental. Il souhaite dépasser le contexte du monde bipolaire et montrer qu’il est concevable d’échanger, voire de coopérer avec l’ennemi idéologique. L’espace apparaît alors comme un lieu d’application possible et, pour ce faire, un accord intergouvernemental est signé à Moscou le 30 juin pour « une coopération spatiale franco-soviétique à des fins pacifiques ».

Un programme technologique original:  Ainsi, dès 1967, des instruments scientifiques français sont embarqués dans des fusées-sondes et des ballons, puis dans des satellites soviétiques et même à bord de l’astromobile Lunokhod 1 (1970). Après l’abandon (pour des raisons budgétaires) fin 1968 du projet franco-soviétique Roseau - un satellite qui devait étudier l’exosphère - il est décidé en novembre 1970 d’engager un programme de petits satellites technologiques d’environ 30 kg au maximum en profitant d’une place additionnelle d’une charge utile principale dans un lanceur soviétique. Appelé Sret (Satellite de Recherches et d’Etudes Technologiques) ou MAS (Maliy Avtonomiy Sputnik) par les Soviétiques, ce programme vise à réaliser des essais technologiques d’étude de comportement de composants en milieu spatial.

Les caractéristiques du Sret   D’une hauteur de 56 cm pour une masse totale de 15,4 kg, Sret a une forme d’octaèdre tronqué d’un diamètre de 55,9 cm. Le satellite est équipé de quatre panneaux solaires et de quatre panneaux expérimentaux, opposés deux à deux, pour étudier le comportement de deux sortes de cellules solaires : l’une utilisant un film de sulfure de cadmium (CdS) sur 30 cellules de 32 x 13 mm, l’autre au tellurure de cadmium (CdTe) sur 54 cellules de 20 x 15 mm ; une batterie allégée doit également être expérimentée. Le satellite devant traverser quatre fois par jour la ceinture radiative de van Allen, il devait ainsi permettre d’une part d’éprouver divers instruments et composants et, d’autre part, de vérifier le modèle théorique de flux et de spectre d’énergie des particules pressées dans les zones de van Allen (à l’aide de cellules au silicium).

Réalisé sous la maîtrise d’œuvre du Cnes, Sret est conçu avec l’aide de plusieurs industriels nationaux : SAT (Société Anonyme de Télécommunications) pour l’expérience CdS, RTC (Radiotechnique Compelec) pour l’expérience CdTe, Saft (Société des accumulateurs fixes et traction) pour les batteries pyrotechniques, Crouzet pour le convertisseur, Aerospatiale pour l’émetteur, Avions Marcel Dassault pour le mécanisme permettant d’éjecter le satellite.

Avant d’être envoyé en Union soviétique, Sret est au préalable testé au centre spatial de Toulouse (essais de vide thermique, de vibration et d’équilibrage). Toutefois, une fois en Urss, les Français ne peuvent suivre les opérations d’intégration du satellite et du lancement, comme le rapporte Jean-René Germain dans Aviation Magazine du 1er/14 mai 1972 : « L’équipe française n’a pas eu accès au champ de tir, et ignore tout du lanceur. Ainsi, lors des discussions avec les Soviétiques, les caractéristiques géométriques du satellite ont été définies. Ils ont donné des spécifications de dimension, de fixation, de contraintes, plus des indications sur les liaisons électriques avec le lanceur, qui sont restées minimales. Sret a été conçu de manière à être entièrement autonome », les responsables français ne prenant le contrôle de leur satellite qu’une fois celui-ci éjecté du lanceur. « Fidèles à leur politique du secret en matière spatiale, les Soviétiques n’ont communiqué ni le nom du cosmodrome (il est cependant probable que ce soit Plessetsk), ni l’heure du tir », souligne Jean-René Germain.

Une orbite originale: Le 4 avril 1972, une fusée soviétique Molniya M décolle de Plessetsk et place le satellite de télécommunications Molniya 1-20 sur une orbite très elliptique (40 000 km d’apogée, 343 km de périgée) - aussi appelée « orbite de Molniya ». Cette dernière est particulièrement favorable aux territoires se trouvant à de hautes latitudes. Ainsi, pour les télécommunications, cette orbite permet aux Soviétiques de disposer d’un réseau couvrant son immense territoire qui est essentiellement concerné par de hautes latitudes et même polaires.

Quant à SRET, après s’être à son tour éjecté, il rejoint une orbite proche de celle du satellite Molniya, soit à 480 km de périgée et 39 260 km d’apogée, avec une inclinaison de 65°.

Après Sret 1, Sret 2 : Prévu pour une durée de vie d’un an, Sret fonctionne parfaitement durant 15 mois, jusqu’au 13 juillet 1973. Le succès autorise un Sret 2 qui est lancé le 5 juin 1975. La mission principale de ce dernier est alors de tester et de valider un système de refroidissement passif, le même que celui qui est appelé à voler sur le satellite météorologique européen Meteosat (lancé le 23 novembre 1977 par un Delta américain). L’expérience est délicate, elle nécessite de maintenir une température à -160°C. Deux études complémentaires sont assignées au Sret 2 : la dégradation des films plastiques dans l’environnement spatial et le vieillissement des revêtements thermiques. D’une masse totale de 30 kg, Sret 2 a lui aussi été placé sur une orbite très elliptique pour une période de révolution de 12 heures, en charge additionnelle avec le Molniya 1-30. Les données ont été transmises par télémesure, les panneaux solaires fournissant une puissance de 3 watts, quatre antennes pour rester en contact avec les stations au sol, qui se déploient une fois sur orbite.

Les Sret ont été véritablement un « banc d’essais pour l’industrie spatiale française », comme le note Jean-René Germain.

Quelques références

- Un ouvrage : 50 ans de coopération spatiale France-Urss/Russie, collectif d’auteurs, Ed. Tessier & Ashpool, décembre 2015.

- Un article : « Sret 1, un banc d’essais pour l’industrie », Jean-René Germain, Aviation magazine n°585, 1-14 mai 1972.

- Un court documentaire sur la mission Sret 2, vidéothèque du Cnes.

Philippe Varnoteaux est docteur en histoire, spécialiste des débuts de l’exploration spatiale en France et auteur de plusieurs ouvrages de référence"  

 

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A la fois Bombardier nucléaire avec Missile porté nucléaire   ET  Fusée pure ... ou plutôt premier étage atmosphérique volant d'un missile balistique ... 

Déjà rapporté dans Fanatique e l'Aviation Avril - 2022:

http://www.opex360.com/2022/04/10/quand-la-france-songeait-a-developper-un-missile-aero-balistique-a-capacite-nucleaire/

Pas facile ! 

"le concept de « missile balistique à lancement aérien » [ALBM] n’est pas nouveau. Aux États-Unis, dans les années 1950, Lockheed développa le missile High Virgo [ou WS-199C], qui devait être mis en oeuvre par le bombardier supersonique Convair B-58 Hustler. Seulement, il ne donna pas pleinement satisfaction. Mais il ouvrit la voie au missile aérobalistique GAM-87 Skybolt, qui devait être lancé par les bombardiers B-52 Stratofortress de l’US Air Force et Avro Vulcan de la Royal Air Force. Mais là encore, ce projet fut annulé en 1962"

"Cependant, à la même époque, la France s’interrogeait sur l’opportunité de doter ses Force aériennes stratégiques [FAS] de missiles aérobalistiques à capacité nucléaire. Alors que le Mirage IVA, porteur de la bombe nucléaire AN-11, s’apprêtait à entrer en service à l’issue d’un développement rapide, les états-majors ne tardèrent pas à évoquer déjà son remplacement, afin d’anticiper les progrès des défenses aériennes et de la guerre électronique. Progrès alors susceptibles de rendre les bombardiers trop vulnérables.

D’où le lancement, en 1962, du programme « Minerve« , qui fait l’objet d’un dossier complet dans le dernier numéro du Fana de l’Aviation. L’idée centrale était qu’il fallait doter la force de frappe française d’un missile air-sol balistique, porté par un nouveau bombardier pouvant le lancer à une distance de sécurité.

Trois constructeurs furent sollicités, dont Sud-Aviation, avec un dérivé du Concorde pouvant emporter le missile « Robot », lui-même issu des études relatives à l’ engin balistique sol-sol « Casseur » [abandonné en 1959, ndlr], Dassault Aviation, avec le Mirage IVB, nettement plus imposant que le Mirage IVA, et Bréguet."

Breguet ... "Celui-ci plancha sur le bombardier biréacteur supersonique Br.1180… ainsi que sur une version dérivée de ce qui sera le Br.1150 Atlantic [qui sera cependant rapidement écartée]. Ces deux solutions avaient pour point commun le missile aérobalistique Matra 600."

Descriptif - et schéma - du peu connu Breguet 1180 et de son missile !  Voir le lien

"Finalement, ce projet n’alla pas plus loin que la planche à dessins… puisqu’il fut décidé de l’annuler en 1963"

Modifié par Bechar06
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  • 2 months later...

Un article est mis en ligne sur Air et Cosmos sur le premier tir de la fusée sonde a 4 étages Bérénice en 1962 qui a failli être le premier lanceur français :

https://air-cosmos.com/article/il-y-a-60-ans-berenice-le-laboratoire-volant-de-l-onera-40525?

Et un autre de 1999 sur ce précurseur :

http://eurospace.free.fr/berenice.html

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  • 4 weeks later...
  • 3 weeks later...

LA FRANCE SPATIALE  nouvelles révélations ou rappels :

 

A l'occasion d'un point sur  les projets français :  VERAS    V-MAX   (  Guerre non-conventionnelle  /  Divers non-conventionnel   /  missile hypersonique   )

http://www.opex360.com/2022/08/07/quand-la-france-avait-de-lavance-dans-la-mise-au-point-dun-planeur-hypersonique-avec-le-projet-veras/   qui cite : "Jean-Christophe Carbonel, dans son livre « French Secret Projects 3« "

ce projet ne part pas d’une feuille blanche… En effet, dès les années 1960, la France avait l’ambition de mettre au point un planeur hypersonique, dans le cadre du programme « VERAS » [Véhicule expérimental de recherches aérothermodynamiques et structurales], lancé par la Direction des recherches et moyens d’essais [DRME] de la Délégation ministérielle pour l’armement [DMA, ancêtre de la DGA actuelle], avec le concours de l’ONERA.... 

En 1965, la DRME notifia à la société Nord-Aviation le soin de mener une étude pour réaliser ce planeur hypersonique...  D’une masse d’environ une tonne, ce planeur hypersonique devait être propulsé par une fusée Diamant A [ou Émeraude].  

Les résultats de l’étude de faisabilité de ce programme furent présentés au ministère des Armées en 1967. Et il fut décidé de le poursuivre. Dévoilé officiellement en 1968 et présenté au Salon de l’aéronautique du Bourget l’année suivant, le VERAS sera finalement annulé en 1971, soit quelques mois avant son premier vol, programmé au Centre d’essais des Landes.

Le projet VERAS fut lancé peu après l’abandon du programme « Minerve », qui visait à mettre au point un missile aérobalistique à capacité nucléaire – le Matra 600 – destiné au bombardier biréacteur supersonique Br.1180 que devait développer Bréguet. Ce concept a depuis été repris par la Russie [avec l’engin aérobalistique hypersonique Kinjal] et la Chine [avec H-AS-X-13, emporté par le bombardier H-6N]. "

Un pan de l'histoire spatiale française ... d'actualité ! 

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  • 4 months later...
Il y a 11 heures, collectionneur a dit :

@Bechar06 Sait on si la construction du prototype était avancé ? 

Je n'ai pas encore acquis ce 3-ème tome "Jean-Christophe Carbonel, dans son livre « French Secret Projects 3« " 

Mais tu peux lire :  SECRET PROJECTS Home Forums  Secret (Unbuilt) Projects   Secret Space Projects  NORD VERAS  

Parmi les documents proposés :  http://www.anciensonera.fr/sites/default/files/fichiers pdf/Bulletin_AAO_Hors-Serie-Espace.pdf  ( pages 3 à 6 )nb  ( anciens de l' ONERA ) 

Dont il ressort qu'il y eu renoncement aux vols d'essais entre 1968 et 1972... Mais VERAS ouvrit la voie à HERMES 

 

ANCIENS de l' ONERA   AAO    https://www.anciensonera.fr/    une mine ! 

Modifié par Bechar06
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  • 3 months later...

Une pièce supplémentaire méconnue dans l'acquisition du savoir-faire français en matière spatiale et de missiles 

Années 60s, 70s, 80s discrétion de rigueur autour des descendants du Dassault MD-620, puis Jéricho ... puis RSA-3 Sud Africain de 1989 ... 

 

 

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  • 1 month later...
  • 7 months later...
Le 07/08/2022 à 16:01, Bechar06 a dit :

A l'occasion d'un point sur  les projets français :  VERAS    V-MAX   (  Guerre non-conventionnelle  /  Divers non-conventionnel   /  missile hypersonique   )

http://www.opex360.com/2022/08/07/quand-la-france-avait-de-lavance-dans-la-mise-au-point-dun-planeur-hypersonique-avec-le-projet-veras/   qui cite : "Jean-Christophe Carbonel, dans son livre « French Secret Projects 3« "

ce projet ne part pas d’une feuille blanche… En effet, dès les années 1960, la France avait l’ambition de mettre au point un planeur hypersonique, dans le cadre du programme « VERAS » [Véhicule expérimental de recherches aérothermodynamiques et structurales], lancé par la Direction des recherches et moyens d’essais [DRME] de la Délégation ministérielle pour l’armement [DMA, ancêtre de la DGA actuelle], avec le concours de l’ONERA.... 

En 1965, la DRME notifia à la société Nord-Aviation le soin de mener une étude pour réaliser ce planeur hypersonique...  D’une masse d’environ une tonne, ce planeur hypersonique devait être propulsé par une fusée Diamant A [ou Émeraude].  

Les résultats de l’étude de faisabilité de ce programme furent présentés au ministère des Armées en 1967. Et il fut décidé de le poursuivre. Dévoilé officiellement en 1968 et présenté au Salon de l’aéronautique du Bourget l’année suivant, le VERAS sera finalement annulé en 1971, soit quelques mois avant son premier vol, programmé au Centre d’essais des Landes.

Le projet VERAS fut lancé peu après l’abandon du programme « Minerve », qui visait à mettre au point un missile aérobalistique à capacité nucléaire – le Matra 600 – destiné au bombardier biréacteur supersonique Br.1180 que devait développer Bréguet. Ce concept a depuis été repris par la Russie [avec l’engin aérobalistique hypersonique Kinjal] et la Chine [avec H-AS-X-13, emporté par le bombardier H-6N]. "

Un pan de l'histoire spatiale française ... d'actualité ! 

OPEX  complète sur le lanceur envisagé pour ce VERAS des années 60s/70s   https://www.opex360.com/2023/12/11/une-etroite-cooperation-avec-lus-navy-a-permis-le-premier-vol-du-planeur-hypersonique-francais-vmax/

"Dans les années 1960, avec le projet VERAS [Véhicule expérimental de recherches aérothermodynamiques et structurales], la France avait l’ambition de faire voler un planeur pouvant potentiellement atteindre une vitesse hypersonique [supérieur à Mach 5] grâce à une fusée Diamant A devant être lancée depuis le Centre d’essais des Landes [Biscarrosse]. Seulement, plus que les difficultés techniques, les contraintes budgétaires eurent raison de ce programme, finalement abandonné en 1971."

 

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